Texte n°529
Note de l'archiviste : brendyane a disparu de Wattpad. Ci-gît un de ses textes.
Un éternuement se fit entendre dans le bureau ... entièrement blanc et dépourvu de taches, il n'y avait plus rien plus ...simplement une couleur. Un homme vigoureux, les cheveux noirs en queue de cheval sur sa nuque, se frotta le nez avec un mouchoir blanc qui ne manquait pas sur la table en verre couverte de disques durs et de papiers rangés, penché sur son ordi il avait toujours l'aire énervé.
- Je déteste la neige ...
Dit-il surtout pour lui-même.
Puis il fixa la vitre de l'autre côté d'un air pensif. La nuit était bien avancée maintenant, et il neigeait de plus belle dehors, nous étions en fin février, la soirée était tout de même froide. En effet, il était 20h48 ... et il glandait contrairement à ses habitudes. La porte s'ouvrit brusquement pourtant il ne sursauta pas, il était habitué à se genre de comportement venant de son meilleur ami.
- T'as fini ?
- Si je dis oui tu t'en iras ? Dit-il en se retournant, jambes croisées et le ton neutre comme toujours, malgré son regard plutôt froid.
- Non. Dit le blond en souriant, de plus belle, ses yeux bleu reflétait bien sa joie de vivre les cheveux renvoyés en arrière lui arrivait au milieu de sa nuque. Il avait l'aire plus enjouée que jamais.
- Dans ce cas, je retourne au travail parce que je n'ai pas terminé.
Il pivota de nouveau sur sa chaise pour faire face à son ordinateur d'un blanc immaculé ...
- Tu adores cette couleur mais déteste la neige ... quel paradoxe Ty.
- Vous n'êtes pas encore parti Monsieur Grews? Dit-il avec de l'ironie dans sa voix.
- Tu as encore 8 minutes et je passe te chercher OK.
- Je n'ai pas d'ordre à recevoir de vous hors du travail.
- Certes mais c'est pour aller où tu sais ! Tu ne me refuserais pas cela sachant que c'est moi qui te paye Tyron ?!
- Tu sais très bien que l'argent ne compte pas à ce point à mes yeux.
- Plus que 5 minutes bahamut fait vite !faisant une mine boudeuse plutôt gamine.
- Tu ne vas pas t'y mettre Eric ... Peu importe au final.
Eric fit un clin d'œil et sortit aussi brusquement qu'il était rentré.
« Un peu de vin ne me tueras pas » se dit-il en rangeant ses affaires sans précipitation.
Il enleva ses lunettes et les rangea dans leur boîte puis soupira.
« La nuit sera longue » pensa-t-il
La porte s'ouvrit brutalement de nouveau.
- On y va !!! Dit Eric enthousiaste
- Et dire que le patron se comporte comme un gamin ... pitoyable. Dit-il en sortant de son bureau.
- Bah soit pas si désagréable ... tu peux bien faire ton bahamut ici mais pas à la soirée ... Tu ferais fuir les belles demoiselles.
Dit-il avec un sourire coquin. Seulement Tyron ne répondit pas à sa taquinerie, alors il fit une grimace avant d'enfiler son manteau.
......
La fête battait son plein. Il s'agissait de celle organisée par une entreprise qui avait loué leurs services ... Toute l'entreprise SOFTCORE était invitée donc Eric et Tyron qui sont les principaux directeurs de celle ci ... Le bar avait été réquisitionné à cet effet d'autant plus que celui ci était le plus réputé, la salle était ronde et les lumières tamisé laissait douter sur l'origine véritable de la fête.
Après leur arrivée, le chef de l'entreprise associée avait fait un discours puis ça avait été au tour d'Eric.
Comme à son habitude, Tyron avait fait un tour au bar et s'était pris un verre de vin rouge qu'il buvait assez lentement puisque de toute façon, il allait conduire ... Eric Grews quant à lui, s'était déjà retrouvé entouré de femmes qui riaient surtout pour le séduire et non pour son humour ... Cela leur importait peu à elles comme à lui, c'était l'avantage de la puissance financière ... Drôle de monde, et pourtant c'est ainsi que ça ce passe lorsque l'on dirige une multinationale spécialisé en informatique.
Au bout de deux heures, il fut las de toutes les festivités qu'il jugeait stupides. Demain, ces subalternes se plaindront de sa sévérité car ils n'ont probablement pas fini leurs tâches. Il leva les yeux au ciel en voyant justement ceux ci se remplir la pense de whisky, il y'a de quoi avoir la gueule de bois le lendemain.
