Frédérick Chase rencontre Percabeth

Ca fait tellement de temps que je n'ai pas vue ma fille. Quand elle est partit pour cette année scolaire à New-York ça à été un coup dur vu qu'on commençait à se rapprocher mais je ne pouvais pas grand-chose contre les douze grand qui dirige le monde. Et puis il y a eu la période cet été où je n'ai plus eu aucune nouvelle. J'ai vraiment paniqué mais avec toutes ces histoires de camp cela ne devait pas être exceptionnel.

Alors quand il y a une semaine elle m'a appelé avec son nouveau téléphone monstre-proof pour me demander si elle pouvait venir passer quelque jour ici pendant ses vacances d'automne j'ai dis oui dans la seconde. Elle m'a prévenu qu'elle ne viendrait pas seule et que son petit-ami viendrait avec elle. Même si ça m'a un peu énervé j'ai dis que cela ne posait pas de problème, je ne voulais pas risquer qu'elle ne vienne pas à cause de ça. On a donc préparé sa chambre et la chambre d'ami. Je veux bien qu'il vienne mais faudrait pas pousser le bouchon trop loin ! Et finalement aujourd'hui c'est le jour J ! On à tous mis la main à la pâte pour astiquer la maison et faire un bon diner.

La sonnerie retentit et avant même qu'Helen, ma femme, ou moi est pu réagir les jumeaux se précipitèrent vers la porte. Je les suis de près.

-Annabeth ! crièrent-ils en se jetant dans les bras de leur sœur.

-Bobby, Mattew ! Vous m'avais manqué, assura-t-elle en les serrant dans ses bras.

Puis elle se redressa, on se regarda dans les yeux et tout au fond de ceux-ci je vis qu'elle était brisé, plus que quand elle était partie la dernière fois.

-Papa, dit-elle dans un souffle.

Ne sachant trop quoi faire je la pris dans mes bras. Comme soulagée, elle répondit à mon étreinte. Dans le fond j'entendis les garçons :

-Percy ? Le garçon qui était venu la sauver la dernière fois ? demandèrent-ils.

-Euh ouais, c'est moi, dit Percy apparemment gêné d'être d'un coup le centre d'attention.

Annabeth s'éloigna pour saluer Helen. Je m'approchais du garçon que j'avais rencontré il y a trois ans, qui avait plus l'air d'un jeune homme maintenant. Je lui tendis ma main. Il la serra.

-Mr. Chase, salua-t-il.

-Alors c'est toi le fameux petit-ami ?

-Comme vous pouvez voir.

-Pas mal de chose on changé...

-Beaucoup ouais, affirma Percy.

Lui aussi avait cette lueur brisée au fond du regard. Je commençais à vraiment me demander ce qui avait bien pu leur arriver.

-Posez vos sacs là, dit Helen en désignant un coin du hall.

C'est alors que je réalisais qu'ils portaient de gros sacs de randonneurs. Bien sûr qu'ils avaient apporté des affaires, ils restaient plusieurs jours.

-Entrez donc, offrais-je en me dirigeant moi aussi à la salle à manger.

L'entrée, une salade à l'huile d'olive, que je savais, était la préférée d'Annabeth, était déjà posé sur la table. Tous le monde pris place, j'étais en bout de table. A l'autre bout de table Helen grondait Bobby, juste à sa droite, qui avait renversé de l'huile d'olive sur la table. Entre moi et Bobby se trouvait son jumeau et à ma droite Annabeth, Percy était donc entre Helen et Annie.

-Alors vous êtes ensemble depuis combien de temps ? demanda finalement Helen.

-Un an, deux mois et exactement quinze jours, répondit Annabeth.

-Waouh tu compte même les jours !? réalisa Mattew.

-Euh ouais, dit Annabeth en rosissant. C'est une habitude que j'ai pris quand Per... sa voix se brisa.

Elle avait les larmes aux yeux. Percy posa sa main sur la sienne et automatiquement elle entremêla ses doigts avec les siens comme si elle avait peur qu'il parte. J'avoue que ce geste d'affection si soudain, en publique, sans pudeur alors que je connaissais à peine ce Percy, m'a un peu agacé mais elle avait les larmes aux yeux alors j'ai laissé couler.

-Ca va aller je suis là maintenant. Elle n'a plus aucune raison de m'enlever, ok ? murmura Percy dans son oreille, mais autour de la table on put tous l'entendre.

-Ouais, Annabeth renifla un bon coup et recommença à manger comme si de rien n'était.

