Note de l'archiviste : MmeBalsano a disparu de Wattpad. Ci-gît un de ses textes.

– Sois bien sage chez mamie, d'accord Lisa ? lui demanda sa mère, caressant le visage de sa fille bien-aimée.

Le nouveau compagnon de la femme divorcée klaxonna, visiblement énervé. Sa nouvelle petite amie prenait beaucoup trop de temps à son goût.

- J'arrive Arnaud ! lui cria Françoise.

Elle embrassa une dernière fois sa fille avant de monter dans la voiture de son copain. Lisa regarda sa mère partir avec cette enflure, retenant ses larmes. Sa mère, c'est tout son univers. Depuis que son père a divorcé de sa mère et qu'il est parti, Lisa vit seule avec sa mère. Elle est devenue sa meilleure amie. Mais Françoise avait besoin de combler ce manque que le départ de son mari avait laissé. Alors elle enchaîna les petits copains, tous plus pires les uns que les autres, ce qui affecta beaucoup Lisa.

Aujourd'hui, sa mère partait avec son copain dans leur futur maison. Du coup, Lisa restait une semaine chez sa grand-mère, le temps qu'ils emménagent la maison.

Deux bras entourèrent Lisa et l'étouffèrent. Elle reconnut le parfum vieillot de sa grand-mère, Anne.

- Comme tu m'as manqué, mon ours en gélatine !

Lisa n'arrivait plus à respirer. Elle commençait à manquer d'air quand sa mamie la relâcha. Lisa soupira de soulagement.

- Toi aussi, tu m'as manqué mamie, lui dit-elle en souriant.

Sauf qu'elle ne se doutait pas que cette semaine allait vite tourner au désastre...

Anne montra sa chambre à Lisa. C'était l'ancienne chambre de sa mère. Lisa était très heureuse d'enfin voir où sa mère avait grandi. Elles avaient beau aller souvent souvent rendre visite à Anne, Françoise ne laissait jamais Lisa entrer dans sa chambre, qu'elle fermait à clé. Lisa découvrait enfin l'univers de sa mère. Elle avait l'impression d'être encore plus proche d'elle.

- Bon, je te laisse t'installer, moi je vais faire mon fameux gâteau au citron, l'informa Anne.

La grand-mère de Lisa rejoignit la cuisine pour commencer la préparation de son gâteau, tandis que Lisa en profita pour aller se doucher. Ses muscles se détendirent au contact de l'eau chaude. La maison de sa mamie avait beau être vieille, elle avait quand même l'eau chaude, l'électricité et la Wi-Fi !

Lorsque Lisa sortit de la salle de bain, sa grand-mère l'appela pour goûter. Lisa se dépêcha de s'habiller. Les gâteaux d'Anne sont les meilleurs au monde !

Une fois habillée, Lisa rejoignit sa grand-mère et les deux rattrapèrent le temps perdu en passant une agréable moment. Le temps passa si vite que Lisa fut étonnée de voir qu'il était déjà minuit. Anne était endormie sur le canapé et Lisa était bien fatiguée.

Lisa se dirigea donc vers sa chambre et se changea, trop fatiguée pour se doucher. Mais le bruit d'une lame que l'on fait glisser contre la porte la fit sursauter et elle lâcha son haut de pyjama qu'elle tenait dans les mains.

- Tu vas déjà te coucher mon ours en gélatine ?

La jeune adolescente se retourna vivement en reconnaissant la voix de sa grand-mère. Mais Anne n'était pas dans son état normal. Rien que l'intonation de sa voix démontrait que la vieille dame n'était vraiment pas dans son état habituel.

- Tu ne me réponds pas, Lisa ? lui demanda Anne, un sourire sadique s'étirant sur ses lèvres.

Lisa ramassa son haut sur le sol et recula. Sa mamie lui faisait peur...

- Pourquoi recules-tu ? lui demanda Anne en avançant. As-tu peur de moi ?

Lisa reculait et Anne s'approchait. À un moment, la jeune fille ne put reculer plus, se cognant au mur. Anne en profita pour planter son couteau de cuisine dans le mur, tout près du visage de Lisa. Lisa fut tétanisée par la peur.

