Texte n°452
Le soleil brûlant tape sur la cité du Sud. Les pierres couleurs du sables sont celles du peuple, dans les hauteurs de la cité, les maisons se blanchissent jusqu'à l'immense palais au style bien particulier. Le mélange du style romain et oriental. Celui-ci surplombe la cité, menaçant les tributs rebelles et les créatures féroces. La hauteur des remparts rendent l'accessibilité de la cité difficile si l'on n'en fait pas parti. La vie en dehors de chaque cité est compliquée... Il n'y a pas d'eau, que de rares oasis, d'immenses canyons façonnent les terres arides. Ce désert qui n'est pas favorable aux Hommes est peuplé de tributs étranges, bienveillantes ou non, mais aussi d'animaux et de bêtes sauvages.
Malgré le climat particulier de ce monde, les habitants de la cité du Sud sont en ce moment en joies. Le fils du roi et de la reine du Sud est sur le point de monter sur le trône, c'est le jour de sa 19 ème lune. Le soleil rouge est à son apogée, alors que le soleil blanc est en retrait, cela place son règne sous le signe de la chance et de la vérité. Tous prépare la fête ainsi que la marche du futur souverain dans la cité.
Dans sa chambre tout en haut de la plus haute tour du palais, les rideaux d'une soie fine quasi transparente laisse le jour réveiller le prince tout doucement. Caressant sa peau délicatement, ses rayons annoncent son couronnement. Il ouvre ses yeux clairs, puis quitte son immense lit pour prendre son bain traditionnel. Il plonge sous l'eau, noyant ses cheveux ébènes. L'eau froide raffermi ses muscles saillant, et réveille son esprit. La tête tourné vers son épée, celui-ci se rend compte que désormais il devra se battre d'avantage pour sa cité .
Il veut garder la paix, mais surtout, il aimerait être légitime en tant que roi vis à vis de son peuple. Ses détracteurs assurent qu'il n'est pas l'enfant du couple, sa chevelure ébène témoigne qu'il a du sang du Sud, mais ses beaux yeux clairs ne sont pas typique de la région, d'autant plus qu'il ne ressemble ni a son père, ni a sa mère. Les traits de son visage masculin ne concordent pas à ceux de ses dit aïeuls. Il est plus beau, plus fort, plus rapide. Il a des aspects nordiques, certains s'amuse à dire qu'il fut adopté, d'autre que son père est volage ou encore que c'est sa mère qui a trahi son mariage. Face à ces violentes attaques, le prince préfère les ignorer car il sait au fond de lui que même si ses parents ne sont pas les siens, ils l'ont éduqué, aimé durant toutes ces lunes, oui, ce sont de vrais parents. Il fut élevé pour devenir un jour roi. Et ce jour est arrivé.
Il sort de son bain encastré dans la roche , noue un linge blanc à sa taille et part s'habiller. Il choisit en ce jour spécial, un plastron fait de cuir, de bronze et d'or, ainsi qu'une sorte de short blanc en lin noué et accroché à une ceinture richement décorée. Chaussé de ses sandales, il accueil son ami venu le soutenir pour cette journée si spéciale. Celui-ci fait de grand geste pour accueillir son ami :
-Nakin ! Mon ami ! Je suis si heureux de te voir !
-Si tu savais Dario ! Je n'aurai manqué cette journée pour rien au monde ! Tu vas devenir roi, en temps qu'ami je ne pouvais pas ne pas t'accompagner ! Regarde ce que je t'amène ! Dit-il en brandissant le petit déjeuner.
-Non ! Tu y a pensé ? Toi qui est si tête en l'air !
-Je n'ai pas intérêt à l'être aujourd'hui.
-Dario ! Dit une voix féminine.
Les jeunes hommes se tournent vers la reine cette femme d'une grande sagesse et d'une élégance dans la parole veille sur eux depuis leur arrivé dans la cité. Elle s'approche amoureusement de celui qu'elle voit comme son fils et l'enlace. Son amour pour lui est le plus pur qu'une mère puisse donner à son fils. Pourtant derrière sa façade apaisée, elle tremble de frayeur à l'idée de devoir tenir parole et lui avouer la vérité.
-Mon fils, après ta marche dans la cité ton... Père et moi... Devons te donner un cadeau particulier.
-Bien mère, je serai à l'heure.
-Je suis si fière de toi. Ne doute jamais de mon amour de mère pour toi...
-Mère... Jamais je n'en douterai.
-Bien... Allons, il te faut manger au plus vite ! Tu dois aller saluer notre armée avant d'aller voir le peuple. Vite dépêchons !
Sentant la peine l'envahir, elle préfère sortir de la pièce avant de finir par s'effondrer de chagrin sur son lit conjugal. Elle priait jusqu'ici que ce jour fatidique n'arrive jamais, elle aurait voulu vivre à nouveau ces merveilleuses lunes encore et encore. Avant de devoir avouer une vérité douloureuse qui risque à ses dépends de briser ce qu'elle a construit. Dario et son ami fanfaronnent dans les couloirs du palais après avoir prit un petit déjeuner copieux. L'excitation de la journée les affolent. Ils se remémorent les idioties ainsi que les aventures extraordinaires qu'ils vécurent enfants. Ils sont à la fois nostalgiques mais aussi pressés de devenir enfin adulte.
