↱. 12 . ↰

↱.🅛🅞🅝🅔🅛🅨. ↰

Tony était profondément abbatu. Il n'avais pas penser que cela puisse ce passer aussi mal, et il regrettait infiniment d'être venu jusqu'ici, d'avoir fais endurer tout ça à Gladys, une pauvre femme qui ne comprenait rien à ce qui lui arrivait. Cependant, les paroles de madame Templeton résonnait dans son esprit, comme si dans tout ce charabia, il y avait quelque chose d'important à retenir. Tony soupira en passant une main dans ses cheveux bruns. Il avait laisser rentrer Gladys à l'hôtel dans lequel ils avaient dormis la nuit précédente, il n'avait pas eu très envie de la laisser seul broyer du noir, mais il avait estimer qu'elle ai le droit à un peu d'intimité après la scène que lui avait offert sa mère.

Alors naturellement, Tony ce retrouvait maintenant dans l'ancienne maison de Gladys. Celle ci était ordonnée, comme si personne n'avait rien touché, comme si en faite, elle n'avait jamais vraiment été habitée. Il n'y avait rien qui traînait sur le comptoir en bois de la cuisine, pas même un saladier de fruit ou de la vaisselle sale, il n'y avait rien non plus sur la table basse placée entre le mur télé et le grand canapé de cuir brun. Sur le sol, aucune chaussures et pas une miette de saleté ne venait encombré les tapis. Rien ne laissait à croire que Gladys avait vécu ici, il n'y avait aucun objet personnel, pas même un tableau ou des photos sur les murs. Pour une raison qu'il ignorait, Tony trouvait ça triste mais pourtant, il comprenait.

Tony continua à visiter la maison vide de toute vie, ce laissant mener instinctivement vers la chambre, où il fourra dans un sac tout vêtements ou produits dont Gladys aurait besoin.

Il ne la laisserai plus venir vivre ici.

Du moins, pas toute suite. Il était désireux d'en savoir plus sur elle, mais cela ne concernait pas seulement les origines de ses étranges pouvoirs. C'était elle. Elle l'attirait incroyablement, sans qu'il n'en sache les raisons. Si, naturellement, Gladys était une femme d'une beauté incroyable et dont le corps rendrait fou n'importe qui, mais elle avait un effet différent des autres femmes au jolies courbes qu'il avait pu croiser dans sa vie. Elle avait un quelque chose qui lui donnait envie de rester près d'elle, de prendre garde à ce qu'il ne lui arrive rien. C'était étrange pour lui, c'était tout nouveau de ressentir une chose pareil, un attachement si soudain alors qu'il la connaissait à a peine.

Tony soupira de nouveau en passant une main sur son visage, il n'avais plus vraiment d'idées à présent. La mère de Gladys avait représenter un espoir de retrouver des souvenirs de ses six mois oublier, mais dorénavant vers qui ce tourneraient-ils ?

Un courant d'air traversa soudainement la maison, faisant frissonnez Tony et il fronça les sourcils en ce demandant d'où cela pouvait provenir. Il s'aventura alors vers la source du courant d'air, dans la salle de bain et il ouvrit en grand les yeux. C'était la seul pièce où il y avait une trace de passage, le placard au dessus du lavabo était encore ouvert comme si on venait de l'ouvrir, une serviette trônais sur le bord de la salle de bain. En levant la tête au plafond alors que le vent lui chatouillait les cheveux, c'est là que Tony remarqua d'où provenait le courant d'air. Il y avait un petit trou en cercle parfait, dont les rebords semblait être brûler, comme si le trou avait été créé par un laser.

Qu'est-ce qui pouvait bien avoir fais ça ?

*

En ouvrant la porte de la chambre, Tony remarqua avec étonnement que celle ci était plongé dans une douce pénombre. Sur le lit qui ce dessinait face à lui, il devinait la silhouette de Gladys, assise dos à lui. Ses fines épaules tressautait par moment, et il n'était pas sûr de ce qu'il lui arrivait jusqu'a ce qu'il n'entend un léger reniflement. Son cœur ce serra et il n'hésita pas une seconde de plus à venir envahir la bulle dans laquelle elle c'était enfermer. Il jeta sur un fauteuil le sac qu'il avait emporter de la maison de Gladys , et laissa les questions qu'il ce posait sans réponse tandis qu'il s'approchait d'elle. Et il avait bien deviner.

Le ventre de Tony ce torda et il grimaça, il n'aimais pas ce qu'il voyait. Les larmes ruisselaient sur les joues délicates de Gladys, roulaient jusque dans son cou. Ses yeux étaient fixé sur un point invincible au sol, et à travers ses cils épais et noirs, il distinguait leurs couleurs bleus complètement irréel et son cœur accéléra la cadence. Alors qu'il prenait place près d'elle, il voulut lui dire quelque chose , un mot peut être, juste pour la réconforter. Mais les mots c'étaient bloquer dans sa gorge.

«– Je finirai seul. Lâcha la blanche d'une voix craquelé par ses pleurs. Et sénile. »

Elle renifla une nouvelle fois, tentant vainement de sécher les nouvelles larmes au bord de ses yeux, et dans ses gestes, Tony ne pu s'empêcher de la trouver absolument craquante. Même quand elle pleurait.

« – Je finirai comme elle, Tony. »

Elle suffoqua, et tenta de reprendre sa respiration sans y parvenir pour autant. Le pire est qu'elle semblait y croire, elle semblait penser qu'elle finirai dans le même état que sa génitrice. Mais Tony n'était pas de cet avis, et il ne voulais pas qu'elle ce laisse abattre ainsi. Il ne savait pas encore pourquoi, mais il ce doutait qu'ils finirait tout les deux par découvrir ce qu'il lui arrivait. Tony ne c'était pas même rendu compte de sa proximité avec la femme jusqu'à ce qu'il ne prenne une grande inspiration, respirant à fond le parfum caramélisé de celle ci. Une odeur si sucré et envoûtante qui lui monta à la tête.

«– Gladys tu n'est pas ta mère. »

Tony posa un doit sous le menton de Gladys et celle ci parut ce figer à ce geste, mais il n'en fut pas perturber pour autant. Il planta ses yeux dans les siens et remarqua au mouvements de sa poitrine que sa respiration c'était calmer instantanément. Comme si elle avait trouver un point de repère, un quelque chose au quel s'accrocher dans les yeux de Tony.

«– Et tu n'est pas seul. »

Tout en disant cela, il réalisa la puissance de ses mots, et la vérité derrière ceux ci. Instinctivement, il baissa brièvement le regard vers les lèvres légèrement rosé de la jeune femme. Posant ses mains en coupe autour de son doux visage, il sécha les larmes au coin de ses yeux a l'aide de ses pouces. Gladys lâcha un léger soupire, d'aise ? Il ne savait pas trop, mais il semblait qu'elle c'était calmer. La blanche était suspendu à ses lèvres, comme en attente d'autres mots.

«– Plus maintenant. Dit enfin Tony.»

Et il s'approcha un peu plus, s'imprégnant de son parfum au caramel. Il ferma les yeux et déposa ses lèvres sur les siennes, échangeant le plus doux des baisers qu'il lui ai été de donner un jour. Et à ce geste, bizarrement, il se sentit électrifié du pied à la tête.

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