Texte n°483

Note de l'archiviste : Pingouint_Volant a disparu. Ci-gît un de ses textes.

Miroir et sang.

Pénétra dans les morceaux transparents le fluide pollué d'amertume. Se libéra dans ce croisement le message de l'âpre peine. La pièce sembla s'emplir de mes pulsations cardiaques.

Sang et miroir.

S'hérissèrent une ultime fois les fibres amorphes parmi le tourbillon de gouttes avant de s'échouer sous la chair. S'enterra alors ma respiration saccadée.

Lumière floue.

Le brouillard mental montait et brûlait le crâne de son ardeur entêtante. Ou les battements de ma rage, laquelle était logée au fond de mon cœur, couvrait tout et façonnait une bulle où la douleur s'amoncèle sur moi.

Flou fut le reflet dans les cercles de fissures. La tête qui tournât. Les pieds qui semblaient faire adieu au sol. Doucement, à un mal aigre dans mes poings s'additionnèrent des fourmillements. Ma vue se troubla de larmes et de sueur. Terre qui pivotât. Comme une ombre se tenant derrière moi, s'abattit à l'arrière de ma tête un supplice fulgurant qui m'emporta dans les ténèbres statique...

« 7 ans de malheur ! C'est peut-être qu'une superstition mais ce n'est pas pour autant que ça me désenchante moins que ma fille s'ouvre les poings en brisant un miroir ! » Me semonçât ma mère les bras croisés et les cils battant furieusement le vide.

J'abaissai le regard sur mes mains presque entièrement recouverts de bande blanche après qu'une infirmière, amie à ma mère, ait soigné les blessures que j'eus faites.

« C'est normal qu'elle soit affectée par la situation, dit Melinda à voix basse pour qu'elle ne soit qu'entendue par ma mère, mais jusqu'à détruire le miroir de ses mains...je vous conseille de rechercher un psychologue »

« Je n'ai pas besoin de psychologue ! » Je niai sans réaliser le ton élevé que j'employai. J'oubliai mon mal de tête qui aussitôt surgit pour me dresser, me faisant mordre la lèvre inférieur pour avorter une grimace encore pire.

Ma mère bougonna son consentement avec l'infirmière. Mais que pourrait être cette approbation patraque ? Si cela n'a pas été hier, ce ne sera pas demain.

Melinda, incrédule de ma défense, me détaillât furtivement du coin de l'œil avant de nous souhaiter doucereusement « Faites un très bon voyage » ; Ma mère s'avança vers elle, l'étreignit en la remerciant avec une franchise qui ne peut être comparée. L'infirmière rangeât ses affaires, et pour confirmer ce que je pressentais, a quitté la maison le regard droit, hâtive. Pas étonnant, ils étaient tous - les moins méchants - mal à l'aise en notre présence.

Mes yeux, qui avaient défilé sur les pas de l'infirmière, revinrent à ma mère qui désormais, démasquait totalement sa colère.

« Nous aurions dû être en route il y'a plus d'une heure, tu nous as mis en retard Mae Schaeffer

-Ce n'est plus Simmons ? » Demandai-je dans le but de rompre sa préoccupation à propos de mes entailles.

« Non » J'eus l'impression que la terre trembla légèrement à cette réponse « Toi et moi ne sommes plus des Simmons ! » M'annonçât-t-elle la voix sèche et chargé de solennité, tout en tirant des valises lourdes et enflés à l'entrée « N'est-ce pas pour ça qu'on abandonne tout de la grande ville ? Pour se débarrasser de ce nom devenu maudit ? »

Le salon où je me trouvais abandonna son décor, et je me revoyais comme à nouveau dans ma salle de bain avec le grand miroir. Un écran de glace qui frappait à mes yeux une image brut et nu de la réalité bouleversante qu'a cogné ma vie. Sans hésiter, sans même penser, j'avais fait l'ascension de mes mains, pénétrer mes ongles dans ma paume et concentrer ma rage dans ces poings serrés.

Embrasée d'haine, j'étais.