Le groupe de mortels, dont je faisais parti, se lança des regards interrogateurs suite à la déclaration de Percy. Mais vue l'état dans lequel ça mettait Annabeth personne n'insista.

-Hum, ça fait longtemps pour des adolescents, dit Helen d'une voix hésitante.

-Ouais, Annabeth à un truc contre les choses qui ne tiennent pas longtemps, dit Percy avant de reprendre sa fourchette.

-Mais c'est pas spécialement une raison, continua Bobby. L'amour ça marche pas comme l'architecture !

Ahh Bobby... depuis qu'il est avec sa « petite copine » il se croit expert en amour. Mais bon si ça lui fait plaisir... Percy se pencha en avant vers Bobby comme s'il voulait lui dire un secret.

-Tu veux que je te dise un truc, Bobby ?

Ce dernier hocha la tête.

-T'as raison l'amour c'est pas de l'architecture. Cela n'empêche rien, il peut durer toute une éternité si les fondations sont bonnes. Comme il peut vite s'écrouler si les fondations sont moisies.

- Tu fais dans le poétique toi maintenant ? rigola Annabeth.

-Ouais, faut que je me calme dans la fréquentation des enfants d'Apollon, rit-il.

Avec Helen on commence à débarrasser l'entrer et apporter le plat alors que les garçons harcèlent Percy de questions.

-C'est vrai que t'as battue Arès en combat à l'épée ?

-Euh ouais.

-Trop cool !! s'exclamèrent les garçons.

-Tu aurais vu Annabeth quand elle nous à raconter ça ! ria Bobby.

-Elle était tellement fière, mais elle avait les joues toutes rouges, finit Mattew.

-Ah bon ? sourit Percy en lançant un regard amusé à Annabeth.

Annabeth regarda ses petits frères d'un œil noir. Et les trois garçons explosèrent de rire et finalement Annabeth sourit pendant que je servais le plat de pomme de terre au four.

- Et du coup vos fondations, elles sont comment ?

C'étaient la première question que je posais à Percy. Mais en temps que père je devais être sûr qu'il ne ferrait pas de mal à ma fille.

-Ce sont des fondations /insérer ici le nom des meilleures fondations inventé (je suis fille d'Apollon l'architecture c'est pas mon truc)/, assura Annabeth.

-Les meilleurs fondations du monde, simplifia Percy étant donné que personne n'avait compris.

-Cool, murmura Mattew.

-Basées sur quoi ? demanda Helen.

-On peut arrêter l'interrogatoire ? demanda Annabeth.

-Annabeth, c'est juste pour mieux comprendre ta vie, ça fait longtemps qu'on ne t'as pas vue, expliquais-je.

-Basées sur des épreuves que vous ne pouvez pas imaginer, tempéra Percy.

-On veut pas en parler.

Le ton d'Annabeth indiquait clairement que le sujet était clos. Alors on fit comme si de rien était. Et pour la fin du repas on parla de choses banales, la famille de Percy, l'école, et la reconstruction du mont Olympe.

-Bon on a fait un long voyage, on va aller se coucher, dit finalement Annabeth en se levant suivit de Percy.

-Pas de problème, dit Helen. Tu te souviens où est la chambre d'ami ?

-Vous avez déménagé ma chambre ? demande Annabeth surprise.

A ce stade là, elle avait déjà commencé à monter les escaliers.

-Non, mais c'est pour Percy, expliquais-je.

Les deux adolescents se retournèrent vivement. Annabeth avait clairement l'air de paniquer.

-Y a pas moyen qu'on dorme pas ensemble, prévint Annabeth.

-Annabeth, on veut bien être gentils, mais vous avez à peine dix-sept ans, donc non.

Elle sembla réfléchir un quart de seconde à la situation. Elle lança un bref regard à Percy, mais qui sembla comme être une conversation pour eux. Finalement Annabeth descendit les quelques marches qu'elle avait monté, toujours suivit de Percy.

-Qu'est-ce que vous faites ?

-On va trouver un hôtel, dit-elle en passant un sac à dos sur son épaule.

-Mais... commencé-je.

-Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, dit Percy. On vous a laissez comprendre pendant le repas qu'on avait vécu des épreuves plus qu'horribles. Maintenant que c'est finit, il faut se reconstruire, se rappeler qu'on est en vie et surtout que l'autre va bien. Il faut empêcher les cauchemars de nous rendre fou, empêcher les cris de réveiller tout le quartier. Et même si, pour le moment, c'est impossible, dormir ensemble rend les choses plus simples. Donc si vous voulez diminuer la souffrance de votre fille, je vous en conjure, laissez nous dormir ensemble. Autrement on se trouve un hôtel.

