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?!:Crie et je te jette par la fenêtre de ma chambre.

Moi :...

J'ai avalé ma salive. Comment vous dire. J'étais effrayée. C'était un gars. Bien sûr. Mais Non . C'est pas normal. Non Dilara tais-toi !! Je ne bougeais pas. À vrai dire , j'étais apeurée.

Lui : Tourne.

. J'ai récité une mini sourate puis je me suis retourné pour le regarder.

Ça y est. J'avais pas vu son visage , auparavant, à cause de sa cagoule mais j'étais sur que c'était lui à cause de sa tenue de chambre. Déjà pourquoi il a toujours sa cagoule ?

Il était grand, très grand genre 1m90 ou 92. Je lui arrivais au niveau du torse , un tout petit peu. Je ne voyais que ses sourcils , ses yeux et ses lèvres.

Pourquoi il avait une cagoule ? C'est... bizarre.

Il me fixait longuement. Je peux pas décrire ses émotions comme je suis pas "Lui" mais son regard était trop insistant .

Il faisait peur, très peur. Il me fixait droit dans les yeux sans même les clignés.

Lui : T'es qui ?
Moi :..
Lui : PARLE !,dit-il en criant.

J'ai sursauté. Il criait super fort. Je crois même mon père n'avait pas autant sa voix tellement était grave. Il avait le regard toujours persistant. J'ai soulevé mon index droit et je lui ai montrer son bras qu'il avait mis sa main sur ma bouche.

Il m'a regardé genre 5min comme ça puis il a enlever sa main et m'a fait signe de parler.

Moi : Je....
?!:Alors ? T'es qui ?, dit il , le regard toujours posé sur moi.
Moi : Je..L'a... L'accident.. Moi...je...
?!:Tu ?
Moi : C'est moi qui t'es renversé.

Il m'a regardé puis il m'a lâché. Il s'est retourné un peu courbé puis il s'est assis sur le lit. J'ai pris 2min pour me reprendre . J'ai fait un pas en arrière pour plus de sécurité. On était face à face maintenant.

Lui: T'es là pourquoi ?

Moi : Je.. Je suis venu voir..

Lui: Me regarde pas dans les yeux.
Moi : Co... Comment ?

Lui : PUTAIN ME MATE PAS DANS LES YEUX !?!

Il s'est levé d'un bon puis s'est approché dangereusement de moi et il m'a plaqué au mur. Il est malade. Oui il est malade.

Lui : Tu baisses les yeux ok ?
Moi :*Oui de la tête*
Lui : T'es là pourquoi ?
Moi : Je...je suis venu voir comment t'allais ? Je t'ai percuté et je voulais voir comment tu allais.

Il m'a regardé choqué puis il s'est retourné. Il a commencé à parler seul, à se gratter le bras, j'ai pas compris ma vie. Il s'est retourné puis il s'est approché de moi une seconde fois. Cette fois il a mis sa main sur mon cou.

Lui : T'ES QUI ! ? !
Moi : Je suis..
Lui : TAIS-TOI !
Moi :... !

Puis il s'est retourné. Il disait : Non tu fais rien.. Fait rien.. Fait rien... Et après il a sorti : C'est celle qui t'a renversé.
Genre il était pas seul dans sa tête. Il est allé vers le lit puis il a commencé à chercher quelque chose.

Il a sortir un truc et il s'est assis sur le lit. C'était de la DROGUE ! Je vous jure, il tremblait pour s'attacher le bras. J'arrive pas à y croire. Il se drogue.

Il allait se piquer mais j'ai couru vers lui et j'ai arraché sa main.

Lui : DONNE !
Moi : Non.. C'est pas..
Lui : RENDS-MOI ÇA ! RENDS-MOI ÇA MERDE ! !

Il faisait peur. Il voulais la seringue . Il m'avait attrapé le poignet alors je lui ai donné un coup de pieds et j'ai jeté la seringue .

Lui : POURQUOI T'A FAIT ÇA ? ! ? POURQUOI ! ? !
Moi : Je.....

Il m'a mis une balayette. Je suis tombé . Il m'a soulevé par les cheveux.

