Texte n°514
Prologue :
Morgane a 17 ans et vit avec sa mère dans une petite maison paysanne à Sumfort. Elle n'a aucuns souvenirs de son père et de son enfance. Dans une semaine, elle aura enfin 18 ans. La jeune-femme attend cet âge depuis toute petite ou en tout cas d'aussi loin quelle se souvienne. A cet âge, elle pourra enfin enquêter sur son passé. Sa mère vieillit de jour en jour usée par le travail et la pauvreté; ses traits se creusent et ses beaux yeux bruns se plissent. Ici vivent également de riches bourgeois.
Le "milliardaire" lui profite de la vie sans se préoccuper de la nôtre. Sa femme et son fils ne connaissent que le luxe et la richesse; pour eux, les pauvres qui les entourent ne représentent que des problèmes.
Nous sommes en 2043; et Morgane se demande comment sa grande ville économique, riche a pu sombrer dans une telle pauvreté ? A cause de ce milliardaire et de sa famille de bourgeois ! Pourquoi la France est-elle devenue si horrible?
Chapitre 1
Je marchais dans les rues de la ville comme tous les matins afin de rejoindre Solène, mon amie, pour notre dernier jour de cours avec Christopher. Elle m'attendait devant la fontaine comme d'habitude. Elle avait relevé ses longs cheveux bruns en un en chignon agrémenté d'un carré de tissu blanc qui faisait ressortir son teint coloré. Sa robe gris pâle protégée par un tablier blanc se balançait au rythme de ses mouvements. Elle tendit sa douce main vers moi et appela mon nom. Je lui souris et relevant la robe bleu pâle cousue par ma mère qui était couturière, je courus vers elle.
- Prête pour le dernier jour?, demanda t-elle quand j'eus lâché le tissu un peu trop long.
- J'ai hâte de finir les cours pour aider ma mère à coudre!
- A coudre ?! Tu n'as pas d'autres rêves pour tes 18 ans ?
- Non et toi ?
Elle leva les yeux au ciel et soupira :
- Toujours aussi imaginative, hein. Mais moi, j'ai d'autres projets comme celui de me marier !
Je la regardai étonnée.
- Toi? Te marier!! Et avec qui ?
- Un baron très riche!
- Ce sont tous des crétins !, mm'exclamai-je ne soupirant.
- Tu devrais faire de même ! Il est si beau et, devine son nom!
- J'en sais rien.
- Allez, devine !
- Patrick?
- Non.
- Frédéric?
- Non.
- Paul?
- Non.
- Pierre, Paul, Jacques?
- Non ! Il se prénomme Romain.
- Un prénom de bouffon!
- Morgane !
- Ça va, nous ne sommes plus au Moyen-âge mais au 21ème siècle très chère.
- Et alors?
- Et alors? Tu trouves normal qu'il y ait encore des barons et des seigneurs !?
- Le milliardaire ne peut pas être le seul à gouverner.
Je soupirai agacée, (qu'il aille au diable ce milliardaire, il n'aurait jamais dû prendre le pouvoir, avec sa femme et son fils !).
Je me dirigeai vers la petite école en haut de laquelle une vieille horloge, qui ne marchait plus depuis des siècles, donnait un air écolier à la maigre cour. On y accueillait en même temps es maternelles, les primaires, les collégiens et les lycéens; quatre en un pour que Monsieur le Milliardaire ne dépense pas trop d'argent. (Non mais j'hallucine!)
Et ... c'était ainsi que notre ville avait encore tout d'un pauvre village des siècles anciens oubliant que nous vivons au XXIe siècle.
De grandes bâtisses ainsi que de petites maisons de campagne surplombaient les rues pavées bordées de nombreux commerçants. L'argent manquait partout énormément. Et bien sûr, on payait beaucoup d'impôts, sans compter l'eau et l'électricité, ce qui était "normal". Mais on ne gagnait plus assez pour tout payer. Solène et moi, étions les deux seules lycéennes de cette petite école.
Christopher nous attendait à son bureau, comme à son habitude.
- Bien le bonjour les filles.
- Bonjour Christopher.
- Asseyez-vous, je vais vous distribuer des feuilles et un stylo.
La petite salle était meublée de deux rangées de cinq tables. Un tableau blanc à feutre se tenait derrière le bureau du professeur. Un mur autrefois peint en vert se cachait en partie derrière une grande carte de géographie dessinée par toute l'école. Une petite fenêtre aux carreaux délavés donnait sur la cour de récréation.
