Commençons par le commencement.

Oui, je sais. J'ai encore pas mal de fanfiction à terminer. C'est pour cela que lorsque vous aurez cette histoire sous les yeux, plusieurs chapitres seront écrite à l'avance.

Mes habitudes concernant l'écriture sont des habitudes tellement mauvaise que j'en ai honte. Je ne prend pas la peine de relire, sauf lorsque l'histoire est terminée (faut le savoir..), j'ai du mal à continuer mes histoires, certaines sont mêmes bâclées. J'ai tellement d'idée sur divers histoires qu'elles ne rentrent pas dans celle que j'ai déjà faite alors j'en recommence une autre. (Faut savoir qu'il y a encore deux Ereri en préparation mdr..) C'est pour cette raison que depuis plusieurs mois, j'écris toutes mes idées sur mon téléphone et de là j'attends une semaine pour voir si c'est toujours dans mon esprit. Ici c'est le cas.

Alors nous y voilà.

Cette histoire (je vais le dire quinze fois) comporte une relation entre un mineur et un majeur. Pour vous mettre une idée, l'un a 14 ans et l'autre a 24 ans. Il y a donc dix ans de différence. N'en soyez pas dégouté, ça ne durera pas longtemps. Vous comprendrez en lisant. Je ne vais tout de même pas dévoiler une partie majeur de mon histoire.

Je n'emprunte que les personnages de SNK et les noms des lieux, je situe cette histoire au États-Unis.

Des relations entre hommes sont bien entendu présent, ne me prenez pas pour un con, si vous êtes là c'est que vous voulez lire du ERERI. Et à ce que je sache, se sont des hommes.

Egalement, il y aura du sang. C'est d'ailleurs en partie pour cette raison que cette fanfiction est inscrite pour adulte.

Bien.

Maintenant... Laissons place au prologue qui dévoilera une petite partie de l'histoire.

◈◈◈

Je suis partis, sans donner aucune nouvelle.

Je suis partis, laissant derrière moi le garçon que j'aime.

Je suis partis, pour ne pas gâcher ma vie.

C'était lui où ma liberté.
C'était lui où ma vie.
Après sept ans d'absence, je reviens, comment va-t-il réagir ?

Je le vois encore, les bras tendu vers moi, les larmes glissant sur ses joues, lorsque je l'ai trouvé.

Il me manque, c'est certain.