PDV Wendy :

Je me sentais tellement mieux, j'avais récupérer de ma fatigue. Je me suis réveiller dans la nuit du troisième jour. Ils ont tous étaient content de me voir enfin réveiller. Enfin tous certain dormaient et d'autres non, Du genre hisoka qui jouait aux cartes et Kuroro qui lisait. Quelque chose me faisait sentir bizarre avec Kuroro, il semblait différents de la dernière fois je ne saurai pas dire en quoi il avait changer mais c'était une certitude qu'il avait changer mais cela ne choqua personne donc je n'y prêtais pas grande attention. Enfin Hisoka aussi semblait perturbait par le changement de Kuroro cela se voyait dans sa façon de le regarder. Quelque chose était bizarre mais abandonnait pour le moment je préférai rassurer les membres de la troupe :

- Comment ça va ? Tu te sent mieux depuis la dernière fois ? Me demanda amicalement Pakunoda, elle ressemblait à une vrai maman mais je pense que si je lui disais elle pourrait peut-être se vexer donc je n'ai rien dit.

- Oui oui ne vous en faites pas je vais mieux. J'ai récupérait toute mon énergie et je ne suis plus fatigué. Elle semblait douter un peu de ma réponse mais avec le sourire que j'affichais elle se retint de me reposer la question.

- Encore heureux que tu es récupéré ton énergie ta jouer à la belle au bois dormant pendant trois jours. Pourquoi il fallait qu'il soit aussi rabat-joie ce Feitan.. Pfff lui je ne l'aime pas, il fait exprès de me faire passer pour une gamine faible et fragile ( ce que je suis en réalité, c'est triste mais c'est comme ça ).

- Bon retour parmi nous Wendy, c'était le chef qui venait de parler il affichait un sourire magnifique, mais moi je le trouvais vide et effrayant. Ils remarquèrent mon désarroi mais ils l'a similaire à une gêne envers leur chef plutôt imposant alors pour ne pas paraître louche je lui rendit son sourire et regardait autre part que dans sa direction. En revanche lui il m e regardait encore fixement son regard était intense et me donnèrent des frissons dans tout le corps, non Kuroro n'était pas le même. Hisoka aussi avait deviné que ce n'était pas Kuroro. Je tournais mon regard vers Hisoka maintenant et ce dernier me regardait droit dans les yeux. il leva un doigt discrètement en l'air et j'utilisais le gyo pour pouvoir voir son aura écrire quelques mots : RDV, Soir, Chambre, Kuroro. Il pouvait pas faire encore plus court celui là ( sarcasme ). Très bien je ferai une journée aussi calme que possible pour n'éveiller les soupçons de personnes et j'irai se soir dans la chambre de Hisoka pour que l'on discute du problème de Kuroro. 

-----------------------------------

Nous étions le soir maintenant, ma journée pouvait se résumé simplement en un mot : soutien. Les membres de la brigade qui se sentaient concernés par mes problèmes ( même si ils ne les connaissent même pas tous ) mon soutenue toute la journée. Pakunoda n'a pas cessait de rester auprès de moi, sharnalk a discutait avec moi toute la journée ( avec un sourire joviale tout le temps ) Comment il fait d'ailleurs pour toujours avoir un sourire scotché au visage ?  Je veux bien quand soit de bon humeur mais là sa devient légèrement effrayant. Enfin le reste de la troupe prenait soin de moi à distance ou venait me parler de temps en temps. Kuroro et Hisoka n'ont pas cessaient de m'observer tout le long de la journée ; c'était gênant et oppressant. 

Enfin en était le soir désormais tout le monde dormait sauf Kuroro qui lisait un livre et Hisoka qui faisait un château de cartes. Je commençais à somnolait et Hisoka se leva soudainement est parti de la grande salle pour aller dans sa chambre autoproclamé. Sa devait être le signal, mais pour ne pas éveillait les soupçons de Kuroro je ne le suivit pas tout de suite j'attendis 30 minutes avant de me décider à le suivre ( enfin prendre le même chemin que lui ). Kuroro ne semblait pas se méfiait de quelque chose pour le moment tout du moins. Une fois arriver devant une pièce avec une porte entre-ouverte et de la lumière à l'intérieur, je me décida à entrer à l'intérieur. Une fois le seuil de la porte franchis je ne vis que des bougies allumés mais personnes je devais mettre trompé d'endroit. 

