Texte n°394

Prologue :

Peut-on vraiment choisir la mort ou la vie d'une personne ? Pour moi, on l'a décidé. Tout ça pourquoi ? Pour avoir aimé quelqu'un qu'il ne fallait pas, pour être le seul être vivant qui peut l'atteindre.

On se sert de moi, je le sais, mais si je pouvais faire marche arrière je ne changerais rien car il le mérite. Je l'ai aimé, je l'aime et je l'aimerais jusqu'à mon dernier souffle. Alors que les chaînes qui tiennent prisonnier mes poignets ensanglantés sonnent telle une mélodie funeste.

Des gouttes d'eau s'écrasent contre le sol. Je sens les larmes de sang s'écouler lentement de l'ouverture profonde sur ma cuisse. J'essaie de m'accrocher au lien car si je le lâche, il m'a prévenu que je m'étoufferai. Je ne sais pas où je suis, mes yeux sont bandés, je me sens terriblement seule, tellement seule.... Mes bras me font incroyablement souffrir.

J'allais lâcher d'une minute à l'autre, je n'en pouvais plus. Il m'as promis que je ne souffrirai pas longtemps. Alors que mes doigts lâchent les chaînes qui me tenaient en vie, je me sentie tomber dans le vide, suspendue par mes liens qui me scarifient les poignets, n'arrivant plus à respirer, les mouvements de jambes énergiques se furent plus lourds.

Je n'entends quasiment plus rien, ma vue se brouille. Je suis apaisée, je me sens m'en aller dans les profondeurs obscures de l'infinie sans lendemain. Alors que mon dernier souffle se sentie, une voix qui me parvient lointaine m'appelle,cette voix est celle d'un ange, peut-être que le paradis excite en fin de compte...

Chapitre 1 :

6 mois plus tôt, à la Nouvelle-Orléans ville de la Louisiane.

J'attendais, assise sur une chaise inconfortable. Mon cœur bat à chaque seconde qui passe. À attendre mon tour. J'ai peur, j'ai du mal à respirer. Je ne sais même pas pourquoi je suis venue, qui me croira ?

Des policiers passent devant moi, sans me jeter un regard, je me sens vraiment seule. Un homme d'une quarantaine d'années en uniforme amène un jeune homme menotté qui a l'air plus amusé par la situation qu'inquiet, il le fait s'asseoir devant moi. Il a une peau légèrement bronzée, des cheveux brun forcés en bataille, il a une barbe de trois jours et des yeux d'un bleu profond qui te fait fondre en un regard.

Il porte un t-shirt blanc avec un cuir noir ainsi qu'un jean noir et des baskets noires. Son regard se pose sur moi, et un sourire intimidant apparaît sur son visage, on peut voir ses belles dents blanches.

-Je sais que je suis beau mais tu peux arrêter de me mater. Je baisse les yeux, je me suis mise à rougir. Je le sens s'approcher de moi, j'ai qu'une envie à cet instant disparaître.

-T'as perdu ta langue ? Je l'entendis rire, il se moque sûrement de moi. Quel crétin celui-là, il pouvait être beau mais il n'avait rien dans la tête.

-Mais c'est qu'elle sait parlée ? Oh non me dite pas que j'ai parlée à voix haute. Pourvue qu'il n'ait pas compris ce que j'ai dit. Il rit de plus belle, sa doit sûrement l'amuser de me voir ainsi. On reprend à zéro tu veux bien. Je m'appelle Tyler, Tyler James et toi? Il me tendit la main que je ne lui rendis pas.

-Kaitline. Je lui répondis d'une voix timide et mal assurée.

-J'ai pas entendu, parle plus fort s'il t....

-Je m'appelle Kaitline ! Dit je avec un ton plus froid que je ne le pense en lui coupant la parole ce qui a l'air de l'amusé d'avantage.

-Enchanté de te connaître jolie demoiselle, tu es là pour quelle raison ? Cette fois-ci et pour la première fois depuis le début il n'a pas l'air de rire mais au contraire semble très sérieux.

