Texte n°531
Un jour dans notre vie, on se rend compte d'une évidence qui peut changer notre point de vue sur certaines affaires, certaines personnes malgré les apparences.
Je vous préviens d'avance, je ne suis pas voyante. Juste un peu fouineuse.
Je sais, vous pensez sans doute que la curiosité est un vilain défaut et je vous l'accorde.
On a tous dans son lycée, cette personne qui vous arrange un coup avec votre voisin de français
ou la partenaire de bio.
Et bien dans le lycée McCain, il n'y a pas qu'une seule personne qui le fait, mais le club de théâtre tout entier.
Étonnant, n' est ce pas ?
Sans doute, mais dans ce lycée tout est possible. Absolument tout.
A l'heure où j'écris Tiphaine et Ryan s 'embrassent langoureusement dans le fond de la classe, James se prépare pour lancer des bouts de gomme sur son frère jumeau Jackson, Mackenzie parle avec sa bande des derniers potins tandis que Diana écoute et note le cours.
Cliché, me direz vous ?
Je ne vais pas vous mentir, c'est bien un cliché. Pourtant les histoires qu'ils se passent ici peuvent être étonnantes les unes par rapport aux autres.
« Psst...Sisi, passe-moi le bout de gomme, sous ta chaise »
Je me baisse, ramasse et le jette par dessus mon épaule sans me retourner.
Par habitude sans doute.
Au début, je vous parlais de nos points de vues sur certaines choses.
Notre point de vue peut changer sur notre voisin intello de français qui a les mêmes goûts musicaux que les vôtres mais jamais, au grand jamais mon point revue ne changera sur des sujets comme le terrorisme ou le racisme qui sont des obstacles importants dans la société dans laquelle nous vivons.
Nous devons combattre le terrorisme et le racisme.
Sisi ou Élisabeth Sienna WALKER se met à critiquer la société. Pas étonnant puisque mon père m'a toujours appris à m'ouvrir aux autres, à m'exprimer et à critiquer notre façon d'être aujourd'hui.
Et depuis toute petite, papa donne -à moi et mes frères et sœurs-des cours d'histoires jugés très importants car « pour comprendre la société d' aujourd'hui, il faut avoir compris celle d'avant ».
Et ma mère dans tout ça me direz vous. Issue d'une famille riche, maman nous a appris les bonnes manières, la politesse et tout le tralala.
Et nous à aussi appris à être généreux, malgré les temps dures que peut traverser la famille.
J'ai toujours eu de bonnes notes, parce que l' on me le demande et aussi parce que je dois en avoir vu les perfections qui me servent de grand frère et grande sœur.
Car oui, mon grande frère et ma grande sœur sont des perfections, l'un est en étude de droit et l'autre en préparation pour une carrière de mannequin.
Je n'ai pas d'ambitions particulières, je n'excelle pas dans une matière plus que dans une autre.
Mes petits frères et sœurs savent déjà ce qu'ils ont l' intention de faire ou le domaine dans lequel ils sont intéressées malgré leurs jeunes âges alors oui, je suis le cas désespéré de la famille.
Mike et Acacias, les perfections, peinent à me trouver un métier ou au moins un domaine.
Bref, passons à autre-chose.
Je suis actuellement encours d'anglais et j'attends impatiemment que ça sonne pour rentrer chez moi.
Je n'ai rien contre l'anglais mais je n'aime pas le prof. Quand nous parlons, il nous regarda bizarrement. Par un regard pervers non un regard d'impatience mêlé à de la colère comme si le simple fait de parler l'irriter au plus haut point. On est si horribles ?
La sonnerie se fait entendre, j'attrape mon sac à main et sors de la salle.
Je sors du lycée et j'attends Jordan.
Jordan vit dans la maison juste en face de la nôtre, et sa famille est l'une des rares à ne pas nous détester dans le voisinage. Le voisinage nous trouve bruyant, peu serviable et déteste nos manières.
