↱.35 . ↰
↱.🅛🅞🅝🅔🅛🅨. ↰
Le souffle de Gladys se coupa instantanément lorsque sa poitrine rencontra le sol brusquement, elle hoqueta un moment avant de se redresser sur ses coudes pour se relever en suite.
« — Je suis désolé ! s'exclama Peter face à elle, l'air complètement affolé. Je ne voulais pas y aller aussi fort !»
« — Ça ne fais rien ! toussota la blanche qui peinait à s'en remettre. Je te l'ai demander Peter, tu ne va pas t'excuser à chaque coup porter ?»
Après sa courte discussion avec Tony, Gladys était partit se coucher et avait longuement réfléchis au fait qu'elle devait contrôler son pouvoir. Premièrement, si elle devait vivre avec ça, autant le contrôler plutôt que de faire des bêtises. Deuxièmement, elle voulait aider, elle aussi. Ce matin, en se réveillant, elle avait réfléchis a la personne qui aurait pu l'aider. Le prénom de Peter avait résonner en premier dans son esprit, bien que très jeune, elle le savait douer. Elle avait bien penser a la femme rousse aussi, mais les Avengers semblais tous très occupé. Trop occuper pour se soucier d'elle, en fait. Alors que lorsqu'elle avait envoyer un message a Peter, il avait répondu présent dans la seconde, a son grand plaisir. Et voilà que maintenant, il lui mettait une raclé du siècle. Comme quoi, la différence d'âge qu'il y avait entre eux n'aurait aucune importance en plein combat.
Cependant, les pouvoirs de Gladys refusait de se montrer. Elle ignorait comment ils fonctionnaient et n'était pas même capable d'émettre une petite décharge a son adversaire. La blanche soupira en passant une main sur son visage.
«— Je ne sait pas comment ça fonctionne, soupira t-elle.»
«— Bain, débuta Peter en se grattant l'arrière de la tête sous son masque. Peut être que l'élément déclencheur serait une émotion particulière, je sait pas peut être la colère ou la joie ? »
Gladys pouffa, elle avait du mal a se souvenirs la dernière fois ou elle s'était mise en colère. Dieu, que cette histoire n'était pas facile. Pas qu'elle s'attendais a voir ses pouvoirs surgir la première fois ou elle les réclamait, mais au moins un petit signe de coopération de leur part.
«— C'est agaçant ! souffla t-elle. Je ne suis surement pas faite pour ça. »
Elle soupira d'agacement, frustrer de ne pas y arriver et surtout de ne pas savoir pourquoi elle n'y arrivait pas. Quand elle rencontra le visage de Peter, celui ci parut soudain étonné.
«— Quoi ? questionna Gladys qui fronça des sourcils. »
«— T'es... t'es mains, bégaya presque Peter. Elles ce sont illuminé en bleu ! »
Il haussa les sourcils si haut qu'ils se mélangèrent presque avec ses cheveux , et un sourire se dessina sur ses lèvres, il parut soudain en admiration.
«— Waou ! dit-il. Tu ne sait pas comment t'a fait ?»
Gladys eut un mouvement d'épaule.
«— Absolument pas, répondit-elle doucement en observant un instant ses mains. D'habitude quand je le fait, je le ressent.. je veux dire, j'ai plutôt mal. Mais là, je n'ai rien ressentit.»
«— Peut-être parce que c'est aller trop vite ? »
La blanche se mit a réfléchir, Peter avait surement raison. Peut être que les lumières dans ses veines avaient apparus et disparus si vite qu'elle n'avais pas eu le temps d'en sentir les douleurs que procurait les éclairs lorsqu'ils traversaient sa peau.
«— Tu a sûrement raison.»
Elle resta un moment à observer ses mains comme si elles ne lui appartenaient pas vraiment, elle essaya de chercher à comprendre comment tout cela fonctionnait mais elle avait beau se torturer l'esprit rien n'y faisait. Elle soupira encore une nouvelle fois, avant de demander à Peter s'il pouvait au moins l'aider à s'entraîner au combat corps à corps, histoire de se débrouiller rien qu'un peu.
•
Tony était planter dans sa grotte depuis un bon moment, depuis si longtemps d'ailleurs qu'il avait presque l'impression d'oublier quel était la sensation de respirer de l'air frais. Depuis qu'il était réveillé, et il ne savait même plus à quand remonter la fois où il avait dormit, il travaillait à chercher une solution. Son cerveau était en pleine surchauffe, s'il avait été possible que cela soit visible, de la fumée lui serait probablement sortit des oreilles et des narines. Bruce était avec lui depuis tout ce temps, il ne l'avait pas laisser tomber une seconde mis à part pour aller leurs chercher des cafés, mais l'alter ego de l'incroyable Hulk tombait de sommeil. Il avait retirer ses lunettes et s'était frotter les yeux pas moins d'une dizaine de fois en quelques minutes.
«— Tu devrais aller faire une sieste, Bruce. »
Celui ci fronça des sourcils, comme si ce que lui disait Tony lui paraissait absurde.
«— On a pas le temps pour les siestes, répondit-il comme si cela sonnait comme une évidence.»
Tony capitula aussi tôt, il avait certainement raison, pourtant lui aussi tombait presque de sommeil. Sérieusement, depuis combien de jours étaient-ils là ? Surtout qu'ils avaient l'impression de faire du surplace. L'idée qu'avait eu Bruce était très bonne, un gant pour chaque pierre réduirait déjà peut être les dégâts et surtout l'un d'entre eux pourrait peut être essayer d'en contrôler une. Seulement, ils ne savaient toujours pas quel matériaux serait assez solide pour accueillir en son sein une tel puissance. Puis, le regard du milliardaire se posa soudain sur le bouclier de Captain America, qui reposait toujours contre le mur dans un coin de la pièce.
«— Le vibranium, lâcha soudain Tony du bout des lèvres.»
Cela lui paraissait comme une évidence maintenant, comment avait-ils pu passer à coter ? Bruce fronça des sourcils, grimaçant étrangement en retroussant son nez et ouvrant la bouche. Puis il compris d'un seul coup, ouvrant les yeux en grand en sautant de la chaise sur laquelle il était.
«— Mais oui ! dit-il avec un entrain qu'il avait perdue quelques minutes plus tôt. Tu crois que se serait possible ? »
«— Absolument, répondit Tony avec fermeté. Nous devons immédiatement contacter le prince T'Challah.»
«— T'cha-quoi ? grimaça Bruce .»
«— Le prince du Wakanda, répondit le milliardaire sur le ton de l'évidence même alors qu'il s'armait de son portable.»
Bruce aurait voulu ajouter " le wakan-quoi", mais se retint au risque de passer pour un écervelé qu'il n'était certainement pas. Il laissa Tony s'en aller avec son portable, tandis qu'il fixait pensivement le bouclier rouge et bleu.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top