-J'attends une amie. Rien qu'en voyant son regard je comprends tout de suite qu'il ne me croit pas du tout.

-Hmm. Il semble réfléchir puis son regard se pose sur mon poignet où la manche de mon sweat beige est remonté. On peut y voir des traces violacées, je remis vite ma manche en place. Tu t'es battu ? Me demande-t-il le plus sérieusement du monde, comme si ça l'intéresse vraiment.

-Non, je suis juste tombée dans les escaliers. Je prononce en baissant automatiquement la tête jouant avec les manches de mon sweat.

-Vraiment ? Tu ne t'es pas loupée. Sa voix reste impassible et même si je regarde mes mains je sens bien son regard me fixer.

-Euh oui, c'est un accident bête . J'esquisse un sourire en relevant vite fait les yeux avant de les abaisser une nouvelle fois.

-Alors pourquoi tu baisses les yeux quand tu dis cela ? Tu ne me mentirais pas, pas vrai ? Pour qui il se prend, il ne me connaît même pas et il me parle comme si j'étais une gamine de quatre ans.

-Et toi, pourquoi es-tu là ? Je lève les yeux pour le regarder tandis que lui refait son sourire arrogant.

-Hmm dit, que c'est une simple erreur. Je croise les bras sur ma poitrine curieuse de savoir comment il peut être menotté à cause d'une simple erreur.

-Ah oui ? Comment peut-on se retrouver ici par erreur ? Tyler se réinstalle sur sa chaise tout en continuant de me fixer ce qui me rend légèrement anxieuse.

-Apparemment j'aurais étais vu quelque part où il ne faut pas et vu que je n'ai pas d'alibi. Il se met à sourire, je lui rends son sourire pour la première fois depuis le début de notre conversation. Il m'amuse et réussit à me faire penser à autre chose.

-Tu as un très beau sourire. Il se rapproche de nouveau vers moi, je sens mes joues s'empourprer de nouveau ce qui l'amuse davantage.

-Euh merci, alors tu es innocent ? Ma question parut le surprendre mais il se ressaisit vite puis se réinstalle au fond de sa chaise.

-Qui a dit que j'étais innocent ? Prononce-t-il calmement en haussant simplement les épaules. Je n'ai juste pas d'alibi. Son ton nonchalamment me prouve bien que ce n'est sûrement pas la première fois que ça lui arrive ce genre de situation.

-Ça te dérange n'est-ce pas d'être en face de quelqu'un comme moi je me trompe ? Son ton provocateur commence légèrement à être agaçant.

-Pourquoi ça me dérangerait on ne se connait pas et après aujourd'hui on ne se reverra plus. Je me mords aussitôt la lèvre me rendant compte seulement maintenant de ce que je venais de dire.

-Ouais, c'est sûr. Il y a un blanc très gênant, ce qui me rend mal à l'aise.

-Et tu n'as pas trouvé d'alibi ?? Je peux voir dans ses yeux que ma question le surprend un peu mais il reprend vite son air arrogant.

-Le problème c'est que ce soir-là personne peut prétendre être en ma compagnie ce qui complique les choses. Il hausse les épaules ce qui me prouve bien qu'il n'en a rien à faire d'être ici.

-Et c'était quand ?? Je me surprends moi-même à être de plus en plus curieuse à son sujet.

-Qu'est-ce que ça peut te faire ?? Prononce-t-il sans aucune méchanceté mais plus avec curiosité de savoir pourquoi je veux savoir.

-C'était juste par curiosité excuse-moi. Je baisse de nouveau les yeux vers mes pieds tout en me mordant nerveusement la lèvre inférieure.

-C'était le 30 août. Me répond-il simplement tout en me fixant davantage.

-Au faite, c'est qui ? La personne qui t'a agressé ? Je le vois s'avancer vers moi doucement avant de passer ses mains sous mon menton pour m'obliger à le regarder droit dans les yeux mais je me dégage aussitôt de son emprise.

