Texte n°511

Prologue

"La nuit est noir comm'l'encre et l'air put la mort... Grommela le vieil homme en s'affairant à faire un nœud sur une cordelette. Quarante-sept ans que j'scionne les mers et ça j'vous donne ma parole qu'y a un truc pas net."

Le capitaine passa à côté de l'homme qui continuais de jurer avant de se porter à la proue du navire et d'humer l'air salin. La mer était d'un calme olympien pourtant le capitaine avait comme une sorte de mauvais pressentiment. Le calme avant la tempête. Il scruta l'immensité d'eau devant ses yeux tentant de distinguer le ciel de la Mer. Sans succès.

-Dites-moi capitaine ? Pourquoi aller autant au large ?

Un homme portant des braies de cuirs bouis s'approcha d'un pas chaloupé.

-Nous sommes à plusieurs jours de la côte. Reprit-il.

-Sire Aliénor. Vous ne dormez pas ? Demanda le capitaine sans réel intérêt et ne détournant même pas le regard de la mer.

-A vrai dire, je suis loin d'être un marin et le roulis du bateau me donne des nausées. Répondit le chevalier.

L'homme acquiesça en grattant sa barbe rousse et mit quelques secondes avant de répondre laissant ainsi au chevalier le temps de le rejoindre et de se poster à ses côtés.

-Je nous éloigne des côtes pour éviter les pirates, sire. La dernière fois que j'en ai croisé ils ont failli avoir ma peau en même temps qu'ils ne coulaient mon bateau.

Pendant quelques secondes, seul le bruit des vagues s'écrasant contre la coque du bateau meubla la conversation. Les deux hommes regardant au loin.

-Pourquoi aller à Aeriok'h ? S'enquit le capitaine.

-Le devoir, Orlando, le devoir.

Un silence s'installa entre les deux hommes, seulement comblé par le clapotis des vagues contre la coque de bois. Une rafale de vent fonça sur le capitaine et le chevalier et se faufila sous braies du chevalier le faisant frissonner.

-Vous devriez rentrer sire Aliénor avant d'attraper froid.

-Vous avez raison bonne nuit capitaine.

Le chevalier recula de quelques pas avant de partir. Le capitaine resta quant à lui à regarder la nuit. Il aimait la mer. Cela faisait des dizaines d'années qu'il la sillonnait mais toujours sous les ordres d'un honnête marchand. Kharios Lerk'han des cités libres. D'ici une semaine, le capitaine Orlando et son équipage seraient à Port-Pourpre entrain de vendre les marchandises ramenées du Nord et d'ici un mois au maximum il serait de retour à Aeriok. Il laissa ses pensées divaguer ainsi laissant le temps filé. Quand le juron d'un matelot le ramena sur terre. Il se redressa et regarda le pont.

Le capitaine réalisa soudain qu'un brouillard dense était en train d'envelopper le bateau et l'air semblait devenir lourd. Il était si dense que le capitaine ne distinguait même pas le pont du navire alors qu'il ne se trouvait qu'à quelques mètres. Ses hommes avaient arrêté toutes leurs activités pour regarder cet étrange phénomène. Plusieurs grommelaient que c'était une vengeance d'un quelconque dieu et beaucoup scrutaient avec anxiété la mer. Un calme étrange et oppressant c'était abattu sur le navire.

Soudain un cri aigu et strident fendit l'air. Relevant la tête, le capitaine distingua une petite silhouette volante fendre les airs et descendre en piquet sur ses hommes. Elle les survola quelques seconde avant de fondre sur le vieillard qui proliférait des insultes tout à l'heure et prit entre ses serres son bonnet. Le vieil homme jura tandis que l'oiseau s'élevait dans les airs pour s'éloigner en quelques battements d'ailes, disparaissant dans le brouillard.

-Mon bonnet ! S'écria le matelot. Qu'est-c'qu'cette mouette fiche ici. On est en pleine mer !