Ils arrivent dans l'aile du palais qui abrite les militaires. Du haut du grand balcon qui surplombe la cours d'entrainement où les combattants de la cité sont rassemblés, Dario retrouve son père. Ému, il prend son fils dans ses bras avant de le présenter à ces guerriers redoutables. Il brandit son glaive, ses guerriers le suivent et entame le chant de combat du régiment où Dario fut formé. La puissance de leurs voix et égale à la puissance de leurs corps. Leur férocité et leurs dévotions à leur nouveau roi est sans faille, Dario a su montrer au combat sa valeur et la grandeur de son esprit. Nul doute, il sera un grand dirigeant.
"Mes amis ! Je vous promets de défendre la cité, avec vous ! De ne jamais gouverner en tyrant, d'être à votre écoute et de mettre à votre disposition tout le matériel nécessaire pour défendre la cité. Je ne manquerai jamais à mon devoir ! Que les dieux soient avec nous, et avec notre peuple !"
Les hourras des guerriers font trembler la terre. Leur nouveau chef est véritablement celui qu'ils souhaitaient un jour avoir aux commandes. Rien ne peut entraver cette journée. Après avoir chanter un texte religieux, Dario rentre dans le palais et se prépare à faire sa descente dans les rues de la cité. Devant les immenses portes, son coeur se met à battre aussi fort que les tambours qui annoncent son arrivée.

Il passe devant les représentations des protecteurs du Sud. Fier et royal, il avance et entame sa longue marche en saluant ses sujets. Les crient, les applaudissements et acclamations le rendent légitime et le rassure sur son futur règne. Désormais il n'a plus peur. Il passe dans les rues commerçantes, goûte aux plats épissés avant de toucher les soies les plus fines et riches qui soient proposées. Les cadeaux et les fleurs qui lui sont jetés sont ramassés et empilés dans un immense char qui les suit. Il commence à s'inquiéter lorsqu'il s'approche des remparts, les rues rétrécissent, la population est bien plus pauvre, voir misérable. Il est accueilli en libérateur, on se presse pour lui toucher les mains, les bras... Il se sent d'autant plus humain lorsqu'il est proche de la population, la vrai population.
Une femme attrape son bras et l'interpelle :
-Dario ! Dario !
-S'il vous plait, laissez moi madame.
-Regarde moi Dario.
Nakin arrache la femme du bras de Dario. Mais le prince se sent obligé de se tourner vers cette femme, sa voix le berce, il semble la connaître mais il n'a jamais fait les réclamation et il n'est jamais sorti dans les bas-fonds de la cité. Il voit cette les yeux de cette femme. Ils ne sont pas noirs comme dans son pays. Ils sont marrons, presque dorés. Il est éblouis et étonné. Caché derrière une cape miséreuse, il a envie de découvrir son visage, de la toucher, il ne ressent pas un désir, mais de l'amour. Pas celui que l'on donne à une promise, non. Il sent un lien affectif très fort mais... Il ne peut poser des mots dessus. Il aime cette femme.
-Je t'aime mon Dario, je t'aime ! Pardonne moi, pardonne moi je t'en supplie ! Je t'aime !
-Attendez ! Revenez ! Nakin, amène là !
Dans l'euphorie, les bousculades et l'engouement de la cérémonie, la femme reste introuvable. Les hurlements ont hélas pas permis à Dario de prévenir son ami à temps. La fin du trajet se fait dans le trouble et l'incompréhension. Il décide d'aller au plus vite. De retour au palais, Dario s'isole dans les jardins. Ce regard le hante. Il le connait, il le sait, il est inscrit dans son coeur. C'est alors qu'il se pose cette fameuse question.
Qu'est-ce que ma mère voulait me dire ?
Il sait pertinemment que cette femme à un rapport avec cette discussion. Malgré la riche végétation du jardin, il voit sa mère au loin, sur le balcon, elle est aussi troublé que lui. C'est décidé qu'il décide d'aller au devant de ses parents pour en apprendre plus. Il souhaite savoir ce qu'ils cachent. Depuis quelques temps il sent que quelque chose se passe sous son nez. Dans l'immense salle du trône, il retrouve son père et sa mère. C'est honteux qu'il demande :
-Père, mère. Dites moi la vérité. Que se passe-t-il ?
Sa mère se blottit contre son père. Leurs mains fusionnent, le roi est troublé, ne sachant quoi répondre :
-Dario... Je..
-Nous devons te trouver une femme, dit sa mère en coupant la parole au roi.
-C'est cela qui vous troubles ?
-Oui... Si elle n'était pas assez bien ?
-Ma reine, reprend le roi désemparé, il faut lui dire la vérité.
-Non ! Je refuse ! C'est mon fils, c'est moi qui l'est élevé ! Je me suis donné pour lui !
-Nous avions promis...
-Cette ingrate n'a pas su affronté son erreur !
-Je vous interdis de dire une telle chose ! Dario n'est pas une erreur !
-Mère ! Père ! Dites moi !
-Ce soir mon fils ! Reprit sa mère. Ce soir.