-Personne, je suis tombée dans les escaliers je te l'ai dit. Je réponds froidement, ça ne le regarde absolument pas.

-Je ne te crois pas. Dit-il sèchement, il prit une grande inspiration et continua plus doucement.

Ce sont des personnes de ton lycée ? Je fixe le sol, je ne pouvais pas le regarder. Hmm, tu le connais, ce sont tes potes...? Je ne lui réponds toujours pas ce qui commence à l'agacer même si il essaie de ne pas me le montré. Ta famille... ?

Je relève instantanément mes yeux vers les siens, il me regarde et je ne peux m'empêcher de fixer ses yeux. C'est comme si les miens c'était bloqués dans les siens, il s'avance lentement vers moi.

-C'est quelqu'un de ta famille, c'est ça ? Mon visage devient livide j'ai l'impression de chuter de dix étage, j'arrive à peine à avaler ma salive.

-Je...euh...Je ne répondis pas, incapable de dire le moindre mot, ils restent bloqués dans ma bouche.

-Mademoiselle Soyer. On tourna nos têtes vers l'homme qui vient de m'appeler, il porte un uniforme et fait assez vieux.

Je me dirige vers l'homme après m'être levé doucement quand soudain je sens mon poignet être retenu par une personne. Tyler me fixe et me dit doucement.

- N'est pas peur ni honte de dire la vérité mais fais attention à lui. Il me montre le sergent qui lance un regard noir à Tyler. Je lui fais un signe de tête positif et part avec l'agent dans son bureau.

Les murs sont de couleur claire avec pleins d'articles de journaux accrochés dans des cadres. Il y a un bureau en bois ainsi que des chaises. Il me fait m'installer sur celle en face de lui.

-Alors Mlle Soyer, que puis-je faire pour vous ? Sa voix est autoritaire et froide ce qui me donne aucune envie de me confier à lui.

-Je... Les mots reste bloqué au fond de ma gorge, c'est comme si il était derrière moi m'empêchant de parler librement alors qu'aux fond de moi je sais très bien que je ne crains rien.

-Oui ? Demande-t-il impatient tandis que les bout de ses doigt frappe avec énergie son bureau.

-Je voudrais porter plainte. Prononcé-je doucement en me mordant la lèvre, j'ai l'impression que mon cœur va exploser dans ma poitrine tellement il bat fort.

-Contre qui ? Souffle-t-il exaspéré désormais.

-Mon père. J'ai prononcé ces mots en un murmure, que seul moi ai pu entendre.

-Pouvez-vous parlez plus fort s'il vous plaît.

-Je voudrais porter plainte contre mon père. Cette fois ma voix est plus assuré et ça me soulage tout de suite de l'avoir dit c'est comme si un poids en moi avait disparu.

-Ah... et pour quelle raison ? Je crois que c'est la première fois que ce que je vais dire l'intéresse vraiment.

-Je... Je sens les larmes me monter, je ne voulais pas pleurer, pas pour lui. Il me bat.

-C'est grave comme accusation vous savez mademoiselle soyer. Il croise les doigt avant de les positionné devant sa bouge comme ci il réfléchissez. Il vous frappe souvent ? Je hoche positivement la tête, je le vois réfléchir de nouveau puis il posa ses yeux sur moi. Son regard est dur, il me fait presque peur. Vous savez, faire une fausse plainte est puni par la loi?!?

-Je ne mens pas. J'ai parlé plus durement que je ne l'avais voulu mais je suis énervée et frustrée qu'il me traite de menteuse.

-Vous allez baisser le ton avec moi, jeune fille! Il se pinça l'arrête nasal et respire un bon coup avant de reprendre la parole.

-Avez-vous des preuves à ces accusations ? Je relève les manches de mon sweat et lui montra les nombreux bleus et marques que j'ai sur les bras.

