Voyage et rencontre d'un petit garçon
Bon en fait je vais écrire un minimum de 1 nouvelle par semaine donc je vais parfois en écrire d'avantage. Ça dépendra de mon imagination.
Sachez reconnaître vos torts en toutes bonne foi. Un vieil homme enseigna cette leçon à ses petits enfants. Mais pourquoi? Pourquoi dire ça comme ça, quels étaient les siens? Avait il commis un quelconques tort? Ou un quelconque crime?
C'était un jeune garçon en 1950, il habitait en Mongolie ou du moins il y séjourné durant quelques jours. Sa famille voyageait beaucoup et lui faisait par la même occasion son éducation sur les civilisations et la géographie des multiples lieux où ils se rendaient. Ce petit garçon aimé la pêche, les montagnes et courir gaiement dans les plaines ou dans les forêts. Mais ici, il était loin des rivières ou encore de l'Océan Atlantique qui regorgeait des poissons qu'il aimait temps pêcher et par la suite déguster. Ah, il se souvenait du chauf-plat qui après avoir atteint la bonne température en kelvin qui ne comprenait pas bien, sa mère faisait cuire le tendre et délicieux aiglefin pendant un temps qui à chaque fois lui paraissait interminable tellement il en avait l'eau à la bouche. Avec des petites pommes de terres complétaient ce repas qui pour lui était digne des plus grand roi. Il aurait voulu être roi à cette époque pour pouvoir manger autant de poisson qu'il voulait et créer ses propres lois. Ces deux parents riaient ensemble et lui promettaient que tel sera son avenir si il daignait s'intéressait de plus près à son éducation et aux nombreux livres qui lui procurait. La petite famille vivaient dans ce pays qui traçait derrière lui des années de guerres, connu auparavant comme de grand guerrier qui avaient conquit presque toutes l'Asie avant que de se faire avaler par la Chine qui prenait de plus en plus de terrain. Le petit garçon du nom de Haru n'avait auparavant jamais dormi dans une yourte mais cela lui plaisait bien, car quand il sortait, point de muret, point de rues étroites et puantes des grandes villes, non là pour lui tout seul il avait les montagnes qui surplomber le paysages des plaines, il avait de longues plaines aussi ou des animaux sauvages mangeaient ou jouaient tranquillement. C'est là qu'il volait rester encore un peu, il avait l'impression d'avoir à lui seul découvert une nouvelle terre de richesse. Ses parents, un jours lui avait rapporté un jouet traditionnel mongole, les osselets et ce dernier y avait beaucoup joué. Il aimé lui aussi les voyages, il avait l'impression qu'a chaque nouveau pays, à chaque nouvelle culture qu'il rencontrer il entrer dans un nouveau monde. Cela lui faisait penser au nouveau livre qu'il avait récemment lui, Narnia ou plutôt Le neveu et le magicien. Dedans, une bague avait transporter les deux héros dans un couloir infini avec à chaque pas une flaque qui pouvait les transportait dans un nouveau monde. Il aimait cette histoire, il l'a trouvait fascinante. Lui aussi voulait trouver les bagues qui permettrai la découvertes de ces mondes fabuleux. C'est pour ça qu'à chaque fois que ces parents l'emmener dans des marchés dès qu'il voyait des bagues jaunes ou vertes il suppliait ses parents de bien vouloir lui en prendre une pour qu'il puisse ainsi découvrir ces nouveaux mondes. Mais bon, ces parents ne plient pas à ses caprices et de toute façon leur petit garçon aurait était bien déçu de s'apercevoir qu'elles ne fonctionnait pas. Puis, un mois plus tard, le voyage prit fin et leur future destination était l'Autriche, nouvelle culture trop européenne soit qui n'avait aucun intérêt pour le petit garçon car pour lui, tout les européens se ressemblaient, ils se croyaient les plus importants dans le monde alors que les autres pays aussi avaient leurs histoires, leurs conquêtes. Bon, pour se l'avouer, il n'aimait pas l'idée de reprendre l'école, les élèves se moquaient de son