Épisode 2: Vacances Survoltées

Épisode 2 :

Vacances survoltées

Personne n'osait bouger... Personne n'osait intervenir... Tout le monde entendait le martèlement inarrétable !

Chacun se regardaient,... couvert de honte, et chacun pensait à ce qu'il se passait dehors... Chacun... sauf un...

[30 min. plus tôt :]

« Vous êtes seul chez vous, chez un ami,

ou encore dans la rue ?

Mais méfiez-vous si vous êtes dans un internat,

car vous ne verrez plus vos amis, vos professeurs, ou même

les lieus de la même façon !

Alors installez-vous bien dans votre siège, et plongez dans

L'INTERNAT DE LA TERREUR ! »

« Qui... est... tu ? » Demanda Thomas, à qui sa respiration pouvait s'entendre à des kilomètres, tellement il stressait, il n'avait jamais connu une situation pareille à celle-ci.

La fille regarda les corps, terrifiée, puis elle regarda Thomas avec des yeux qui voulaient sortirent de leurs orbites.

« Qu'est ce que tu fais ici ? Comment t'as pus passer du côté des garçons ? Reprit Thomas, à qui sa voix s'améliorait au fur et à mesure.

- Non... Non, non !! C'est pas moi, C'EST PAS MOI !!!!

- Calme, toi, bordel !! Dis-moi au moins comment tu t'appelles! »

La fille regarda Thomas pendant deux secondes, puis partit en courant en prenant les escaliers qui étaient à côté.

Thomas souffla, puis réfléchit un moment à la situation, et enfin se retourna pour avertir les autres.

Mais il n'eût pas besoin de faire cela, car en se retournant, il vit une vingtaine d'élèves qui le regardait, terrifiés eux-aussi, et qui n'osaient pas parler.

« Oh non... Écoutez, les mecs, je peux vous jurer que c'est pas moi !

- Je sais, dit une voix qui se détachait du groupe.

- Axel ?

Axel a 15 ans, c'est l'aîné des amis de Thomas, il est grand (1m 63, pour être précis), il est roux, et il a les yeux qui peuvent aller du vert au bleue, ça dépend de la clarté de la lumière. Pour lui, c'est les amis avant tout, il ferait tout pour les protéger, car il se sent « protecteur ». Après les amis, il aime bien défendre les plus faibles, ceux à qui on ne fait pas trop attention, lui, il occupe une importance majeur à ces personnes. Mais, évidement, après les amis, bien sûr !

- Certains ont entendu le bruit, puis on vous a tous entendu parler, répondit-il. Et puis, je peux t'assurer aussi que c'est pas la fille. Vu comment elle était terrorisé, ça m'étonnerait qu'elle ai fait à elle seul un massacre pareil. Je sais pas comment elle est passé de l'autre côté du mur, mais ce n'est pas elle !

- Et t'es pas plus terrorisé que ça ?! Demanda Thomas, car il voyait bien que tout les autres avaient eu la même réaction que lui, certain s'étaient pissés dessus, et d'autres tournaient de l'oeil, ou encore d'autres s'étaient écroulé par terre, mais tout le monde étaient trop terrifiés pour les aider.

- Tu sais bien que dans mon enfance, j'ai connu des choses semblable ! Répondit Axel.

- Oui... bien sûr... » se rappela Thomas, car Axel lui avait dit qu'il avait eu une enfance difficile.

Soudain, un élève prit la parole ;

« Je vais réveiller les autres ! » Cria-t-il, mais on sentait bien dans sa voix que c'était un effort pour lui de parler.

Ensuite ce fût au tour de Mathéo ; il a 13 ans, c'est le plus jeune ami de Thomas, Marc, Axel et William. En général, il suit ce que disent ses amis tout en donnant son opinion, et des fois, ça lui arrive, il aime bien prendre des décisions tout seul, un peu comme Axel, des fois. Mathéo est quelqu'un à qui on peut se fier facilement, il est très courageux. Il prit donc la parole :

« Moi, je vais essayer d'appeler les pompiers, ou la police, ou... ce que je trouverais !

-Merci, Math... lui répondit Thomas.

Ensuite, William marcha pour aller voir Thomas et lui dit :

« Ça va, vieux ? T'inquiète, on est tous traumatisé... sauf Axel, bien sûr ! J'ai pas prévenu Marc, je suis sûr qu'en apprenant la nouvelle, il se rendormira illiquo !

-T'en penses quoi, de la fille ? Se contenta de dire Thomas.

- Peut-être que Axel a raison, mais si la fille est passé de l'autre côté, sans qu'on sache pourquoi, elle mérite de nous dire des explications ! Lui répondit William, l'air grave.

-THOMAS !!!!

-Qu'est-ce qu'il se passe, encore ? » S'écria Thomas, sur les nerfs.

Mathéo courut vers lui, et s'écria d'une voix forte, en sueur :

« Le réseau a été coupé ! Les portables ne fonctionnent plus, et même le téléphone dans le bureau du principal a été coupé !

-Ça, c'est pas bien du tout ! Si on le dit aux autres, ils vont vouloir partir en courant, et puisque y' a un fou dans les parages, il va s'empresser de les dégommer ! J'espère que je me trompe, mais je penses pas ! » lui dit Thomas.

Axel arriva en courant, car il était partit voir si d'autres personnes étaient allés dans les salles de classes de l'internat, puis Axel cria :

« Venez, les filles !

-Quoi ?! » s'écria Thomas.