- Bien maintenant que vous avez vos feuilles écrivez ce que j'ai marqué au tableau.
(Voir média)
Je lisais et relisais le poème en boucle imprimant les mots dans mon esprit autant que l'encre sur ma feuille. Solène éclata de rire, je me tournai vers elle surprise. Sa chaise se balançait au rythme de ses rires. Christopher la regardait fixement. Elle l'ignora et se pencha vers moi redoublant de rire pour regarder sous sa table. Le professeur se leva et se planta devant elle bras croisés. Solène continuait de rire, absorbée par ce qu'elle dissimulait sous son bureau. Agacé, il lui arracha des mains ce qu'elle cachait. Elle lâcha un cri de surprise en hurlant:
- Rends moi mon téléphone !
Je regardai l'objet, surprise. Une petite pomme noire déjà croquée décorait le dos de l'appareil: Apple.
Solène n'aurait jamais eu assez d'argent pour se payer cela. Ce devait être son baron. Je regardai Christopher qui se frottait les sourcils les traits tirés.
- Où as-tu eu ça Solène ?, demanda-t-il.
- On me l'a offert.
- Et qui donc?
- Le baron Romain.
- Tiens donc?
- Parfaitement.
Il lui rendit son téléphone, le regard sévère mais soumis; il n'est qu'un enseignant et Solène une future baronne. Elle prend ça trop à cœur.
Quand la cloche retentit, je me levai pressée de rentrer pour me reposer. Alors que j'arrivais près de la fontaine, non loin de chez moi, un cri me fit faire demi-tour. Je courus dans les rues vers cet appel au secours venant d'une voix enfantine. Des exclamations d'horreur se faisaient entendre, elles venaient de la grande place du village. Une des maisons en bois avait pris feu. Je tournai la tête pour chercher les propriétaires que je distinguai rapidement entourés d'autres villageois. Leurs vêtements étaient noircis par la fumée. La femme pleurait. Je m'approchai pour interroger les personnes aux alentours :
- Que s'est-il passé ?
- Il y a eu un incendie et un enfant est resté coincé dans la maison.
Un nouveau hurlement retentit. Je frissonnai de terreur. J'étais décontenancée et ne savais pas comment réagir, les pompiers arrivèrent leurs sirènes hurlantes me vrillait les tympans, ils s'élancèrent dans les flammes et revinrent au bout de longues minutes avec une petites filles rousse dans les bras. Celle-ci s'élança jusqu'à ses parents qui sanglotaient de joie. Je rentrai chez moi une fois sûre que tout allait bien.
Ma mère m'attendait devant la porte, elle m'enlaça puis, me sourit. Je pénétrai à sa suite dans notre petite maison en pierre que mon père avait réparée. Mon père? Je ne l'ai jamais connu, mais je sais qu'il est encore en vie. Maman ne me parle pas souvent de lui et j'évite les questions car je sais qu'elle l'a beaucoup aimé.
Notre maison était petite et banale. Un salon, salle à manger et cuisine occupaient le bas avec séparément la chambre de ma mère. Ma chambre à moi était à l'étage. Même si elle était toute petite, je l'aimai bien. On y stockait quelques robes quand la boutique n'avait plus de place. Sinon il y avait mon lit, un matelas délavé, une couverture et un coussin fabriqués par ma couturière privée. Sur le mur d'en face, une petite table en bois me servait de bureau.
Je me changeai, enfilant une robe courte grise et blanche et descendis aider à faire à manger. Notre cuisine était équipée d'un four et de plaques au gaz ainsi que d'un lavabo avec de l'eau courante. On n'avait pas de quoi se plaindre.
- Morgane?, appela ma mère.
- Oui ?
- Tu pourrais aller me chercher des tomates, de la salade et de la viande chez Abigaëlle s'il te plaît ?
- Bien sûr.
- Prends le panier et les dix euros posés sur la table.
- D'accord, autre chose ?
- Ne dépense pas tout.
Elle déposa un baiser sur mon front. Ses lèvres tremblaient, je levai la tête vers elle. Des petites larmes perlaient aux coins des ses yeux.
- Tu as tellement grandi!
- Maman...
- Je t'aime ma puce, allez va.