Dario comprit qu'il ne tirait rien d'eux. Il eut une idée... Il lui fallait en savoir plus, attendre le soir aurait été trop compliqué ! Il salut ses parents de se retire. Discret, il arrive à rentrer dans l'aile royale avec l'aide de Nakin. Il entre dans la chambre qui se trouve au-dessus de celle de ses parents. Il se suspend au balcon avec l'aide de son ami et s'introduit dans la chambre de ses parents. Il connait sa mère. Si elle doit avoir un secret, elle cacherai le fruit de celui ci près d'elle. Il soulève l'oreiller de sa mère mais ne trouve rien. Il cherche alors dans la taie... il trouve enfin ce qu'il cherchait. Une sorte d'énorme enveloppe avec le sot de ses parents. Les inscriptions de l'enveloppe lui jette un froid dans le dos et le désarment. Il est entre la tristesse et la colère. Il voudrait hurler, pleurer, dire à quel point il hait le monde entier mais... Au lieu de cela, il reste intrigué. Il tient la vérité dans ses mains, les doutes qui le rongent depuis tant d'années sont sur le point de disparaitre. Désormais il saura la vérité...
Le roi et la reine du Sud s'engagent à avouer la vérité au prince du Nord et du Sud Dario, ainsi que de lui remettre en main propre la vérité sur ses l'amour que lui porte ses parents et sur son histoire à l'aide de cette lettre laissé par sa mère.
Mille et une questions traversent l'esprit de Dario. Tout ce qu'il a connu jusqu'ici n'était donc que de vulgaires mensonges ? Mais cet amour qu'il eut reçu de ses deux parents ? Ces années passées à se former pour devenir un bon souverain, l'étude des traditions, des croyances, tout ce travail pour finalement être le rejetons d'un rien ? Non. Dario sait ce qu'il vaut, il a toujours cette intime conviction d'être né d'un amour aussi pur qu'un diamant, il sait que ses parents sont des personnes instruis, avec une grande âme, le plus profond de son âme le sait.
Mais alors... Existe-t-il des âmes qui soient bien plus pur que celles de ses parents adoptifs ? Si cela est vrai, tout s'expliquerait... Le sentiment amer qui l'a hanté toute sa vie. Ce sentiment de rejet, sans arrêt à douter de lui et de sa place en temps que prince du Sud. C'est alors qu'il imagine sa mère. Comment diable peut-elle être. Il l'imagine avec des traits remplis de grâce, avec des yeux dorés, envoûtant. Quelque chose de puissant l'envahit. Il a toujours sentit près de lui un amour puissant qui l'a toujours accompagné. L'amour de sa mère. Elle fut là depuis toujours. Son amour est le plus doux est infaillible qu'il puisse être. Il l'aime. Il sait que lorsqu'elle entre dans une pièce, les regards se tournent vers elle, elle charme tous ceux qui posent leurs yeux sur elle.
Cette vision le démange. Il saisit l'imposante lettre et sort sans prendre conscience que les gardes le suivent depuis sa sortie de la chambre. Il n'a plus qu'une chose en tête, savoir qui elle est, qui est son père, qui sont ces citadins unis pour toujours en la personne de Dario ? Le claquement de ses sandales sur le marbre annoncent sa détermination dans chaque immenses salles qu'il traverse. Les riches citadins du château se retournent vers ce fougueux jeune homme qui s'approche à chaque pas de la vérité.
Les quelques lignes qu'il a pu lire sur l'enveloppe lui parle du Nord. Le Nord est la contrée la plus riche et la plus belle d'après les textes anciens. Il fut fasciné par les récits et les légendes qu'ils l'ont fait rêvé plus jeunes. Si ses parents ont toujours refusés d'en parler ou d'y aller contrairement aux cité de L'est et de l'Ouest, Dario ne s'est jamais découragé et à toujours eu un goût étrange pour cette cité. Si les gravure et les tableaux peignent un paysage idyllique et une vie utopique, ses parents lui ont raconté que depuis 18 lunes, la cité est devenue sombre et que son roi, un fou, y ferait d'effroyables choses, causant du tord à son peuple et aux dieux de la cité.

L'esprit du désert lui même aurait cesser d'exaucer les voeux, il serait parti durant une nuit noire ou le pire des affronts fut fait contre la famille royale. Cette même famille qui entretenait cet esprit. La tristesse serait telle que les sanglots des citadins entretiendrait les écoulements d'eau de la cité, notamment celle des chutes d'eaux majestueuses qui entretiendraient
la riche biodiversité qui s'y trouveraient.
Tenu par la flamme de la vérité, Dario ouvre les immenses portes d'or de la salle du trône et demande audience à ses parents en brandissant sa mystérieuse lettre. Sa mère s'effondre de peine sur son trône, son père, royal comme à son habitude, descend les marches de l'estrade une à une, se rappelant à chaque marche, une année passée à élever Dario et à en faire son héritier. L'amour qu'il porte à ce jeune garçon est fort, ils sont presque du même sang, mais hélas pour lui, ils ne partagent pas celui de l'autre.
Il pose ses puissantes mains sur les épaules musclés de son fils. Par ce geste, il se délivre d'un fardeau qui l'a hanté c'est année durant.
-Dario. Mon fils. Il y a dix neuf lunes maintenant... J'ai fais une promesse. Celle de te dire la vérité.
-Tais-toi Thaïde ! Hurla la reine.
-Nous avions fais une promesse Isha ! Nous nous devons de la tenir ! Pour ta malheureuse cousine ! Nous le devons.
La reine s'effondre à nouveau, les sanglots ouvre une blessure qu'elle nourri depuis l'approche de cet anniversaire. Elle tend sa main vers son fils et dit dans un dernier soupir :
-Pardonne moi Dario.
-Isha. Repose toi mon amour. Nous devons parler Dario.
Le roi emmène dans son splendide jardin flamboyant son héritier. Sa haute coiffe dorée reflète une lumière éblouissante sur le petit ruisseau qui traverse ce jardin.
