Texte n°417
- Excusez-moi... Euh... ESXCU-SEZ-MOI, j'articule avec peine en faisant de grand geste avec ma bouche. La place est prise ?, dis-je calmement alors que mes nerfs sont à bout ainsi que mes jambes.
L'étrange monsieur lève les yeux de son journal en fronçant les sourcils d'un air sévère. Il sent le café et la cigarette et je m'en méfie sur-le-champ. Malheureusement, il ne semble pas parler français et me fixe comme si une troisième oreille me pousser au milieu du front. Mais je n'ai pas le choix, il n'y a que cette place de libre. Et je ne peux plus me défiler car il finit par comprendre et ( ayant sûrement pitié ) me sourit chaleureusement en se décalant.
Je pousse un léger soupir de soulagement avant de m'affaler sur le siège libre.
- Merci.
Je pose mon sac à mes pieds puis je sors mon portable et mes écouteurs de la poche de mon manteau avant de les enfiler sur mes oreilles et de commencer à me détendre.
Cela fait environ 20 minutes que je tourne en rond dans les quatre wagons du train à la recherche d'une place.
C'est la première fois que je prends le train et je déteste déjà cet endroit. Les gens sont entassés les uns sur les autres et une légère odeur de transpiration flotte dans l'air. Je fronce le nez en soupirant doucement.
Si seulement ma stupide meilleure amie aurait bien voulu venir chez moi pour qu'on puisse se voir.
Mais non. Évidemment elle ne pouvait pas puisque comme elle l'a si bien dit : " Mon copain ne pourra pas faire le déplacement, il travaille beaucoup et j'aimerais que tu le rencontres " et blablabla...
Cela fait depuis cinq ans que je n'ai pas revu Gabrielle, ma meilleure amie, et elle ne pense qu'à me présenter son petit copain.
Même si elle m'a affirmé que cette fois c'était du " sérieux ", je n'y crois pas. Pas du tout.
Quand nous étions encore ensemble, dans notre lycée, elle était en couple le plus souvent avec des mecs un peu trop... Baba Cool.
Ils dormaient presque tout le temps, ils mettaient des affaires trop grandes et fumer la plupart du temps.
Ils étaient super gentils, là n'est pas le problème. Sauf que ce n'était jamais assez " sérieux " d'après Gabrielle et je la comprends tout à fait.
Mais passons, je m'inquiète juste de voir à quoi va ressembler son petit copain actuel. Et je le verrais bien assez tôt. Pourvu qui ne sente pas le saucisson et qui mette un caleçon propre chaque jour.
Le train s'arrête soudain dans une grande secousse qui m'arrache un hoquet de surprise et qui me remue fortement l'estomac.
Je me retiens de m'étaler par terre de justesse en poussant un grand soupir de soulagement.
Catastrophe évité. Ouf.
L'homme à côté de moi, dans le feu de l'action si je peux dire ça comme ça, a posé sa main sur ma cuisse pour s'empêcher de tomber vers l'avant.
Il me lance un petit sourire d'excuse que je lui rends en secouant la tête.
- Pas de problème.
Malgré tout, je me décale légèrement de lui pour éviter une autre situation de ce genre.
Puis je reporte mon attention sur mes baskets, jusqu'à ce que la voix d'une femme raisonne dans les haut-parleurs du train pour annoncer la gare où je dois descendre.
Je me lève en attrapant mon sac et en le jetant sur une de mes épaules puis j'empoigne fermement une longue barre en fer qui se trouve devant une des deux grandes portes du wagon.
Quand ces dernières s'ouvrent dans un énorme grincement, je m'empresse de sortir dehors pour respirer une grande bouffée d'air frais.
L'air est loin d'être pur avec toutes les saletés que dégagent les gaz du train mais ça fera l'affaire.
Une légère brise fraîche souffle sur le quai où je suis descendu et ça me fait vraiment du bien.
- Keith !
En entendant mon prénom, je suis brutalement ramenée à la réalité si bien que je relève subitement la tête en regardant dans tous les sens.
