Texte n°494

 JOUR 8

Octobre 2118

Géolocalisation :

Université Râ

-

Les vampires sont des créatures à sang froid.

Tous les étudiants présents dans l'amphithéâtre retiennent leur souffle tandis que le professeur Jones se retourne avec un fin sourire aux lèvres vers le croquis de la créature du jour au tableau.

-Le processus de leur transformation passant d'abord par la mort, le corps de ces créatures se retrouve équivalent à celui de cadavre. Afin d'éviter qu'il ne se décompose, il s'y opère alors une mutation. La température déjà en baisse du corps en putréfaction va diminuer considérablement de façon constante pour que celui-ci reste dans un état parfait de conservation.

Le professeur Jones sourit.

-Ils s'auto-congèlent, résultat...

Etant revenu face à ses élèves pour mimer ses paroles avec des geste calmes et placides, Jones vient alors frapper avec le coude de son index la reproduction en verre d'un buste du titan Atlas.

-Ils sont aussi dur que le verre, n'attrapent jamais de maladie, et vivent longtemps.

Un soupire d'admiration traverse la salle.

Maëva, assise au premier rang, ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire.

Fascinant...

-Vous me direz, poursuit le professeur Jones, mais comment se fait-il que le sang puisse circuler dans ses conditions, irriguer le cerveau et faire fonctionner le cœur avec un telle température ? Et bien je vous répondrais que c'est ici que nous, nous intervenons.

Poussant alors le buste d'Atlas hissé sur une table roulante, d'un léger mouvement de la main hors du centre de la scène, le professeur Jones explique :

-Le sang s'il est refroidit à l'état de congélation, ne peut pas circuler de façon normale dans l'organisme et apporter au cerveau de l'oxygène. Or si le sang n'irrigue pas le cerveau et sans oxygène, les vampires se sont pas censé pouvoir exister. D'où leur couleur pâle associé à leur teint déjà cadavérique qui peut même parfois devenir bleu si l'on ajoute l'absence de respiration. Car oui, ajoutons en plus à cette affaire déjà bien compliquée, que les vampires respirent, mais peuvent très bien s'en priver. Alors pourquoi ? Comment vivent-ils ? Et bien, mesdames et messieurs... Mesdemoiselles...

Monsieur Jones accorde alors un léger sourire aux jeunes femmes assises au premier rang.

Maëva est aux anges.

- Ils comblent cette carence en allant chercher un apport en sang chaud, frais et oxygéné, ailleurs. Déjà tout prêt dans nos propres organisme et facile à digérer pour les leurs, si frêles en réalité à l'intérieur, puisque presque mort, mais qui sont si bien protégé sous leur solide couche de peau à l'extérieur, c'est chez nous qu'ils se fournissent en sang chaud et en oxygène. Nul besoin donc de s'embêter à utiliser leurs poumons !

Le vidéoprojecteur au plafond s'allume alors automatiquement, projetant sur un écran géant un diaporama du professeur qui sourit.

La première diapositive représente un schéma en 3D d'une jeune fille humaine, pivotant sur elle-même.

-Le sang humain est la denrée alimentaire primaire des vampires. Nous connaissons plusieurs autres de leurs régimes élémentaires, mais celle-ci demeure la principale. Notez.

Tous les élèves s'empressent alors de sortir leur carnet et leurs cahiers de notes pour écrire.

Maëva, qui peut apercevoir grâce à sa vision périphérique Nico, avec son éternel sourire de malice qui flotte sur ses lèvres à trois rangs derrière elle, sort son propre journal et écrit.

-La température entre 36 et 37° du sang humain vient réchauffer celui glacé des vampires et aide ainsi à faire tourner leur organisme durant un certain laps de temps, apportant de l'oxygène à leur cerveau et le permettant de rester fonctionnel. Donc finit les clichés mesdames, mesdemoiselles et messieurs, sur les vampires qui auraient des facultés motrices supérieures aux nôtre s'il vous plaît !

Quelques rires fusent dans la salle.

-Leurs cerveaux tournent de la même façon que les nôtres, si ce n'est que moins, et si la plupart d'entre eux vous paraîtrons plus intelligent que la moyenne, c'est uniquement parce que leur longévité leur ont permis d'emmagasiner de très longues années d'expériences d'existence. Mais si un jour vous avez la chance de croiser un vampire venant de se faire transformer à 15 ans, bonjour les turbulences !