Et il vit deux filles qui se ressemblaient drôlement qui descendaient l'escalier.

« C'est quoi tout ce raffut, la nuit ? Dit l'une d'entre elle, les profs vont ont pas entendus ? »

Thomas et William comprirent et ils s'écartèrent de façon à ce que les deux filles voient la cause de tout ceci.

« Oh mon D... et elles faillirent tomber de l'escalier. Heureusement, Axel était là pour les rattraper.

« Et oui, enchaîna Thomas, mais tout d'abord, j'aurais besoin de savoir 2 choses... 1 ; Comment vous appelez-vous, et 2 ; Comment se fait-il que vous soyez de l'autre côté de l'internat ; chez les garçons ?

La première fille, celle qui avait parlé, commença à pleurer, et la deuxième, serra les dents et dit :

- Je m'appelle Karen, et à côté, c'est ma sœur jumelle; Juliette. Notre prof de français ; Mme Verdain, nous a dit, avant de dormir, qu'on devait aller donner un mot au directeur dans son bureau, s'il était pas là, on devait glisser le mot dans la boîte aux lettres, à côté de sa porte.

-Mais vous n'aviez pas besoin d'être deux pour aller lui donner un mot ? Répliqua Thomas.

-Si, il faut toujours être deux pour donner un mot, c'est comme ça que ça marche chez les filles, et puisqu'elle sait qu'on est inséparable, elle nous a chargés de ce mot.

-Bizarre, ce mot, faudrait essayer d'aller voir dans la boîte aux lettre, puisque je présume qu'il était pas là.

-C'est étrange, dit Juliette, qui continuait à pleurer, mais quand on est passer de l'autre côté du mur, il n'y avais rien, et quand on est revenu ; 15 min après, on retrouve tout les profs morts, comme si cela faisait des heures qu'ils étaient là, ou plutôt, qu'ils avaient toujours étaient là !

- En attendant, enchaîna William, il faut aller avertir les autres que le courant est coupé, car de toute façon, à l'heure qu'il est, ils ont déjà regarder leurs portables et constatés qu'il n'y a plus de courant !

-T'es fou ! S'exclama Thomas, il faut plutôt essayer de les en empêcher tant que c'est encore possible !

-Allez, on y vas, il doivent être en bas ! » S'exclama Axel.

Les 6 élèves se rendirent donc près des dortoirs où se trouvaient les escaliers qui servent à descendre, Mais William fonça dans leur dortoir pour regarder à la fenêtre.

« Qu'est-ce que tu fous ? S'écria Thomas, T'es malade ?!

-Je regarde juste... commença à dire William en regardant à la fenêtre de leur dortoir. « C'est bon, c'est trop tard, ils sont tous entrains de courir dehors, regardez ! »

En effet, on pouvait voir dehors une cinquantaine d'élèves courir dehors, en prenant leurs jambes à leurs cous. La plupart étaient en pyjama, car il était aux alentour de 4H du matin.

Soudain, on entendit un : TA !!!! Suivit de : AAAHHHHH !!!!!

William tira les rideaux de la fenêtre, sans un mot.

Puis Axel ferma la porte, au cas-ou.

Puis ils entendirent une rafale de : TA TA TA TA TA TA !!!!!!! NOOONNN !!!!! TA TA TA TA TA TA !!!!!!!!! AAAHHHHH !!!!!!!

Personne n'osait bouger... Personne n'osait intervenir... Tout le monde entendait le martèlement inarrêtable !

Chacun se regardaient,... couvert de honte, et chacun pensait à ce qu'il se passait dehors... Chacun... sauf un...

William ne voulait pas savoir ce qu'il se passait dehors, il avait fermé les rideaux, c'était pas pour rien, c'était aussi pour que ses amis ne voient pas le calvaire qui se passait à l'extérieure, William était comme ça, il ferait tout pour aider ses amis, même si certains lui reprocherait sa façon de le faire.

Heureusement pour lui, Axel avait compris, et l'avait aidé en fermant la porte.

Puis les tirs s'arrêtèrent... les cris aussi...

Puis quelqu'un cria, mais cette fois-ci, à l'intérieur de l'internat.

Il essaya d'ouvrir la porte du dortoir, mais malheureusement pour lui, Axel l'avait fermé.

La personne cria : « Ouvrez la porte !!! S'il vous plaît, je sais que vous êtes la !!!!

Thomas se précipita pour l'ouvrir, mais William l'arrêta en lui faisant « non » d'un signe de tête.

Thomas était furieux, il lui aurait volontairement fracassé la tête, mais non, c'était son ami, et il faisait ça pour eux.

« MOURREZ EN ENFER !!!!! »

Puis on entendit le bruit d'un corps qui s'effondre au sol.

Ils attendirent une dizaine de minutes avant d'ouvrir.

Ce fut Thomas qui ouvra la porte et découvrit un cadavre, tranché en deux par un couteau ; un trait rempli de sang partait de son ventre jusqu'à son épaule.

« Un moment, j'ai cru que c'était Marc, mais tu m'en a empêchez, William », dit Thomas en regardant son ami.

- C'est Oscar, je le connaissait, mais y' a quelque chose qui cloche... commença Axel.

-Les gars, c'est vous ? Dit une voix qui sortait de nulle part, je vous cherchait partout ! »

Puis la personne apparût en face d'eux, de l'autre côté du cadavre, et il comprirent que c'était Marc...

FIN DE L'ÉPISODE 2 DE L'INTERNAT DE LA TERREUR...

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