-Voilà dix neuf lunes, tu es arrivé dans notre vie. Tu n'étais qu'un tout petit bébé. Ta mère a eu une audience à l'occasion de la fête des deux soleils. Elle était habillée de simple haillons, épuisée et à bout de force, elle nous a demandé de te prendre pour fils, et de ne te parler d'elle qu'une fois que tu serai adulte.
-Qui est cette femme.
-La reine du Nord. Enfin... Princesse à cette époque... Elle était si jeune... Si fatiguée... Mais... Elle t'aimait tellement... Elle a choisi de te sauver au dépit de sa propre vie...
-Quoi ? Elle... Ma mère... Est morte ?
-Nous ne le savons pas. Elle était destinée à un riche marchand... Sanguinaire et effroyable. Elle est tombée amoureuse d'un écuyer... Et tu es né de cet amour. Je peux te jurer que... Jamais je n'ai vu de tel amour... Je n'aurai pas accepté un enfant né d'une nuit de péché. Lorsqu'elle a appris que tu allais venir au monde... Elle s'est enfuie et a traversé le désert pour venir ici afin que l'on t'adopte. Elle savait que sa cousine la reine ne pouvait pas avoir d'enfant. Elle voulait te sauver par tous les moyens et faire de toi... Un roi. C'est ce que tu méritais.
-Père... Comment était-elle ?
-Elle était ... D'une beauté que les dieux eux mêmes jalousaient. Ses yeux d'or envoûtaient tous ceux qui la regardaient. J'ai moi même succombé à son charme... Lorsqu'elle n'était encore qu'une enfant. Je suis allé dans les terres du Nord et je l'ai rencontré. Il me fut difficile de l'oublier afin de me marier à Isha... Elle n'était qu'une enfant... Et son geste avec cet... Écuyer... Reste aussi incompréhensible que justifier... Ce marchant... L'odieux Enifeb... Il l'a terrorisé... Je n'ai jamais su qu'elle idée à traversé ses parents de la marier à ce monstre... Puis c'est fait ce qu'il s'est passé.
-Où est-elle ? Et mon père ?
-Ton père a disparu lorsqu'on a annoncé la mort de la princesse. Il était si accablé par la peine qu'on raconte qu'il serait parti dans le désert pour un long pèlerinage et il y aurait laissé la vie.
-Et ma mère ?
-Nous n'en savons trop rien... On dit qu'elle serait soit morte... Soit retenue prisonnière à cause du fait qu'elle ne souhaite pas se marier avec Enifeb. Elle aurait le droit de sortir une fois toute les lunes, à une date précise.
-Ma 19 ème lunes...
-Quoi ?
-Je l'ai vu père... Elle m'a interpellé dans les faubourgs... Il faut que je la retrouve ! Hurla le prince du désespoir.
-Non. Tu as interdiction de la retrouver avant que tu n'es lu la lettre.
-Pourquoi me faire cet affront ?
-Ce n'est pas moi qui l'est décidé. Ta mère en nous laissant cette lettre nous a mis en garde. Tu devras la lire, seul, et décidé seulement après que tu es lu son contenu et juger ses actes, de partir la rejoindre ou non. Même si ta décision est de partir... Sache que tu seras toujours notre fils... Et que tu seras toujours le roi de la Cité du Sud.
Maintenant... Pars et lis cette lettre.
Le roi lui tend une clef ainsi qu'un portrait enroulé dans une toile de lin. Dario avec les ailes de la vérité, flotte à chacun de ses pas jusqu'à la bibliothèque interdite dont il possédait enfin la clef. Cette bibliothèque était dans le même style architectural que la Cité du Nord. Érige en l'honneur de la princesse, Dario se sentit comme chez lui pour la première fois. Il s'assit dans l'imposant fauteuil de velours rouge et enleva le lin du portrait. Sa mère.
Enfin il la voit. Le roi n'avait pas menti... Elle était d'une beauté absolue, plus scintillante que les astres. D'un raffinement extrême. Elle était pour lui l'incarnation idéal de la beauté. Au dos du portrait... Il y avait celui de son père... Ses cheveux étaient les siens. Sa corpulence masculine et musclé l'étaient aussi. Il voit pour la première fois cet homme... Qu'il semble désormais admiré plus que tout. C'est une évidence à ses yeux que ces être soient tombés amoureux l'un de l'autre. Il était l'union parfaite de l'amour. Il serra les portraits contre sa poitrine. Enfin, il ouvrir l'enveloppe et découvrit les courbes féminine de l'écriture de celle qui désormais ferait partie intégrante de sa vie. Il l'aime déjà plus qu'un fils pourrait aimer sa mère. Il le sent... Cette femme débordait d'amour pour lui, et il est terrifié de découvrir l'horreur qu'elle a pu subir par sa faute... Il sent la douleur physique et mental, il sent des jours de pur labeur, mais aussi, des instant de pur bonheur. Il sent la bonté et la détermination de cette femme qui n'a de faille que son fils... Que lui. Il se sent envelopper dans les bras de quelque chose d'invisible, comme si sa mère le bordait pendant sa lecture. Il se sent protégé et aimé bien plus qu'il ne le faudrait. Sur son genoux, il sent l'esprit de son père, rassurant son fils et son amoureuse. Il sent la peine de celui-ci qui n'a pu lui déclarer son amour au grand jour, et... Qui n'a pas pu faire d'elle la femme la plus heureuse de ce monde en l'appelant "Mon épouse". Dario est prêt. C'est au milieu de ces deux âmes qu'il lit enfin :
À mon fils Dario.