Je n'ai pas besoin de chercher longtemps d'où vient la voix qui a crié mon prénom, car une petite tête blonde me saute dessus et je me retrouve bientôt dans les bras de Gabrielle en train de suffoquer.
- Euh... Tu m'étouffes là..., dis-je en souriant doucement et en lui rendant son étreinte. Et puis tout le monde nous regarde...
Les passants nous lancent des regards discrets avant de reprendre leurs routes, mais je sens malgré tout le rouge me monter aux joues et j'ai vite très chaud.
Heureusement pour moi, elle s'écarte de moi d'un seul coup et me détaille entièrement du regard.
- Mmm..., marmonne-t-elle en me fixant comme si elle était sur une scène de crime. Tu n'as pas beaucoup changé... Enfin si ! Tu as grandi, ajoute-t-elle en souriant. Et tu es devenu une belle femme.
- Je te retourne le compliment. Quoique toi... Tu n'as pas beaucoup grandi !, je m'exclame en la détaillent à mon tour.
Je remarque qu'elle a pris le temps de boucler légèrement ses cheveux et qu'elle a mis une petite touche de gloss.
Elle porte un petit top léger blanc en dentelle tout simple sur un short en jean bleu foncé.
Elle a enfilé des nus pieds marron clair ouverts qui sont très jolie et laisse voir sa pédicure nude.
Je me sens un peu bizarre à côté d'elle avec ma salopette en jean toute simple.
- Je sais bien, je n'arrive pas à grandir, s'exclame-t-elle en souriant et en me prenant part le bras. Comment s'est passé ton petit voyage ? Le train t'a plu ?
Je grimace en lui racontant le léger incident avec l'homme étrange assis à côté de moi.
- Oui, il y a souvent des gens comme ça, me confie-t-elle en me faisant sortir de la gare. Ne fais pas attention.
Elle sourit en m'entraînant vers un taxi arrêté non loin de nous.
- Allez vient. Je vais te montrer mon petit chez moi.
Je la suis en laissant apparaître un petit sourire sur mon visage.
Gabrielle n'a pas changé.
☆☆
- Bon, parle-moi de toi maintenant que le thé est presque prêt !, s'écrit Gabrielle en poussant un profond soupir de soulagement et en venant prendre place sur un gros fauteuil en cuir juste en face du canapé où je suis installé.
Nous nous trouvons dans son petit appartement, situé au rez-de-chaussée d'un immeuble de cinq étages.
En entrant dans son salon, une douce odeur de confiture m'a accueilli, si bien que Gabrielle s'est mis en tête de faire du thé.
Allez savoir pourquoi. Malheureusement, la bouilloire n'était pas de cet avis.
Depuis donc environ 1 heure, je suis assise dans son canapé et j'attends qu'elle finisse la guerre qu'elle a entamée avec sa machine.
- Presque prêt ?, je demande en haussant un sourcil.
- Oui, l'eau chauffe enfin ! Je vais aller préparer les tasses et après je veux TOUT savoir sur ta vie, s'écrie-t-elle triomphante en tapant dans ses mains et en se relevant du fauteuil.
- Ma vie n'a pas vraiment changé tu sais, dis-je tandis qu'elle part dans la cuisine.
- Je sais que c'est faux Keith, je te connais plutôt bien, réplique-t-elle en faisant apparaître sa tête de derrière le mur de la cuisine.
Je lui souris en secouant la tête.
- Je veux aussi que tu me parles de toi, je lui réponds en lançant un léger coup d'œil par la fenêtre.
Je remarque que le soleil commence déjà à se coucher, le ciel a pris une légère teinte pourpre.
- Et voiiiilaaaaa, chante Gabrielle en arrivant vers moi deux tasses fumantes dans les mains.
Elle m'en tant une que je m'empresse de saisir. Une douce odeur de caramel s'en échappe.
Je la remercie tandis qu'elle se renfonce confortablement dans son fauteuil.
- Je t'écoute, dit-elle calmement en me fixant d'un regard pétillant.
Je me redresse, légèrement mal à l'aise.
