// Flashback d'il y a quatorze ans //

Il y a quatorze ans le premier labyrinthe est apparu, une tour de mystère est tout d'un coup sortie de la mer c'était LE PREMIÈRE LABYRINTHE.

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C'était un bâtiment étrange, d'une architecture inconnu, bâti dans un matériau inaltérable, il y avait une unique entrée nimbée d'un éclat de lumière qui en dissimulait l'intérieur, personne ne réussit, mais un jour la porte s'ouvrit et un garçon accompagné d'un géant bleu apparut chargé de trésors.

// Fin du flashback //

Ali baba: et voilà l'histoire de la première personne à avoir réussi à explorer le première labyrinthe.
Aladin : nous aussi on va le visiter ce premier labyrinthe ?
Ali baba: Non un autre.
Aladin: Un autre ?
Moi: une fois exploré, il disparaît. Du coup ce labyrinthe n'existe plus. Mais il y en a encore beaucoup à explorer.
Ali baba: Mais dans celui que je veux explorer, il est apparut, il y a dix ans et le fait qu'il soit toujours là c'est que toutes les personnes qui on essaye sont morts. Voilà nous sommes arrives.
Moi et Aladin: Non mais il est juste a côté.
Moi: Même pas a dix minutes.
Ali baba: J'ai jamais dit que c'était loin.

Le labyrinthe qu'Ali baba veut explorer et le septième labyrinthe d'Amon à Tchichan et est apparut il y a dix ans et un mois.

Ali baba: C'est l'escalier de la mort.
Moi: De la mort ?
Ali baba: Car les dix mille de personnes qui ont essayé, ont péri.
Aladin: Non ce n'est pas les escaliers de la mort mais plutôt les escaliers qui mène à ton rêve.
Trois: Bon on y va.

Mais au moment d'y aller Ali baba a fait demi-tour.

Aladin: Pourquoi tu repars ?
Ali baba: Imbécile pour explorer un labyrinthe il nous faut du matos.

Nous sommes donc partie pour le marché  quoi de mieux que le marche pour trouver le matos dont parle Ali Baba ? Les deux garçons parlèrent et se montrèrent des trucs, Ali Baba recula de quelques pas et percuta une jeune fille.

Moi: Excusez nous.
Fille: Ça va ce n'est rien.

Puis elle reparti.   

Aladin: Regarde.

Il a désigné les pieds de la fille. Celle-ci a remarqué qu'on l'a regardé et du se sentir gêner, elle trébucha et tomba.

Aladin: Pourquoi elle a des chaînes ?
Ali baba: C'est une...
Moi: Esclave.
Ali baba: On vit vraiment dans un monde pourri.

C'est alors qu'Aladin a détruit sa chaîne.

Moi et ali baba: Oh mon dieu !

À cette époque, libérer un esclave qui ne vous appartient pas est considéré comme un vol. C'est même un crime qu'Aladin vient de le commettre sans le savoir.

Moi et Ali baba: C'est pas vrai.
Moi: Tu es fou...
Ali baba: Il ne fallait pas briser cette chaîne.
Aladin: Pourquoi ?
Moi: Parce-que...
Aladin: Pourquoi il ne fallait pas ?
Moi et Ali baba: ....
Marchant: Qu'est-ce qui se passe ? Aller je suis de mauvaise humeur aujourd'hui...
Ali baba et marchant: ....ah !!!
Ali baba et moi: Et pourquoi il est là? 

Pourquoi a-t'il fallu qu'on tombe sur lui.

Aladin: Tu es monsieur nichons !
Boudel: Ferme la espèce de morveux. J'ai tout perdu à cause de vous trois. Et en plus vous libérez une esclave c'est un crime.
Moi et Ali baba: Nous avons rien fait. 

Pourquoi on me met dans leur affaire ?

Boudel: C'est vrai...? Ah et vous, toi et la fille vous ne pouvez pas paye, j'ai déjà décidé de votre sort.
Moi: Et je n'ai rien a voir avec ça ?!
Boudel: si car tu es pas mal et vous voulez savoir se que vous allez devenir...je ferai de vous deux mes esclaves.
Aladin: Ali baba et Chiemi ne deviendront jamais tes esclaves. Et je n'aime pas les gens de ton genre.
Boudel: POLICE !!! IL Y A DES VOLEURS D'ESCLAVE. IL Y A TROIS VOLEURS ICI.

Alors que la police nous poursuivait, Ali baba c'est fait attraper mais Aladin a soufflé dans sa flûte et a pris moi et Ali baba au passage.

Aladin: Allons au labyrinthe.

Nous n'avions de toute façon pas vraiment le choix.

// Pendant ce temps. //

Boudel: Mon...monseigneur... monseigneur.
Jamil: Qu'est-ce qu'il y a ?
Boudel: J'ai trouvé l'enfant à la flûte.
Jamil: Oui je sais, mon chien savant me la dit.
Boudel: Tu es...

// Revenons à Ali baba et Aladin. //

Alors que nous courions, on est arrivé
devant le labyrinthe et on est entré.

* * *