-C'est ça vos preuves ?!? Prononce-t-il en souriant avant de s'enfoncer dans son siège.

-Euh. Oui, elles sont visibles. Je remets ma manche en place en comprenant petit à petit qu'il ne fera absolument rien pour m'aider.

-Cela ne prouve en rien que ce soit votre père qui vous ai fait ça. Prononce-t-il calmement en esquissant un sourire au coin.

-Mais c'est lui, je vous le jure. Ma voix est étranglée par les sanglots, les larmes me montent aux yeux comprenant que je suis venu ici pour rien.

-Écoutez, ce sera votre parole contre la sienne, tout le monde en parlera, vous serez la risée du quartier, et...

-Vous ne me ferez pas changer d'avis. Prononçais-je tandis que je viens du coupé ce qui n'a visiblement pas du tout plu au sergent

-Vous n'avez rien. Revenez quand vous aurez de vraie preuve. La tristesse est largement dépassée par la colère que je ressens envers lui, il ne va rien faire. Tyler avait raison...

-Ce sera tout ? J'allais lui répondre oui, quand je me rappel de la conversation avec Tyler, une idée me vient si il ne veut pas m'aider alors tant pis pour lui.

-Non, je voulais aussi dire que j'étais avec Tyler James, le soir du 30 août alors il est impossible qu'il puisse être vue autre part. Je ne sais absolument pas ce qui m'a pris mais c'est trop tard de toute façon... On était ensemble toute la nuit. Il me regard de travers sachant pertinemment que je lui mens ouvertement.

-Vous savez que faire...

-Oui, je le sais. Le coupais-je une nouvelle fois en le regardant dans les yeux.

Commentaires :

Lallyhammer
baissant et jouant :2 participes présent dans la même phrase : trop lourd : modifier

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Lallyhammer
est remontéE, je remets (pas je remis) battuE comme si ça l'interessAIT

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Lallyhammer
l'amuser

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Lallyhammer
Dis

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Lallyhammer
Idem pour le problème de la concordance des temps. On passe du présent au passé, ça ne va pas du tout. Comment fait Tyler pour serrer la main de la fille, puisqu'il a des menottes ? L'incohérence ici tient un bon bout de texte. Ce type qui est amené menotté, ne peut certainement pas discuter avec qqu'un qui attend son tour au commissariat... Je crois qu'il faut très vite : - Relire ce texte en y apportant les corrections orthographiques, de conjugaison (BLED, et BESCHERELLE sont tes amis, autant que GOOGLE), à ce stade ça n'a pas été relu. - Modifier les incohérences, qu'au moins ce soit plausible. (les menottes, la plainte pour enfant battu : elle est toujours prise, d'abord on prend la plainte, puis les vérifications se font ensuite. Il s'agit dans un premier temps de mettre l'enfant en sécurité et ça se fait immédiatement. Nuit, week end peu importe. L'enfant est immédiatement extrait du lieu dangereux et confié à une famille d'accueil). Bon courage

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Lallyhammer
Bonjour et merci pour ton texte. Prologue : 1° beaucoup de faute de temps, tellement qu'on ne comprend pas toujours ce que tu veux dire. Faute de verbe aussi : exister et différent de exciter .... Le dictionnaire te le prouvera ! Concordance des temps : tu mélanges le présent et le passé, et ainsi de suite, le passé dans le passé .... §3 il m'a prévenu que je m'ettoufferai : il m'avait prév... que je ... 1ère phrase : on pige pas de quoi tu parles. Ce « qui peut l'atteindre » ne va pas. Le « l' » n'est pas explicite. Pour l'utiliser il faut qu'on sache en amont de quoi/qui tu parles. Chap 1 : Dans le dialogue - Tu as perdu ta langue... Il n'y a pas la ponctuation qui permet de comprendre qu'il s'agit d'un dialogue (lorsque la fille parle sans s'en rendre compte). Chaque dialogue commence par un tiret cadratin ou demi cadratin et tu dois revenir à la ligne à chaque fois. - Bonjour, - Bonjour - Vous allez bien ? dit il à voix basse. - Ça va bien oui merci, répondit elle.... Bon c'est un ex bête, mais c'est comme ça que ça se lit...