Je suis toujours nerveuse quand il est question de parler de moi. Sans m'en rendre compte, je joue avec le petit fil qui dépasse de ma tasse, qui sert à retenir le sachet de thé.
- Après le lycée... J'ai continué mes études en parfumerie et... Maintenant, je travaille dans une petite parfumerie prêt de chez moi, dis-je pour commencer. Je fabrique même mes propres échantillons de parfum que je ramène chez moi.
- Wow. Mes félicitations ! La petite Keith devient une grande, sourit Gabrielle en portant la tasse à ses lèvres pour en boire une gorgée. Et en amour ? Dis-moi tout !
J'en étais sûre. Elle est fascinée par ça . Mes amours.
Malgré tout je lui réponds. Même si elle va être déçue.
- Personne, je lâche en buvant moi aussi un peu de thé pour dissiper mon malaise.
- Quoi ? Tu plaisantes ?!, s'exclame-t-elle comme si je venais de lui annoncer la fermeture de tous les MacDo du monde.
- Non. Je n'ai vraiment eu personne après le lycée.
Elle ouvre la bouche en grand, comme si je venais de tuer quelqu'un et que je lui annoncer qu'il est finalement bien vivant.
- Non mais... Enfin ! Regardes-toi Keith ! Tu es belle comme tout, des tas de garçons devraient tomber à tes pieds !
Je me sens légèrement rougir.
- Aucun garçon ne voudrait d'une fille comme moi, Gabrielle. Et puis, pas la peine d'en faire tout un plat. Je n'ai pas besoin de garçon dans ma vie. Je suis très bien toute seule.
Je vois qu'elle s'apprête à répliquer mais je ne lui en laisse pas le temps.
- Parle-moi de toi maintenant, je lui lance pour changer de sujet. Je croyais que tu avais un copain. Il n'est pas là ?
Comme si un ange venait de passer, elle laisse son côté ahuri de côté pour laisser la place à un grand sourire rêveur.
- Si, il devrait bientôt arriver. J'ai hâte que tu le rencontres, comme ça tu me diras ce que tu en penses.
- Oui, bien sûr.
Je secoue la tête intérieurement.
Je suis persuadée qu'elle a encore trouvé un mec " Baba Cool ", mais je ne dis rien, de peur de la contrarier.
- Et toi ? Tu as continué tes études en médecine ?, dis-je en prenant une grande gorgée de thé.
Une fois encore, un immense sourire illumine son visage.
- Effectivement ! Je vais devenir un très bon chirurgien !, s'exclame-t-elle en sautant presque au plafond.
J'ouvre de grand yeux en m'empêchant in extremis de recracher mon thé sur mes jambes. J'avale avec peine, manquant de m'étouffer
- Chirurgien ? Comme dans Grey's Anatomie ?
- Oui !
- Mais... Même si les études sont un peu longues, c'est super Gabrielle !, je m'écris en comprenant sa joie. - Je suis vraiment heureuse et très motivée !, dit-elle en finissant de boire son thé. - Tu m'étonnes ! C'est super ! Tu as commencé à...
Une sonnette résonne soudain dans l'appartement me coupant dans mon élan.
- Ça doit être lui, me dit Gabrielle en posant sa tasse sur la petite table basse qui se trouve entre nous avant de se lever. Ne bouge pas, je reviens.
Je l'entends ouvrir la porte et bientôt, une autre voix qui met inconnu, résonne dans l'appartement.
Je finis de boire mon thé et je pose ma tasse à côté de celle de ma meilleure amie attendant qu'elle revienne.
Des pas se font bientôt entendre en direction du salon et je me redresse légèrement pour ne pas être trop affalée dans le canapé.
- Keith, je te présente Nathan, mon petit copain. Nathan je te présente Keith, ma meilleure amie, nous présente Gabrielle en entrant dans le salon.
Mon estomac fait soudain un looping à l'instant où son petit copain pose un pied dans le salon et se présente devant moi.
Deux simples petits mots traversent alors mon esprit me coupant du monde et m'empêchant de penser à autre chose.