Nouveaux rires.

-Lorsque leur sang s'est à nouveau refroidit, les vampires doivent retourner en chercher du chaud. C'est ainsi que s'enchaîne rapidement une série de meurtre sans fin. Ces créatures finissent par sentir qu'ils ont à nouveau besoin de sang lorsque leurs cerveaux se mettent à dérailler. Hallucinations, vertiges, migraines, maux de tête ou encore troubles visuels... Des signes que leur cerveau est en mangue d'oxygène, et qui font naître ce que nous les mortels appelons : la soif. Les vampires sont en réalité très vulnérables à cette soif. Ils doivent survivre en vivant comme des parasites, nous volant le sang dont nous avons besoin pour notre propre organisme, pour les leurs. Il est logique que sur un humain mort, la température du sang et le taux d'oxygène du corps n'est plus très rentable, il est donc nécessaire pour eux de prélever leur nourriture sur un être humain vivant. De plus, ajoutez au supplice que leur constitution étant fragile, ils doivent bien prendre le temps d'aspirer afin que leur estomac ait le temps de réceptionner la boisson, puis de la digérer...

Quelques élèves dans l'amphi grimacent.

-Bien entendu il y a aussi des avantages. Pour que le sang soit en ébullition et donc meilleur, ils se doivent d'exciter leurs proies et de les mettre en nage. Imaginez donc un peu les compétences de séduction.

Toute la salle se plie en deux, hilare.

-Le prélèvement à la source n'est cependant pas forcément obligatoire. Certains vampires se sont spécialisés dans le vol de poche à sang aux seins des hôpitaux qu'ils font chauffer par la suite et consomment. Certains d'ailleurs se sont même regroupé en vrais gang organisés, ce qui pose des problèmes à la B.A.C ; et donc à la B.A.C.S, car cette alternative de consommation, qui peut sembler préférable pour nous, pose des problèmes aux stocks des cellules de soin qui ont besoin de ces poches de sang pour soigner les malades et les blessés. Ayant en temps normal plus de demande que de dons, les interventions des vampires qui puisent dans leurs réserves provoquent des cellules de crises. C'est donc à la B.A.C.S de se charger de démanteler ces réseaux pour le bien public. Le prélèvement à la source semble donc pour les vampires, et certaines fois pour nous également, plus rentable.

Le vidéoprojecteur s'éteint.

-Bien, continuons.

Le professeur Jones qui se plait sur scène comme un poisson dans l'eau ouvre un énorme manuel sur son bureau.

-Pour revenir aux tares des vampire nous pouvons approfondir en disant que le sang humain, n'a de limite que de permettre uniquement à leurs cerveaux de fonctionner et de réactiver certaines fonctions cérébrales motrices de base. Le langage, la réflexion, les mouvements... Comme elles sont peu nombreuses, ces fonctions de bases poussées à leur maximum au fil de leur utilisation sur le long-terme, deviennent surdéveloppées. Les vampires parlent avec aisance et clarté, réfléchissent avec une grande rapidité, ont une ouïe et une vision accrue, un sens du toucher exceptionnel et une grande sensibilité de contact. Cependant, ce sont des sophistes, de grand manipulateur, de parfaits chasseurs, ils ont toujours une large avance psychique et physique sur vous.

Toute la salle reste muette d'effroi.

-Et cependant, comme je le disais, le sang n'aidant à réactiver que les fonctions de bases, d'autres capacités du cerveau restent perdues à jamais. Notamment...

Le professeur Jones ouvre alors une large main face à sa salle, l'ouvre et la referme plusieurs fois de suite en grimaçant.

-Les liens avec les nerfs. Comme il n'y a plus de connexion, les vampires ont la chance de ne plus pouvoir ressentir la douleur. Déjà qu'ils sont invincibles et ne tombent jamais malade, si vous avez un jour la chance de pouvoir leur faire exploser un bras, cela ne leur fera rien. Ils ne ressentiront que dalle et continuerons à vous attaquer ou à poursuivre leur chemin sans même le remarquer. Ajoutez à cela la capacité de libérer de l'adrénaline dans leur corps à volonté, ils sont aussi incroyablement fort, incroyablement rapide et quatre fois plus résistant avec leur peau de verre ; en plus de leurs sens de bases déjà surdéveloppés.

Jones soupire.