Une buse. C'était une buse. Le capitaine en restait pantois. Son mauvais pressentiment se confirma. La tempête arrivait.

-Qu'on ailles me chercher sire Aliénor ! Beugla le capitaine en se ressaisissant. Maintenant ! Je veux un homme à la poupe, un autre à la proue et deux guets en haut du mat ! Au premier signe suspect, je veux une alerte ! Armilien avec moi !

Un homme noir au corps robuste s'approcha du capitaine. Il ne portait qu'un fin gilet sans manche et un pantalon de toile beige.

-Un problème capitaine ? S'enquit-il.

-Oui un gros si tu veux mon avis nous ne sommes pas seul sur cette mer. Il faut se préparer à une bataille.

-Une bataille ? A cause d'une mouette ? Il arrive souvent que des mouettes suivent les bateaux même en pleine mer.

-Les mouettes peut-être mais les buses jamais. De plus elles n'attaquent jamais comme ça les hommes. Non c'est autre chose...

La fin de sa phrase mourut sur ses lèvres. Des battements commencèrent à s'élever dans les airs, réguliers et de plus en plus près. Personne n'aurait sur dire de quel côté provenait ces bruits qui semblaient envelopper le navire marchand. Le bâtiment plongea dans un silence profond coupé seulement par le bruit du vent et les battements réguliers qui rappelait celui d'un énorme cœur. Soudain une porte s'ouvrit avec fracas et le chevalier sire Aliénor sortit en trombe.

-Capitaine ! cria-t-il en courant à sa rencontre. Que se passe-t-il ? Un matelot est venu me réveiller avec une histoire de mouette et maintenant ce bruit étrange.

-On se prépare pour fuir sire. Déclara calmement le capitaine en se tournant vers le pont de nouveau. Dès que nous saurons d'où provient la menace.

-Fuir mais quoi ? Des pirates ? Répliqua Armilien. Impossible ça m'étonnerait que ça en soit-ce doit être une galère royale.

Orlando se tourna d'un coup vers son second et explosa :

-Bien sûr que ce ne sont pas des pirates ! Mais réellement une galère royale à cette distance de la côte ? Nous sommes à une semaine des Iles Pourpres ! Et c'est le royaume le plus proche mais je ne vois pas ce qu'il ferait avec une galère à plus d'une semaine de la côte surtout un roi aussi pleutre ! Il refuse de se séparer d'une seule garnison alors une galère ? Bougre d'imbécile c'est impossible ! Et puis cette atmosphère... Elle est oppressante.

-Le capitaine a raison je ne pense pas que ce soit une galère royale ni une galère tout court. Déclara plus posément le chevalier.

Les trois hommes se mirent à scruter la mer mais avant même que quiconque n'eut ouvert la bouche, le guet en haut du mat, un jeune matelot aux cheveux noirs et poisseux qui lui tombaient sur le visage, cria :

-Droit devant capitaine ! Des lumières !

Et en effet une dizaine de points lumineux étaient discernables dans la nuit noire et brumeuse. Elles se rapprochaient à une vitesse phénoménale.

-Demi-tour ! Hurla Orlando.

On discernait à présent la forme d'un gigantesque bateau qui semblaient vivre grâce aux battements réguliers de son cœur. Des flambeaux étaient accrochés sur le bord du bateau et on devinait sur le pont une centaine de personne. Certaines silhouettes étaient gigantesques et dépassaient aisément Armilien qui mesurait un bon deux mètres. D'autres, beaucoup plus petites, semblaient ratatinés comparés aux immenses ombres et filaient dans tous les sens le dos courbé et la tête basse. Le capitaine le savait il était trop tard pour faire demi-tour à présent mais ce qui l'inquiétait le plus c'était qu'il n'avait jamais vu un bateau de cette forme. Il ne connaissait pas de tel bateau. Celui-ci était immense et noir plus grand qu'un bateau de guerre et plus noire que la nuit. De son ventre sortait une centaine de rames de chaque côté qui battaient au rythme de ce qui semblait être un immense tambour.