Oh. Merde.
☆~~☆
Commentaires :
NadegeChipdel
Bonjour ! Petit retour sur ton texte. De façon générale, ce n'est pas si mal. Ton texte est aéré , il se lit vite. Il y a des erreurs en grammaire, orthographe et conjugaison, mais j'ai vu des coquilles bien plus sérieuses. Sur ce point, ce qui ressort le plus. Ce sont les problèmes d'accord (je suis descenduE - m'a accueilliE - qui m'EST inconnuE). Pense à te demander si le sujet auquel se rapporte l'accord est féminin ou masculin. Au niveau de la conjugaison, il y a des confusions ER/imparfait (p.14 : formAIENT - p.17 : me poussAIT). Au niveau de la construction de tes phrases, attention à certaines maladresses : p.17 tu dis « de grands gestes avec ma bouche ». Tu peux dire que ton personnage articule beaucoup mais on fait un geste de la main, on désigne du menton. Faire un geste avec le bouche, c'est difficile. P.13 « je peux dire ça comme ça ». Formulation très enfantine. Alors me diras-tu, que faut-il travailler en priorité ? L'intrigue de fond. Ton travail n'est pas inintéressant, mais il est ultra classique. Ton histoire manque d'accroche alors que tu as des éléments d'appui. En quoi l'homme du train est-il étrange ? Quelles pourraient être ses appréhensions à prendre le train seule ? Tu pourrais nous en dire plus sur un des ex de Gabrielle . Pourquoi Keith est-elle seule ? En somme, ce texte est une bonne base, il faut maintenant lui donner de la profondeur. J'espère avoir aidé, bonne continuation, Nadège
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Soriianaa
Touuuut se que je viens d'écrire sur le fond c'est enlevé (bug), nooooooooooooon
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Letmesharemyworld
Suite Sur le fond : le train est bondé, mais tu ne parles pas des gens assis près de l'homme ? Les wagons devraient être remplis et les gens devraient les regarder. Où sont-ils ? Et elle ne peut pas s'asseoir sur le sol ? Pourquoi se méfie-t-elle de l'homme ? Pourquoi n'a-t-elle pas vu sa meilleure amie en 5 ans ? Elles habitent loin l'une de l'autre ? Si c'est le cas, c'est impossible qu'elle regarde juste ses baskets, elle serait devenue folle. À moins qu'elle continue d'écouter de la musique ? Je n'ai pas l'impression que ce voyage en train apporte quelque chose au récit. Après, description des vêtements de Gabrielle à améliorer, elle, elle, change les phrases, c'est très ennuyant. En une heure, elles n'ont pas eu le temps de parler ? Gabrielle qui veut devenir chirurgien, ok, mais elle a commencé les études de médecine ou pas ? Elle en est où ? Je ne comprends pas comment elles peuvent être si heureuses à cette simple perspective... surtout que si Gabrielle en est à -au pif - sa 4ème année de médecine, elle sait que ça va être dur et elle ne le mentionne pas ? "Je serai un très bon chirurgien", c'est très enfantin comme phrase. Je t'avoue que je n'aime pas trop l'histoire ou plutôt la façon dont s'est raconté, j'ai beaucoup trop de questions à la fin de ce chapitre. Il faudrait que tu développes plus la relation entre elle et Gabrielle avant de nous faire rencontrer Gabrielle sinon on (en tout cas moi) a un peu du mal à suivre. Après, la fin est pas mal, avec le petit ami qu'elle semble connaitre. Pour résumer, il y a des fautes de grammaire et d'orthographe, il faut rassembler les phrases en paragraphes (sauf à la toute fin bien sûr) et il y a des développements à faire au niveau de l'histoire sinon il y a des choses bizarres/limite des incohérences comme avec le train et sa relation avec Gabrielle. J'espère que j'ai pu t'aider. Si tu as des questions, tu peux m'envoyer un MP 😀 Bonne réécriture.
