Texte n°437

Prologue

Le besoin...Le manque...

J'ai besoin de respirer, de reprendre de l'air... Rapidement...Ce besoin me tire de ma profonde torpeur, cela doit faire plus de dix minutes que je suis là sans me soucier de ce qui m'entoure. Ainsi que de se manque omniprésent, mais maintenant, il se manifeste, toujours plus puissant et toujours plus violent. Je dois faire vite pour ne pas sombrer dans les ténèbres. Je déplace mes membres, dans cette étrange matière si lourde et si légère à la fois. Quand j'arrive enfin à la surface, ma vue commence à se réhabituer à l'environnement qui m'entoure. Une immense forêt luxuriante remplit de mystères qui n'attendent que moi. Mon audition ne tarde pas à se connecter et à détecter un bruit répétitif et sonore. Je sors lentement de cette matière qui alourdit mes pas pour rejoindre la terre ferme qui m'accueille chaleureusement, mes affaires m'attendent tranquillement sur la berge. Je me dirige vers elles d'un pas léger, la sensation du craquement de l'herbe sous mes pieds est toujours une sensation agréable à éprouver. Je me sèche et me rhabille rapidement pour ensuite prendre le chemin du retour laissant derrière moi ces cascades continues qui alimente le bassin duquel je sors.

Ma course s'arrête devant un grand portail de bois et d'or qui protège le bâtiment ancestral situé derrière cet édifice, Le château.

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Chapitre 1 :

Les portes du château ne demandent qu'à s'ouvrir sur mon passage. Il faut juste que je leurs en donne l'autorisation, un simple geste et les portes s'ouvrent doucement. J'entre dans l'enceinte du château avant même qu'elles aient finit de s'ouvrir et continue mon voyage en croisant mainte et mainte personne jusqu'à mon arrivé devant une porte plus petite que les autres, la porte de la cuisine royale. J'entre et je remarque que l'endroit et toujours aussi agité et bruyant des ordres donnés par August, le chef cuisinier. Je regarde tout autour de moi avant d'apercevoir près d'un four le pauvre petit Max, un apprenti pâtissier, avec une tarte dans les mains qui est malheureusement un peu brûlé. Il lève la tête et me salue gentiment malgré la situation critique auquel il faisait face. Le creux de ma main se remplit d'une aura Verte aqua, laissant échapper par la suite une légère traîné de son fluide qui se faufile discrètement vers la tarte, pour lui donner l'aspect qu'elle aurait dû avoir. Max est surpris de voir sa tarte changé d'état et regarde autour de lui pour savoir qui a bien pu réaliser ce miracle, qui lui a évité de se faire sermonner pas August. Mais il ne vit personne je suis déjà repartit continuer ma course dans ce dédale de personnes, avant de voir la suite de la scène. Je quitte enfin la chaleur de la cuisine pour arriver dans un labyrinthe de couloirs ou le pas rythmés des gardes résonnent et viennent faire écho sur les murs jusqu'à mes oreilles, c'est grâce à leurs pas que je peux m'orienter tout en évitant de faire de mauvaise rencontre. J'arrive enfin devant une porte d'un bleu turquoise parsemée de dorures, je tire la poignée d'or vers le bas puis entre dans cette pièce ou une agréable et chaleureuse température m'accueille. J'avance de quelque pas avant qu'une ombre ne se jette sur moi et ne me fasse tomber à la renverse sur le carrelage en marbre, je sens par la suite une langue chaude et gluante me lécher le visage. Mon rire ne tarde pas à briser le silence présent dans cette pièce suivit du ronronnement de Moonlight mon animal de compagnie, une sorte de bestiole qui peux se transformer en divers animaux et choses. Pour le moment c'est un Moonlight-chien qui m'a accueilli. Je me relève, enlève le peu de saletés qui a eu le temps de s'accrocher à mes vêtements, avant de rejoindre un plus grand espace ou m'attend mon lit, ma chambre.
Composée d'un lit deux places encadré par deux tables de nuit en acajou, à gauche de tout ça est situé une double porte donnant un accès à un grand balcon. Quant à sa droite, attend bien sagement une armoire avec en ces lieux quelques vêtements qui attendent d'être porté. Dans les derniers angles de la pièce (à côté de la porte donnant un accès à la terrasse et de l'armoire) sont situés trois portes: Une porte bleu foncé parsemée d'étoiles, dissimulant l'espace réservé pour Moonlight, suivit d'une autre de couleur bleu lagon donnant accès à une bibliothèque et un salon et la dernière donne un accès à une grande salle de bains constituée d'une grande baignoire, de lavabos et de plusieurs placards contenant le nécessaire de propreté.
Je pose finalement mon sac à dos sur mon lit pour me diriger dans l'espace réservé à Moonlight, c'est l'heure de le nourrir. Je sortis d'un placard en forme d'étoile, un paquet de croquettes à la crevette, les préférées de Moonlight. Je lui dépose ensuite dans sa gamelle en forme de croissant de lune qui complète une autre gamelle remplit d'eau, le petit monstre n'attend pas une seconde pour se jeté sur son repas et commencé à manger rapidement. Je le laisse déguster son festin pour aller prendre une douche. Le jet d'eau chaude m'asperge brutalement le visage et laisse cette matière sauvage et presque invincible qu'est l'eau me glissé le long du corps. Cette chaleur provoque chez moi un effet de sécurité de bien être, je me sens bien sous cette eau au-dessus de ma tête. Après en avoir bien profité, je coupe l'arrivée d'eau pour attraper les multiples savons posés sur l'étagère.