Jordan est en terminale et moi, en seconde. Nous sommes de très bons amis, il est très attentif et donne de bons conseils. Tous les jours, il m'emmène eu lycée et me dépose chez moi. Je l'adore.
-Hey Sisi, désolé pour le retard,je parlais...
-Arrête,t'étais même pas en retard. »
Il m'ouvre la portière,me laisse monter, il ferme ma portière pour faire le tour et ouvrir la sienne.
Gentleman, pensez vous. Oui, je confirme.
La vieille Audi roulait silencieusement dans les rues de Sandpoint -la ville dans laquelle nous vivons quand Jordan prit la parole :
-J'ai entendu dire que les inscriptions étaient ouvertes pour le titre de reine du lycée.
Je tourne la tête, intriguée, vers lui.
-En quoi ça me concerne ?
-Je pensais à toi.
-Quoi, mais je...
-Je veux que tu détrônes Queen K, tu es la seule à qui je peux le demander, les autres ne sont pas à ta hauteur.
Queen K, ou de son vraie nom Kelsey De Villiers,est la reine du lycée. Cette fille se croit tout permis parce qu'elle est la reine du lycée mais aussi parce que son père travaille dans une des plus grandes maisons de coutures de France.
On pouvait se l'avouer, cette fille était belle.
On pouvait demandé à n'importe quels garçons du lycée la fille avec qui ils voulaient couchés, la réponse serait immédiate : Kelsey.
Me mesurer à elle serait une très mauvaise idée, de une parce qu'elle se vengerait, de deux parce que mes chances étaient minimes, et de trois parce que...je sais pas moi, j'en est pas envie voilà !
J'avoue, j'avais envie de la détrôner mais ce serait prendre un risque énorme.
Mais comme dirais mon grand-père « Il vaut mieux risquer que de ne rien essayer ».
Ma grand-mère disait l'inverse.
-Jordan, je vais y réfléchir mais t'abuses franchement. Je te dirais ce que j'en pense demain, d'accord ?
-Yep.
-Bon je te laisse, bisous,dis-je en sortant de la voiture.
-Passe le bonjour à tes parents, ça fait longtemps que je ne les est pas vu.
-Oui, dis-je en avançant vers mon portail, ils ont beaucoup de travail.
Ma maison se trouve sur l'un des quartiers résidentiels de Sandpoint. Elle est l'une des plus imposantes du quartier, ce qui -malheureusement-fait des jaloux dans le quartier pour qui voulait se l'acquérir.
J'ouvre le portail, avance dans la petite allée qui mène à ma porte. J'allais enfoncé ma clé dans la serrure de la porte mais la porte s'ouvrit en grand. Je lève les yeux et fais face à la perfection -notez l'ironie- de grand frère.
-Qu'est ce que tu fais ici, t'es pas censée être dans l'Oregon ? l'interrogeais-je
-Salut, comment tu vas ? Bien et toi ? Moi aussi, je vais bien et...
-Non mais sérieusement ?
-La voiture a calé, je prend le train,demain.
-Oh...mais papa et maman sont au courant ?
-Non, j'ai pas voulu les déranger.
-Tu veux que je les prévienne ?
-Pas la peine, je les préviendrais moi-même.
-OK, et tu vas où, là ?
-Euh...chez un ami qui habite pas trop loin.
-Okay, dis-je en me tournant vers la porte, à toute.
-A tout à l'heure.
Je ne m'attardais pas à comprendre, Mike est une personne compliqué. Personne n'a vraiment essayé de le comprendre, soit par manque de temps ou soit par manque d'intérêt.
Ses cheveux bruns façon skate pour lesquelles craquent les filles, faisaient un contraste avec ses yeux bleus ciel. Il est mince mais il répète à qui veut l'entendre qu'il s'est mit à la musculation.