- Ma... Mamie ? Que t'arrive-t-il ?

La grand-mère se mit à rire comme une folle. La peur de sa petite-fille se lisait sur son visage. Son cœur battait la chamade et elle n'avait qu'une idée en tête : s'enfuir. Mais elle ne pouvait pas, car sa mamie lui bloquait le chemin.

Anne bailla soudainement. Lisa fut déconcertée par son geste.

- Je suis fatiguée. Je vais aller me coucher, je crois. Bonne nuit mon ours en gélatine.

La femme âgée reprit son couteau et quitta la chambre, sous me regard surpris de la préadolescente. Que venait-il de se passer ?

Lisa ne ferma pas l'œil de la nuit, ayant beaucoup trop peur que sa mamie débarque dans sa chambre lorsqu'elle serait endormie. Le lendemain donc, lorsqu'Anne l'appela pour manger, Lisa commença à paniquer. Était-ce un plan pour la tuer ?

Étant donné que Lisa ne venait pas, Anne décida d'aller voir ce qu'il n'allait pas. Peut-être que sa petite-fille chérie dormait encore ou alors qu'elle était malade. Dans les deux cas, elle se devait de vérifier, en tant que bonne grand-mère.

Dès que sa mamie entra dans sa chambre, Lisa se recroquevilla sur son lit. Anne commençait à s'inquiéter.

- Lisa... Ça ne va pas ?

- Ne m'approche pas ! cria la jeune fille.

Anne eut un moment de recul. Elle ne comprenait pas ce qui arrivait à sa petite-fille.

- Ma chérie...

Lisa remarqua l'air triste sur le visage de sa grand-mère. Peut-être avait-elle rêvé ? Elle ne se souvenait pas vraiment de la mauvaise nuit qu'elle avait passée. Ce n'était sûrement qu'un cauchemar.

- Pardon mamie, je me sens un peu... Fatiguée.

Et la jeune adolescente s'évanouit à ces mots...

Lisa finit par se réveiller huit heures plus tard. Il était déjà tard. Dès que sa grand-mère s'aperçut que sa petite-fille chérie s'était enfin réveillée, elle l'a serra fort contre elle. Lisa ne se souvenait plus de ce qu'il s'était passé. Elle avait complètement oublié que sa mamie avait essayé de la tuer hier soir... (À moins bien sûr que cela ne soit qu'un simple rêve).

- Tu es enfin réveillée, Lisa ! s'exclame Anne. J'ai eu si peur ! Viens manger, tu as besoin de reprendre des forces !

Lisa se contentea de hocher la tête et de suivre sa grand-mère jusqu'à la cuisine. En effet, son estomac criait famine. Depuis combien de temps dormait-elle ?

Anne lui servit un bon plat de riz haricots rouges, que Lisa dégusta avec plaisir. En plus de faire les meilleurs gâteaux, Anne faisait aussi le meilleur plat de riz haricots rouges du monde !

Une fois repue, Lisa s'étira et alla se doucher. Elle était toujours en pyjama et il fallait remédier à ce problème ! Alors qu'elle allait rentrer dans la douche, son téléphone sonna. Lisa décrocha sans regarder qui était derrière le fil.

- Bonjour ma chérie, la salua sa mère.

Lisa sourit en entendant la voix de sa mère. Elle lui manquait beaucoup !

- Bonjour maman. Le déménagement se passe bien ?

Françoise fut tentée de dire à sa fille qu'Arnaud ne faisait rien pour l'aider et qu'elle se tapait tout le boulot, mais elle ne voulait pas inquiéter Lisa.

- Parfaitement bien ! lui mentit Françoise.

Lisa fut heureuse de l'entendre. Si tout se passait bien, c'était qu'Arnaud se bougeait enfin !

La jeune fille discuta encore un long moment à discuter avec sa mère avant de raccrocher. Il était déjà 21h. Alors que Lisa allait enfin rentrer dans la douche, la voix de sa grand-mère se fit entendre :

- Ouvre-moi, ma chérie...

Aussitôt, Lisa sursaute par réflexe. Son cœur bat la chamade. Elle a beau avoir oublié ce qu'il s'est passé, elle a peur, comme par instinct.

- Je vais me laver, mamie.