Lui: POURQUOI T'A FAIT ÇA ! ? ! ?

Il a donné plusieurs coups violents au mur. Il s'est retourné vers moi et j'ai couru vers la porte. Je suis sorti  en courant. Je suis allé à la réception appelé l'infirmière qui m'avait accompagné à sa chambre.

Elle : Qu'est ce que t'a ?
Moi : C'est.. C'est un ...
?!:ELLE EST OÙ ? ! ?
Elle : Merde. GEORGES ! ! !
?!: REVIENS ICI ! AHHHH LÂCHEZ MOI PUTAIN LÂCHEZ MOI ENFOIRÉ !

Plusieurs infirmiers sont rentrés dans la chambre. Je suis allé me cacher dans les toilettes et j'ai commencé à pleurer.

J'étais tétanisée. Qui m'a envoyé de faire ça ? Qu'est-ce qui m'a pris ? Je pleurais, je suffoquais. Je me tapais le visage. J'aurais dû m'en fuir et le laisser tranquille. Mais en même temps prendre une drogue dans un hôpital.

Mon téléphone s'est mis à sonner dans mon sac. Je l'ai sorti... les mains tremblantes.Je regarde, c'était Renan. J'ai essuyé mes larmes et j'ai répondu

Moi : A..Allô ?
Renan : T'es où ? Je te cherche partout. Baba attends en bas.
Moi : J..J'arrive.
Renan : Fait vite alors.

J'ai raccroché puis j'ai essuyé mes larmes. J'ai sorti mon fond de teint et je me suis arrangé. Je suis sorti et je suis descendu comme ci de rien était . J'ai pas voulu passer par la chambre de l'autre là. Enfaite, j'aurais pas dû venir.

Renan et mon père attendait devant ma voiture.

Baba : T'étais où toi ?

Moi : Je.. Je faisais le tour.

Renan : Sérieux ?

Moi : Oui excusez-moi. On y va ?

Renan : On part dans un restaurant chinois! Rezan elle sera trop jalouse. J'imagine même pas la tête de Mama .

Baba : Bon on y va ?

Moi : Oui.

Pendant le trajet, je parlais pas. Encore choqué par les événements.

?!: DILARA !

J'ai sursauté. Aujourd'hui ils veulent que je fasse un arrêt cardiaque.

Baba : Merci Renan.

Renan : De rien tu nous écoutais ?

Moi : Non.

Baba : Elle me plaît ta voiture. J'ai envie de la récupéré.

Moi : Et...Et la tienne ? Disais-je la gorge nouée.

Baba : Elle me plaît plus. C'est elle la rivale de votre mère maintenant.

Renan : Elle va te tuer. Dilara donne pas ta voiture.

J'ai juste fait un petit sourire. Il a continué de parler de voiture.

Ma mère, elle déteste les voitures de mon père. Il les prends comme ses bébés sérieux. Je me rappelle qu'avant, quand on était petit et qu'on mangeait dans sa voiture , il nous faisait la crise du siècle.

[...]

Arrivé au restaurant, un serveur s'occupa de nous. Il y avait une bonne ambiance. Ils me parlaient mais je répondais pas trop. J'étais plus dans mes pensées . Je me ressassais tout ce qui s'est passé il y'a moins d'une demi heure .

Si j'avais pas fuir, il allait me tuer. Ce gars est un malade mentale. Il se drogue. Peut-être que j'aurais pas dû réagir de la sorte mais je pouvais pas non plus le laisser se piquer devant moi.

?!:Dilara..

J'ai tourné la tête vers eux.

Moi : O...Oui ?

Baba : Tu pensais à quoi ?

Moi : Rien. Je suis juste un peu fatiguée.

Renan : On a rien fait.

Baba : Et ton boulot ? Ça va ?

Moi : Oui. Tout se passe bien.

Renan : Qu'est-ce que t'as au bras ?

Moi : Où ?

Elle m'a montré un bleu. J'étais choquée. Il s'était formé lorsque l'autre m'avait serré le poignet. J'avais même pas remarqué.

Renan : Alors ?