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Soriianaa
Alors, donc, je reprends : Sur le fond, pareil que la forme, y'a pire y'a mieux. Je te conseil d'approfondir : pourquoi le type du train était bizarre ? Comment était les autres gens ? Et le train, comment était-il ? Propre, sale, rouge vert bleu ? Gabrielle, comment elle est physiquement ? Et son appart ? Il est bien décoré ? Pas décoré ? Pourquoi, elle n'a pas les moyens ? On peut apprendre des choses dans les détails. Donc DESCRIPTION. xd La relation entre Gabrielle et Keith est incohérente a mon sens, je m'explique : elles sont meilleures amies, mais elles demande dans quel école est l'autre (Gabrielle demande a Keith se qu'elle fait et inversement) d'ailleurs pourquoi ça fait 5 ans qu'elles se sont pas vu ? Gabrielle semble être importante pour l'histoire, décrit là, fait un grand paragraphe ou on fait le point sur Gabrielle, sa vie, la rencontre avec Keith...fait la présentation avec le lecteur ! En même temps que les amours de lycée si tu veux, comme sa tu as un "lien", après tu fais se que tu veux ! Pareil pour Keith, presente la nous, qui est elle ? Elle est timide, extravertie ? Tu as compris l'idée xd Sinon la fin est très cool, un soupçon de déjà vu, mais sa marche ! Bref, bonne histoire avec pas mal de petite erreur, bonne journée/soirée/nuit ;)
--> Soriianaa
Bonsoir (je suppose 😂) De rien ! Et je ne trouve pas ton histoire cliché (a vrai dire on ne connaît pas la suite donc on peut pas savoir), mais sur le coup, quand j'ai vu (plutôt lu)la fin de ton histoire, j'avais un « petit goût de déjà vu » (il faut dire que j'avais fini dans la journée une histoire d'un gros cliché ++++ ou le début était similaire au tien (la fille connaît le mec de sa meilleur ami, c'était son ancien meilleur ami à elle mais breeeef je m'égare)) donc j'ai direct fais le lien avec se que j'avais lu (ouuppps) donc je me suis imaginé la même suite (je m'autoproclame voyante) Mais je ne dis pas que les clichés c'est mal (sinon sa ne marcherai pas autant 😂) (J'ai beaucoup trop de parenthèses) Et ENCORE DE RIEN😂 Bonne soirée/dîner/nuit/matin 😂
--> _DarknessWhite
Bonjour/ Bonsoir / Bon déjeuné Je me présente, je suis l'auteure Ttaaddaamm ! Je te remercie déjà pour ces deux paragraphes ( que tu as écrit deux fois en passant alors bravo ! ) Je sais que y a pas mal d'erreur, ce chapitre date un peu x) Je vais le réécrire en utilisant bien tes conseils et d'ailleurs ils sont très bien ! Le seul truc que je n'ai pas compris c'est : Tu trouves mon histoire cliché ? Voilà sinon ENCORE MERCI ! Tu vas beaucoup m'aider pour avancer 😊 Bonne après-midi / midi / soirée 😂
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Soriianaa
Bonjour/soir/nuit J'ai survolé les messages précédents, je précise au cas ou. Alors, par quoi commencer? Ton histoire à un bon potentiel, mais mal exploité. Sur la forme : c'est pas mal, mais peu mieux faire. J'ai vu pire, et j'ai vu mieux. Écrire une bonne histoire n'est pas simple (je n'en suit pas complètement voir pas du tout capable personnellement), cependant c'est quelque chose d'important, voir même primordial : une histoire bien écrite, aussi clichés, nul, déjà vu soit-elle, sera une bonne histoire, car l'écriture sera bien. Comme je l'ai déjà dis, en se qui concerne ton histoire, il y a pire, et il y a mieux. Je ne serai pas te donner tout les conseils pour écrire une histoire du tonnerre (je ne suis pas dramaturge éhéh) mais je peux t'expliquer ce qui (a mon sens) ne va pas. Ce ne sont pas des choses exceptionnelles, mais petite erreur par petite erreur, et bah sa fait beaucoup ! Il me semble que le commentaire d'avant détaille tes erreurs, alors je vais éviter de le répéter, mais je vais néanmoins te dire celle que (personnellement) trouvé les plus importantes. Déjà, les verbes sont mal employé : au premier paragraphe "j'articule" ne va pas, "articulais-je" correspondrait mieux par exemple (libre à toi de choisir le temps et les modes de tes verbes, mais ce que tu a mis n'est (je crois) pas correcte) Ensuite, les paragraphes. Les paragraphes, c'est bien, c'est agréable de lire un texte avec des paragraphes, plutôt que des gros blocs, c'est aéré, c'est cool. Mais tu en a mit beaucoup trop, au point qu'ils perdent de leurs sens (on m'a toujours appris que les paragraphes servent à structurer un texte, 1 paragraphe = une idée, un thème...) et utilisé trop de paragraphe, c'est comme manger trop de bonbons : il faut pas en abusé. Avoir un texte aéré est cool, faire des espaces c'est cool, mais c'est mal fait. Je ne m'étale pas plus sur la forme, je suis loiiiiiiin d'être une experte.