Avec tout l'amour d'une mère, et d'un père.
Svara
Ta mère qui t'aime tant.
Commentaires :
ToaNear
Bon, l'histoire est assez intéressante, malgré toutes ses fautes à en couper le souffle. Problèmes de conjugaison, de répétition, syntaxe... Manque de relecture, manque de réflexion aussi sur la tournure de certaines phrases. On voit très bien que le texte n'est pas suffisamment recherché, malgré certains termes bien trouvés, j'ai vraiment l'impression d'un texte fait à l'arrache. Cependant, j'ai tout de même l'impression que l'auteur y a mit du sien, je sens qu'il a appuyé sur certains points qu'il voulait mettre en avant et je trouve ça assez positif. La tournure des phrases se travaille, suis mon conseil, bosses le scénario et tu finiras par obtenir des phrases cohérentes, des paragraphes moins répétitifs, et diminuer les fautes. Je ne te dis pas que ça va changer directement, non, pas du tout, moi-même, je fais encore beaucoup de fautes et j'en ai conscience. Mais qu'avec le temps, ton expérience et ton travail finiront par payer, sois en sûr. En attendant, plutôt bonne idée d'histoire, qui mérite d'être exploitée, mais surtout, retravaillée et relue. #candidat
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ToaNear
À mon goût, bien que ce soit un peu personnel, bien que je pense que la plupart des lecteurs partagent mon avis. Au lieu du "mon amour de mère pour toi..." Ne serait-il pas mieux de mettre "mon amour maternel envers toi..." Ou même "pour toi". Maternel est un mot justement inventé pour ce genre de phrases, donc utilises le plutôt. #candidat
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ToaNear
En fait, la première partie du paragraphe manque fortement de ponctuation. Dans cette phrase de 28 mots, qui exprime trois choses, (le geste des hommes, la description de la femme et le fait qu'elle veille sur eux). Il faudrait au moins trois quatre virgules pour que le lecteur tienne le fil et n'ait pas de mal à lire ni à comprendre. Car ce n'est pas agréable de lire un demi paragraphe sans traître ponctuation. C'est comme si je te disais que ma journée se passe bien j'ai croisé Jean-Luc et j'ai mangé un cappuccino avant d'aller retrouver Léopold au laboratoire ou nous avons étudiés.... On perd facilement le fil alors que c'est si simple de placer au moins trois virgules. #candidat
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ToaNear
Même type de problème que le précédant : 'il accueil son ami venu le soutenir pour cette [...] Celui-ci fait un grand geste pour accueillir son ami..." Trop répétitif, fais plutôt pour la seconde partie par exemple : "Celui-ci fait alors de grands gestes pour l'accueillir." Ou autre chose, mais ne laisse pas des répétitions et des phrases mal tournées comme ça #candidat
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ToaNear
"face à ces violentes attaques, le prince préfère les ignorer" C'est sacrément mal tourné. "Ainsi, le prince décide d'ignorer ces violentes attaques, sachant au fond de lui....." Il y a maintes et maintes manières de rendre cette phrase pour logique et belle pour le lecteur. En fait, dans ce texte il y a pas mal de problèmes comparables à celui-ci, je pense que tu as un vrai problème pour tourner tes phrases, faire passer ce que tu penses de manière à ce que ça plaise au lecteur. Mais ce genre de choses s'améliorent avec l'entraînement, cherche des contextes, des phrases, des idées et entraîne toi à les tourner de manière logique, tu verras, ça viendra avec le temps. #candidat
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Lallyhammer
sentant sa peine... débuter une phrase par un participe présent, c'est pas très entraînant, pas très vivant. En plus, cette phrase donne l'impression de mélange : plusieurs choses dedans : elle préfère sorrtir puis elle s'effondre sur son lit;.;.. ça va pas trop ça. Une phrase égale une idée. Sinon on s'emmêle. L'excitation de la journée les affole. Le sujet c"est l'excitation, donc 3e pers du singulier. Ils se remémorent... qu'ils vécurent ... ta concordance des temps ne va pas. Je vais pas faire un cours ici, reprends tes conjugaisons.
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Lallyhammer
Il n'y a pas de ponctuation dans cette 1ère phrase, du coup, c'est au lecteur de comprendre ce que veut dire l'auteur ! Vers la reine, cette femme.. dans la parole, qui veille... leur arrivéE dans la cité.