Il était l'aîné de notre fratrie -car, oui nous étions nombreux-par conséquent il avait été assigner comme étant le leader, le commandant, le chef, l'empereur, le roi enfin bref tout ce que vous voulez lors de l'absence des parents. Et quand Mike n'est pas là, on suit l'ordre.Cela plaît beaucoup aux aînés mais déplait énormément aux plus jeunes qui se trouvent sans autorité.
Mais papa a décidé que les plus jeunes allaient, une fois par semaine, décidaient du déjeuner et du dîner, un privilège que soi-disant les grands n'avaient pas eu avant leurs naissances.
Mike, Acacia et moi avions très bien que c'est faux puisque maman demande toujours notre avis avant de préparer le repas.
Et pourtant papa arrivait à faire gober ce mensonge.
Papa et maman travaillent ensemble dans le textile, avec maman qui crée et papa qui vend. Ils travaillent beaucoup, les créations de maman prennent du temps et le patron met beaucoup de pression selon leurs dires. Papa est souvent en déplacement,à la recherche de potentiels clients alors que maman travaille dans l'atelier de couture à Newport.
J'enlève mes chaussures dans l'entrée, pose mon sac et enlève mon manteau. Je me dirige vers la cuisine pour prendre mon bol de céréales et mon verre de jus d'orange. La routine.
Je me permets un carré du chocolat au lait qui se trouvait sur la table à manger.
Je ne suis pas spécialement grosse, mais je ne suis pas maigre non plus donc je fais attention sans pour toute fois en faire trop. Mes cheveux châtains entouraient mon visage en formant de légères ondulations. Mes yeux marrons, basique. J'ai un visage fin,avec quelques boutons sur le front. Mis à par ça, je n'ai pas le charme d'Acacia ou les yeux de Mike. J'ai aussi la peau bronzé.
Je montais avec mon goûter à l'étage, pour rejoindre ma chambre que je partage avec Ac ou Acacia, si vous préférez.
La plupart des gens se demande quand on fait pour vivre autant dans une maison de ce type.
Quand on entre dans la maison, on tombe - vous vous en doutiez- sur l'entrée.
A gauche, on trouve un renfoncement où l'on range nos chaussures. Sauf celles d'Acacia« parce que mes Louboutins sont trop parfaites pour se mélanger avec vos Converses pleines de boue. »
Exaspérant...
Malgré le fait qu'elle soit quasiment absente en semaine, Brittany prenait la relève pour ce genre de remarque.
Brittany est ma petite sœur, elle a 14 ans et elle est le portrait craché d'Acacia- malheureusement-tandis que son frère jumeau, Brandon a son caractère bien à lui.
Acacia est une brune - comme Mike - aux yeux bleus ciel - comme Mike -mince -comme Mike.
Elle est âgée de 20 ans, tandis que Mike a 21 ans. Ils ont beaux ne pas être jumeaux, ils se ressemblent énormément physiquement. D'ailleurs, on charrie beaucoup Mike dessus, en lui disant que si il avait été une fille, il aurait pu être mannequin.
Après les jumeaux B - qui se prononce Bee- on a Maddy.
Je ne peux pas continue l'histoire sans vous avoir parler d'elle. Du haut de ses 13 ans, elle est l'origine de tous -et j'insiste bien sur ''tous''- les plans, bêtises et conneries qu'on ai pu faire jusqu'à maintenant.
A 6 ans, elle a balancé une grosse boule de papier mâché sur le fils des HANSON pour l'avoir insulter sur ces vêtements, je cite ''qui sorte de la déchetterie du coin''. Cela a finit en bataille de papier mâché, bouts de gomme et billes avec d'un côté les WALKER et de l'autre les HANSON -nos voisins dans notre maison de vacances, mon père déteste leur père et inversement en raison d'une querelle de gamins et aussi à cause de leur esprit de compétition permanent-qui c'est soldé en corvées de vaisselle, poubelles et lessives. Malgré tous les corvées que nous venions d'écoper, Maddy était fière d'elle.