J'aurai tant aimé crier « Je te déteste » par-dessus l'euphonie éclatante du verre. Des misérables mugissements, n'en sortit de ma bouche que de misérables mugissements. Ces mots m'étaient impossible de prononcer par la force ardu du sang, pas comme ma mère qui les avaient crachés au visage de mon père au tout début de cet affaire dramatique...

« Il n'y a rien qui nous retiennent ici Mae » Me dit tendrement ma mère en penchant légèrement sa tête pour m'observer. Pendant ce court instant je crus ne pas la reconnaître. Je désirais tellement qu'elle comble la distance qui nous séparait et me prenne dans ses bras, et cet acte qui se voudrait sincère, la pousserait à enlever ce voile invisible mais menaçant de la fierté. Un geste pareil, entre ma mère et moi, ça faisait bien trop longtemps.

« Tu demanderas le divorce à papa ? » Je plantai mon regard dans ses iris bruns et en à peine une seconde elle enfila rapidement, en un geste élégant, des lunettes teintes en noir. « Bien voyons, cette question ne se pose pas » Elle me fit un grand sourire inconvenable au moment puis revêtit des gants en cuir sombre.

Je baissais ma tête éprise pour le sol en marbre que des pensées de mon père s'approchèrent de mon esprit comme un cumulus griffant et grimpant. Les passés joyeux viraient au gris terne, les souvenirs précieux s'infectaient de l'abomination qu'il avait commise. Jusqu'à ce que ma mère tape le sol exprès de son talon comme le signal de départ, j'étais hypnotisée par ces pensées.

Sa capacité à rester forte (faire semblant peut-être, je ne savais pas), alors que plusieurs piliers de notre vie étaient en chute, impressionnait ma blessure intérieure.

« On y va ! » Où personne qui connaissait notre passé nous retrouvera. Où il nous sera interdit de parler de tout ce qui concerne une certaine famille appelé Simmons. Ce n'était pas une page qui était tourné, mais des pages qui étaient déchirées. A travers la vitre du côté passager, je les imaginais bien s'envoler sur chaque mètre parcourut. J'épiais les minutes, je guettais quand la douleur de mon cœur s'estompera, je gardais ma tête tournée vers l'extérieur de l'habitacle. Entre-temps, mon cœur semblait remonter dans ma gorge ou un fil sans bout l'enroule, l'enroule, l'enroule...

Derrière nous il y avait notre bel appartement à un prix tel qu'il était préférable de ne pas le connaître, mes amis les plus sincères qui s'étaient abstenus de me laisser par indignation pendant ces épreuves, des hypocrites appelés famille, mon père derrière des barreaux de représailles...

Quand une marque était toute fraîche, elle semblait nous narguer que jamais elle ne s'en irait. Et ce fut le cas. C'était hors d'atteinte une guérison comme celle-là, qui pouvait entrer dans mes veines et nettoyer mon sang ?

Je forçais la lourdeur sur mes paupières pour m'endormir mais je n'y arrivais vraiment pas. Tantôt je regardais ma mère tenir le volant, tantôt la vue par la vitre. On y allait. Cette précipitation nous a laissé guère le temps de s'apprêter entièrement. Tant que personne ne savait que nous étions des Simmons, cela nous convenait. Bien que nous n'imaginions pas le crime de notre apparenté, de ce fait étions innocentes, les gens nous pointaient du doigt, faisant subodorer leur idée d'ostracisme à notre égard ; Des raclements de gorge rancuniers, des regards indiscrets, embarrassants, des jasements près de nos oreilles...

Je fermai les yeux sur mes larmes brûlantes, la gorge en douleur, le cœur qui penchait. Pas de Simmons. Schaeffer ; Nom de jeune fille de la mère, Daisy L. Schaeffer et sa fille, Mae Schaeffer. Le père, rayé de leurs vies.

Ma mère et moi, donc, sur cette route qui nous transportait en direction d'une ville nommée Crest Mont. Cependant, il m'était dur d'appeler cela un nouveau départ...