--> Soriianaa
Remarque : pour les paragraphes je dis sa mais je fais exactement la même chose xd
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Letmesharemyworld
#candidate Bonjour, Ce que je dis n'est en aucun cas empreint de méchanceté ou quoi que ce soit, c'est juste mon avis Je grince un peu des dents dès le début de ton texte : "La place est prise ? dis-je" et pas avec une virgule. Tu ne le savais peut-être pas, mais après un point d'interrogation/d'exclamation, on ne met pas de virgule pour l'incise. Je ne vais pas m'attarder là-dessus mais tu as fait ça dans ton texte. Je ne sais pas si le S de ESXU-SEZ-MOI est fait exprès ou pas, mais moi ça me dérange très fort. Juste après, "j'articule", la forme du verbe n'est pas vraiment correcte. Je pense que c'est articulé-je ou un truc comme ça, en tout cas c'est mieux d'inverser verbe sujet pour l'incise. Au passage, de grand geste devrait être au pluriel. Pour l'incise, après "La place est prise", au lieu de dis-je, je mettrai demandai-je, ça me semble plus logique vu que c'est une question. "L'étrange monsieur" j'éviterais de mettre ça. Déjà, pour introduire un personnage, je pense qu'il vaut mieux ne pas mettre monsieur. Tu ne dis pas à qui ton personnage parle et du coup, ça fait bizarre, j'ai mis un peu de temps à comprendre qu'il s'agissait de la personne à qui elle s'adressait. Je crois que dire "l'homme assis sur la banquette du train" serait mieux, le lecteur comprendrait plus facilement. Phrase suivante, "comme si une 3ème oreille me poussait" et pas à l'infinitif. J'ai du mal avec la structure du chapitre. Pourquoi à peine 1-2 phrases et puis hop, paragraphe suivant ? Il n'y aucun besoin de faire ça, en plus ça rendassez étrangement. Essaie de rassembler tes paragraphes, sauf si tu commences à parler d'autre chose. "Cela fait 20 minutes..." Si tu places cette phrase là, elle doit être au passé. "Pourvu qu'il ne sente las le saucisson..." et pas pourvu qui. "Catastrophe évitée" et pas évité. D'ailleurs, ce passage est assez brouillon. "Allez, viens" et pas vient. Bon, il y a plein de petites fautes comme ça donc je ne vais pas continuer comme ça. Suite après
--> _DarknessWhite
Bonjour ! ( je suis l'auteur ^^ ) Et bien déjà merci pour tes analyses car tu as prit du temps pour les faires alors MERCI Ensuite oui je sais que y a pas mal de faute au niveau orthographique et j'essaie de m'améliorer même si tu m'as déjà beaucoup aidé ! C'est vrai qu'au début j'étais un peu énervé de lire toutes ces remarques mais en fait j'ai fait le point avec mon cerveau et je suis finalement bien contente car ça va me permettre d'avancer alors merci encore une fois ! ^^ Je te souhaite une bonne continuation !