En y pensant, cela faisait près de 7 ans que nous n'avons pas vus, parce qu'après l'épisode des HANSON nous avons passé nos autres vacances dans le Texas avec nos grands-parents.
A 8 ans elle a balancé sa chaise sur une fille de sa classe qui se saurait moqué de notre famille. Ça lui a valu une semaine d'exclusion,mais là encore elle était fière car elle avait protéger l'honneur de notre famille.
A 10 ans, elle a mené la vie dure au petit copain -et maintenant ex petit copain -d'Acacia elle n'avait jamais dit pourquoi jusqu'à ce qu'ils ne soient plus ensemble. Apparemment, un jour qu'elle rentrait de l'école elle l'aurait vu entrain d'embrasser une autre fille qu'Acacia dans la parc.
Et j'en passe...
Après Maddy, que l'on surnomme ''Rebelle'' à cause de son caractère et des mèches rouges qu'elle a insisté à faire pour ses 12 ans,on avait les quadruplé T : Tommy, Travis, Taner et Tressie
Eux, c'est les passionnés de sports, aux plus grand bonheur de Mike, Brandon, Maddy et papa.
Et aux désarroi d'Acacia qui espérait donner ses conseils de mode à quelqu'un d'autre que Brittany.
Ac ne me donne pas de conseils car je ne lui en demande pas et aussi parce que je sais comment m'habiller sans payer des prix exorbitants.
Les quadruplés T ont 12ans. Ils se ressemblent comme pas possible et ils ont la particularité d'avoir les yeux verts.
Rassurez-vous, avec le temps on a réussi à différencier les trois garçons.
Après las quadruplés car oui nos parents ne se sont pas arrêtés, on a Samuel -ou Sam- 8ans, Kai 7 ans et Waren 5 ans.
Sam lit énormément de livres et il est passionné par l'astronomie, autant dire qu'il est le chouchou de grand-père, Kai le petit rêveur de la famille avec son imagination débordante qui commence à écrire ses propres histoires quand à Warren, il est le petit bébé de la famille qui veut devenir pompier comme tout les gamins de son âge.
Donc dans l'ordre, ça donne:
Mike, Acacia, moi -Sisi-, Brandon, Brittany, Maddy,Tommy, Travis, Taner, Tressie, Samuel, Kai et Waren.
Peter et Anna sont les parents de 13 enfants -oui, je confirme c'est énorme- qui sont promis à un avenir prometteur sauf une. Moi.
Je ne vais pas m'étendre dans la présentation de ma famille, j'en aurais pour des heures.
Commentaires :
NadegeChipdel
Bonjour et merci de nous avoir soumis ton texte. Alors, puisque mes collègues se sont concentrées sur la forme, je me suis attachée au fond de ton histoire. Dans l'ensemble, je l'ai trouvée décousue. Je m'explique : * j'avoue que sur les premières pages, je n'ai pas saisi le rapport entre ce lycée où tout est permis, « la perfection » incarnée par le frère et la sœur aînée de Sissi et le fait de se battre contre le terrorisme. * je trouve aussi tes descriptions décousues : tu nous parles de la relation entre Jordan et ton héroïne et d'un coup, on se retrouve avec la description listée de tous les membres de la famille. * et j'ai eu du mal à cerner ton héroïne. Pour moi, ça manque aussi de transitions. Là j'ai plus l'impression de lire des scènes accolées les une aux autres. Donc, de mon point de vue, il faut que tu retravailles l'ordre de tes idées : présentation du lycée, de ton héroïne, de sa famille. Parler dès le premier chapitre de cette histoire de terrorisme ne me semble pas utile puisque ça ne semble pas être l'élément central de ton histoire. En fait, ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Retravaille aussi tes descriptions pour les rendre plus dynamiques. Bon courage pour la suite, Nadège
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Lallyhammer
Et reecrire tout ça plus précisément. Bon courage
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Lallyhammer