Commentaires :

NadegeChipdel
Bonsoir ! Petit retour sur ton texte. Je vais être honnête : je ne suis pas allée au bout de ton histoire. Je vais essayer de t'expliquer ce qui m'a gênée : * tout d'abord, il y a la manière dont tu rédiges. Tu écris dans un style qui imite la poésie. Or, nous sommes dans un roman. Du coup, cela donne un texte lourd, empesé dans lequel il est très difficile de rentrer. * au niveau de ton écriture, j'ai envie de te dire que trop de vocabulaire recherché tue le vocabulaire recherché. Il faut vraiment que tu simplifie ton style. Attention, je ne suis pas contre le style soutenu, mais il est à utiliser avec parcimonie. D'autant plus que certains mots et tournures sont mal choisis (ex : p.8 : semonçât ma mère. On parle d'un coup de semonce. Ici, sermonna me semble plus approprié). * en terme de conjugaison, l'utilisation massive du passé simple renforce le côté lourd de ton histoire. Et j'ai relevé une erreur récurrente : pour les verbes du 1er groupe, à la 3ème personne du singulier, il n'y a pas de -t. J'ai aussi vu passer des erreurs d'accord. * une fois que l'on a retiré tout ça, il reste un texte sans originalité. Pour moi, simplifier l'ensemble te permettra , par exemple, de construire des personnages plus complexe. Le thème de la colère est intéressant , mais ici, il est mal exploité. Bon courage pour la suite, Nadège

--------

Juliettelem
Bonjour, La forme : je ne m'attarderai pas, le démarrage est lourd, ça pourrait être très original, mais non, le style est trop laborieux. Une grande maîtrise de la langue est nécessaire pour utiliser ce type d'intro. Pour le reste beaucoup de choses à revoir, une écriture qui peine : alléger, fluidifier, simplifier pour éviter de grosses fautes dans la forme...un ex : " Mes yeux, qui avaient défilé sur les pas de l'infirmière, revinrent à ma mère qui désormais, démasquait totalement sa colère. " outre la présence de deux subordonnées, c'est très maladroit et limite niveau compréhension. Travailler l'orthographe (beaucoup de fautes), les grosses incohérences de temps (récurrent un défaut à rectifier), diversifier le vocabulaire, éviter la naïveté de certaines formulations et les clichés bateau, les adverbes en ment... et la complications à outrance qui alourdit. et les intrusions du style : " Embrasée d'haine, j'étais."cela n'est pas maîtrisé donc cela pollue le texte. Idem pour les effets de style :" par-dessus l'euphonie éclatante du verre" euphonie est en rapport avec l'harmonie des sons, rapport avec le verre brisé dans ce contexte ? vu que de puis le temps il est déjà à terre. Attention aux phrases alambiquées qui ne veulent rien dire : " Je baissais ma tête éprise pour le sol en marbre que des pensées de mon père s'approchèrent de mon esprit comme un cumulus griffant et grimpant " : c'est une phrase qui ne veut rien dire, un assemblage bancal. SITUATION : une ado en colère brise un miroir à coups de poing. La première partie du texte s'attarde sur sa rage un peu trop longtemps avec des formulations pas très heureuses. Le pourquoi de la colère... on croit devenir que son prochain départ pour une ville inconnue avec sa mère la "contrarie" et que ça vie est chamboulée. La mère quitte son mari et embarque sa fille, quelques indications des évènements avec d'énormes platitudes sur le père, les amis fidèles, les membres "traîtres de la famille".

--------

Juliettelem
2 - suite (merci de lire la première partie au com précédent) . LE FOND Un fond pauvre : une pauvreté que l'écriture très lourde, nourrie à grands renforts de complications dans les formulations ,ne masque pas. A ce niveau : déjà élaborer une vraie situation pour offrir de l'intérêt. Et oublier la surenchère d'effets dans l'écriture : ça n'est pas maîtrisé, donc leur utilisation montre vite les limites d'une l'écriture qui a besoin d'être travaillée aux niveaux de ses bases en grammaire, conjugaison, orthographe et vocabulaire. Ce texte est à retravailler Bon courage.