imagination, de son visage non gracieux et de sa taille un peu trop grande pour son âge. Le petit garçon avait des grosses lunettes sur son petits nez d'enfant. Le petit garçon se vu tout de même obligé d'aller en ce lundi matin d'octobre, dans une tristesse ville grise qu'il n'aimait pas trop de se diriger vers l'école. Il espérait cette fois se faire des amis, il avait tenu à amener ses osselets et les autres jouets qu'ils pouvait loger dans ses poches d'écolier. Ses parents le déposèrent devant le grand portail rouge de l'école, sur son front, ils déposèrent leur lèvres comme pour lui donner du courage. L'école était un petit bâtiment qui devaient compter que quelques classes de 15 ou 20 élèves dans chacune d'elles. Lui, il n'avait que 7 ans, il ne savait pas où aller, ou du moins, il avait oublié à cause du stress lié à l'intégration. Mais dans la cour, une maîtresse avec un large sourire vient à sa rencontre pour lui demander son nom et son âge. "Allez, tu viens avec moi, tes camarades t'attendent Haru", elle l'emmena dans une petite classe avec des murs d'un jaune poussin que le petit garçon trouva tout de suite hideux. Tout les regards étaient posés sur Haru, comme si ils étaient hypnotiser par sa présence, ils le regardèrent même s'asseoir et continuèrent encore un peu jusqu'à la maîtresse demande à un élève nommé Tyler, un petit garçon aux cheveux noirs désordonnés qui foisonnaient sur sa petite tête aux yeux fatigués, au visage timide. La petite classe dut ensuite prendre ses stylo plumes et commencer la dictée que réciter lentement l'enseignante. Le problème, c'est que les enfants de cet âge ne comprenaient pas tous ceux qu'ils écrivaient, ils connaissaient certains mots mais sans pour autant comprendre l'intégralité de la phrase. Elle lisait, munit de ses grosses lunettes ronde qui rajeunissaient étrangement son visage, un livre de géographie mais bien trop gros pour être pour des élèves de notre grade. Le nouveau, n'avait pas compris l'exercice et il écoutait donc, il se souvient, d'une phrase qu'il eu comprise car elle se référée peut être à lui. "Les effets de l'intégration régionales sont notable, favorisant les échanges proches entre Etats avec des droits de douane abaissés." D'ailleurs à la fin de cette phrase, elle le regarda, puis regarda sa main qui n'écrivait pas. "Elle lui demanda sa raison de ne pas écrire, et tel le ferrais n'importe quel enfant de son âge, il répondit qu'il ne comprenait pas ce qu'il y avait à faire et que les phrases étaient trop compliqués pour lui. Les autres élèves rirent au plus grand malheur du garçon, mais certains asquiéssèrent et dirent la même chose à la maîtresse, qui décida de changer de livre, un livre pour enfant cette fois. Là c'était l'histoire, d'un varappeur, d'une personne qui escalader des montagnes rocheuses essayant d'aller au sommet pour contempler le magnifique monde qui l'entourait, et en haut, il trouva un phénix qui le récompensa d'un voyage dans les air dans tout le pays. Puis, l'heure de la récrée, l'enseignante avait promit de raconter la suite le lendemain. Le petit garçon était à présent seul, dans cette cour qui lui paraissait immense. Il avait peur d'être frappé, puis il se dit qu'il avait appris plusieurs arts martiaux tel que l'Aïkido, le karaté et le kendo, mais bon, il n'avait pas envie de se faire réprimander et peut-être avait il oublié les mouvements, il ne sait plus. Puis il s'assit sur un banc attendant que la pause passe. Un petit garçon s'approcha de lui, lui proposant ses biscuits que sa mère avait fait pour lui. Il s'appelait Peter, ses cheveux blond et ses yeux d'un bleu turquoise était assez courant en Autriche, mais il perturbait quand même Haru, qui dans ses voyages en Asie n'avait vu que cheveux ébènes et yeux écorces. Ils furent vite amis, Haru lui montra comment jouer aux osselets et la récrée passa plutôt vite. Au fil des jours, les garçon