Suite : "On a tous dans son lycée cette personne qui vous arrange un coup..." : dis comme ça, ça veut pas dire grand-chose et en plus ça prête à confusion. Tu devrais ré écrire cette phrase. C'est toi l'auteur, c'est donc à toi de faire comprendre à ton lecteur ce que tu veux dire exactement sans prêter à confusion. " A l'heure où j'écris Tiphaine et Ryan..." dans cette phrase c'est l'exemple même où tu donnes beaucoup trop d'informations pour qu'on puisse suivre. D'un seul coup une seule phrase & 6 personnages. On est perdu il nous faudrait presque un calepin pour noter à côté. Lorsque tu intègre un nouveau personnage il faut lui faire faire quelque chose de marquant de manière à ce qu'on l'identifie facilement. Tu peux parler de tout ces gens mais petit à petit et à chaque fois il faut leur donner quelque chose de particulier pour bien les identifier. "notre point de vue peut changer.." ton § est mal construit. Explique plus. Choisis un vocabulaire adapté. ... Et comme ça tout au long de ton texte. Pour moi, il faut élaguer le trop de bla bla. Et reecrire tout ça plus précisément. Bon courage
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Lallyhammer
, bonjour et merci pour ton texte J'ai trouvé un bon rythme par contre les fautes d'orthographe sont beaucoup trop nombreuses. Ça nécessite une grosse relecture. Ensuite je trouve que tu nous perds un petit peu avec tous ses enfants ! on a un petit peu de mal à suivre. Dans le texte tu mélanges le présent et l'imparfait ce qui fait qu'on peut plus suivre. exemple : là où tu commences ton paragraphe par je ne suis pas spécialement grosse, la phrase suivante : mes cheveux châtains entouraient mon visage. pourquoi cet imparfait quand tu choisis un temps tu y reste pour tout ton texte. Travaille ta description "yeux marron basique ? Basique ? Non, c'c'est toi qui raconte donc c'est à toi de nous dire comment sont les yeux, de nous l'expliquer pour que chacun puisse bien se l'imaginer Basic ne veut rien dire. Suite +tard
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lolaingrid02
Bonjour, Ton histoire est bien dans l'ensemble. Au début quand j'ai commencé à lire, je me suis dit : cool pas beaucoup de fautes, ça va être sympas à lire et on va pouvoir parler du fond de l'histoire. Mais plus j'avançais et plus il y a avait de plus en plus de fautes presqu'à chaque paragraphe. Donc, je me suis focalisée sur les fautes car ce sont des fautes de conjugaison et de grammaire. Je peux t'inviter à lire l'amphi n°12 que nous écrivons à la Waca. En ce qui concerne le fond de l'histoire, des descriptions parfois trop longues. Tu nous présentes toute ta famille qui peut être bien mais on s'y perd un peu, tu relates presque tout ce qu'à fait une de ses sœurs, c'est trop long. Tu peux en dire un ou deux mais pas tout. Ce texte doit être le prologue car nous n'avons pas beaucoup de renseignement sur l'histoire en elle-même, sur quoi elle va traiter. Voici les fautes que j'ai pu relever : - Pourtant les histoires qu'ils se passent ici : pourtant les histoires qui se passent ici. Cela sonne mieux quand on le lit à haute voix. - Nos points de vues : nos points de vue : pas de s à vue. - Mon point revue : mon point de vue. Je pense que c'est une erreur de frappe. - A moi et mes frères et sœurs : à moi ainsi qu'à mes frères et sœurs ou à moi, mes frères et mes sœurs. Quand il y a une énumération, le dernier prend le et mais pas avant. - Et nous à aussi appris : et nous a aussi appris. C'est l'auxiliaire avoir. - Je suis le cas désespéré de la famille : désespérée car c'est une fille. Accord avec l'auxiliaire être. - Quand nous parlons, il nous regarda bizarrement : quand nous parlons, il nous regarde bizarrement. Tu relates un fait et non une action qui vient de se passer. - Par un regard : pas un regard. - Si le simple fait de parler l'irriter : si le simple fait de parler l'irritait au plus haut point. Il faut peut-être un verbe conjugué dans ta phrase.