- Oula en voilà un soupir bien las.
Il ne tourna pas la tête. Malgré le ton enjôleur de la dame.
- Je ne suis pas intéressé par les coups d'un soir. Dit-il simplement.
- Moi non plus ça tombe bien. Fit la jeune femme brune à côté de lui. Son décoté plongeant et sa robe rouge disaient le contraire, elle moulait parfaitement son corps, il y avait des rondeurs où il fallait et ses jambes interminable tenais sur des talons haut assez imposant.
Il risqua un œil sur elle puis revint à son deuxième verre de vin rouge.
- Je ne danse pas, je ne parle pas et je ne sors pas avec une quelconque femme ce soir ... sauf si vous voulez juste discuter.
- Evidemment que je veux discuter, ne soyez pas si sûr de vous ! Sa voix sonnait faux ...et ça il le savait, elle n'était pas la première et ne serais pas la dernière visiblement.
- Soit, dans ce cas je peux vous poser une question personnelle ?
- Je ne vous promets pas d'y répondre mais allez-y. Dit-elle en posant une main sur son épaule.
- Pourquoi tenez-vous tant à ce que tous les hommes vous remarquent ? Je sais que les 3 autres riches de l'autre côté vous ont envoyé balader mais cela ne vous arrête pas. Que gagne-t-on avec un homme qu'on n'aime pas?
Elle le regarda stupéfaite et honteuse puis quitta promptement le bar. Sans doute pour se cherché un autre homme à se mettre dans la poche.
Il contempla le verre vide un instant ... comme ailleurs. Puis quitta la pièce comme le fantôme qu'il était devenu ...
........
Il rentra cependant en voiture, il n'aime pas les taxis ou autre moyen de transport où il ne conduit pas lui-même depuis une certaine date ...
Seulement ces subalternes avaient tôt fait de ne pas remplir le réservoir cet après-midi après son retour d'une course pour l'entreprise, lui qui préférait tout faire tout seul. Il dut donc finir le chemin à pied sous cette neige qu'il haïssait tant ... Il sourit au bout de 5 minutes de marche, sa maison en vue mais un sourire amer comme d'habitude, elle était toujours la même, d'un côté s'était peu être du masochisme ? Sans doute.
« Comme le monde peut être sadique par moment » Dit-il en regardant le ciel, l'esprit totalement ailleurs.
Il arriva finalement au pas de sa porte, entra dans sa chambre, il se débarrassa de son manteau et de ses bottes. En allume la lumière, il fut surprit de voir dormir dans son lit, roulée en boule une jeune femme brune visiblement ...
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
Commentaires :
SBellanger
Bonjour, Comme le dit Lallyhammer il y a beaucoup d'erreurs d'orthographe mais je pense que ce qui nuit à la compéhension c'est d'abord qu'on ne sait pas qui est le narrateur. Si ton narrateur est ton personnage, il ne va pas donner d'information sur sa coiffure (quand on se pense soi-même, on se dit pas "j'ai un catogan, ou j'ai les cheveux noirs" pour la bonne raison qu'on le sait... Bref, si c'est Tycon qui raconte, on ne saura pas sa couleur de cheveux, c'est Eric qu pourra le dire, plus tard, si ça sert dans l'histoire... Si ce n'est pas Tycon qui parle, c'est un narrateur, quelqu'un d'extérieur qui connaît Tycon et Eric... Dans ce cas c'est possible mais dans ce cas, il faudrait utiliser un vocabulaire plus neutre que "glandait" par exemple parce que là, ton narrateur perd de sa neutralité et il devient un personnage... Dans ce cas, qui est-il? Pour les dialogues, il faut que tu les relises attentivement et que tu mettes plus d'indices pour que le lecteur sache qui parle sans être obligé de pointer les tirets en disant: Tycon/Eric/Tycon/Eric... surtout en début d'histoire quand le lecteur ne connaît pas bien les personnages. Si j'ai bien compris, c'est Tycon le patron? Mais ton dialogue laisse penser le contraire à un moment... A revoir, donc, bon courage. Si tu laisses passer quelques semaines, en relisant, tu verras ce que nous voyons car tu ne liras plus ce que tu penses avoir écrit mais ce qui est écrit. Bon courage
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Lallyhammer