devinrent de plus en plus amis. Puis le soir, quand il rentra chez lui, il racontait avec joie ses aventures et celle de son ami. Ses parents lui proposèrent de l'inviter. Les petits garçons en furent ravis. Ils jouèrent dans la cave à vin de la maison, bien que ce soit interdit, puis le père d'Haru descendit et les vit près de la vodka, et s'en inquiéta, car des enfants pouvaient vouloir faire comme les grands. Il leur expliqua donc qu'il fallait mieux boire de l'eau car la vodka et les autres alcools présents ici ce sont les plus violentes des eaux de vies et que avec ils pourraient se blesser. Les journées passèrent vite quand ils passèrent leur temps ensemble, puis un jour ce fut Haru qui fut invité par la famille de son ami, il en fut ravi. Il se prépara donc, tout excité par cette invitation. Il prit son nounours blanc, et accompagné de ses parents ils se rendirent à l'adresse indiquée sur un bout de papier. Quand ils sonnèrent à la porte ce fut une grande et élégante femme qui leur ouvrèrent. Son sourire faisait ressortir d'avantage sa beauté, des cheveux blond ondulés, une peau pale et des yeux aussi bleu que son fils faisait d'elle quelqu'un de ravissante. Avec chaleur, elle embrassa la tête d'Haru et parla au parents quelques instant avant que ces derniers s'en aille, confiant pour la première fois leur petit garçon. La décoration était assez moderne, enfin pour l'époque. Tout lui sembla beau, puis son ami couru jusqu'à lui et l'entraîna dans sa chambre, rempli elle aussi de nombreux jouets qui occuperaient les deux enfants durant de nombreuses heures. Puis viens leurs, moment préféré, le goûter, il y avait toute sorte de gâteaux qui remplissaient la table de presque toute sa longueur. Ils s'empiffrèrent tout deux, à ce moment vient le père un autre blond aux yeux bleu à croire que c'était nécessaire dans la famille. Il fit connaissance avec Haru, il lui posa des questions sur sa religion, le petit garçon n'en avait pas, c'était d'ailleurs étrange pour cette époque. Puis il lui d'un père, enfin c'est ce que Haru crut comprendre. Mais l'après midi se passa calmement et joyeusement dans le cœur et l'esprit des deux enfants. Le soir, la conversation du repas c'était les adultes qui l'a tenait, les enfants eux trop fatigués à présent pour parler.
- La voisine n'est pas venue aujourd'hui?
- Non, pour une fois!
- Il faut faire attention, elle pourrait un jour penser à nous voler, elle fait juste semblant d'être gentille. Mais bon, dommage que les lois pour sa religion ne soit pas resté comme il y a quelques années.
La conversation continua, la femme quoi que un peu contre son mari essayer de défendre la voisine. Mais en vain son mari était quelqu'un de dogmatique, qui ne rester que dans ses idées fixes et fermés de l'époque hitlérienne. Haru, en eu presque peur de voir la haine à travers les yeux de cet homme. Lui ne comprenait pas pourquoi détester une religion ou plutôt ceux qui la pratique. Lui il détester les épinards mais pourtant il n'avait jamais détesté ses parents car eux ils en mangeait. Il voulu en parler avec Peter le soir, mais il se trouva que Peter était du même avis détestable que son père. Pour la première fois, Haru ne supporta pas son ami. Et quand ils firent à l'école, il l'ignora et parla dans son dos, il ne pouvait plus aimé cet ami, mais parfois il regrettait leur jeux. Et le petit garçon au bout d'une semaine regretta car il avait fini comme les personnes qui l'avait embêtée le premier jour dans son ancienne école. En plus, à présent, Peter s'était trouvé un autre ami, avec qui il partageait son goûté. Haru se rendis compte qu'il avait fait la même erreur que son ami, il avait détesté les personne qui pensaient comme ça et les avaient rejeté. Maintenant, il se retrouver seul. Et n'osa jamais admettre et s'excuser face à son ancien ami qu'il avait tort.
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