Moi : Je ... je...me suis fait ça au bureau.

Baba : Comment ?

Moi : Je stressais.. Je stressais à cause d'un contrat c'est tout.

Baba : Oui mais comment ?

Il me regardais. Il me croyais pas. J'ai lâché un petit rire.

Moi : Ça va baba. Je l'ai fait accidentellement. Ça m'arrive.

Il a froncé les sourcils.

Moi : Tout va bien.

Baba : Montre pour voir

Moi: Ça va. Juste un petit bobo.

Renan : Oui mais tes mains sont toutes tremblantes.

Je l'ai regardé puis je me suis regardé.

Moi: Je me suis souvenu d'un mauvais truc

Mon père et ma sœur se sont regardés.

Moi: Non c'est rien. Juste... juste un film que j'ai regardé qui me rappelait un truc

Renan : Tu mens mal

Moi: Si. C'était un film de Djinn et vu que je serai seule à la maison

Renan : Je peux venir chez toi.

Moi : Non pas besoin. On mange ? J'ai faim.

Je vous passe le dîner. Mon père faisais que me regarder. Il se doutait d'un truc et moi j'essayais d'être naturel. Je suis rentré à la maison après. Ma sœur voulait venir mais comme elle avait son cours demain. Bref, une fois rentré, j'ai pris un bain.

J'ai fait un plat vite fait puis j'ai commencé à travailler sur mon ordinateur. Travailler, travailler travailler. Voilà ce que je faisais pour tout oublier.

[...]

Moi : Merci monsieur.

Mon patron : Non c'est à moi de te remercier. C'est du bon boulot . J'avais raison de venir avec toi en France. Bon passez une bonne fin d'après-midi. Faut que je file.

Moi : Oui bonne journée,disais-je en souriant.

Je suis sortir du bureau de mon patron et j'ai rangé mes affaires. Quand je pense que j'allais partir à la maison pour retourner chercher ma mère avant d'aller chez la mère de Karil.

J'ai dis au revoir à mes nouveaux collègues et je suis partir. Dans la voiture, je réfléchissais à la réaction de la mère de Karil ? Je suis partir 3 ans sans donner de nouvelles comme ça.

Et la revoir allait me rappeler mon passé pourtant je voulais pas m'éloigner d'eux.

Arrivé chez moi, j'ai pris une douche et je me suis changé . J'ai mis un jean avec un pull à laine. J'ai mis mes bottines et mon manteau

Pour la coiffure, une queue de cheval suffisait. .

[...]

Je vous passe le trajet jusqu'à l'appartement de mes parents. J'ai récupéré mes parents

Mama : Ça va ?

Moi : Oui et toi ?

Mama : Ça va. C'était bien au boulot ?

Moi : Oui.

Durant le trajet, je lui ai expliqué ma journée au travail . 30min plus tard, on est arrivé dans une cité. Elle était un peu vieille que celle de mes parents.

Mama : Gare ici. C'est là.

J'ai garé devant un bâtiment.

Mama : Toi au moins tu sais conduire pas comme ton vieux père et ton frère.

J'ai éclaté de rire avant d'enlever ma ceinture et de récupérer mon sac à l'arrière.

Moi : Ils conduisent mal ?

Mama :Ils savent même pas que le feu rouge signifie s'arrêter. Pour eux, rouge ou vert c'est pareille.

Moi : T'abuse

On est descendu et j'ai senti une boule au coeur. J'étais partie comme une lâche après le décès de Karil.

On est rentré dans le bâtiment, il était vide.. On a pris l'ascenseur et on est monté.

Mama : Les gens d'ici nettoient jamais l'ascenseur n'importe quoi.

Moi : C'est bon maman.

Mama : Mais c'est vrai.

Elle a fait que parlé dans l'ascenseur. En plus, il était lent. Une fois arrivé devant leur porte, ma mère sonna et c'était la mère de Karil qui vint nous ouvrir. Je l'ai reconnu à cause de sa voix.

Comment vous dire ? Elle avait vieillit. C'est normale , les années passent.3 ans c'est peu et long à la fois.Elle m'avait pas reconnu. Elle a salué ma mère.