Je partis donc chez Abi, une marchande qui n'habitait pas loin. Les rues grouillaient de passants comme d'habitude. Les gens déambulaient, achetaient, vendaient, criaient, pleuraient et se disputaient: un vrai désordre.
Mes chaussures en cuir butèrent sur un corps. Surprise, je me penchai vers cette personne qui ne respirait presque plus. Je reconnus le chignon de mon autre amie Lola, une collégienne de 15 ans. Les villageois faisaient comme si elle n'était pas là. (Aujourd'hui plus personne ne fait plus attention aux autres, c'est chacun pour sa peau. C'est immonde ce que l'on est devenu).
Je lui tendis ma main qu'elle s'empressa de saisir. Les muscles tendus, je l'aidai à se remettre debout. De nombreuses entailles blessaient son corps: Lola n'avait pas une très belle histoire. Orpheline, elle a dû arrêter d'aller à l'école pour travailler dans les champs reprenant ainsi la ferme de ses parents morts dans un accident de la route. Elle a été dans l'obligation de se marier avec un horrible fermier nommé Quentin; depuis il la frappe sans relâche. J'évitai de lui montrer mon regard de pitié sachant que sinon elle allait mal le prendre.
- Merci Morgane.
- Je t'en prie, tu ne veux pas aller soigner tes plaies?
- A quoi bon dépenser de l'argent pour me soigner, pour qu'il m'en refasse d'autres?
Sur ces mots, elle partit, le menton relevé et les épaules droites. J'admirai son courage et son ardeur. Mais est-ce vraiment bien de se laisser battre par un mari fou ?
- Bonjour Mo, me salua Abi.
- Bonjour. Je pourrais avoir de la salade, quatre tomates et un morceau de viande s'il te plaît?
- Bien sûr.
Elle partit dans l'arrière boutique que j'avais visitée étant petite. Son magasin était assez exigu. Une caisse enregistreuse toute neuve reposait sur le petit bureau en faux verre. Des armoires occupaient tous les murs de la salle. Dedans il y avait toutes sortes d'ustensiles et d'épices. Elle revint avec ce que j'avais commandé. Je mis le tout dans mon panier et attendis le prix. Il s'afficha sur le petit panneau de la caisse : 6,90€. Je tendis mon billet à Abigaëlle qui le refusa :
- Non Morgane, ne me paye pas, mais, demande à ta mère de me recoudre cette robe s'il te plaît, j'en aurais besoin pour dans trois jours, l'entaille est là.
Elle me donna une longue robe en soie rouge.
- Bien sûr Abi.
- Merci.
Je rentrai chez moi et déposai le tout sur la table.
- Maman !
Ma mère sortis de sa chambre.
- Morgane c'est toi ?
- Oui maman.
- Super! Alors combien as-tu payé?
- Rien.
Je lui tendis fière le billet de 10 euros.
- Mais par contre, elle m'a demandé de te dire de recoudre l'entaille de sa robe pour dans trois jours.
- Bien, elle sera prête. Va dormir un peu je t'appellerai quand ce sera prêt.
- Mais...
- Au lit !
Je montai à contre-cœur les escaliers et enlevai ma tenue pour me glisser sous les couvertures.
Commentaires :
NadegeChipdel
Bonjour ! Merci de nous avoir soumis ton texte. Alors, ne nous le cachons pas , il y a pas mal de choses à revoir dans ton histoire. Mes collègues ont été très complets, donc dans ce que je vais rajouter, prends les remarques qui sont communes à nos commentaires pour en faire des axes de ré-écriture. * le prologue : je t'avoue quel est son utilité ? Il commence comme un résumé, puis on se retrouve avec un pêle-mêle d'informations posées en vrac. A titre d'exemple, tu nous donnes une date presque à la fin. Mets ce genre de renseignements plutôt au début. * chapitre 1 : - au niveau du fond, j'ai eu le plus grand mal à rentrer dans ton texte. Impossible de me représenter un Paris du XXI siècle, pour moi nous étions au Moyen-Age. Ce souci d'immersion vient aussi du fait que ça manque cruellement de descriptions. Pour moi, tu as une idée qui se peut de défendre avec cette histoire de famille régente. Certes, c'est un classique, mais comment ces gens sont-ils arrivés au pouvoir ? Comment ont-ils réussi à faire revenir en France une forme de monarchie ? Tous ces éléments donneront de la profondeur à ton scénario. - autre élément à revoir : les dialogues. Tels que tu les as rédigés, on reste en surface, ce qui donne le sentiment que tes personnages parlent pour ne rien dire. - Enfin, le vocabulaire. Il mérite clairement d'être enrichi. En somme, il manque pour moi un vrai cadre, une structure à ton scénario. Prends le temps de coucher et d'organiser tes idées sur papier. Bon courage pour la suite, Nadège
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Juliettelem
suite : LE FOND Difficile de savoir où l'on va...Critique sociale, régression sociétale et au milieu de tout ça, une tonne de clichés. L'idée d'une société d'aujourd'hui dominée par une classe "noble" supérieure pendant que la population survit tant bien que mal, rien de nouveau... un vieux classique, mais qui pourrait fonctionner avec une écriture maîtrisée et un vrai scenario... Là on retrouve trop le syndrome à la "Cosette", il faudrait innover, surprendre... Pour y parvenir, il faudra d'abord travailler et maîtriser la forme et ensuite donner plus de corps au scenario. Approfondir aussi les personnages, là c'est bien trop léger. Un projet ambitieux auquel il faut fournir de vrais outils pour construire une bonne fiction. Bon courage.