Derrière la porte se tenait la grand-mère, un sourire psychopathe sur les lèvres et un couteau de cuisine dans la main. L'appel du sang qu'elle allait faire couler l'attirait. Seulement, il faudrait que Lisa sorte de la salle de bain.

- Dépêche-toi, la pressa Anne d'une voix doucereuse. Je t'attends.

Lisa n'était vraiment pas rassurée. Elle avait peur, sans qu'elle n'en sache la raison. Mais elle tremblait et transpirait comme jamais auparavant.

- D'a... D'accord mamie, bégaya Lisa.

Elle prit son bain, pas du tout rassurée. Elle avait peur de ce que lui préparait sa grand-mère... Très peur. De son côté, Anne, en avait marre d'attendre sa petite-fille et se retenait de défoncer la porte. Il fallait attendre. Tout vient à point à qui sait attendre...

Lisa, enfin en pyjama, tourna la poignée de la salle de bain. Aussitôt, Anne lui sauta dessus. Paralysée par la peur, Lisa se retrouva sous sa grand-mère, incapable de bouger. Sa mamie la regarda d'un air maléfique, levant un couteau sur elle.

- Ma... Mamie ? parvint-elle à articuler.

Les souvenirs de la nuit dernière lui revinrent en mémoire et Lisa prit peur. Sa grand-mère était complètement folle ! Il fallait qu'elle s'enfuie le plus vite possible !

Toujours sous sa grand-mère, Lisa se mit à chantonner une berceuse. Il fallait qu'Anne s'endorme pour qu'elle puisse s'enfuir ! Seulement, sa berceuse ne réussit qu'à énerver la grand-mère folle.

- Tu cherches à te débarrasser de moi, c'est cela ?

Un rire psychopathe s'échappa de la bouche de la mamie et, alors qu'elle s'apprêtait à planter son couteau dans le corps pétrifié de sa petite-fille, la sonnette retentit. Anne grogna.

- J'avais complètement oublié cette histoire de bingo avec la voisine !

Anne se releva et descendit pour ouvrir à son amie, feignant être dans son état normal. Lisa en profita pour tenter de se calmer. Que se passait-il avec sa grand-mère ? Que lui était-il arrivé pour qu'elle devienne ainsi ? Lisa ne connaîtrait probablement jamais les réponses à ces questions.

Tandis qu'Anne jouait avec sa voisine, toutes ses pensées étaient tournées vers le futur cadavre qui décorerait bientôt sa salle d'exposition, celui de sa petite-fille. Les cadavres de son mari, de son fils, de sa chienne et de sa cousine se sentaient bien seuls !

- Tu n'es pas concentrée, Anne ! Je vais gagner ! la nargua sa voisine.

Cette remarque mit Anne dans une fureur noire et elle sauta sur sa voisine. La voisine n'eut pas le temps de réagir qu'elle n'arriva rapidement plus à respirer et périt sous les mains de sa voisine qu'elle aimait tant, qui l'étrangla sans pitié. Un sourire sadique s'étira sur les lèvres de la psychopathe âgée et elle traîna le cadavre de sa voisine jusque dans sa salle d'exposition. Et un cadavre en plus ! Lisa, pendant ce temps, tentait de s'enfuir par la fenêtre, sans se douter de ce qu'il venait de se produire.

- Il faut que je m'enfuie... Il faut que je m'enfuie...

Lisa répétait cette phrase depuis quelques minutes déjà. La maison était trop haute, alors elle avait essayé de nouer des chaussettes entre elles, comme dans les dessins animés. Sans succès...

La porte s'ouvrit d'un coup et Lisa sursauta, laissant tomber ses chaussettes sur le sol. Anne venait d'entrer dans la chambre.

- Je me suis débarrassée de la voisine, reprenons...

Lisa tremblait de peur. Pourquoi ? Pourquoi elle ? Qu'avait-elle donc fait pour mériter cela ?

La sonnette retentit de nouveau. C'était sa chance. Lisa pourrait s'enfuir.

- Encore ?! grogna la mamie.

Elle partit de la chambre en lançant un dernier regard à sa petite-fille. Lisa attendit un moment, écoutant ce qu'il se passait en bas.

