Chapitre I
Flashback
- À l'aide ! S'écrit-elle , venez m'aider s'il vous plaît ! Elles était descendu d'un taxi qu'elle devait avoir louée, à ces côtés un homme d'une trentaine d'années semblable à une loque. Son aspect était très effrayant et déplorable, son corps était recouvert d'un tissu de pagne qui ne cachait que ses parties génitales et son torse.
Les membres visibles de ce corps presque sans vie étaient répugnantes, sa peau semblait avoir été mise au feu, elle était d'un jaune pâle un liquide gluant en ressortait et une odeur nauséabonde émanait d'elle. Cet homme à l'apparence affreuse, horrifique paraissait sans vie lorsque deux infirmières sont arrivées à la rencontre de ces individus.
- Aidez mon frère, il est ma seule famille je vous en prie.
La demoiselle pleurait à chaude larmes, elle était tellement désespérée et parlait à peine.
Pendant que les infirmières et la jeune femme se tracassaient à faire sortir le malade du véhicule, une troisième infirmière arrivât avec un brancard pour le transporter. C'est avec difficulté que ces dernières arrivèrent à positionner le trentenaire sur le brancard et le transporter à l'intérieur de l'hôpital sous les lamentations de son accompagnatrice.
Une fois à l'intérieur le docteur l'occultât et remit une ordonnance à la femme toujours en pleure. Elle fesait des vas et viens incessant dans le couloir rien n'arrivait à la maintenir en place.
- Madame, il faut que nous fassions certains examens à votre ami... Il ne finit pas sa phrase que la jeune femme le coupa.
- Mon frère, c'est mon frère docteur. Dit-elle nerveuse.
- D'accord votre frère doit passer des examens afin que nous puissions savoir de quoi il souffre.
- C'est grave docteur ? Demande t'elle
- Je ne saurai vous répondre avant les résultats du laboratoire. Voici la facture vous devez la payer à la caisse. Dit-il en tendant ledit document.
La femme se crispa en voyant le montant ;
- Docteur je n'ai pas cette somme sur moi pouvez-vous patienter le temps que j'aille à la maison la chercher ? Demande t'elle.
Elle était pitoyable et l'homme en blouse manquait de fondre en larmes, compatissant, il esquissa un sourire triste avant d'accepter la proposition de cette dernière. Celle-çi se précipita vers la sortie en direction de son domicile sans perdre une minute.
Au bout de trente minutes elle était de retour et allât dans le bureau du docteur qui prit l'argent avant de prendre congé d'elle la laissant se noyer dans le chagrin, l'incertitude, l'inquiétude , un brouillard total.
Seule, elle se mit à prier dans le couloir implorant tout les saints de veiller sur son unique famille et le maintenir en vie. Assise, le visage caché entre ses genoux, elle se contentait de pleurer toutes les larmes de son corps.
Il était dix-neuf heures, quatre heures s'étaient écoulées depuis le départ du docteur pour le laboratoire. Quatre interminables heures où elle n'avait rien bu ni mangé, toutefois elle avait cessé de pleurer seuls des prières et supplications sortaient de sa bouche.
La fatigue gagnait peut à peut son corps, ses paupières se fermaient tant bien que mal jusqu'au moment où un homme en blouse se plaça devant elle, c'était le docteur ;
- Comment vous appelez vous mademoiselle ? Demande-t-il
- Anne docteur. Répond-elle en se levant, l'impatience pouvant se lire dans son regard l'homme en face d'elle s'empressa alors de dissiper ce nuage d'ombre présent dans l'esprit de celle-ci.
- Et bien mademoiselle Anne, les résultats du laboratoire ne montrent aucun virus dans son organisme, pourtant son état à l'air critique.
À l'entente de cette annonce, des larmes ruissellèrent le long de ses joues avant de s'écraser sur le sol.
- Nous ne savons pas s'il mourra ou s'il vivra, nous ne le savons pas encore soyez patiente pour le moment et disponible au cas où nous devrions faire passer d'autres examens à votre frère. Répond-il d'un air désolé.
Il essayait de la rassurer du mieux qu'il pouvait même si au plus profond de son être il était plus confus qu'elle il en avait vu des cas mais jamais comme celui-ci.
- Nous l'avons transféré dans une autre chambre vous pouvez aller le voir. Ajoute-t-il en la fesant signe de le suivre.
La jeune femme ne se fit pas prier et suivit l'homme jusqu'à la chambre où elle trouva son frère dans un état pitoyable. Elle resta plusieures minutes devant la porte avant de franchir le cap.
Fin du flashback
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"Voici ce qu'il en est du premier chapitre, à titre de rappel les thèmes évoqués son relatif au continent toutefois, les personnages et les situations sont totalement fictives.
Merci"
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