J'étais trop choqué par cette déclaration alors que mon cerveau faisait mille scénarios pour imaginer ce qui ait bien put leur arriver d'aussi grave.

-C'est pas comme si vous aviez traversé le Tartare non plus, blagua Bobby, pour détendre l'atmosphère.

Ce que je vis dans le regard des adolescents qui me faisait face confirma que ce que disait Bobby n'était pas une blague.

-Je n'y connais rien, mais personne ne peut rentrer du Tartare, dit Helen, alors que j'assimilais l'information. Ma petite fille avait traversé le Tartare.

Annabeth lança un regard tellement brisé à Helen que celle si comprit, et sembla s'en vouloir d'avoir pu douter de l'information.

-Mattew, Bobby dans vos chambres, ordonna Helen.

-Ma petite fille, je suis tellement désolé, murmurais-je.

Les larmes menaçaient de déborder de ses yeux, et le regard de Percy n'était pas moins brisé. Percy tira Annabeth dans une étreinte et la serra contre lui, il lui murmurait inlassablement "Tout va bien, on est sortit, on est ensemble" à l'oreille, tandis qu'Helen et moi les regardions impuissants.

Quand Annabeth fut calmer elle me lança un regard interrogateur, elle me demandait silencieusement s'il fallait qu'elle trouve un hôtel.

-Tu sais où est ta chambre, dis-je en m'écartant du passage.

-Merci Papa, bonne nuit tout le monde, dit-elle en partant, tirant Percy derrière elle.

-Bonne nuit, annonça Percy.

-Bonne nuit.

Dans la nuit, un cri à glacer le son retentit dans la maison.

Sans réfléchir je me dirigeais jusqu'à sa chambre, j'entendis Helen me suivre et quand j'arrivais devant la porte de la chambre de ma fille ses frères avait déjà entrebâillé la porte et regardait à l'intérieur.

-Laissez-moi voir, chuchoté-je.

Ils se mirent accroupis pour me laisser de la place dans le haut de l'embrasure. Annabeth continuait de crier alors que Percy essayait de la réveiller.

-Annabeth, c'est moi, c'est Percy. Annabeth je t'en supplie réveille-toi ! implora-t-il alors que ma fille continuait de crier, de se débattre et de pleurer. Annabeth, je...

La voix de Percy se brisa, il était au bord des larmes. Voir Annabeth dans cet état le blessait tellement que je su dans la seconde, qu'il ne la blesserait jamais. Alors qu'elle ne se réveillait pas il tenta le tout pour le tout. Il saisit du mieux qu'il put le visage d'Annabeth et l'embrassa (pour ceux qui se demande, non cela ne m'a pas énervé, essayé juste d'imaginer ce que ressent un peur quand il voit sa fille dans cet état). Et selon la légende des contes de fée, Annabeth se réveilla, des larmes brouillant sa vue.

-Percy ?

-Oui, c'est moi, je vais bien, on est tout les deux.

Annabeth enfouit son visage dans le cou de Percy et commença à pleurer. Il la berça doucement en passant sa main dans ses cheveux.

-Aller, tout le monde retourne se coucher maintenant que tout est réglé, murmuré-je.

Helen repartit en direction de notre chambre tendit que les garçons rejoignaient les leurs. Avant de partir, je jetais un dernier regard dans la chambre. Percy berçait toujours Annabeth.

-Tu me quitteras jamais ? demanda Annabeth dans un sanglot.

-Je te l'ai promis quand nous sommes tombés là-bas. Cela n'arrivera pas, tu comprends ? Je t'aime Puits de Sagesse, je t'aime plus que tout, dit-il en essuyant ses larmes.

C'est ce moment que je choisi pour retourner me coucher. A ce moment là je savais qu'ils finiraient leur vie ensemble. Mais ce que je savais surtout, c'est que Percy était la meilleure personne pour Annabeth.

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Bon alors je sais que je n'ai pas fais d'OS depuis longtemps et je m'en excuse. J'ai passé mon week-end sius la couette telle une thermite à lire des people meets Percabeth  et l'envie présente d'en écrire un moi-même est devenu tellement puissante que j'ai écrit ca en quelques heures, comme quoi je peux écrire vraiment vite quand he veux😅

En espérant que ca vous aura plus et que vous me pardonnerais pour les fautes 😊

Bye.....

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