--------

Aillys
Bonjour, bonjour ! Je vais essayer de pas revenir sur ce qu'on déjà dit mes camarades mais il risque d'y avoir des redites. « Pénétra dans les morceaux transparents le fluide pollué d'amertume. Se libéra dans ce croisement le message de l'âpre peine. » J'ai peiné à trouver le sujet, tu m'as perdu dès le début. Une virgule permettrait de mieux s'y retrouver : Pénétra dans les morceaux transparents, le fluide pollué d'amertume. Se libéra dans ce croisement le message de l'âpre peine. « Sang et miroir. » Je comprends pas trop l'utilité... Avant le miroir était plus présent et maintenant on se concentre sur le sang ? Je pense que ta phrase suivante suffit pour le comprendre, limite ajouté « gouttes rouges ». « S'hérissèrent une ultime fois les fibres amorphes parmi le tourbillon de gouttes avant de s'échouer sous la chair. » Manque de ponctuation « S'enterra alors ma respiration saccadée. » Une respiration qui s'enterre ? Que veux-tu dire ? Elle s'arrête ? Elle ralentit ? « Lumière floue. » Vision floue oui mais la lumière ne peut pas être floue. « le crâne » Je me demande de quel crâne tu parles ce serait plutôt mon crâne, non ? « Le brouillard mental montait et brûlait le crâne de son ardeur entêtante. Ou les battements de ma rage, laquelle était logée au fond de mon cœur, couvrait tout et façonnait une bulle où la douleur s'amoncèle sur moi. » As-tu oublié un accent sur le u : où ? Parce que le « ou » tu peux remplacer par ou bien mais je vois pas trop le choix entre le brouillard qui monte et brûle et les battements de rage qui couvrent et façonnent une bulle. Ensuite ce sont « les battements de ma rage » qui couvraient tout et façonnaient une bulle donc terminaison -aient Répétition de ou/où

--> Aillys
Tu décris bien les sentiments grâce au « Show Don't Tell » (ex : « les larmes qui troublent la vue » plutôt que « elle est triste ») mais il faut maintenant développer la psychologie des personnages : pourquoi elle fait ça, pense ça ? Comme par exemple, pourquoi est-elle si réticente envers le fait de voir un psychologue ? Tu as un style qui t'es propre mais peu fluide à cause de lourdeur comme les phrases trop longues et la surabondance de vocabulaire recherché. Au niveau des dialogues, la forme c'est : « Nous aurions dû être en route il y a plus d'une heure, tu nous as mis en retard Mae Schaeffer - Ce n'est plus Simmons ? demandai-je dans le but de rompre sa préoccupation à propos de mes entailles. - Non » J'eus l'impression que la terre trembla légèrement à cette réponse. « Toi et moi ne sommes plus des Simmons ! m'annonça-t-elle la voix sèche et chargé de solennité, tout en tirant des valises lourdes et enflés à l'entrée. N'est-ce pas pour ça qu'on abandonne tout de la grande ville ? Pour se débarrasser de ce nom devenu maudit ? » Pas de majuscule au niveau des incises (demandai-je, cria-t-elle,...). Une incise ne marque pas forcément la fin d'un dialogue (pour ça que j'ai retiré les guillemets avant demandai-je et m'annonça). Cependant, le texte narratif doit être séparé du dialogue (J'eus l'impression... à cette réponse). Et si possible utilisation du cadratin (—) voire semi-cadratin (–) plutôt que le trait d'union (-) pour les dialogues. Bon je pense que tu as de quoi faire. Ne te décourage pas, c'est en écrivant qu'on devient écrivain. Tu as le potentiel. Bon courage !