--> lolaingrid02
- En lui disant que si il avait été une fille : en lui disant que s'il avait été une fille. Jamais si il. - Pour l'avoir insulter sur ses vêtements : pour l'avoir insulté sur ses vêtements. On dit avoir vendu et non vendre et ses et non ces car c'est le possessif. - Tous les corvées : toutes les corvées car corvée est féminin. - Cela faisait 7 ans que nous n'avons pas vus : cela faisait 7 ans que nous nous sommes pas vus ou que nous ne les avons vus. - Une fille de sa classe qui se saurait moqué de notre famille : une fille de sa classe qui se serait moquée de notre famille. S'être moqué et non savoir moqué. - Elle avait protéger : elle avait protégé. On dit avait vendu et non vendre. - Elle l'aurait vu entrain d'embrasser une autre fille : elle l'aurait vu en train d'embrasser une autre fille. C'est en train de faire quelque chose et avoir de l'entrain. - Les quadruplé T : les quadruplés T. - A différencier les trois garçons : à différencier les quatre garçons car ce sont des quadruplés et non des triplés. Ce que je te conseille, c'est une grosse relecture de ton histoire, car trop de fautes qui gênent la lecture. On se concentre que sur les fautes et non le fond. On ne peut pas apprécier l'histoire a sa juste valeur. Je te souhaite bonne continuation dans tes écrits. Lolaingrid02
--> lolaingrid02
- Le voisinage nous trouve bruyant, peu serviable : le voisinage nous trouve bruyants, peu serviables. Tout au pluriel car ils sont plusieurs. - On pouvait demandé : on pouvait demander. On pouvait vendre et non vendu. - Ils voulaient couchés : ils voulaient coucher. Ils voulaient vendre et non vendu. - J'en est pas envie : j'en ai pas envie. C'est avoir envie et non être envie. - Comme dirais mon grand-père : dirait car qui est-ce qui dirait, c'est le grand-père donc sujet à la troisième personne du singulier. - Je ne les est pas vu : je ne les ai pas vus. Premièrement c'est avoir vu et non être vu, pour ce cas. Deuxièmement : vus car accord du participe avec l'auxiliaire avoir quand le COD est placé avant le verbe donc les mis pour les parents. - Ma maison se trouve sur l'un des quartiers résidentiels : ma maison se trouve dans l'un des quartiers résidentiels. Elle se trouve à l'intérieure et non sur. Une maison est sur une colline mais dans un quartier. - J'allais enfoncé : j'allais enfoncer. J'allais vendre et non vendu. - T'es pas censée être dans l'Oregon : t'est pas censé. C'est un garçon donc masculin. - Ses cheveux bruns façon skate pour lesquelles craquent les filles : ses cheveux bruns façon skate pour lesquels craquent les filles. Lesquels au masculin pluriel car c'est mis pour les cheveux. - Il avait été assigner : il avait été assigné. On dit il avait été vendu et non vendre. - Mais papa a décidé que les plus jeunes allaient, une fois par semaine, décidaient : mais papa a décidé que les plus jeunes allaient, une fois par semaine, décider. On dit allaient vendre et non venu. - Le plupart des gens se demande quand on fait pour vivre : la plupart des gens se demande comment on fait pour vivre. - Ils ont beaux ne pas être jumeaux : ils ont beau ne pas être jumeaux. Cette phrase est une expression donc beau est invariable. Ici ce n'est pas l'adjectif.