Khelti Esmah : Astaghfirullah une revenante.

Ma mère : Exagère pas aussi.

Khelti Esmah : Tu viens plus me voir. C'était quand la dernière fois ?

Ma mère : J'étais occupé. Toi même tu sais.

Khelti Esmah : C'est vrai. C'est..

Ma mère : C'est Dilara.

Khelti Esmah : Di...Dilara.

Moi : Oui Khelti , Salem Aleykoum.

Elle m'a serré dans ses bras en pleurant. J'ai pas pu m'empêcher de pleurer aussi. Je m'étais promis de pas pleurer surtout quand nous sommes rentrés et que j'ai vu les photos de Karil au mur. Je me rappelle de chacune d'entre elles .

*Flashback*

Je revenais des cours. J'avais eu un 03 en maths. Comment j'allais expliquer ça à mes parents surtout mon père.

?!:AH NON !

?!: Ta gueule, on dit photo de famille gâche rien.

Moi : Qu'est ce qu'il y a ?

Yuna : Mama l'a appelé pour prendre une photo de famille mais il veut pas.

Karil : Je fais pas ça moi.

Yuna : Mais Oui. Essaie de le convaincre.

Karil : Non.

Moi : Mais c'est juste une photo.

Karil : Ouais veste et tout ça. Non je veux pas.
?!:KARIL ! T'A 2S POUR METTRE LE COSTARD TOUTE SUITE

Moi : Bonjour Khelti.

Khelti : DIS LUI DE MONTER. TOI AUSSI TU VIENS.

Moi : Moi ?

Khelti : OUI !

J'ai regardé Karil . Yuna est monté avant nous.

Karil : C'était bien les cours ?

Moi : T'a pas entendu ta mère ?

Karil : Laisse tomber. Alors ?

Moi : J'ai eu 3 .

Karil :3 en quoi ?

Moi : 3 en maths. Je suis morte.

Karil : Comment t'as fais ? T'es si nul que ça ?

Moi : Karil!

Karil: Ton père, il va te tuer surtout qu'il aime les maths.

Moi : Merci Karil pour ton soutien.

Karil : Mais t'inquiète pas bébé . Ça va aller.

Moi : 3 c'est la moyenne.

Il m'a regardé choqué avant d'éclater de rire.

Karil : Au moins je suis pas le seul nul en maths.

Moi : C'est pas drôle.

Karil : Mais c'est vrai wesh. Vas-y oublie.

Moi : Hm..

Karil : Viens, t'inquiète,ton père, il va ri... Enfaite, il va juste te gronder et c'est tout.

Je suis allé dans ses bras.

Karil : Tu veux pas qu'on sorte ?

Moi : Pour aller où ?

Karil : Je sais pas mais loin d'ici. Je t'emmène manger ou au cinéma mieux faire les boutiques ? je vais t' acheter plein de trucs.

Moi : Karil ?

Karil : Dis pas non. C'est pour te changer les idées.

Moi : Je sais ...

Karil : Mais

Moi : Ta mère arrive.

Khelti : SI L'UN DE VOUS OSE COURIR ! Y aura plus de tajine pendant 1 mois.
Karil : C'est bon.

Elle s'est approché de nous et elle nous a fait monter en nous tirant les oreilles.

Khelti : QUAND JE VOUS PARLE, VOUS M'ÉCOUTEZ JAMAIS !

Karil : Smeh..

Khelti : Y'A PAS DE SMEH !

Karil : Tue pas ma femme wesh, elle a rien fait.
Khelti : Ta gueule Karil tu la fermes !

Karil : Ah ouais sisi le français.

Elle lui a donné une petite claque à la tête. Arrivé chez eux, Karil est allé se changer.

Khelti : T'a vu comment il me fatigue ?

Moi : Oui.

Khelti : Et tes parents ?

Moi : Khelti, en parlant de lui, il va me tuer, j'ai eu 3 comme moyenne.

Khelti : AH WILI WILI C'EST À CAUSE DE KARIL ?

Karil : C'EST TOUJOURS MOI !

