↱.🅛🅞🅝🅔🅛🅨. ↰

Ils étaient désormais suffisamment loin l'un de l'autre. L'alarme continuait de hurler, vrillant les tympans de la blanche . Tony quant à lui avait filer de la pièce pour la désactiver au plus vite et voir ce qui se passait.

Alors que Gladys se remettait de ses émotions, son souffle sembla se coupée, elle tomba soudainement sur ses genoux, à même le sol, un mal de crâne atroce surgissant à ce même moment alors que l'alarme avait cesser tout bruits. Elle pris la tête entre ses mains, priant intérieurement pour que ses pouvoirs ne surgissent pas, le mal s'intensifiait alors que d'étranges images apparaissait dans son esprit, la rendant confuses. Elle ne savait plus où était sa réalité, ou elle se trouvait, les flash d'images lui montrait un pay qui ne pouvait pas même exister dans ses rêves.

«– Gladys je.. »

Tony arrivait dans la salle de nouveau, passant une main fatigué sur son visage, mais Gladys ne l'entendait pas. Tony se figea soudain lorsqu'il aperçut Gladys sur le sol, tremblante, la tête entre les mains, gémissante de douleurs. Ses veines commençaient à se teinter de bleus, et Tony courru aussi tôt près d'elle. Il ne savait pas quoi faire et son cœur s'emballait de plus en plus tandis qu'il cherchait une solution, finalement, il saisit simplement les mains de la blanche , l'appelant de toutes ses forces, la suppliant presque de revenir.

Gladys ne l'entendait pas. Elle ne voyais plus rien, les paupières closes, d'images étranges et troubles défilaient devant ses yeux. Elle se voyait dans un endroit qu'elle ne connaissait pas, avec des personnes vêtus étrangement qui l'entouraient et lui souriaient comme s'ils la connaissaient. Elle entendait des rires, des conversations lui venait de partout et soudain le paysage s'obscurcit, et elle entendit des hurlements. Des hurlements si terribles qu'ils lui transpercèrent le corps comme une décharge électrique, des hurlements et des pleurs atroces qui lui serrèrent la poitrine. Elle voulait que cela cesse, que ce mal arrête , mais elle n'arrivait pas à les faire taires, et à présent c'était sur ses joues que les larmes coulaient. Loin des pleurs et des cries, elle entendit la voix douce et rassurante de Tony, qui semblait au portes du désespoir. Elle voulait le rejoindre, mais plus elle essayait, plus elle s'en éloignait. Elle tenta d'hurler, de l'appeler, mais aucun son ne sortait de sa gorge.

Elle se sentit si oppresser, les ténèbres qui l'entouraient semblait l'engloutir, la privant presque d'oxygène. Oui, elle avait l'impression qu'elle ne pourrait bientôt plus respirer. Une petite voix dans son esprit lui souffla d'être plus forte, de ne pas se laisser aller si simplement. Seulement Gladys n'en pouvait plus, elle avait l'impression de ne plus rien contrôler, comme si son corps ne lui répondait déjà plus. Et pourtant sa poitrine lui était si douloureuse, quelque chose semblait serrer son cœur , comme si on s'apprêtait à le lui arracher.

Une chaleur douce l'encercla soudain, éloignant les ténèbres glacial de son corps, les chassants, la chaleur se propagea dans son corps entier, réduisant la douleurs dans son cœur. Une odeur familière lui monta au nez et bientôt, elle se sentit sourire au tas de bon souvenirs qui lui vinrent en mémoire. Des souvenirs troubles, trop vieux pour qu'ils soit complet, mais des souvenirs d'une vie heureuse. Elle se voyait enfant, avec ses deux parents. Elle se voyait à sa remise des diplômes, le regard fière de sa mère poser sur elle. Elle se voyait dans les bras d'un ancien petit ami, lorsqu'elle était beaucoup plus jeune.