-Capitaine... Murmura son second. Qui sont-ils ?

-Je n'en ai pas la moindre idée... Répliqua ce dernier tandis que le chevalier à leur côté posait sa main sur son épée. Mais j'ai le présentiment que nous n'allons pas tarder à le découvrir.

Commentaires :

Artificallight
Bonjour , Je tiens tout d'abord à te féliciter, ton texte est bien écrit, même si quelques ajustements sont à effectuer . L'intrigue tient la route et même si le prologue est un peu long tu as su couper l'intrigue au bon moment . On rentre vite dans ton histoire ce qui est un point positif. Mais comme je l'ai dit il y a quelques petites choses à modifier : -Tout d'abord l'orthographe, rien de bien méchant je t'assure mais tout de même quelques petites fautes se sont faufilées dans ton texte. Je pense à des erreurs d'étourderies qui arrivent à beaucoup d'entre nous , je te donne un exemple : «Le capitaine passa à côté de l'homme qui continuais[...] » Aïe continuait avec un t , il continuait ! Mais je n'ai pas relevé d'autres erreurs de ce genre , il s'agit sûrement d'un oubli. Mais ce ne sont pas les seules fautes alors n'hésite pas à te pencher sur ton texte pour les reprendre. - Ensuite tu répètes les adjectifs dense et étrange : pourquoi ne pas varier ? Dense , épais , étouffant ... Étrange , mystérieux , perturbant ... il existe de quoi varier. Si tu as besoin le site synonymo est très bien pour chercher des synonymes. - Tu répètes aussi le mot brouillard et le mot bateau . Tu peux le changer et le remplacer par des métaphores de temps en temps Brouillard : voile blanc , épais manteaux brumeux ... là encore tu peux trouver de quoi varier le vocabulaire . Bateau : embarcation, navire, vaisseau... Pareil pour le mot mer et pour d'autres . Essaye de reprendre ton texte et de repérer les répétitions que tu fais .

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Artificallight
- Tu possèdes aussi des phrases bancales « Les deux hommes regardant au loin » il serait plus juste de dire "les deux hommes regardèrent au loin" « Il scruta l'immensité d'eau devant ses yeux tentant de distinguer le ciel de la Mer. » Ce serait mieux de mettre " Il scruta la mer et ses sombres reflets qui s'étendaient à perte de vue , se confondant avec le ciel lui-même rendant ainsi toutes distinctions de l'un ou l'autre extrêmement difficile. Le capitaine dû plisser les yeux à plusieurs reprises sans toutefois obtenir de résultats " Il y a d'autres phrases de ce genre je te conseillerai d'y jeter un coup d'œil Ceci n'est qu'un exemple , mais tout cela pour te montrer les améliorations que tu peux faire. En conclusion si j'ai un conseil à te donner ce serait de relire ton texte , de regarder l'orthographe et de varier le vocabulaire et on sera bon . Sur ce , je te souhaite bonne chance pour la suite .

--> IXevitaXI
Merci pour les conseils je vais essayer de corriger tout ça !

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Juliettelem
2- le fond : L'idée de ce navire soudain en difficulté, le sujet est plutôt intéressant, la mise en scène assez juste mais... l'écriture ne permet pas de s'immerger et de créer une atmosphère crédible avec des personnages plus consistants. Comme souvent, les idées sont là, intéressantes, les ingrédients aussi, mais le tout est mal ficelé par une écriture qui n'est pas à la hauteur des ambitions. Conclusion : ça n'est pas grave ! Dans un premier temps : travailler l'écriture, les formulations. Bannir ce qui est trop commun et enrichir le vocabulaire pour éviter les verbes et les expressions creusent, les poncifs, corriger les travers qui s'installent (participes présents). En clair commencer à rechercher son propre style. C'est long, il faut du temps, mais c'est important. Et, pour progresser il est aussi nécessaire de lire des ouvrages sur le thème pour s'imprégner du vocabulaire. Même si l'univers est fictif, ça n'empêche de faire des recherches sur la navigation des siècles passés. Mais il s'agit de réunir des connaissances pour les adapter (pas les réutiliser sans nuance) et qu'elles puissent servir cette fiction et lui donner le réalisme et le cachet qui lui manque. Bon courage.