--> Aillys
« Pas étonnant, ils étaient tous - les moins méchants - mal à l'aise en notre présence. » Les moins méchants détonnent avec le reste du vocabulaire très recherché. Quel âge à ton personnage ? De plus ici tu utilise « - » alors qu'après tu utilises les parenthèses... Soit l'un soit l'autre. Sache que les parenthèses ou les tirets ont tendance à casser le rythme et sont remplaçable par des virgules. « Entre-temps, mon cœur semblait remonter dans ma gorge ou un fil sans bout l'enroule, l'enroule, l'enroule... » Ce qui veut dire ? « Derrière nous il y avait notre bel appartement à un prix tel qu'il était préférable de ne pas le connaître, mes amis les plus sincères qui s'étaient abstenus de me laisser par indignation pendant ces épreuves, des hypocrites appelés famille, mon père derrière des barreaux de représailles... » Tu m'as perdu. Je comprends pas le passage avec les amis. « qu'il était préférable de ne pas le connaître » Le est inutile Bon, j'ai listé les principales erreurs je pense. Sinon, niveau intrigue... Bon la fille tape dans un miroir pour je ne sais quelle raison. Elle apprend que sa mère veut couper les ponts avec son père et sa famille. Elle la déteste. (Après avoir relu, je me rends compte qu'elle se déteste elle-même. Il manque cette petite précision : « haine envers moi ») Elle veut pas partir. Ensuite elle dit qu'elle ne guérira pas de la marque qu'à fait son père, que sa famille est hypocrite. Enfin on sait que son père a commis un crime. C'est bancal. On est trop dans le flou. Il faut laisser des pistes sous peine de ne pas donner envie de lire la suite. Il manque des pourquoi un peu partout. Pourquoi elle tape dans un miroir ? Après avoir tout lu je suppose que c'est à cause de ce qu'à fait son père mais il faudrait y faire une petite référence même vague. Pourquoi elle se déteste ? Même pas précisément mais laissé des pistes, je suppose aussi que c'est lié à son père. Pourquoi ne veut-elle pas partir alors qu'elle traite sa famille d'hypocrite ?

--> Aillys
« La tête qui tournât » La tête à qui ? De plus, le mode n'est pas du subjonctif mais de l'indicatif puisque tu peux dire la tête « tourna », je dirais même de l'imparfait « tournais » puisque cela dure dans le temps. Je doute que sa tête ne tourne qu'une seconde. Pareil pour « Terre qui pivotât. » « La tête qui tournât. Les pieds qui semblaient faire adieu au sol. » Les « qui » font lourds. « Faire adieu » aussi. Ma tête tournait. Mes pieds semblaient quitter le sol. « Ma vue se troubla de larmes et de sueur. » Mal dit. Les larmes et la sueur troublèrent ma vue. « Comme une ombre se tenant derrière moi, s'abattit à l'arrière de ma tête un supplice fulgurant qui m'emporta dans les ténèbres statique... » Déjà statiques. Ensuite ça manque de ponctuation et assez alambiqué, j'ai dû lire deux fois pour repérer qu'est-ce qui correspondait à quoi. La voix passive est à utiliser avec parcimonie sous peine de lourdeur. De plus, avec l'utilisation de déterminants définis (le, la, les) au lieu de déterminents possessifs (mon, ma, vos...) pour désigner des parties du corps de l'héroïne, il en résulte une dissociation et mise à distance avec le lecteur qui aura plus de mal à s'identifier au personnage. « ait soigné les blessures que j'eus faites. » Lourd. Soigné mes blessures. « J'oubliai mon mal de tête qui aussitôt surgit pour me dresser » J'ai mis du temps à comprendre... J'avais oublié puisque c'est le moment où elle se rappelle l'oubli est passé. « doucereusement » Les adverbes en -ment sont lourds dans un texte, il faut les utiliser avec parcimonie. De manière doucereuse. (Les participes présent aussi au passage ex : mangeant, se lavant...) « Ma mère s'avança vers elle, l'étreignit en la remerciant avec une franchise qui ne peut être comparée. » Pareil, les proposition relative (les « qui » « que »... quelque chose) alourdisse le texte. Avec une franchise incomparable.

-------- 

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top