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Lallyhammer
le bain encastré dans la roche ? on voit pas bien là de quoi il s'agit il acceuilLE, répétition de accueillir
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Xetrox
Bonjour, avant de commencer je tiens à rappeler que tout ce que je pourrais dire ne dépend que de mon point de vue personnel basé sur cet unique chapitre « le mélange du style romain et oriental » Commencer par citer des styles romain et oriental dans un roman de fantasy qui m'a tout l'air de se passer dans un monde radicalement différent du nôtre, c'est à éviter. D'autant plus qu'il s'agit de la cité du Sud, donc oriental ne convient pas vraiment. Tu devrais pouvoir décrire cela, avec le vocabulaire adapté que tu devrais pouvoir trouver sur internet « La hauteur des remparts rendent l'accessibilité de la cité difficile si l'on n'en fait pas partie » Tout d'abord rendre se conjugue par-rapport à la hauteur, et non aux remparts. Ensuite, « l'accessibilité de la cité difficile », c'est lourd et moche, si ce n'est faux syntaxiquement. Pourquoi ne pas changer l'ordre comme par-exemple « rendent la cité difficile d'accès pour qui n'y habite pas/qui n'en est pas citoyen (s'il n'y a pas une classe citoyenne et une sous classe) » ? J'ai aussi changé la fin, parce que « si l'on n'en fait pas partie » me dérange aussi, mais c'est moins marqué. Par contre, il me semble que parti prend un e dans ce sens, puisque pour moi ça vient de « constituer une partie de » « il n'y a pas d'eau, que de rares oasis » Tu te contredis, les oasis sont caractérisés par la présence d'eau. Un « presque » résoudrait le problème « qui n'est pas favorable aux Hommes est peuplé de tributs étranges » Il paraît peu vraisemblable que des cités se soient érigées en un lieu si peu intéressant. En outre, parler de tribus vivant ici juste après avoir dit que ce n'est pas favorable aux Hommes, c'est maladroit « d'animaux et de bêtes sauvages » Les bêtes sauvages ne sont pas des animaux ?
--> Xetrox
Mais passons au fond. Niveau des personnages, ça manque de profondeur. On a un personnage puéril absolument parfait (beau, fort, aimé, compatissant, éclairé, élu), un ami transparent et très peu abordé, une famille d'adoption parfaite, une famille d'origine parfaite, et aucune psychologie vraiment poussée. Oui, tu essaies de travailler sur la relation entre la reine et Dario, mais ça reste superficiel et c'est trop rapide et volatile pour vraiment fonctionner Niveau intrigue, tu devrais plus ménager ton suspens. C'est dommage que dès les premières lignes on soit au courant qu'il est adopté, dès la moitié du chapitre il rencontre sa mère et dès la fin du premier chapitre, il sache tout de son passé. Pourquoi ne pas prendre l'intrigue un peu avant afin de repousser un peu tous ces questionnements, de développer les relations entre personnages, leur psychologie, et éventuellement un peu de géopolitique qui manque cruellement ainsi que du background en général D'ailleurs, en parlant de background, tu ferais mieux de le travailler un peu plus ou alors de montrer le travail effectué, parce que là on a quand même une ville en autarcie au beau milieu d'un désert sans mention d'une quelconque source de nourriture ou de matières premières. Ajoute à ça la religion et la géopolitique, et ça fait des blancs majeurs à combler J'avais beaucoup à dire, mais je t'invite à ne pas t'en formaliser. Le but, c'est de t'aider, pas de te brosser dans le sens du poil. Alors au boulot mais ne te décourage pas Si quelqu'un souhaite discuter d'un point abordé ici, il peut me contacter par mp ou commentaires
--> Xetrox
« aurait été trop compliqué » Cela rend le personnage encore moins sympathique, en plus de grandement mettre à l'épreuve sa « grandeur d'esprit » « il est entre la tristesse et la colère » Très maladroit « ils ne partagent pas celui de l'autre » Très maladroit. D'ailleurs, je ne suis pas sûr d'avoir compris le sens de ce segment « la reine du Nord. Enfin... Princesse à cette époque » Il faudrait savoir. Elle était princesse puis elle n'a plus refait surface. Elle n'a donc jamais été reine. En plus, c'est confus : est-elle la sœur du roi fou ? Sa fille ? Sa cousine au vingt-sixième degré ? Pourquoi tant de manichéisme (le marchand est très très méchant, la princesse est très très parfaite, et l'adultère ne vient que d'un amour d'une pureté sans faille) ? « Elle s'est enfuie et a traversé le désert » Donc elle est enceinte (« appris que tu allais arriver au monde ») mais elle parvient tranquille à traverser le désert seule, à y survivre et à ne faire aucune mauvaise rencontre ? D'ailleurs, si sa mère et sa mère d'adoption sont cousines, pourquoi ne pourrait-il pas ressembler aussi un peu à la seconde ? « il y avait celui de son père » D'accord, donc sa mère est parvenue à maintenir une relation aussi secrète, mais elle a quand même pris le risque de faire faire un portrait d'un simple écuyer ? Bon, bon, bon, alors niveau forme, ce n'est pas ça. Énormément de fautes, d'accords, d'homonymie, de temps, sans compter les quelques répétitions et pas mal de tournures vraiment maladroites. Une relecture attentive et soignée est de rigueur. En outre, après lecture, je reste dubitatif quant au choix du présent. Je ne vois pas ce qu'il apporte, et à plusieurs moments, je le trouve déplacé
--> Xetrox
« Dario a su montrer au combat sa valeur » Quelle est la situation actuelle ? Tu nous présentes une ville isolée par un désert, mais pourtant il parvient à s'illustrer au combat ? Il faut bien l'introduire et pas se contenter de nous poser ça comme ça. J'ai plus l'impression que tu persistes à broder cette image de personnage parfait et méritant en utilisant un aspect supplémentaire qui n'a pas véritablement de fond « un texte religieux » Tu nous présentes un monde nouveau, présente nous aussi sa religion. Pas forcément de manière encyclopédique, mais tu peux (et dois) d'ors et déjà donner quelques éléments pour se familiariser « le rendent légitime » Désolé mais non, la légitimité est bien plus profonde que ça. D'ailleurs, je ne pense pas me tromper en disant qu'étymologiquement, ça vient de « loi » « goûte aux plats épissés » Le jour de son couronnement alors qu'il est contesté par des gens suffisamment puissants pour propager des rumeurs à son sujet ? Personnellement, je ne m'y risquerais pas, mais pourquoi pas ? « la population est bien plus pauvre » « de la population, la vrai population » La première occurrence fait répétition avec les autres, même si l'on comprend que la deuxième répétition est une figure de style. Par contre, pour une figure de style, le terme « population » me semble trop « scientifique ». Préfère « peuple » voire « plèbe » (il faudrait juste vérifier que la connotation ne soit pas négative) « ils ne sont pas noirs comme dans son pays » Une seule couleur d'yeux pour tout un « pays » (pays me semble étrange, on dirait plus une cité état, mais bon...), ça paraît peu crédible, mais peut-être me trompé-je « c'est décidé qu'il décide » Très maladroit « Dario comprit qu'il ne tirait rien d'eux » Pourquoi un retour au passé ?