Savonné, rincé et propre, je suis enfin près pour m'habiller je me sèche rapidement avec ma serviette puis l'enroule autour de ma taille pour sortir de la baignoire en toute discrétion. Je viens me placer devant le grand miroir qui trône dans un coin de la pièce pour examiner ma silhouette. Pas trop grand ni trop petit pour mon mètre soixante-quinze, ni trop gros ni trop maigre sous cette couche de muscles qui recouvre mon corps, des cheveux châtains ruisselants encore d'eau et mes yeux bleu gris fixant le miroir. Réflexion faite, après m'être séché, je décide de faire apparaître directement sur moi une longue chemise en laine de cuteu, resserré à ma taille à l'aide une ceinture en cuir, un bas en lin gris clair et comme souliers, de simples chaussures de ville de cette même couleur. Maintenant que tout est prêt, je peux retourner dans ma chambre. Passant devant un autre miroir je peux constater que j'ai oublié par mégarde de me coiffer. Une demi-seconde plus tard, ce petit détail est réparé et je peux enfin vaguer à diverses occupations. J'arrive dans ma chambre. Je n'attends pas une seconde et me jette sur mon lit, j'ai à peine le temps de fermer les yeux qu'un bruit répétitif sur la porte, me sors de ma courte sieste. Je me lève non sans réprimandé un petit ronchonnement, ouvrir la porte à la personne qui a osé me dérangé. La porte s'ouvre sur la silhouette squelettique de Tristan, mon "domestique" même si je n'aime pas trop l'appelé comme ça. Il me prévient que l'on me demande à la salle à manger dans cinq minutes pour le dîner, puis il repartit comme il était venu. Je me retrouve alors à nouveau dans le silence de la chambre, où entre temps Moonlight a fini son repas et est venu s'endormir sur mon lit. Ne voulant pas la déranger, je décide d'aller faire un petit tour sur le balcon. Le vent s'engouffre dans ma chambre, avant même que je ne sois sorti, ce qui me donna une rapide idée de la température qu'il faisait dehors. Le soleil est bientôt à son zénith, je peux voir sur le cadran de la chapelle, que midi ne va pas tarder à sonner. Le balcon offre une vue sur la forêt de Araygan où je peux apercevoir un petit reflet de la cascade où je me situais il y a quelques heures de cela. Si je m'approche de la rambarde, je peux apercevoir une petite cour ou grouille une dizaine de personnes allant dans différentes directions telle des fourmis. Les cloches de la chapelle m'avertirent qu'il était temps pour moi d'aller rejoindre la salle à manger, je retourne dans ma chambre où m'attend tranquillement un petit Moonlight tout barbouillé qui vient de se réveiller. Je m'apprête à quitter ma chambre quand un oiseau gris me survole et passe devant moi, Moonlight c'était à nouveau transformé. Nous faisons le trajet jusqu'à la salle à manger en descendant les escaliers et en traversant couloirs ensemble. Arrivé devant la porte, un garde ouvrit la porte et annonce mon arrivé. La somptueuse salle où j'arrive est garnie de sculptures et de peintures diverses, d'un magnifique lustre de cristal qui pend au plafond à l'aide d'une solide chaîne et d'une grand table ou m'attends un homme barbu et assez grand ainsi qu'une femme plus petite comparée à l'homme situé à sa droite. Je viens me placer à gauche de l'homme suivit de très près pas Moonlight retransformé en sa forme originale. Le silence dure quelque secondes avant que la femme ne m'interroge:
"- Comment c'est passé ta matinée mon chéri ?
- Parfaitement bien et vous mère.
-Tout aussi bien."
L'arrivée de plusieurs plats interrompit le court dialogue au qu'elle nous avons fait face. Nous nous regardons dans les yeux puis commençons à manger. Les serveurs posent les plats pour ensuite se reculer avec discrétion jusqu'aux cuisines. Je me tourne cette fois si vers Moonlight, il me fait ça petite tête d'animal malheureux je ne résiste pas longtemps avant de lui accorder une petite assiette de crustacés qui apparait comme par magie. Je me remets dans l'ambiance "chaleureuse" de la table avec un léger filet d'aura bleu qui finit de disparaître au bout de mes doigts. Mon père s'arrête de couper la viande pour briser le silence pesant de la table:
"- Ou étiez-vous au faîte ce matin mon fils, je suis allé voir dans votre chambre et bizarrement je n'ai croisé personne ?
- J'étais partit m'aérer mon père.
- À bon ? Et pouvons-nous savoir où dit-il cette fois si d'un ton plus menaçant.
- Simplement au chute du Ruaiv mon père.
- Et qui vous en a donné l'autorisation, tu aurais pu être attaqué par des Ténébreux.
- Mais père je sais quand même me défendre, il ne faut point vous affoler.
- Si je m'inquiète ! Le seul héritier du trône aurait pu être tué voir kidnapper si celui-ci n'avait pas une once de prudence et d'obéissance, je te l'ai répété et répété à mainte reprise mais à partir de maintenant tu ne sortiras plus du château sans un garde du corps et avec mon autorisation.
- D'accord mon père dit-je d'une petite voix.
- Et si tu venais à me désobéir je n'hésiterai pas à t'enfermer dans la tour de Zodiaque, tu sais à quel point les 12 facettes de ce cristal peuvent être nuisible à tes pouvoirs."
La discussion se termine sur cette dernière phrase, ma mère fut un peu gênée de la discussion qui venait d'avoir lieu, cependant elle continue à manger en silence comme si de rien n'étais. Je fais de même et termine rapidement mon assiette. Comme toujours les serveurs débarrassèrent et emmènent de nouveau plats, cette fois si le dessert. Malheureusement la discussion précédente m'avait coupé l'appétit, je me force à manger pour ensuite me levé et retourner dans ma chambre, toujours avec Moonlight sur mes pas. En ouvrant la porte de ma chambre, j'entends un battement d'aile sortir par la porte fenêtre, ouverte. J'avance un peu plus vite que prévu jusqu'à mon lit, ou m'attend une lettre marqué d'un tampon de cire vert sombre. Je la prends d'une main puis me dirige vers le salon. Dans le salon, je me tourne vers la grande bibliothèque pour tirer un livre appelé "les topinambours et les patates, tous leurs secrets". Un crissement ce fait d'entendre puis un morceau de la bibliothèque recule, viens glisser sur le côté, laissant place à un petit bureau faiblement éclairé. J'entre dans mon bureau, pendant que la porte se referme, la lettre toujours en main. Je m'installe sur le bureau et commence à ouvrir la lettre.
"Mon cher fils,
Il est venu le temps de t'annoncer une terrible nouvelle il est temps pour toi de partir et de quitter ces monstres qui t'ont élevé et torturé et de me rejoindre moi et ta véritable mère Jade. Nous te raconteront tout dès que tu nous rejoindras, mais il faut que tu t'éloignes le plus loin possible de ce château et de ces personnes maléfiques. Tous nos espoirs reposent sur toi et sur tes actes.