-De plus, n'essayez pas de les prendre aux sentiments, ils semblent aussi avoir perdu toutes faculté d'émotions. Certain test sur des vampires ont montré qu'ils ne ressentaient plus aucune peur, désir, culpabilité, envie... Leurs airs cérébrales associées au plaisir sont pratiquement inactives et ils sont capables de faire preuves d'une abstraction étonnante aux émotions et aux sentiments d'autrui. Ils ne semblent vivre que par la motivation de ne pas souffrir des troubles de leur propre cerveau et donc, de se nourrir... Vous me direz alors : "Mais professeur ! Si on ne peut pas leur échapper, les combattre ou même les supplier, comment peut-on faire pour ne pas être tué ?!", et bien je vous répondrais... Rien du tout !

De nouveaux rires remplissent la salle.

-Je plaisante, s'empresse alors d'ajouter le professeur Jones avec un large sourire, il y a toujours un moyen. Mais pour les vampires, il n'existe justement qu'un seul et unique moyen...

Allant alors récupérer une boite d'allumette sur son bureau et en retirant une de ces anciennes petite baguette couverte de produit chimique inflammable qu'il fixe avec insistance, le professeur explique :

-Je le rappelle, les vampires étant des créatures à sang froid, ayant un métabolisme fragile et un corps de cadavre, le feu reste la meilleure option pour les neutraliser. Tout à l'heure j'ai comparé leur corps solide à du verre et non pas à de la pierre, car même si leur peau ne peut être ouverte, ou égratignée, elle peut en revanche imploser. Le tir canon d'un dominateur est parfait pour essayer. Mettez le feu ensuite aux fragments éparpillés de leurs corps pour incinérer la chair putréfiée car oui, faites attentions, les vampires ont la capacité de se régénérer au bout d'un certain temps, variable selon l'état du vampire et la façon dont il a été pulvérisé. Les parties explosées peuvent bouger de façon autonome une fois séparées du corps, se regrouper et se ressouder comme par magie, grâce à une sorte de résine dont l'origine biologique n'a pas encore été comprise de nos jours. Nous n'avons pas d'explication scientifique à ce phénomène, non plus. Ils sont la personnification même d'un mélange de statue de cire et de pierre.

La salle toute entière reste plongée dans le silence.

-Si vous n'avez ni feu, ni dominateur ou poudre à canon sur vous en présence d'un vampire, force est de constater qu'il est même inutile de vous enfuir. Vous n'avez qu'à mourir, ou espérer qu'il vous transforme ?

Retirant ses lunettes, l'homme aux cheveux bruns ondulé se frotte alors les yeux avant de continuer.

-Les vampires sont... Des créatures malines et vicieuses. Bien qu'il semblerait, il n'est pas aisé de les reconnaître. Ce sont sans doute les créatures surnaturelles les plus dangereuses que vous pourrez rencontrer dans toute votre carrière. Mais il y a une panoplie de controverse là-dessus, évidemment.

Un sourire désabusé vient alors se dessiner sur ses lèvres.

-Poursuivons ?  

Commentaires :

Juliettelem
Bonjour, Sur le fond : Une approche intéressante qui n'idéalise pas les vampires, ça a le mérite d'être original à voir si le point de vue n'évoluera pas sur les clichés habituels. Le fond : - des fautes : "airs cérébrales"... des fautes d'accord... prendre le temps de corriger. - première phrase : s'agit-il du professeur qui parle ? si oui cela peut servir d'intro, mais si ça ne l'est pas, c'est une entrée en matière pas très crédible. - des phrases souvent lourdes qui demandent à être allégées, cela nuit à la compréhension et tire de la lecture. Il faudra travailler sur cet aspect de l'écriture. - Formulation à travailler : " Etant revenu face à ses élèves pour mimer ses paroles avec des geste calmes et placides, Jones vient alors frapper avec le coude de son index la reproduction en verre d'un buste du titan Atlas. " Etant revenu : éviter de démarrer sur un participe présent calme et placide : redondants " avec le coude de son index " avec son index replié indiquera la même chose de façon plus clair parce qu'un doigt n'a pas de coude. "Ils sont aussi dur que du verre" durs ? comparaison malheureuse pour souligner la résistance supposée des créature. Qui est Maëva ? on suppose une étudiante, mais encore ? Attention à la façon de faire entrer les perso dans l'histoire. (suite en 2)

