chapitre 14
- Monsieur, vous êtes un ange ?
Une fillette était debout devant les décombres.
- Je suis désolé petite, je suis arrivé trop tard pour sauver tes parents.
Le village était totalement détruit, autour de Jago, ce trouvait les corps des hommes serpents qui avaient attaquer ce village.
- Tu a de la famille ailleurs ? Lui demanda-t-il.
- oui, ma tante et ma grand-mère vive dans la cité des roches noirs.
- Je vais t'emmener la bas, ça te va ?
- Merci monsieur.
Il continua ça route avec cette pauvre fillette. De toute façon la ville était sur sa route.
- Stop! Qui vas la ?
- Je suis Jago, je suis un thaumaturge qui ramène cette pauvre fille chez sa famille.
- Ok. C bon laisse les passez Michelle.
- Merci bien. Puis il se tourna vers la fillette, maintenant tu vas devoir me montrer la route.
- Oui monsieur.
- Combien de fois je t'ai demander de m'appeler Jago, monsieur ca me vieilli. Rala-t-il.
Dans ce monde en ruine, cette petite fille incarnée l'innocence même, il était presque déçue d'être arrivé, tellement son petit air jovial avait embelli ces journées. Elle lui montra du doigt une grande bâtisse.
- Ta tante dois êtres sacrément riche pour posséder une telle baraque.
- Nan ces grands mère, elle est la prophétesse de la ville. En plus elle a l'air super jeune.
Elle avait raison, celle que elle appelait "grand-mère" avait le visage d'une femme de 20 ans, si la petite ne l'avait pas appelé "mamie" il aurait cru que c'était elle la tante. Ce qui le dérangeait surtout c'était l'aura qu'elle dégagée, c'était une démone.
- Merci d'avoir ramené Mathilde à la maison, je t'en remercie étrangers. Suis moi je vais t'offrir quelque chose qui t'aidera dans ta quête.
Elle ne semblait lui vouloir aucun mal, il la suivit.
- Je suis elise, et comme tu la surement deviné je suis une démone majeur. Mais je ne te veux aucun mal, au contraire, je veux que tu réussisse à vaincre Satan. Elle rit devant son air ahurie. Tien, ce poignard a était créé à un temps où le père de tout côtoyer encore les autres panthéons de dieux, si jamais tu est obligé de fuir, utilise le, essaye de découper l'air, comme si c'était juste du tissu, fais moi confiance.
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