Tes parents qui t'aiment

Signé : Anomicréen et Jade".

Je reste un moment ébahi, surpris ne sachant que faire. Un manque d'air me vint soudain, je dois sortir et vite. Je quitte le bureau pour me précipiter vers la porte du balcon et arrive sur le balcon, avant de tomber dans les pommes. Je m'écroule rapidement pour tomber sur ce sol, subitement si dur pour mon corps. Je reste dans cette position plusieurs minutes, avant de me relever et de respirer normalement. Je regarde le paysage qui s'offre à moi, je suis attiré pas une imposante tour, menaçante, la tour du cristal au douze facettes ou aussi appelé la tour de Zodiaque. Rien que la vue de cette me donne l'envie de partir et de quitter ce château, mais je veux en être sur avant. Être sûr que Jade et Anomicréen sont mes vrais parents, mais si je sors, je risque de ne plus revoir la lumière du jour avant longtemps. Mes vrais parents ne m'infligerait jamais le supplice de Zodiaque, mais... mais... Il y a trop de mais je dois agir et arrêté de réfléchir, de tout façon quoi qu'il arrive je sortirai hors de ces murs. Je ne peux pas croupir ici indéfiniment. C'est décidé je quitterai le palais ce soir, laissant derrière moi cette vie monotone et mensongère.

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Commentaires :

HoxydeHair
La phrase "Nous te recontacteront" n'est pas bonne. C'est "Nous te recontacterons" avec un s puisque c'est le pronom nous qui est utilisé. Si le héro vit ici depuis longtemps, pourquoi a-t'il besoin de ses pouvoirs pour s'orienter ? Et le personnel n'est toujours pas au courant des pouvoirs qu'il possède ? Pour finir, je trouve qu'il se laisse très rapidement convaincre par le lettre de ses parents biologiques. Il ne s'y attendait pas du tout, il a perdu tout ses repères et la première réaction naturel est normalement le déni. En somme, c'est un texte un peu brouillon, pas mal de fautes, des incohérences et un manque de descriptions :) Courage, tu vas y arriver ! ;)

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HoxydeHair
Salut, Tout d'abord j'ai bien aimé, l'idée du prologue, même s'il m'a fallu le lire plusieurs fois pour le comprendre. Tu parles toujours de "matière si lourde et si légère", pour conclure cette phrase il faut que tu dises clairement qu'il s'agit d'eau. Sinon le lecteur risque de ne pas comprendre. Ensuite, il y a beaucoup "..." dans les deux premières phrases de ton prologue. Tu devrais peut-être écrire quelque chose du genre; "Le besoin... Le manque. J'ai besoin de respirer, de reprendre de l'air. Rapidement, ce besoin me tire de ma profonde torpeur" au lieu de "Le besoin... Le manque... J'ai besoin de respirer, de reprendre de l'air... Rapidement... Ce besoin me tire de ma profonde torpeur." J'ai relevée pas mal d'incohérences : -Bruit répétitif et sonore; tu ne peux pas dire qu'un bruit est sonore, c'est une évidence, un fait. Dit plutôt un bruit sourd. -Je crois qu'on parle de douche, et ensuite de baignoire. Il y a un grand nombre de répétitions du mot "porte" dans ton texte. La porte de la cuisine, la porte de ma chambre, cette porte donnait sur... Tu ne détailles d'ailleurs que les portes ! Aucune informations sur la décoration, sauf l'armoire en forme d'étoile et les gamelles de Moonlight. C'est dommage ! Rajoute des phrases du styles :"Les rideaux brodés à la mains..." La parure du lit était somptueuse" après, c'est toi qui voit ;) J'ai aussi vu pas mal de fautes pour ou/où. Où est employé lorsqu'on parle d'un endroit. Et, juste pour information, la touche pour écrire ù est juste à droite du m si tu as un clavier azerty ^^