--> Xetrox
« sa 19ème lune » Je préfèrerai que les nombres soient écrits en lettres. En revanche, j'espère qu'il n'ont pas le même cycle lunaire que le nôtre, parce que sinon il serait extrêmement jeune, pour quelqu'un qui monte sur le trône « tout doucement. Caressant sa peu délicatement [...] son couronnement » Attention, trop d'adverbes et participes présents successifs, c'est lourd « il veut garder la paix » Garder est maladroit, je privilégierais préserver « témoigne qu'il a » Maladroit « mais ses beaux yeux clairs » Avec le « ses muscles saillants », ça donne une impression de jugement du narrateur vis-à-vis du personnage. Pour un narrateur qui m'a tout l'air d'être omniscient, je trouve ça assez maladroit « ne concordent pas à » Avec, plutôt, non ? « plus beau, plus fort, plus rapide » En plus de rendre ton personnage antipathique (comme la plupart des personnages trop parfaits), ce n'est pas très cohérent. Comment pourrait-il se comparer à eux alors qu'ils sont très probablement tous six pieds sous terre comme la-plupart de leurs contemporains ? Ils n'ont pas l'air de tenir un registre du record au 100m « son ami » « son ami » « Mon ami ! » Répétition « Les jeunes hommes se tournent vers la reine cette femme d'une grande sagesse et d'une élégance dans la parole veille sur eux depuis leur arrivée dans la cité » La phrase est très mal construite, notamment à cause de l'oublie total de ponctuation. En plus, « élégance dans la parole », c'est moche. Pourquoi « au phrasé élégant », « au verbe élégant » ou quelque chose du genre ? Ensuite « depuis leur arrivée dans la cité » requiert une explication sachant que tu as jusqu'alors décrit la cité comme le seul lieu de survie possible aux alentours « qu'ils vécurent enfants » À cet endroit j'aurais privilégié un participe passé
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Aillys
Salut ! « du sables » du sable « les maisons se blanchissent » Qu'est-ce que tu veux dire ? Que plus on va vers le palais plus on trouve des maisons de plus en plus blanche ? Ou qu'il y a un phénomène particulier qui font qu'on voit les maisons devenir blanche (une sorte de hola du blanc ?) « au style bien particulier. Le mélange du style romain et oriental. » Manque de description « Celui-ci surplombe la cité » Précise que c'est le palais, j'ai cru au début que tu parlais du style. Ça m'a paru bizarre. « La hauteur des remparts rendent » La hauteur rend. Qui est-ce qui rend l'accessibilité difficile ? La hauteur des remparts. Ce sont leur hauteur plus que les remparts en eux-mêmes qui font que c'est difficile. « que de rares oasis, d'immenses canyons façonnent les terres arides. » Met un point entre oasis et d'immenses. Tu as beaucoup de phrase longue, alterne avec des phrases plus courte. « pas favorable aux Hommes est peuplé de tributs étranges » tribus. Elles ne sont pas humaines ses tribus ? « d'animaux et de bêtes sauvages. » Redondant. Choisis entre animaux ou bêtes c'est inutile de mettre les deux. « Malgré le climat particulier de ce monde » Le monde complet est comme ça ? Elle fait quelle taille ta planète ? Comment est-ce possible ? Trouve une raison. Ou met pays ou autre à la place de monde. Bon on apprend après qu'il y a deux soleils. Mais je doute que cela soit suffisant, je sais pas trop comment cela peut fonctionner. « Il est plus beau, plus fort, plus rapide. » Il paraît un peu trop parfait ton personnage. Il a l'air gentil, intelligent, il est beau, fort rapide. Et sinon les défauts ils sont où ? Faudrait peut-être partir à leur recherche.. La non légitimité et la possible adoption ne sont pas des défauts juste des obstacles. « une sorte de short blanc » Je trouve ça bizarre par rapport au plastron.. ça fait trop moderne. Ainsi qu'un pantalon court, blanc
--> Aillys
Relis ton texte, passe le sur un site de correction de texte en ligne, on trouve pas mal de fautes, surtout de conjugaison. Ajoute de la ponctuation et alterne entre phrase longue et phrase courte. Il faut laisser ton lecteur respirer. Les points permettent de plus longues pauses que des virgules. En parlant de virgules, certaines phrases longues en manque. Ça va mieux vers la fin. Si ça peut t'aider, lis ton texte à voix haute. Et attention aux répétitions. Sinon les description et les actions s'enchaînent à un rythme raisonnable. Tu restes cohérent au niveau de l'histoire. Courage !