--> IXevitaXI
@Juliettelem d'accord merci beaucoup en tout cas :)

--> Juliettelem
@zoefaure si tu as besoin d'un second avis après avoir retravaillé ton texte, n'hésite pas ;)

--> IXevitaXI
D'accord merci pour les conseils je prend note !

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Lallyhammer
Bonsoir Alors c'est vrai que mes collègues @Juliettelm et @Nanarisson ont raison, mais alors moi, je me suis laissée embarquée par ton histoire que j'ai trouvé très fluide. Je me suis pas mal intégrée sur le pont du bateau. Par contre ta toute première phrase, J'ai eu bcp de mal. J'ai relu plein de fois avant de comprendre que ces mots "mal dits" c'étaient ceux du marin. Trop de participes présent et des fautes, mais faciles à corriger. Pour donner plus de poids à ton histoire, on aurait davantage de description : le pont, le bateau, l'ambiance avant l'arrivée du bateau étrange, poyr bien nous mettre dans ton ambiance.. L'histoire j'aime bien, elle donne envie de connaître la suite !

--> IXevitaXI
D'accord merci je prend note pour le participe présent et les fautes !

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Nanarisson
Campus Fantasy, Texte n°511, Prologue Bonjours cher auteur-e, sache que ce qui va suivre n'est que mon avis personnel, mon ressentiparmi tant d'autres après la lecture de ton début d'histoire. Libre à toi de le prendre en compte ou non. Commençons par un point important de la rédaction qui est le dialogue. Je vais revenir sur la forme de ce dernier car il y a quelques modifications à faire sur ton texte. Lorsque l'on arrive sur ton texte la première chose que l'on lit est un discours direct. Il doit donc être introduit par des guillemets de typographie («»), un cadratin le tiret spécifique du dialogue (—), suivi d'un espace et enfin la réplique du personnage. Si l'on doit passer de la forme indirecte (donc narrative) à la forme directe (donc du dialogue), on doit signaler ce changement par deux points (:) et passer une ligne puis enchainer avec les guillemets etc (comme énoncé plus haut). Certaines phrases de dialogue sont inutiles car elles reprennent simplement ce qui a été dit juste avant. Exemple: lorsque le vieux matelot se fait prendre son bonnet par la buse et que juste après il s'écrit que cette «mouette» lui a volé son bonnet. Pour remédier à cela, tu peux par exemple, supprimer une partie de la narration et t'arrêter au moment où l'oiseau plonge sur le vieillard, puis introduire ton dialogue par: ''Ce dernier poussa un cri de détresse et quelques secondes plus tard s'écria : «— Mon bonnet !»'' Quelque chose qui m'a sensiblement dérangée, ce sont les répétitions, en particulier sur les sujets ( capitaine, chevalier) : - capitaine (le capitaine passa à côté de l'homme ... pourtant le capitaine ... Dites-moi capitaine ? ... demanda le capitaine ... ) - chevalier (Répondit le chevalier ... laissant ainsi au chevalier ... ) - les deux hommes (les deux hommes regardant au loin ... un silence s'installa entre les deux hommes ... )

--> Nanarisson
@zoefaure je t'en pris c'est normal 😉

--> IXevitaXI
D'accord merci je vais essayer de rectifier tout ça !