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NadegeChipdel
À propos du chapitre 1 : là, il y a plus de choses à dire. * du point de vue de la cohérence, pas mal de choses m'ont interpellée. Cette histoire d'aura tout d'abord. Une aura n'est pas un fluide. Du coup, l'apprenti aurait du se rendre compte de quelque chose. Ensuite, tu nous dis que ton héros prend une douche, et page suivante il sort d'une baignoire. Si tu emploies « ni trop grand ni trop petit » alors ne nous donne pas de taille précise. Attention aussi à la cohérence au niveau du temps : si ton héros dîne, nous sommes le soir. Or dans les pages qui suivent, l'action se passe le matin. Donc, il déjeune. * au niveau de l'écriture, j'ai vu des erreurs au niveau des conjugaisons. Il y a pas mal de confusions entre infinitif et participe passé ainsi que de mélange entre les temps du récit et du dialogue. Cette alternance passé simple / présent est dérangeante dans le dialogue entre ton héros et ses parents. * fais attention aussi à tes choix en terme de vocabulaire : en quoi l'eau de sa douche est-elle invincible et sauvage ? Et l'expression « tomber dans les pommes » ne sonne pas très royal. * j'ai aussi relevé des confusions entre ou/où. Pour mémoire, où s'emploie pour parler d'un lieu. Pour finir, il est normal que ton héros soit perturbé par l'ultime révélation de ton chapitre. De fait, je trouve qu'il se laisse très facilement convaincre. Tu as une bonne idée de départ mais, attention à rester cohérent.

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NadegeChipdel
Bonjour !! Voici quelques remarques suite à la lecture de ton texte. Le prologue : j'ai aimé ce départ mystérieux, la mise en place de l'histoire. En revanche, je trouve que tu alourdis tes phrases par de nombreuses répétitions (ex : m'entoure et matière répétés deux fois en deux pages)

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Ices2iceS
J'ai beaucoup aimé le début où le personnage ne respire pas. J'aurai aimé plus de sensation corporelle : poumon près à éclater, lutte contre le réflexe de respiration, diaphrame qui se tord ect. Par la suite je suis un peu troublée. Ton personnage dit que le cuisinier se retourne et ne trouve personne car il s'est enfui, juste après il "continu sa course dans ce dédale de personne", ce qui sous entends qu'il y a du monde dans la cuisine. Donc dire que le cuisinier ne vit personne est un non sens. Il y aura forcement qqun a qui il va demander : tu as vu ça? Ou alors les autres personnes sont affairées et à distances, et dans ce cas il faut plus de précision. Par la suite il dit traverser un dédale de personne, voir la suite de la scène et il quitte la cuisine ? Je croyais qu'il l'avait déjà quitté ! Là aussi je visualise difficilement, une seconde il est avec le cuisto, puis il s'enfuie dans une "foule" puis il quitte enfin la cuisine. C'est surement clair pour toi mais essaie de faire des transitions, et de décrire plus précisément : c'est quoi un dédale de personne pour toi? Les autres cuisiniers? Précise le car je ne sais pas du tout à quoi ça correspond. Il y a des fautes d'accords feminin/masculin et sujet/verbe mais aussi des confusions verbe à l'infinitif/participe passé. Certaines phrases donnent trop d'infos et perdent en fluidité . Ex : J'entre dans l'enceinte du chateaux avant meme que les porte n'aient finit de s'ouvrir et continue mon vayage en croisant mainte et mainte personne jusqu'a mon arrivé devant une porte plus petit que les autres , la porte de la cuusine royale. Non seulement il y a répétition de porte, mais la phrase fait 5 lignes et il n'y a qu'une seule virgule !