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NadegeChipdel
Suite : * attention aussi aux phrases trop longues qui perdent le lecteur. Par exemple, p.9, le paragraphe 1 n'est qu'une seule phrase. La couper en deux permettra de mieux faire passer les informations. * P.1 : tu nous parles d'un dominateur. Ok. Mais qu'est-ce que c'est ? Rappel : nous ne sommes pas dans ta tête, là il nous faut une explication. En somme, il faut que tu injectes du rythme à ton histoire. Bon courage pour la suite, Nadège

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Letmesharemyworld
Hello 😃 Beaucoup de choses ont déjà été dites, mais j'ai encore quelques détails à rajouter. Commençons par les dialogues : à mon sens, il y en a trop, et la forme n'est pas très correcte. Je m'explique : tu fais ceci : -Blabla. Alors que ça devrait être comme ça : — Blabla. Également, tes phrases sont longues, trop longues, et manquent cruellement de ponctuation ! Rajoute des virgules à certains endroits, coupe des phrases, allège-les. Le caractère très oral pour un prof d'unif ne m'a personnellement pas choqué. Ce qui m'a plus dérangé, c'est qu'à chaque fois qu'il arrête de parler, tu nous donnes la réaction de l'auditoire en entier, ce qui m'ennuie et surtout, tout l'auditoire n'est pas ton personnage principal. On se doute bien qu'il s'agit de Maeva, mais j'aimerais bien en savoir un peu plus sur ce qu'elle pense de ce cours. Beaucoup de fautes de grammaire et d'orthographe, une bonne relecture ne ferait pas de mal. J'ai un peu de mal à comprendre pourquoi ce chapitre arriverait si tard dans ton histoire, mais je suppose que tu as tes raisons. Concernant la 1ère phrase "Les vampires sont des créatures à sang froid.", il ne manquerait pas un tiret ? Dernière question : pourquoi l'avoir placé en science-fiction ? Je comprends aux dernières phrases du prof qu'il existe d'autres créatures surnaturelles que les vampires, mais s'ils vivent en aparté des humains, n'a-t-il pas plus sa place en fantastique ? Bonne continuation.

--> rastacouette
Tout d'abord merci pour ton observation sur la forme. J'ai toujours eu un doute mais je ne savais pas qu'il fallait obligatoirement laisser un espace pour les dialogues. Personnellement ça ne me dérange pas plus que ça en relisant. Next : dans cet épisode on revit la scène en tant que simple spectre aux côtés de Maëva, et non à travers elle. Ses pensées ne sont donc pas spécialement connues, mais possible à deviner. Nous restons cependant de simples témoins dans la salle et la seule chose que nous arrivons à happer sont les réactions des autres et les paroles du professeur. J'ai effectivement mes raisons selon le déroulé logique de la trame de placer ce chapitre aussi tard (^^) Mais je te remercie de ta critique pour deux raisons : avoir repérer les fautes d'orthographes comme bcp d'autres avant toi (^^), et avoir repéré des phrases trop longue que je devrais décortiquer. Enfin, cette histoire parle de vampires et de créatures surnaturelle c'est bien compris, mais si je l'ai mis en science-fiction c'est qu'il y a une raison ^^ Tu ne pouvais évidemment pas le savoir en ne lisant que ce chapitre, mais tout se déroule dans un futur proche post-apocalyptique. L'atmosphère est totalement ancrée dans la science-fiction et le surnaturel ne sert qu'à alimenter l'intrigue. Si tu veux, cette histoire est un mix de fantasy et de science-fiction, mais n'ayant pas cette double catégorie dans wattpad, j'ai du trancher entre les deux ^^ dsl si cela t'a perturbée.

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Lallyhammer
bonsoir et merci pour ton texte. j'ai trouvé sympa d'envisager "encore une histoire de vampire" mais sous un autre angle. J'ai trouvé assez peu de choses à redire, quelques fautes par-ci par là que tu pourras corriger, mais rien de grave. L'histoire se suit, j'aime bien tes descriptions des manières du prof, ça met bien dans l'ambiance, on a l'impression d'y être. Il manque beaucoup de ponctuation : ex : Maeva qui peut apercevoir... ... qui flotte sur ses lèvres à trois rangs derriere elle.  Donc ses lèvres font 3 rangs ! c'est pour ça qu'il faut mettre des virgules... Régulièrement, tu parles de Maeva. Donc elle doit être un des personnages principaux. Ce serait bien qu'on en apprenne un peu plus sur elle, du coup. Ta dernière phrase : bravo, on a vraiment envie d'aller lire la suite... Le reste, @NadègeChipdel a bien résumé.