Orthographe à plusieurs reprises tu as écrit il a l'air enjoué... il a l'air... AIR sans E Le dialogue : tu nous perds complètement dedans on sait plus qui parle à qui. L'entreprise softcore était invitée donc Éric et... non DONT Toujours dans tes descriptions la salle était ronde et les lumières tamisées laisser douter sur l'origine véritable de la fête : aucun rapport entre les deux phrases. , le vocabulaire lque tu utilises lorsque tu parles de l'entreprise et du travail en entreprise n'est pas du tout adapté. La dame en robe rouge si elle est vraiment ce que tu sembles vouloir dire le vocabulaire et le dialogue ne correspondent pas non plus à la situation. son retour chez lui : il arrive au pas de sa porte et entre dans sa chambre ! C'est bizarre... Dans le salon plutôt ??? La fin de ton premier chapitre "qu'est ce que ça veut dire" : si tu veux créer une envie, qu'on tourne la page pour en savoir plus cette dernière question n'est vraiment pas d'adaptee, il faut que tu inquiètes +, que tu intéresses, que on est vraiment envie de te lire, mais qui c'est cette femme roulée en boule.. C'est là dessus que tu dois travailler. pour moi ton texte est a reprendre du début jusqu'à la fin. Bon courage
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Lallyhammer
Texte 529 Bonjour et merci pour ton texte. alors beaucoup de choses à dire sur ce texte, énormément de choses qui ne vont pas : déjà la construction de tes phrases. quand tu dis un éternuement se fit entendre dans le bureau., point de suspension... entièrement blanc et dépourvue de tâches : ça laisse penser que c'est l'éternuement qui est entièrement blanc et dépourvue de tâches... des montages de ce style il y en a un petit peu partout. A revoir ensuite le vocabulaire : grosses lacunes avec un vocabulaire très très faible toujours les mêmes mots employés. Tes descriptions également ne vont pas : ses yeux bleus reflétaient bien sa joie de vivre les cheveux renvoyés en arrière lui arrivaient au milieu de la nuque : quel est le rapport entre ces deux phrases ? Il n'y en a pas. Toujours dans tes descriptions je repense à" nous étions en février la soirée était tout de même froide" février est un mois en hiver il est donc tout à fait logique qu'il fasse froid... c'est sur des choses comme ça où il faudrait élaguer un peu enlever tous ces mots qui finalement servent à rien et ne servent pas dans le texte ni dans l'histoire.
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NadegeChipdel
Bonjour et merci de nous avoir soumis ton texte. Bien, je dois dire que de mon point de vue, il y a beaucoup de choses à revoir dans ton histoire. Dans l'ensemble, je l'ai trouvé assez poussif. J'entends par là qu'il ne se passe pas grand chose, et attention, le fait qu'il y ait une vague scène de séduction dans un bar ne fait pas de ce texte une chicklit ou un roman d'amour. Pour ma part, je n'ai pas trouvé d'éléments qui me fassent dire que ton texte rentre dans l'une ou l'autre de ces catégories. Ensuite, ce qui m'a gênée, c'est le fait que ton texte reste très descriptif : on est spectateur au lieu de vivre les actions au côté de tes personnages. Il faut mettre de la vie dans ton texte, nous faire entre dans la tête de tes personnages en nous parlant de leurs vécus, de leurs émotions. Ici, on se cantonne à une suite de scènes. Il y a aussi un souci au niveau de tes dialogues : quand on place un verbe de dialogue après le discours d'un personnage, on le sépare par une virgule et non par un point. Et la surabondance de verbe faible comme "dire" accentue encore le côté poussif de ton chapitre. Page 8, je trouve que la première phrase, longue, manque de ponctuation. Du coup, son sens est flou. Au niveau de ton écriture, il y a aussi pas mal de choses à revoir, surtout au niveau des accords et de la conjugaison. A de nombreuses reprises, tu changes de temps au mileiu de tes phrases. Certes, le présent de l'indicatif peut-être employé dans un dialogue, mais dans un paragraphe, si tu commences au passé, il faut finir au passé. cela donne un côté brouillon. Autre chose, tu emploies à deux reprises le mot "bahamut", qu'est-ce que ça veut dire ? j'ai aussi vu passé "décoté" au lieu de "décolleté". En somme, il y a pas mal de travail sur ce chapitre. En premier lieu, il y a beaucoup d'accords à corriger, et je retravaillerais le ressenti de mes personnages pour donner plus de vie au texte. Bon courage pour la suite, Nadège
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Nanarisson