--> Ices2iceS
Divise tes phrases, rassemble tes idées, reformule tes répétitions. Et surtout, la simplicité est un atout, dire : cette matière sauvage qu'est l'eau alourdit tes phrases et n'apporte rien de précis a ton personnage. A moins que l'eau est un rôle dans ton histoire et dans ce cas, y porter une attention de façon plus subtile serait plus naturel. J'entre à travers les portes du chateaux avant même qu'elles aient finit de s'ouvrir. (Dans l'enceinte est inutile). J'avance, croise majordome, femmes de ménage et tapissier. Et horloger. (Mainte et mainte personnes ne donne aucune indications, ce jeune homme est il prince ou roturier? Alors ici ce serait pas mal de montrer ça à travers la façon dont les autres le traitnt ! Ils l'ignorent? S'écartent sur son passage? VAGUER? OU VAQUER? Tu vas dans des détails inutile : savoné rincé et propre. Nous faisons le trajet ensemble ect. Tout ça ce sont des choses évidentes et superflues. On le devine si il se douche. Ni gros ni mince mais musclé? Je ne connais personne de ni gros ni mince et musclé. Ni gros ni mince renvoie entre les deux donc un peu potelé. Fin et dessiné, epais et musclé, mais ni gros ni mince et musclé .... non. "Ce qui me donna une rapide idée" tu passe du présent au passé ici. Attention à la concordance des temps. En conclusion, beaucoup de fautes gâchent la lectures. Des phrases trop riches, à raccourcir. Des répétitions, varier le vocabulaire, utiliser un dictionnaire de synonyme et rassembler tes idées aiderait. Un pb de manque de ponctuation sur certaines phrases. Quelques scènes à préciser, d'autres superflues à couper. L'histoire en elle même est peu commune. Le pouvoir du jeune homme est intéressant et son animal métamorphe à l'air vraiment mignon. Tu as l'air de savoir où va ton histoire et ton monde est bien tissé on a envie d'en savoir plus sur l'eau épaisse par exemple. Voilà voilà ^^. J'espère avoir aidé.

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Xetrox
Bonjour, avant de commencer je tiens à rappeler que tout ce que je pourrais dire ne relève que de mon point de vue personnel basé sur cet unique chapitre « la sensation du [...] est toujours une sensation agréable » Répétition dans la même phrase, sans compter que je ne comprends pas la virgule qui précède le début du passage relevé. Pourquoi ne pas faire deux phrases plutôt qu'une seule ? Le prologue est pas trop mal, j'irais même jusqu'à dire qu'il est réussi sur le fond s'il ne donnait pas l'impression que le chapitre 1 est dans sa directe continuité. Attention, un prologue doit être mystérieux, un peu poétique, mais surtout détaché du récit « les portes du château ne demandent qu'à s'ouvrir » « un simple geste et les portes s'ouvrent doucement » « l'enceinte du château » « qu'elles aient fini de s'ouvrir » « devant une porte » « la porte de la cuisine royale » Que ce soit ouvrir, château ou porte, il y a un très gros problème de répétition ! Fais aussi attention, tu utilises beaucoup de participes présent, qui ont tendances à alourdir un texte « bruyant des ordres donnés » Bruyant est mal choisi, personnellement, je reformulerais la phrase « auquel il faisait face » Attention, choisit un temps du récit et tiens t'y. Il ne peut pas y avoir de verbes au passé qui font irruption dans un texte au présent. D'ailleurs, situation est féminin donc « à laquelle » « une aura verte aqua » « une légère traînée de son fluide » Une aura et un fluide, c'est pas du tout pareil. L'aura, ce sera plutôt un rayonnement doux qui enveloppe un objet, un fluide, ça laisse une idée de viscosité « Max est surpris » Vraiment ? La traînée vert aqua, ça en l'interpelle pas ? « Mais il ne vit personne » Et le dédale de personnes ? Et le fourmillement qui caractérise cette cuisine ? Enfin, si le héros vit ici depuis un certain temps, il est étrange que ses pouvoirs ne soient pas connus du personnel