--> Nanarisson
Voilà, j'espère que je t'aurais aidé ! Bonne continuation, Le Nérisson à grandes pattes

--> Nanarisson
Mais aussi dans le texte en général, par exemple : - calme (la mere était d'un calme ... Le calme avant la tempête) - bateau (coulait mon bateau.... contre la coque du bateau... vu un bateau de cette forme ... plus grand qu'un bateau) - des battements (des battements commencèrent .... et les battements réguliers...vivre grâce aux battements réguliers ... des rames qui battaient) Toujours sur les répétitions mais cette fois-ci au niveau de la forme globale du texte je m'explique, à vouloir trop insister sur un aspect ou autres, on a parfois tendance à faire ce que j'appelle «rabâcher». Lorsque l'on fait cela, on écrit la même «scène» avec une fin un peu différente ou parfois strictement la même mais en utilisant des synonymes des mots employer précédemment. Par exemple au début de ton texte, au premier paragraphe, tu accentues particulièrement sur le fait que la mer est trop calme que quelque chose n'est pas normal et deux lignes en dessous tu redis la même chose à travers un autre personnage. C'est inutile et rajoute de la lourdeur au texte. De plus, à trop insister, on perd l'effet de surprise que pourrait avoir le lecteur lors de la chute de ton prologue. Tu «rabâches» plusieurs fois dans ton prologue (sur les pirates par exemple, à trop en parler on s'attendait à ce que leur navire se fasse attaquer ou entre les dialogues du capitaine et du chevalier tu remarqueras que pour combler le vide tu utilises toujours les bruits de la mer ou des vagues sur la coque du bateau...) Certaines phrases sont mal formulées, d'autres manques de ponctuation, rajoutes plus de virgule pour mettre un peu plus de rythme. Pour mieux placer ta ponctuation tu peux lire ton texte à voie haute (pour repérer où placer tes virgules et si tes phrases sont bien «découpées) Un exemple de changement que tu pourrais apporter ; () = ce que tu pourrais modifier/ajouter - Il scrutat l'immensité d'eau devant ses yeux (,) tentant de distinguer le ciel de la (m)er (,) sans succès.

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Juliettelem
Bonjour, merci pour ce texte. " l'air put la mort " pue du verbe puer conjugaison : l'homme qui continuais : continuait poncifs et répétitions : calme olympien / calme avant la tempête participe présent : en s'affairant tentant portant ne détournant en se grattant ...laissant (dans la même phrase) s'écrasant regardant le faisant laissant de cuirs "bouis " : bouis est un vieux terme, pourquoi pas, mais préciser le sens d'autant que la signification prête à discussion... http://www.la-definition.fr/definition/bouis quant au pluriel pour cuir à moins que la culotte "les braies" ne soit rapiécée cela n'a pas lieu d'être. " quelques secondes, seul le bruit des vagues s'écrasant contre la coque du bateau meubla la conversation. " suivi de ; " silence s'installa entre les deux hommes, seulement comblé par le clapotis des vagues contre la coque de bois " une manière différente de redire la même chose et ça ne sert pas le texte. " Cela faisait " tournure faible " D'ici une semaine, le capitaine Orlando et son équipage seraient " seraient : verbe creux atteindraient, arriveraient accosteraient " entrain de vendre " pour négocier les marchandises... et en train " Il laissa ses pensées divaguer ainsi laissant le temps filé " très maladroit : laissa/laissant filer et pas filé " entrain de vendre " et plus loin" était en train d'envelopper " déjà l'expression est en train de et non entrain qui signifie la bonne humeur... et l'utiliser deux fois à peu de distance... voilà ce qui a été relevé sur seulement un quart du texte... Donc sur l'ensemble du texte : un gros travers avec les participes présents, des fautes qu'une relecture approfondie aurait corrigée... un manque de recherche dans les formulations. des poncifs et des facilités Un gros travail à réaliser sur l'expression trop commune : le monde maritime a un vocabulaire précis, absent ici, les descriptions manque d'à-propos, les dialogues manquent de conviction. suite en 2

--> Juliettelem
oups autant pour moi : *aurait corrigées * manquent d'à-propos

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