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TicusLeFaune
Bonjour cher auteur ou autrice du texte 531, J'arrive en retard car mon commentaire s'est fait oublié dans un coin par deux fois... Comment ça ce fait ? Aucune idée, mais mieux vaut tard que jamais, non ? Mes collègues ont déjà évoqué un grand nombre de points, dont le plus important : Les fautes omniprésentes. Il faudrait que tu fasse particulièrement attention aux homophones (et/est, se/ce, a/à, s'est/c'est ...) ainsi qu'à la terminaison des verbes (é/er, ais/ait ...). Ce n'est pas tes seules fautes, mais il est important de savoir par où commencer. Je te conseille de cibler ces erreurs là, car ce sont les plus nombreuses dans ton texte. Elles ont également parlé de la concordance des temps, vu que tu mélanges le présent et l'imparfait. J'aimerais revenir brièvement sur le choix du temps : vu que ton personnage évoque le fait qu'elle écrive, il possible qu'elle écrive au présent quand elle est en classe, par contre, dès qu'elle range ses affaires il lui est impossible d'écrire au moment ou elle vit l'action, par conséquent je te conseille de lui faire écrire au passé lors de ces moments. Pour avoir un texte harmonisé (qui n'alterne pas entre passé et présent), je te conseille par conséquent d'écrire tout au passé, en imaginant par exemple qu'elle raconte sa journée chaque soir, en repensant à ce qu'elle a fait.
--> TicusLeFaune
Je te conseille de faire également attention aux signes de ponctuation, des fois tu oublies les espace après les virgules ou les points, cela gène la lecture. Tu fais de plus un certain nombre de répétition qui alourdissent le texte par exemple: « Papa et Maman travaillent ensemble dans le textile, avec maman qui crée et papa qui vend. » Ici, remplacer "papa et maman" par "mes parents" allègerait la phrase.Pour finir, dans un roman on n'a pas l'habitude de mettre les noms de famille en majuscule. C'est réservé aux documents officiels.J'espère que mon commentaire t'aura aidé et je te souhaite une très bonne relecture. Bonne journée ! TicusLeFaune (qui s'excuse encore de son retard...)
--> TicusLeFaune
Je suis également d'accord avec mes collègues sur le fait qu'on en apprend trop d'un coup, et que c'est impossible de se souvenir de tout le monde. Est-ce réellement utile pour nous de savoir tout cela? Si cela est possible, dilue les présentation des personnages sur plusieurs chapitres, et met un peu plus d'action dans ces derniers. Ici, cela fait très « liste de course » car ce n'est que des explications, il ne se passe presque rien. Par ailleurs, l'effet « liste de course » est accentué par le fait de faire des paragraphes d'une phrase (qui sont donc souvent trop court). Certaines de ces phrases semblent cependant très longues, il serait possible de les couper en deux, sans problème, afin de fluidifier la lecture. De mon point de vue, le dialogue entre le frère et la soeur est long, et n'apporte pas grand chose à l'histoire. Peut être pourrais tu le réduire? À toi de voir, mais je pense que cela améliorerait le texte. D'ailleurs, vu que je parle de dialogues, j'aimerais en profiter pour t'expliquer les règles de ceux ci : « Guillemet a la première prise de parole. racontais-je. — Tiret cadratin pour les prises de paroles intermédières, c'est la norme, expliquait mon double. — On n'oublie ni l'espace après le tiret, répliquais-je en le coupant. Ni l'absence de majuscule dans les incises. — Et on fini par fermer les guillemets, à la fin de la dernière réplique, et avant la dernière incise. » finit il. Ce n'est pas très compliqué, mais il faut le savoir. Les guillemets ne sont pas obligatoires, dans ce cas là tu commence avec un tiret cadratin, et tu finis comme indiqué plus haut, mais sans le guillemet. Le tiret cadratin s'obtient souvent en tapant deux tirets de liaison, ou alt0115.
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