--> Xetrox
Enfin bref, il y a pas mal de travail, mais les quelques conseils qui t'ont été prodigué devraient pouvoir t'aider à t'améliorer de manière significative. Du moins je l'espère Bon courage et bonne continuation Si quelqu'un souhaite discuter d'un point abordé ici, il peut me contacter par mp ou via les commentaires

--> Xetrox
« avant de tomber dans les pommes. Je m'écroule rapidement pour tomber » Répétition du verbe tomber, et, honnêtement, tomber dans les pommes, ça sous-entend une chute, pas besoin de rajouter deux verbes ensuite pour la confirmer Sur la fin, comment dire... Et bien je sais pas, mais recevoir une lettre de quelques lignes comme ça, d'un coup, et renoncer à tout ce que l'on croyait vrai après quelques minutes parce que cette lettre le dit... Tu m'étonnes que le roi il ait peur qu'il se fasse kidnapper... Et puis sérieusement, il est beaucoup trop tôt dans le récit pour le coup de la vie mensongère et austère. Jusqu'alors, le lecteur n'a pas pu constater cela (à part si un père qui s'inquiète pour la sécurité de son fils est forcément un méchant dictateur), donc ça fait un peu grosse ficelle scénaristique pour lancer l'histoire Sinon, d'un point de vue plus global, sur la forme, y a énormément de boulot. Que ce soit les multiples répétitions, la gestion de la ponctuation à revoir, les multiples fautes d'orthographe (conjugaison, accords, homonymies,...) et les lourdeurs avec tous les participes présent, et ce sans compter les retours au passé à certains moments Sur le fond, le problème majeur vient du manque de description de ton univers. On dirait un mélange entre le roman pour ado contemporain de base, de la magie et du médiéval. Pense à décrire autre chose que la couleur des portes ou une salle à un moment donné. Les descriptions ne doivent pas être ponctuelles mais continues, et elles sont essentielles, surtout dans un roman de fantasy qui requiert la création d'un univers. D'ailleurs, je soupçonne un manque de travail sur ton monde (religions, coutumes, ethnies, contexte politique, histoire, bestiaire, ...) mais je me trompe peut-être

--> Xetrox
« des cheveux châtains ruisselant » Formulation à revoir, ce n'est pas intégré au reste de la phrase Attention, une magie trop puissante, c'est le risque de perdre tous les enjeux. Un personnage trop puissant ne présente aucun intérêt pour le lecteur, et une magie sans contrecoup fait très enfantin « sans réprimandé » réprimé Le dîner à midi ? Ça s'appelle la déjeuner « le cadran de la chapelle » Il serait bon de préciser de quelle religion il s'agit. On ne sait absolument rien de ton univers, alors que c'est de la Fantasy « je retourne dans ma chambre » C'est la troisième fois que l'on a une formulation du genre, fais attention. Il y a répétition du mot chambre, mais aussi une répétition plus de fond avec cette tournure et cette idée qui revient Tu es en point de vue interne, il est tout à fait illogique que ton personnage annonce son père et sa mère comme « un homme » et « une femme » « et vous mère » Si tu veux faire dans le soutenu, ce serait plutôt « et la vôtre, mère » « auquel nous avons fait face » Extrêmement maladroit, en plus le nous est totalement en décalage par-rapport au reste. Laisse ton lecteur en-dehors de l'histoire, ne l'interpelle pas ainsi « savoir où dit-il » Mets une virgule avant le « dit-il » Fais attention, trop répétés, les « mon père » deviennent maladroit et peu cohérents « kidnappé » Langage soutenu ou non, il faut choisir. Kidnappé est loin d'en faire partie, sans compter qu'il s'agit d'un anglicisme dans un univers qui n'est pas le nôtre. Maladroit... Le coup du bureau secret pour aller lire une lettre en apparence anodine, c'est un peu abusé « vers la porte du balcon et arrive sur le balcon » Répétition

