Pov Sirius :

 Alors que je pariais sur la raison de la discussion entre Lily et James, j'entendis quelqu'un arriver en courant. Là, je vis James pleurer à chaudes larmes. Si c'était Lily, j'allais la tuer !

Remus : Vas-y, Pads...

Je me levai et allai le voir...

Sirius : James... Qu'est-ce qui se passe... ?

James était recroquevillé sur son lit. Voyant qu'il ne répondait pas, je m'approchai massivement de lui et commençai à lui caresser les cheveux. Je savais que c'était la seule chose qui pourrait le calmer. Alors, Prongs, dis-moi...

James : Je... dit-il en pleurant... C'était une "blague", je suppose...

Sirius : Qu'est-ce qui s'est passé, James... ?

James : Elle... Elle m'a dit qu'elle était amoureuse de moi... Et quand j'ai voulu l'embrasser, elle a reculé. Les Serpentards étaient là, ils m'ont dit que j'étais ridicule et...

Sirius : Et... ?

James : Et elle a dit que c'était une blague, qu'elle ne serait jamais amoureuse de moi, dit-il en recommençant à pleurer.

Sirius : Ça va aller, James, je te promets...

J'attendis qu'il s'endorme puis je rejoignis Remus.

Remus : Alors ?

Je lui racontai, et il était vraiment en colère.

Remus : Quoi ! Je te jure, si elle vient me voir, elle a intérêt à avoir une explication... !

Pov james : 

J'étais dans mon dortoir, Sirius était venu me réconforter puis il est parti. Sur ce, je m'endormis, les yeux embués de larmes.

Pov sirius : 

Le lendemain matin, James était toujours au fond du trou. Je me rendis donc seul avec Remus au cours de métamorphose.

McGonagall : Monsieur Black, où est Potter ?

Alors que je remarquais Lily dans la pièce, je croisai son regard. Lui lançant un regard noir insistant, je répondis :

Sirius : Peine de cœur, madame...

McGonagall : Oh, je vois. Eh bien, dites-lui que ce n'est pas une raison pour manquer les cours...

Sirius : Oui, madame...

À la fin du cours, je fonçai sur Lily.

Sirius : Tu es fière de toi, Lily !

Lily : Je...

Sirius : Tais-toi ! Il ne te suffisait pas de refuser ses avances ! Il fallait que tu lui brises le cœur pour de bon. Je ne t'aurais pas cru capable de ça, Evans ! Il t'aime sincèrement depuis toujours, il avait même décidé de te laisser tranquille car il disait que les sentiments, personne ne pouvait rien y faire. Et toi... tu me dégoûtes, Evans ! Sur ce, je partis furieux.

corrigé le 17/07/2024