Khelti : KARIL JE VEUX PLUS T'ENTENDRE

Moi :Lol

Khelti : Tu l'a vu lolo ?

Moi : Non pourquoi ?

Khelti : Bah t'a dit lolo ?

Je me suis mise à rire.

Moi : Non lol

Khelti : quoi ?

Moi : Rien rien alors..

?!:Raayyy, Mate la beauté marocaine. Ils sont zalous de moi*Accent bledard*
C'était Karil. Il est ressorti, tout beau. Ça lui va bien sa veste.

Khelti : C'est bon. Enfin un truc qui te va.

Karil : Vas-y la moche regarde.

Il tournait sur lui-même en souriant.

Moi :T'es moche le moche.

Karil : Soit pas jalouse. Vas-y prend une photo.

Moi : Désolé mais j'ai pas mon tel.

Karil : J'ai l'appareil photo de baba . T'inquiète quand on sera marié, tu me verras comme ça tout les jours wesh. Petit dégradé, Audi noire et tout.

Khelti : J'ai dit vous vous marierez après que Dilara ai le bac.

Karil : Déjà à 7 ans t'avais dit quand on allait passé en 6e, à 13 ans,t'avais dit quand on aura 15 ans puis après c'est devenu 18 ans et là tu PARLE DE BAC ?

Khelti : Pourquoi pas votre premier salaire ?

Karil : De toute façon, une fois qu'elle a le bac, on se marie point.

Khelti : Et qui va ramener l'argent à la maison ?

Karil : Je viendrai te gratter des euros vite fait.

Mama : Astaghfirullah.

Fin flashback

On voulait TELLEMENT se marier et nos parents étaient pas contre. On se connaissaient depuis petits et dans le quartier, c'était comme ça. Il y avait des couples déjà formés. C'était moi qui avait pris cette photo, c'était à moi aussi qu'il avait fait un clin d'œil.

Il y avait aussi notre photo de mariage. La maison était vide sans lui . Il faisait tout le temps des coups foireux à sa mère. Il aimait trop sa mère .

Khelti : T'es parti, jamais j'aurais cru que t'allais revenir. T'a changé ma fille. Je t'ai même pas reconnu tellement que t'es devenue belle.

Elle a essuyé ses larmes.

Ma mère : Elle a insisté pour venir.

Khelti : Tu as bien fait. Au moins je pourrais mourir en paix

Moi : Non Khelti , pas toi.

Je suis allé dans ses bras. Je vous passe les retrouvailles. On faisait que pleurer et se rappeler du temps passés. C'était dur et en même temps c'était comme s'il était là. Pour moi, il a et il sera toujours là.

Ma mère essayait de nous remonter le moral, la pauvre. Khelti a 6 enfants enfin avait. Ils sont maintenant 5. Les 3 aînés sont au Maroc. Ils sont mariés et ils ont des enfants. Puis il reste Yuna avec son grand frère Djessim.

En parlant d'eux, yuna venait de sortir de sa chambre. Quand elle m'a vu, elle a fait une tête de choqué.

Yuna : Di..Dilara.

Khelti : Viens dire bonjour au lieu de rester comme une statuette.

Elle a salué ma mère puis m'a salué. Elle s'est assise à côté de moi puis m'a dit désolé à l'oreille. Je l'ai pas calculé.

Khelti :Allons dans la cuisine.

Mama : Je te suis ma copine. Raconte moi tout. Lina est enceinte.

Khelti : Oui oui comment t'as su ?

Elles sont partis dans la cuisine.

Yuna : Je suis désolé.

Moi : Ouais c'est ça.

Yuna : Je pouvais pas faire plus. Il est mort ?

Moi : Va voir où je l'ai renversé.

Yuna : S'il te plaît excuse moi.

Moi : Tout ça est ta faute.

Yuna : Je sais mais excuse. Ne m'en veux pas.

Moi : Je t'en veux grave. Maintenant dis-moi, c'est qui ce gars ? Pourquoi t'a couru ? Pourquoi t'as peur de lui ? Pourquoi personne ne veux qu'on parle de lui ?

?!:Parce qu'il est dangereux et qu'il a tu......

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