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Juliettelem
Bonjour, Merci pour ce texte : Voici des exemples de problèmes que j'ai relevé en cours de lecture : Prologue : à revoir, si je m'en tenais à lui, je stopperais d'office ma lecture, il est maladroit avec beaucoup de clichés qui banalise déjà l'histoire. " d'aussi loin quelle se souvienne. " qu'elle Premier paragraphe : imprécision : dernier cours avec Christopher, il le donne ou il est aussi un élève... on ne sait pas ? répétition : Robe... plutôt que robe bleue pâle : ma jupe, participe présent puis subordonnée... relevant.. qui était... à éviter. Débuts de phrase à varier : Je, elle... désigner un personnage par le "Milliardaire" ? pas très recherché... " (Non mais j'hallucine!) " à éviter de cette manière, c'est intrusif " bordées de nombreux commerçants. " commerces " Bien maintenant que vous avez vos feuilles écrivez ce que j'ai marqué au tableau " penser à la ponctuation : ... vos feuilles, écrivez ... ! Je me tournai vers elle, surprise. Incohérence des temps : " lui rendit son téléphone, le regard sévère mais soumis; il n'est qu'un enseignant et Solène une future baronne. Elle prend ça trop à cœur. " soumis ? pas très heureux comme terme. " leurs sirènes hurlantes me vrillait " vrillaient " je l'aimai bien " imparfait je l'aimais Incohérence : "ne respirait presque plus" mais se relève ??? Encore une incohérence de temps sur ce paragraphe : Je lui tendis... Elle a été ??? Il la frappe ??? si le récit est au passé il doit le rester tout au long du texte. Un texte à retravailler : Forme -relire pour éviter les coquilles et les fautes. - revoir les temps de conjugaison : si le récit est au passé il doit le rester. - beaucoup de détails sans intérêt et par contre des imprécisions. - mauvais choix dans l'expression avec un mélange modernité/régression de l'époque pas du tout géré. - un vocabulaire trop basique, des répétitions : enrichir - des formulations parfois très maladroites. niveau écriture : un texte à retravailler suite (2)
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Nanarisson
Campus Sciences-Fiction, Texte n°514, Prologue et Chapitre 1 Bonjours cher auteur-e, sache que ce qui va suivre n'est que mon avis personnel, mon ressenti parmi tant d'autres après la lecture de ton début d'histoire. Libre à toi de le prendre en compte ou non. Pour commencer, j'ai du mal à comprendre l'utilité du Prologue. Tout ce qui est dit dans ce dernier est écrit d'une autre manière dans le chapitre. De plus comme tu donnes toutes les informations qui vont se trouver dans le chapitre,tu désintéresses le lecteur, alors que le but premier d'un prologue est de faire en sorte que le lecteur soit intrigué et s'intéresse a ton livre. Je te conseille donc de supprimer le prologue et de placer dans ton chapitre, toutes les infos qu'il y a dans le prologue de manière subtile ( dans des descriptions pour le lieu, dans les dialogues pour le prénom...) Tu l'as très bien fais avec le passage sur le père qu'elle n'a pas connu ou lorsque l'héroïne discute avec son amie, pour l'époque et son âge. Le passage «(voir média)» m'embête particulièrement, le lecteur n'a pas besoin de cette information : dans un livre papier il n'y a pas de media et de plus c'est inutile, si un lecteur a regardé le média avant la lecture et que l'image soit assez explicite, le lecteur saura faire le lien. En plus, certaines personnes ne regardent pas le media donc ce passage peut les faire sortir de leur lecture. Certaines phrases sont mal tournées/formulées : - Pourquoi la France est-elle devenue si horrible ? (j'ai du mal à saisir le sens du mot «horrible») - Elle prend ça trop à coeur (je ne comprends pas le sens de cette phrase dans ce contexte) Tes personnages manquent de réalisme dans leurs réactions face à ce qui les entoure. Je m'explique : sur le passage où ton héroïne voit la petite se faire sauver et qu'elle repart tranquillement après, elle devrait quand même être un peu traumatisée, elle a quand même failli assister à la mort de quelqu'un...