--> Xetrox
« dans les derniers angles de la pièce » Cachez cette parenthèse que je ne saurais voir ! Sinon, il y a répétition de donnant dedans, une répétition de porte mais aussi d'armoire. Ensuite, si c'est à côté de la porte du balcon, ce ne sont pas vraiment les angles de la pièce, surtout que tu parles de trois portes alors qu'il y a un maximum de deux angles sur ce mur. En outre, s'il y a le balcon, le positionnement des portes n'est pas forcément très judicieux vis-à-vis du bâtiment Bon ok, tu adores le bleu, l'eau semble avoir une certaine importance, mais ce n'est pas pour ça qu'il n'y a pas une répétition abusive du mot « bleu ». Tu fais l'effort de décrire un peu plus profondément la couleur, fais le jusqu'au bout et supprime donc tous ces bleus « de lavabos » À quoi ça sert d'avoir plusieurs lavabos dans une salle de bain personnelle ? « je pose finalement mon sac à dos » C'est bizarre, il est très difficile de situer ton univers. On a un château, une atmosphère qui fait très médiéval (porte qui ne s'ouvre que par magie, cuisines, gardes, ...) mais en même temps, le vocabulaire n'est pas adapté, il y a l'eau courante et chauffée, des sacs à dos, des croquettes,... Il faudrait être beaucoup plus clair là-dessus « cette matière sauvage et presque invincible qu'est l'eau » Lourd et maladroit pour pas grand-chose. Ensuite, invincible ? L'eau, invincible ? À développer, et surtout la différence est donc à marquer par-rapport aux autres matières Répétition de « eau » « sous cette eau au-dessus » Il faut choisir, les deux en même temps, c'est extrêmement maladroit « pour sortir de la baignoire en toute discrétion » Pourquoi il a besoin de discrétion dans une salle de bain personnelle ? « pas trop grand ni trop petit pour mon mètre soixante-quinze » Soit tu nous donnes sa taille précise, soit tu nous indiques qu'il est de taille moyenne, mais les deux en même temps...

--> Xetrox
« je suis déjà reparti continuer ma course » Très maladroit, le « repartir continuer ». Je ne suis même pas sûr que ce soit très correct. Pourquoi pas simplement « j'ai déjà repris ma course » ? (je rappelle que le passé composé est un temps du présent, au passage) « le pas rythmé des gardes » « ces grâce à leur pas » Répétition de pas « jusqu'à mes oreilles, c'est grâce » Encore une fois, il n'y a aucune raison pour ne pas avoir coupé cette phrase en deux au niveau de la virgule citée « une porte d'un bleu turquoise » Inutile de préciser bleu, garde simplement une porte turquoise et ajoute une texture ou une matière, si tu peux. Ce sera plus palpable et ça fera un peu moins « enfantin » comme description. Se limiter à la couleur fait toujours cet effet « Moonlight » Je vais passer sur le nom anglais étant donné que les personnages nommés précédemment ont aussi des noms à consonance anglaise, mais je ne vois pas du tout l'intérêt dans un texte de fantasy d'aller chercher des mots d'une autre langue « mon animal de compagnie, une sorte de bestiole qui peut se transformer en divers animaux et choses » Répétition de animal. Ensuite, bestiole ne me paraît pas super approprié. Pourquoi ne pas donner un nom d'espèce ? Enfin, choses et beaucoup trop général, en plus de manquer d'élégance. Si la bestiole en question peut se transformer en tout, autant le dire directement. Si ça se limite aux organismes vivants, autant le préciser d'office aussi Attention aux répétitions de noms. Trouve des périphrases pour remplacer ce Moonlight récurrent « je me relève, enlève » Maladroit, ça donne un effet répétition « composée d'un lit deux places » Une pièce qui est composée de son mobilier, ça sonne bizarrement. Ensuite, le terme deux places fait très moderne, presque trop moderne « avec en ces lieux quelques vêtements » Une armoire, un lieu, ça ne me semble pas bien convenir

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