Bonjours cher auteur-e, sache que ce qui va suivre n'est que mon avis personnel, mon ressenti parmi tant d'autres après la lecture de ton début d'histoire. Libre à toi de le prendre en compte ou non. « Un éternuement se fit entendre dans le bureau ... entièrement blanc et dépourvu de taches, il n'y avait plus rien plus ...simplement une couleur. Un homme vigoureux, les cheveux noirs en queue de cheval sur sa nuque, se frotta le nez avec un mouchoir blanc qui ne manquait pas sur la table en verre couverte de disques durs et de papiers rangés, penché sur son ordi il avait toujours l'aire énervé. » Un premier paragraphe descriptif avec beaucoup de détails : « un mouchoir blanc » pas forcément utile au lecteur. Savoir que le mouchoir est blanc, rose ou vert, ça n'apporte rien à l'histoire. « , penché sur son ordi il avait toujours l'aire énervé. » pour une lecture plus facile tu pourrais remplacer la virgule devant le « penché » par un point. « qui ne manquait pas sur la table » : que veut dire le « manquait » dans cette phrase ? Tu fais de longs paragraphes avec beaucoup de virgules ce qui créé une lourdeur à ton texte : - « Puis il fixa la vitre de l'autre côté d'un air pensif. La nuit était bien avancée maintenant, et il neigeait de plus belle dehors, nous étions en fin février, la soirée était tout de même froide. » Si on essaye de faire plusieurs phrases ça donnerait : « Puis il fixa la vitre de l'autre côté d'un air pensif. La nuit était bien avancée maintenant. Il neigeait de plus belle dehors. Nous étions en fin février, la soirée était tout de même froide. » Cela permet ainsi de faciliter la lecture. Tu peux aussi enlever la partie : « Il neigeait de plus belle dehors. » car le lecteur le sait déjà étant donné qu'une ligne plus haut, le personnage « râle » car il déteste la neige.
--> Nanarisson
Tu utilises très souvent les points de suspension (...) or ils ne servent que lorsque : - La phrase commencée est abandonnée - Il y a une hésitation en cours de phrase dans un dialogue - Une énumération est écourtée. Son utilisation première : « -> Employés en fin de phrase, ils sous-entendent une suite, une référence, une complicité avec celui à qui on s'adresse, un effet d'attente. » (ces informations ont été trouvée sur http://www.la-ponctuation.com/points-suspension.html ) Comme l'a souligné ma collègue @NadègeChipdel , on assiste plus que l'on ne vit le récit et j'ai moi aussi du mal à trouver pourquoi cette histoire se trouve dans cette catégorie. Je suppose que l'histoire d'amour vient pas la suite... J'ai un peu de mal à comprendre où tu veux nous amener. Le chapitre 1 ne nous en dit pas beaucoup. Je tiens cependant à souligner que les informations sur le personnage (bien qu'infimes) sont dispersées intelligemment et de manière homogène. C'est tout pour moi. Je te souhaite une bonne continuation. Le Nérisson à grandes pattes
--> Nanarisson
- « Comme à son habitude, Tyron avait fait un tour au bar et s'était pris un verre de vin rouge qu'il buvait assez lentement puisque de toute façon, il allait conduire ... Eric Grews quant à lui,s'était déjà retrouvé entouré de femmes qui riaient surtout pour le séduire et non pour son humour ... Cela leur importait peu à elles comme à lui, c'était l'avantage de la puissance financière ... Drôle de monde, et pourtant c'est ainsi que ça ce passe lorsque l'on dirige une multinationale spécialisé en informatique. » Ici cela donnerait : (je me suis permis quelques modifications sur une phrase pour qu'elle soit plus agréable à lire) « Comme à son habitude, Tyron avait fait un tour au bar. Il s'était pris un verre de vin rouge qu'il buvait assez lentement puisque de toute façon, il allait conduire. Eric Grews quant à lui, s'était déjà retrouvé entouré de femmes qui riaient plus pour le séduire que pour son humour. Cela leur importait peu à elles comme à lui. C'était l'avantage de la puissance financière ... Drôle de monde, pourtant c'est ainsi que ça ce passe lorsque l'on dirige une multinationale spécialisé en informatique. » « En effet, il était 20h48 ... et il glandait contrairement à ses habitudes. » : Pourquoi ce mot de liaison ? Quel rapport entre le froid et le fait qu'il ne fasse rien ? « Dit-il avec de l'ironie dans sa voix. » : je crois que l'on dit : avec une pointe d'ironie dans la voix « donc Eric et Tyron qui sont les principaux directeurs de celle ci ... » : il me semble que « dont » serait plus juste que « donc »
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