--> rastacouette
Waouh... °-° mais d'abord Hello ! (^^) Alors, merci beaucoup, je prend note de tout. Lorsque j'ai regardé les règlement de la WPAcademy, il était précisé qu'il était conseillé... Mais pas obligatoire de proposer le premier chapitre de son livre, cependant, ceci ne l'est pas, je tient à le préciser ^^. Il y a énormément de chapitre avant celui-ci, donc c'est normal que l'on ne sache pas qui est Maëva, on en apprend déjà sur elle avant ^^ Sinon les fautes d'orthographes et oui... C'est la bête noire de tout auteur je dirais... Je n'ai pas encore fait les révisions des chapitres de ce bouquin, mais je m'y mettrais... Promis (^^) Cependant merci, j'appliquerais lors de mes révisions tout les conseils de ta critique car ils sont pertinent, et je ne vois pas pourquoi j'en ferais autrement... (^^)

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Juliettelem
suite (2). Type de phrases qui se répète tout au long du discours : " Déjà tout prêt dans nos propres organisme et facile à digérer pour les leurs, si frêles en réalité à l'intérieur, puisque presque mort, mais qui sont si bien protégé sous leur solide couche de peau à l'extérieur, c'est chez nous qu'ils se fournissent en sang chaud et en oxygène. " très très lourd... C'est d'ailleurs le principale problème de l'intervention du professeur, le fond du discours est très intéressant, voire innovant, mais la forme devient vite ennuyeuse, elle ne met pas le propos en avant alors qu'il y a de très bonnes idées. Il faudrait recentrer le propos, éviter les explications à rallonge qui peuvent apparaître parfois très techniques mais tombent dans les platitudes à d'autres moments. - Les étudiants... les introduire de façon plus maîtrisée, en dire plus sur eux, ou bien se contenter de décrire la foule : " Maëva, qui peut apercevoir grâce à sa vision périphérique Nico, avec son éternel sourire de malice qui flotte sur ses lèvres à trois rangs derrière elle, sort son propre journal et écrit. " Quel intérêt ? - Décor : rien - Description des personnages et présentation : rien - Aucune description de l'orateur... - Si le chapitre doit rester focalisé sur l'intervention du professeur, d'accord, mais il faut en dire un minimum sur lui et ne pas citer des personnages dont rien n'est dit par ailleurs... En conclusion : - Retravailler le discours, trop de phrases lourdes et qui noient l'intérêt de l'intervention. - Corriger les fautes. - Éviter de citer des personnages dont on ne dit rien par ailleurs. - Créer un décor... l'amphi, la foule attentive etc... - Présenter l'intervenant. Bonne continuation.

--> rastacouette
@Juliettelem Merci ! ^^ Je mettrais tes conseils en pratique !

--> Juliettelem
@rastacouette en effet si ça n'est pas un prologue, le lecteur connaît déjà les perso. Par contre le décor, on peut toujours intégrer par quelques petites touches qui ne partent pas dans une description chargée, ça permet de donner plus de profondeur idem pour l'intervenant... Après c'est un choix, mais sinon ça manque de ce petit plus qui donne une vraie crédibilité à l'ensemble. Les éléments passionnants du discours sont là, il faut revoir la construction des phrases, éviter les redites, les lourdeurs et cela mettra en avant les idées et l'approche qui ne manquent pas d'originalité sur le sujet ;)

--> rastacouette
Merci ^^ ! Je retravaillerai le discours et rendrais le cours plus passionnant, et dsl pour la première phrase, en effet, c'est un dialogue du professeur mais je ne sais pas pourquoi, le " - " a sauté ^^' Cependant, au vu des chapitre précédant, il est inutile de présenter les décors ainsi que les personnages ou l'intervenant...