Anne accueillit la sœur de sa voisine qu'elle venait de tuer et elles s'installèrent sur le canapé, discutant. Anne devait écarter toute preuve d'elle. Et pour cela, elle devait paraître innocente.

- Allons discuter dans la cuisine, proposa Anne.

Lorsque Lisa entendit ces paroles, elle se dit que c'était une opportunité à saisir. Elle sortit de sa chambre et se dirigea sur la pointe des pieds vers la porte d'entrée. Seulement, un cri résonna dans la maison et Anne apparut dans le salon, tenant un couteau ensanglanté dans les mains. Lisa cria à son tour, ce qui attira l'attention de sa grand-mère sur elle.

- Tu as tenté de t'enfuir ? Eh bien tu mourras !

La mamie se jeta sur la jeune fille et lui planta le couteau au milieu du crâne. Au même moment, elle s'endormit sur le cadavre de sa petite-fille qui agonisait. La police arriva une heure après, un des voisins les ayant appelés, alerté par les cris, et trouva Anne endormie sur le corps de Lisa sans vie...

Lisa se réveilla en sursaut dans sa chambre et se promit de ne plus jamais regarder de films d'horreur.

FIN

Commentaires :

Elkisa116
Bonjour et merci pour ton texte. Il y a quelque chose qui m'a beaucoup dérangé à la lecture de ton texte, c'est qu'il est trop simple. On ne peut pas se mettre dans la peau du personnage, je suis restée extérieure au récit sans rien ressentir. L'une des raisons, c'est que le personnage ne ressent presque jamais rien, tu n'utilise pas les cinq sens, ses pensées... Et pourtant le contexte est censé être effrayant. L'autre raison c'est qu'il n'y a presque pas de suspens. Je n'ai pas eu peur pour ce personnage alors qu'à plusieurs reprises, la tension pourrait être palpable. Par ailleurs, j'ai relevé d'autres petits problèmes :  problème de concordance des temps au début : tous les temps sont au passé dans le texte, puis on passe à « Lola vit seule » et Elle est devenue » pour parler de sa situation et de son passé. A remplacer donc par « Lola vivait seule » et « Elle était devenue »  « Lisa ne ferma pas l'œil de la nuit, ayant beaucoup trop peur que sa mamie débarque dans sa chambre lorsqu'elle serait endormie. » je trouve que cette phrase atténue ce qui se passe. Je couperais la phrase à « nuit » puis j'enchaînerais avec « Elle avait beaucoup trop peur que sa mamie débarque dans sa chambre lorsqu'elle serait endormie » Je changerais par ailleurs le « mamie » qui est beaucoup trop affectif alors que cette dame risque de la tuer. J'utiliserais « sa grand-mère ». qui donne un côté plus distant et donc un peu plus inquiétant.  « un sourire psychopathe » « un rire psychopathe » répétition et puis le terme « psychopathe » est trop direct et il n'a aucun style. Tu peux mettre « un sourire carnassier » par exemple ou « un rire mauvais »  Il y a aussi un manque de crédibilité, la grand-mère ne me paraît pas assez « psychopathe » comme tu dis. Un film d'horreur, c'est un peu plus pire que cela. Je ne dis pas qu'il doit y avoir plus de sang, mais le personnage doit avoir peur, il doit y avoir du suspens. J'espère t'avoir aidé(e) :)