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beacelianoah
Salut et merci à l'auteur pour nous avoir présenté son texte. Commentaire Général : Alors, mon ressenti quand à l'histoire : Je suis... Partagée. Il y a beaucoup, beaucoup de points à revoir qui donnerai à ton texte cette fluidité et cette profondeur qui anime pour tourner la page : - L'orthographe : il y a pas mal d'erreur et beaucoup de faute de conjugaison. Je pourrais même dire que tu n'as pas relu ton texte et que cela pourrait être un premier jet. Ce qui me fait dire ça : tu m'excuseras mais j'ai écarquillé les yeux et souris en voyant cette erreur : "peut-être que le paradis *excite* en fin de compte..." = Je ne pense pas que tu ais relu et que ce verbe colle à la phrase ? - La conjugaison : pas mal d'erreurs et une mauvaise concordance de temps. Passé ou présent il faut choisir mais les deux à la fois, ça fait cafouillis !!!! ( ça veut dire bordel en provençal !) - La forme : Tu dois revoir tes incises c'est primordial ! Tu ne reviens pas à la ligne et tu continues ton paragraphe à la suite de ton dialogue sans changer de ligne. Du coup on est perdu et il faut repérer Qui parle ! C'est blasant et pas fluide et j'ai failli arrêter ma lecture. Parfois, il manque même le tiret du dialogue. - Pour ce qui est du style, je laisse le soin à mes collègues de s'étaler sur le sujet. Pour ce qui est du fond : Pourquoi je l'ai lu jusqu'au bout malgré toutes ces erreurs ? Parce qu'il y un je ne sais quoi dans le transfert des émotions. J'ai réellement senti la jeune femme fragile et lui je l'ai perçu comme une petit caïd et cela donne du corps à tes personnages. Pour la cohérence : On est dans du pur cliché : Cliché de l'amour interdit et destructeur, de l'enfant battu et faible, cliché de la rencontre, mais comme on m'a dit il n'y a pas longtemps : Même un cliché, s'il est très bien écrit et qu'il nous fait éprouver, passe et passe même très bien. Mais le problème avec le cliché, c'est que la fin se devine facilement, donc ... B. 1/1

--> beacelianoah
2/1 Il faut une fin qui ne peut pas se deviner et laisser une chute à t'en faire décrocher la mâchoire. On continue avec la cohérence : le passage chez les flics et limite. Ils ne peuvent pas refuser une plainte mais peuvent demander des certificats médicaux qui attestent de la présence des coups. Et tu ne peux pas donner un alibi comme ça sans preuves et renseignements sur les lieux et les actions faites. J'ai trouvé cette partie un peu légère. Tu parles d'enfants battus qui est un sujet lourd, j'espère pour toi que tu maîtrise le sujet car les incohérences surgissent instantanément si tu écrits ce qui te passe par la tête. Une dernière chose : à la lecture de ton prologue, j'ai eu quelques doutes sur le passage où elle est attachée. Pourquoi faut-il faire souffrir physiquement en amour ? Tout accepter par amour ? Je ne suis pas convaincue !! Et cette partie m'a intriguée et en même temps, je me suis dit "encore" !!!! Voilà, pour ce chapitre. Il n'en ressort pas que des point négatifs, au contraire. Tu dois retravailler beaucoup de points cruciaux dans l'écriture et fait moi confiance, je sais de quoi je parle !! Une fois que tu auras un début de maîtrise, je pense que tu peux faire de bons textes qui font ressentir :) Accroche-toi, relis-toi, sers-toi de soutien pour l'ortho, conju... Et au mieux, essaie de trouver un Béta lecteur, qui repèreras une partie de tes fautes et de tes incohérences. Bonne continuation. B.

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