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NadegeChipdel
Bonsoir, Tout d'abord, merci de nous avoir soumis ton texte. Et à présent , décortiquons-le ! * dans l'ensemble, ce chapitre est cohérent. On n'a pas de mal à s'imaginer installer dans la salle de classe aux côtés de Maëva. * en terme d'écriture, j'ai relevé une seule erreur récurrente : les accords au pluriel. Il y a des erreurs dans pratiquement toutes les pages (p.11 : censéS - p. 10 : protégéS - leurS carnetS - p.8 : de meurtreS - p. 6 : se sont regroupéS...) * dans l'ensemble, j'ai trouvé que c'était structuré. En revanche, je trouve le choix du présent de l'indicatif assez curieux pour ce type de texte. Je trouve même que ça ralentit le rythme, déjà mou, de ton histoire. Alors, qu'est-ce qui m'empêche de dire que c'est bien ? Et bien ce que j'appelle les redondances d'idées ! Dans presque toutes les pages, tu nous parles du fait que le sang des vampires est froid, qu'ils ont besoin d'aller chercher de la nourriture chaude ailleurs, que leur cerveau ne garde en fonctionnement que les fonctions primaires. Du coup, on devient l'élève qui s'ennuie ferme car on attend un élément qui fasse avancer le propos qui n arrive pas. Si on retire toutes ces répétitions, ton texte passe de 14 pages à 5. Il faut que tu apportes d'autres éléments au cours théorique du professeur. * parlons-en de M. Jones. J'ai été gênée par certaines de ses tournures de phrases, à la limite du langage oral. C'est un professeur d'université, on attend de lui un langage soutenu, recherché. * Ensuite, j'avoue avoir été ennuyée par deux autres choses : - Tout d'abord, cette histoire de sang congelé. Si le danger de vampires est à ce stade, il va falloir un peu plus que cinq litres de sang à 37 degrés pour le réchauffer, - Je me questionne aussi sur le choix du verre comme indice de comparaison. Pour que la peau des vampires soit si résistante, il faut qu'elle soit épaisse d'un paquet de centimètres. Et le verre explose, il n'implose pas.

--> rastacouette
-Ensuite, adieu les cliché : le professeur d'université hyper sérieux, à la poubelle ! Dans une histoire combien loufoque où l'on enseigne à des élèves qu'il y a des créatures surnaturelles vivant tranquillement parmi eux et comment faire pour les buter, il n'a pas sa place. Le professeur Jones à du charisme et il s'en sert. Il n'endort pas (du moins pas tous ^^) ses élèves dans les sourvenir de Maëva. -Sixièmement : je prend note de ta remarque sur l'ambiguité entre peau de verre, implosion et explosion, merci. En revanche pour le sang congelé allez j'avoue... j'ai pas trouvé de meilleur théorie scientifique, l'imagination à tout fait ;-) -Et enfin dernier point (dsl de t'avoir bombardé ^^) : les phrase trop longues et les faute d'accord aïe aïe ! Désolée pour ça ^^ C'est la bête noire de tout auteur je réviserais tout... promis ! (^^)

--> rastacouette
Waouh... °-° mais d'abord Hello ! (^^) Alors, merci beaucoup, je prend note de certain élément et il y a d'autres sur lesquelles j'aimerais revenir : -Premièrement : ce chapitre n'est pas le premier du bouquin, il y en a plusieurs avant, donc il ne faut pas s'affoler. Si j'avais donné trop information dans ce chapitre déjà bien blindé, on s'en sortirais encore moins bien que maintenant (^^), d'où la simple évocation du dominateur. On l'évoque déjà bien avant ce chapitre et on en reparlera bien après en le détaillant, pas de panique. -Ensuite concernant ta remarque sur le choix du temps, elle était constructive du fait que cela m'a rappelé que cette scène, qui est en réalité, un souvenir devrait être effectivement écrite au passée. Cependant, le reste de ce roman est effectivement écrit au présent. Comme il y a beaucoup d'action cela ne "ralentit" pas le rythme, bien au contraire. On avance en même temps que le personnage et tout se joue à l'instant ou l'on lit. C'est très vivant ! (^^) -Troisièmement, c'est agaçant que le texte ne t'ais pas boosté plus que ça... Mais que puis-je y faire ? Cela arrive... On ne peut tout avoir ! Néanmoins l'aspect redondant sur lequel tu as insisté me pousses à devoir réviser tout ça lorsque je ferais mes corrections une fois tout les chapitre achevés. -Quatrièmement : ça me fait plaisir lorsque tu dis que tu te sens devenir l'élève qui s'ennui ferme, cela m'encourage en me disant que tu t'es quand même introduite, ne serait-ce qu'un peu, dans mon histoire (^^) merci !

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