«– Gladys ! »

Ouvrant les yeux sur une lumière aveuglante, Gladys sentit son mal de crâne disparaître comme de rien. Les mains chaudes de Tony étaient posée sur ses joues humides de larmes, et elle croisa son regard. Ses yeux bruns dans lesquels elle trouvaient tout le réconfort du monde. Elle respirait toujours aussi fortement, mais elle était en sécurité, à présent, elle se sentait bien là. Il avait l'aire inquiet, évidement, elle venait de faire une crise sans même s'être endormie. Gladys sourie malgré elle tandis que Tony poussa un soupire de soulagement.

«– Je donnerai tout pour un cheese-burger. Souffla Gladys.»

Tony pouffa et tourna la tête en tout sens, partager entre soulagement et exaspération. Que devait-il penser ? Il avait eu la peur de sa vie à l'instant même, il s'était sentit incapable de pouvoir la ramener sur terre, incapable de la sauver. Il avait eu l'impression, pendant un instant, qu'il ne sourirait jamais plus. Et celle ci lui parlait de cheese-burger.

«– Je commence à déteindre sur toi. Dit-il simplement.»

«– On dirait. Sourie Gladys en haussant les épaules. »

Un silence doux s'installa alors entre eux , un silence qui n'avait rien de gênant. Ils étaient de nouveaux si près, que leurs souffles se mélangeait. Si près que le parfum rassurant de Tony imprégnait délicieusement les narines de Gladys. Ils partageaient tout deux le même soulagement, celui de constater que rien de trop grave n'était arriver cette fois, elle ne s'était pas servis de ses pouvoirs. Et encore une fois, c'était Tony qui l'avait fais sortir de sa transe étrange. C'était lui, la douce chaleur qui avait chasser ses ténèbres. Et sans hésiter alors, la blanche se pencha vers Tony pour déposer ses lèvres sur les siennes dans un geste timide. C'était une sorte de remerciement peut-être. Tony répondit au baiser avec plus d'assurance, laissant une douce chaleur ce répandre dans son corps. Il entoura Gladys de ses bras, l'approchant un peu plus de lui, laissant son parfum se mélanger au sien, enveloppant de ses bras la chaleur rassurante de son corps. Car il aimait la sentir tout près.

«– Hm hm. Fit une voix.»

Une nouvelle fois, ils se séparèrent, tournant la tête en direction de la voix qui les avaient interrompus. C'était Happy, et il les avaient surpris au bon moment visiblement. Gladys rougis et baissa la tête alors que les paroles qu'il lui avait dis la première fois qu'elle l'avait rencontré restaient graver dans sa tête. Était-elle juste une conquête de Tony parmis d'autres ?

«– Il faut venir Patron. Dit Happy d'un ton tout à fais sérieux. On a trouver ce qui a fais sonner l'alarme, vous n'allez pas en revenir mais nos amis les extra-terrestres sont de retour ! »

Tony se redressa alors, les sourcils froncés et se tourna vers Gladys pour lui tendre la main. Elle se redressa, non sans mal, et le milliardaire l'a tira avec lui à travers les couloirs où ils suivirent Happy.

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( ce gif magnifique a été fais par ma soeur xkenobi  je fangirl graavvve lelzzoozosdndvd, il passe hyper rapidement je suis si triste)

Vous avez aimée ce chapitre ?

Soooo j'ai fais un horrible rêve , c'est nul de commencer par là mais faut que je m'exprime. J'ai rêver qu'une Wattpadienne random venait sur mon profil et postait un tas de commentaire négatif dont un précisément qui disait que la relation Tony/Gladys était beaucoup trop rapide et pas suffisamment développé.
Ce rêve m'à beaucoup perturbé et j'en étais toute secoué au point où je me suis poser un tas de questions pour en suite en venir au fait que ma fiction n'est pas encore terminée alors il reste du chemin à faire pour Gladys et Tony.

Aussi, je n'ai jamais écris une histoire d'amour qui soit très profonde, ma façon d'écrire et celle que je vous propose et elle me plait. J'espère qu'elle vous plais aussi, et c'est sur cette loooooongue nda ( importante pour moi ) que je vous dis à Mardi prochain !

Plein de bisous.💋