--> Aillys
Pour le personnage. Il est trop parfait. Et son conflit interne ne tient pas la route. Il dit d'abord que le fait qu'il soit adopté ou non ne change rien. Ensuite il se plaint qu'il a vécu dans le mensonge. Puis se reprend. Mais doute en parlant des âmes purs. Commence par dire qu'il est certain de l'amour de ses parents sans préciser que le fait qu'il soit adopter ne change rien. Ensuite au lieu qu'il se plaigne du mensonge, juste une affirmation des rumeurs sur son adoption. « Alors c'était vrai. J'ai vraiment été adopté » Il est en état de choc, abasourdi, il ne se doute pas qu'il a été adopté au début. Si c'est le cas je ne l'ai pas ressenti. Il a l'air un peu de s'en foutre. Malgré ce choc, ce mensonge, il sait que ses parents adoptifs l'aiment mais il sent que c'est un amour moins fort que celui de ses vrais parents. C'est peut-être ce que tu voulais faire mais dans ce cas soit moins brutal mais plus de lien entre tes idées. Pareil quand il annonce qu'il aime la femme aux yeux dorées. Ça va super vite. Elle l'a abandonné bébé, je ne pense pas qu'il puisse l'aimer comme ça. À moins qu'il existe un lien magique entre eux (qui expliquerait aussi le fait qu'il sente ses parents dans la bibliothèque (à moins que ce soit métaphorique mais dans ce cas je n'ai pas trop accroché)). Pour l'intrigue... L'intrigue se tient. Le problème c'est qu'on sait depuis le début qu'il a été adopté, il n'y a pas de doute. Après c'était évident que c'était sa mère. On fait tout de suite le rapprochement entre « -Je t'aime mon Dario, je t'aime ! Pardonne moi, pardonne moi je t'en supplie ! Je t'aime ! », comment il imagine sa vraie mère et son abandon. Du coup, la révélation n'a pas l'impact voulu. Il faut que les indices soit plus subtils. Par contre, pour la lettre, ce que tu as mis en italique, c'est le début de la lettre, c'est ce qui est écrit sur l'enveloppe ? Il faut que tu précise.
--> Aillys
« La puissance de leurs voix et égale » est pas et. Je pense que c'est une faute de frappe. «en tyrant » en tyran « Il ne peut poser des mots dessus. Il aime cette femme. » Wow... C'est super rapide. C'est de la magie ? Parce que sinon c'est inexplicable. Ou alors le coup de foudre mais ça ma paraîtrait bizarre. « C'est décidé qu'il décide » Répétitif. Il décide suffit. « C'est cela qui vous troubles » trouble. Le -s ne se met qu'à la 2ème personne du singulier. « Il salut ses parents de se retire » de ? Tu voulais mettre et plutot non ? Salue du verbe saluer. Salut, c'est quand tu dis bonjour sans sujet devant « la riche biodiversité qui s'y trouveraient. » J'ai pas compris ce que cette phrase faisait là toute seule.. « sans prendre conscience que les gardes le suivent » Pourquoi écrire ça si tu n'en fait aucune mention ensuite ? «Maintenant... Pars et lis cette lettre. » Laisse cette phrase dans le dialogue, toute seule on a l'impression que c'est de la narration. Le fait de la mettre toute seule ne lui donne pas plus d'importance. Bon. Y a de l'idée. Certaines doivent être plus développé pour tout ce qui est description de l'univers. Et certaines transitions sont trop brutales, elles manquent de liens entre les idées.
--> Aillys
« short blanc en lin noué et accroché à » Il manque une virgule après lin. Je me suis demandé ce qu'était le lin noué.. « noué et accroché » Redondant. « accueil son ami » accueille « pour accueillir son ami » répétition du verbe accueillir et du mot ami. « il accueil son ami venu le soutenir pour cette journée si spéciale. Celui-ci fait de grand geste pour accueillir son ami » il accueille, avec de grands gestes, son ami venu le soutenir pour cette journée si spéciale. « Dario ! Dit une voix féminine. » Crie au lieu de dit est ici plus approprié. « Les jeunes hommes se tournent vers la reine cette femme d'une grande sagesse et d'une élégance dans la parole veille sur eux » Manque de ponctuation ! Mets un point après reine, une virgule après femme et après parole. Il faut laisser tes lecteurs respirer. « Elle s'approche amoureusement de celui qu'elle voit comme son fils » Amoureusement et fils... ça fait incestueux... Tendrement est plus judicieux. « Ne doute jamais de mon amour de mère pour toi... » « de mère » alourdit ta phrase. Tu peux l'enlever. « elle préfère sortir de la pièce avant de finir par s'effondrer de chagrin sur son lit conjugal. » ça fait un peu téléportation... son lit se trouve dans la pièce d'à côté ? « Avant de devoir avouer une vérité douloureuse qui risque à ses dépends de briser ce qu'elle a construit. Dario et son ami fanfaronnent dans les couloirs du palais après avoir prit un petit déjeuner copieux. » Mais une liaison, change de paragraphe mais là c'est trop brutal. « ainsi que les aventures extraordinaires qu'ils vécurent enfants » qu'ils ont vécu enfants. Je t'invite à aller lire le cours sur la concordance des temps dans l'amphi 10 : https://www.wattpad.com/470024339-amphi-10-secrets-pour-une-bonne-rédaction-cours-6 « à la fois nostalgiques mais aussi pressés » je trouve ça bizarre la construction à la fois ça mais aussi ça. Soit : ça mais aussi ça, soit : à la fois ça et ça.
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