--> Lallyhammer
Une carte dessinée par toute l'école : ça veut dire quoi ? tous les élèves ont participé à la création de cette carte ? Maisons de campagne surplombent les petites rues : maison de campagne : à la campagne ! donc loin des rues. Cette phrase ne va pas.et en plus qud tu parles de ça, ça ne laisse pas penser ce manque d'argent dont tu parles. C'est quoi « des carreaux délavés » ? ... ben ouais, ça n'existe pas Tes descriptions sont mal faites. En fait, on ne sait pas où tu veux aller. Elles n'apportent rien au récit. Après l'incendie : la jeune fille rentre chez elle après s'être assurée que tout allait bien !? ce n'est pas à elle de faire ça, mais aux pompiers présents... Bon, pour résumer : ce texte est mal construit, l'histoire est dérisoire, les descriptions inutiles. Quand tu racontes l'incendie, il n'y a aucun sentiment. C'est impossible, si elle avait vraiment vécu un incendie, elle est serait certainement un peu traumatisée. Mon avis : reprend l'histoire que tu veux raconter, fais toi un plan notamment pour expliquer de manière toute simple ce qui se passe dans ton histoire. Tu peux tout réécrire. Tu as certainement une bonne idée d'histoire, mais là, on n'a pas envie de te lire, car à chaque nouveau § on se demande où ça va, d'où ça vient ... bref, on est totalement perdu. Retravaille et tu vas y arriver.
--> Lallyhammer
Bonjour et merci de nous avoir proposer ton texte. Je suis tout à fait raccord avec mon collègue @Nanarisson. Ce texte mérite dˆ'etre totalement revu et corrigé. Ici vivent également... bourgeois : c'est bien mais on ne sait pas bien ou est ici ? ça arrive un peu comme un cheveu sur la soupe § Manque une scission entre le 1er et le 2è § LE miliardaire ??? terme générique sinon lequel ? « nous somme en 2043 : ta phrase n'a ni queue ni tête si j'ose dire. De quoi tu parles ? Notre dernier jour de cours avec Christopher : bon et qui c'est celui la ? Si tu donnes un nom, comme ça, il faut qu'il y ait un intérêt à le faire, c-à-dire qu'immédiatement, tu dois le faire vivre dans ton histoire. Chap 1 : ça part mieux. Sauf donc ce millionnaire qui réapparaît et on ne sait rien du tout de lui. Ça ne va pas. Il faut que tu commences à donner des infos dès le début, même si tu les donnes au compte goutte. Petite école en haut... vieille horloge : l'horloge ne peut être que sur le bâtiment Des siècles ? ça fait pas un peu beaucoup ? Un air écolier à la maigre cour ??? : air écolier, pour une école... bon, mais la maigre cour ? petite plutôt ? Les réflexions entre parenthèses, ça ne va pas. Il faut intégrer les réflexions différemment, en faisant des phrases.
--> Nanarisson
Pareille sur les réactions de la mère, j'ai du mal à saisir pourquoi d'un seul coup elle se met à pleurer. Tes personnages ont tendance à passer d'une émotion à une autre sans transition, ça enlève du réalisme. Il reste des coquilles dans ton texte que tu pourrais effacer avec une relecture. (ex : (m)m'exclamai-je, je soupirai(s), je me tournai(s)) Attention aux changements de temps. Sur le fond, l'idée est intéressante même si j'ai eu un peu de mal au début avec le vocabulaire d'époque, l'habillement ou autre et le fait que l'on soit dans le futur. Voilà ! Bonne continuation.
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