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Elkisa116
Bonjour, Niveau fautes d'orthographe et de conjugaison : *« en faisant de grand geste », si tu parles d'un seul geste, tu vas l'écrire : « en faisant un grand geste », et si l'action comporte plusieurs gestes, c'est « en faisant de grands gestes ». Au passage, le mot « geste » est surtout utilisé au niveau du corps pour les membres. Remplacer ce mot par « mouvement » pour un sens plus correct. *Comme si une troisième oreille « venait de pousser » (et non « me pousser » c'est de l'infinif) *Catastrophe évité (évitée, le participe passé s'accorde au féminin) *Les passants nous lancent des regards indiscrets avant de reprendre leurs routes « leurs routes » n'est pas au pluriel, chaque personne ne peut prendre qu'une route à la fois en principe. *Le paragraphe où tu décris la tenue de Gabrielle : attention à l'accord des adjectifs, c'est au pluriel, jolis/laissent parce tu parles de deux nu-pieds *« Je l'entends ouvrir la porte [...] une autre voix qui met inconnue « m'est » car c'est le verbe être, et « inconnue » parce que l'adjectif s'accorde avec voix qui est un nom féminin. Je ne vais pas toutes te les citer, mais ce sont principalement des fautes d'accord sujet/verbe, ou du participe passé. Pour ce qui est de l'intrigue à la fin, je trouve qu'il y a une belle retombée à la fin du chapitre (un peu clichée cependant), mais c'est dommage parce que ton texte est beaucoup trop long, et décrit surtout de l'action inutile et ennuyeuse. On attend tout le chapitre pour une seule intrigue, et on n'apprend pratiquement rien sur le caractère des personnages. Essaye de te concentrer sur eux, parce qu'un premier chapitre est souvent une scène d'exposition. Raconte un peu plus en détail le passé de l'amitié entre les deux jeunes femmes, et approfondis tes personnages en leur définissant un caractère, dès le premier chapitre, on doit commencer à s'attacher à certains personnages, faire connaissance avec eux...
--> Elkisa116
Il y a quelques petites incohérences et erreur de syntaxe « L'air est loin d'être pur avec toutes les saletés que dégagent les gaz du train mais ça fera l'affaire » Les gaz ne dégagent rien, tu peux dire : « l'air est loin d'être pur avec tous les gaz à effet de serre que dégagent les trains » et puis enlève le « mais ça fera l'affaire » parce que ton personnage n'a pas trop le choix de respirer cet air Dans le paragraphe où tu décris la meilleure amie de Keith, tu dis que ses nu-pieds sont ouverts. Sache que dans tous les cas, les nu-pieds sont des chaussures ouvertes, tu n'as donc pas besoin de le préciser qu'elles sont ouvertes. Il y a certains mots et expressions que tu utilises, mais que je trouve assez déplacées, comme quand tu parles pour la première fois de la meilleure amie de Keith, Gabrielle tu utilise « ma stupide meilleure amie » Primo, tu dévalorise Gabrielle en la qualifiant dès le départ de stupide, et secundo, tu fais passer Keith comme une mauvaise langue, où pour quelqu'un de superficiel. A voir si c'est un choix pour toi, mais si tu veux donner une image positive de tes personnages, mieux vaut ne pas les dévaloriser dès le départ. Pour ce qui est de « Babacool », c'est une expression très péjorative, le passage où tu décris le type de petits-amis qu'avait Gabrielle, c'est mieux que tu n'utilises pas cette expression qui est en plus clichée, car par la suite, tu dis que ce sont des drogués, aux vêtements larges, cools et qui dormaient tout le temps. L'expression Babacool définit avant tout des personnes au style de vie non violent, et contre les valeurs agressives, compétitives... Pour rester vers le même endroit, tu dis qu'ils sont « super gentils », c'est un peu trop familier, tu peux remplacer le « super » par un autre mot par exemple « très gentils » A un moment, tu utilises le mot « mec », qui est beaucoup trop familier, surtout si l'on ne le place pas dans un discours direct. J'espère t'avoir aidé, bon courage pour la suite ^^
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