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NadegeChipdel
Bonjour et merci de nous avoir soumis ton histoire. Alors, j'ai été au bout bien que je ne sois pas grande fan des histoires de meurtres. Toutefois, et c'est très positif, j'ai trouvé que ton texte était bien construit. On avance crescendo dans l'intrigue jusqu'à la chute, les sentiments de ton héroïne sont bien retranscrits. Quand Mamie part en vrille la première fois, j'ai autant partagé sa trouille que son incompréhension. Je n'ai pas relevé beaucoup d'erreurs, j'ai juste quelques hésitations sur l'emploi du passé simple au début du texte. N'aurais-je aucune remarque à faire ? Et bien... si. Un point me semble à revoir : la gestion du temps. Lorsque ton héroïne fait son malaise, quelque chose ne va pas : le temps passe beaucoup trop vite. Un peu avant, quand elle arrive chez Mamie Zinzin, cette dernière annonce qu'elle va faire un gâteau au citron. Super. Puis, Lisa monte dans sa chambre, se douche et quand elle redescend le gâteau est prêt. Donc soit c'est un cake express, soit Lisa a mis au moins une heure pour faire tout ça. Deux autres détails m'ont aussi interpellée : de la façon dont démarre ton histoire, j'imaginais une petite fille, pas une grande jeune fille. De même, de la façon dont tu décris l'arrivée de Lise chez sa grand-mère, cela donne l'impression que c'est la première fois qu'elle y vient. Est-ce le cas ? À propos de la fin ? Très sympa, j'avoue. Toutefois, j'aurais joué sur l'humour en la faisant, par exemple, chuter de son lit.... pourquoi pas chez la mamie ! En tout cas, j'ai passé un bon moment avec ton texte. Pour moi, c'est l'aspect temporel qu'il faut revoir en priorité. Bon courage pour la suite, Nadège

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Lallyhammer
Si Lisa crève de peur, je ne crois pas qu'elle ait envie de prendre un bain ? ... Ensuite pour les meurtres de la voisine, de la soeur de la voisine (qui n'était peut-être pas nécessaire celui-là, car il n'apporte rien à l'histoire), là, ça se mélange un peu et surtout ton vocabulaire n'est pas assez riche. DOnc on retrouve les mêmes mots partout et ça fait redondant. (le pb c'est qu'on se lasse à attendre la chute). Au moment de l'assassinat de Lisa, là c'est bien. La fin on s'attendait à ça, moi je l'aurais faite se réveiller ... chez sa grand-mère. Une dernière chose : tout au début qd Françoise dit au revoir à sa fille, on dirait que sa fille est toute petite. Puis tu nous dit qu'elle est ado et un peu plus loin pré-ado ... faut que tu trouves un âge et y rester. Sinon, je me suis bien amusée et j'ai eu envie de lire jusqu'au bout... d'un seul trait ! Donc voilà mon avis, quelques corrections à apporter pour la fluidité et la compréhension et tout ira bien !

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Lallyhammer
bonjour et merci pour ta nouvelle. Très bon début, mais qui traîne en longueur. Beaucoup de répétition de grand-mère, mamie, Lisa, fille, petite fille, mère, etc Le § où on apprend que Françoise est divorcée, beaucoup trop de répétitions pour dire quoi en fait ? que Françoise est divorcée et qu'elle a refait sa vie. Arnaud : l'appeler "son copain" c'est pas tout à fait ça. Son compagnon conviendrait mieux comme terme. J'adore l'accueil de la grand mère. Ta phrase : "sauf qu'elle ne se doutait pas... désastre" : en relisant une 2è fois, je comprends, mais à la 1ère lecture je ne voyais pas pourquoi Lisa pensait ça. ==> du coup, il y a peut être quelque chose à retravailler. Voir ce qu'en dise mes collègues. Incohérence : c'est la grand mère de Lisa, elle doit donc connaître la maison... Pb de cette chambre qu'elle n'avait jamais visitée. Autre incohérence : le gâteau ... pour le goûter, Lisa prend une douche ??? au milieu de l'aprem ? étrange Puis il est déjà minuit et elles n'ont pas pris le repas du soir ? encore étrange Encore cette fameuse douche qui revient à minuit... Je ne sais pas à quoi ressemble le bruit d'une lame que l'on fait glisser contre une porte... Les autres ? vous savez ? La première attaque de Grand'Ma est très bien. On ressent la trouille et l'inquiétude. Les 2 visages la mamie gentille et la psychopathe se mélangent à merveille. C'est très chouette. Autre incohérence :Lisa tombe dans les pommes et dort pendant 8 heures ? donc elle se réveille le matin et dort la journée ? Et un peu plus loin t demandes : depuis combien de temps dormait-elle ? .. ben c'est dit plus haut et ce n'est pas très logique en plus. ==> § à revoir à mon avis trop d'incohérences dedans. Toujours les incohérences : elle se réveille le soir, mange, se douche ! ben tient ! et sa mère l'appelle en lui disant "bonjour" (on est théoriquement le soir) suite autre message...

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