J'avançais quand même un peu plus profondément dans la pièce quand j'entendis la porte derrière moi se claquer. Je me suis retournais d'un coup mais toujours personne pourtant la porte était fermais à clé. Je le sais par ce que je me suis précipitée vers la porte pour sortir mais je ne pouvais pas. Pourquoi était elle fermé ? Qui la fermé ? Est ce un piège ? Puis je sentis un souffle près de mon oreille, j'étais totalement paralysait par la peur.  Je ne pouvais plus bougeait , j'étais tétanisait puis le souffle derrière moi se transforma en parole, je reconnu tout de suite la voix : 

- Il y a plus d'une personne en ce monde qu'y aimerait être à ta place ce soir ma chère Wendy.

Je me retournais d'un coup et le regarda, je l'avait bien reconnu : Hisoka. Ce taré, je me souviens que maintenant qu'il fallait pas que je l'approche celui là. Zut alors qu'est ce qui va ce passer. Comme si il pouvait lire dans mes pensées il repris la parole : 

- Il ne vas rien se passer entre nous deux, il me lança un clin d'œil et repris son élocution : Nous allons faire comme prévu.

- C'est à dire ?

- tu sembles avoir oublié pourquoi je t'ai fais venir ici ?

- Oh ! oui c'est vrai Kuroro.

- C'est sa mon chaton. Tu sembles avoir remarquait qu'il n'était pas lui même. 

- Oui c'est vrai je ne serai pas dire pourquoi mais je sens que cette homme n'est pas Kuroro. Mais, Mais pourtant les... ( se fait couper par Hisoka )

- Les autres membres de la brigade ne semble pas avoir repérait de changements, ça aussi je l'avais remarquais.

J'étais surprise qu'il sache tout ça alors que les autres étaient là avant lui dans la brigade et eux n'avaient rien remarquer. Comment fait il moi je suis sensible au nen et aux auras mais lui ? 

Pendant ce temps dans un sous-sol d'un manoir : 

PDV ??? : 

Je me suis réveillé lentement et je sentais que mon corps était endoloris ( surement à cause de la fatigue ) mais il ne me semblait que ce n'était pas que ça. J'ouvris les yeux lentement, la pièce ou je me trouvais été éclairés par une petite lampe au plafond mais cela permettait tout de même de voir l'intégralité de la pièce. Pour ma part j'étais assis sur une chaise mes poignets derrière le dossier enchaînés ensemble, et mes chevilles étaient enchaînés elle aussi à un des deux pieds de la chaise ( les pieds de devants soi ayant un minimum gentil xD ). J'étais au centre de la pièce et j'avais un bandeau sur ma bouche pour m'empêcher de parler. De plus je ne pouvais pas sortir mon aura, Pourquoi ? je n'en savais rien. Mais un grincement de porte qui venait derrière moi se fit entendre. Mes pensées était dirigées vers la personne qui venait d'entré. Ma vision était trouble mais je pouvais distingué des courbes généreuses : une femme. Mes il n'y avait pas que ma vision qui était trouble je ne me souvenait pas des événements récents. Mes derniers souvenirs remontent à 1 ou 2 jours peut-être après tout je ne sais pas combien de temps j'étais rester inconscients. Puis la personne s'approcha de moi et prit une seringue qui se trouvait sur un chariot rouillé pas très loin de ma chaise. Le liquide à l'intérieur devait être surement du poison, il avait une couleur mauve fushia et n'inspirait pas trop confiance. Elle testa la seringue en faisant giclée un peu de liquide à l'extérieur. Elle se rapprocha ensuite de moi puis pointa le bout de son aiguille ( de la seringue ) sur ma jugulaire, malgré le faite que je me débattait elle réussi à me bloquer le coup et à enfoncer son aiguille dans mon corps. Elle y injecta le liquide et reposa la seringue sur le chariot. Elle s'assit sur la canapé qu'il se trouvait devant ma chaise, pris un livre et lu. 

Qu'est qu'elle a mit dans mon corps ? Un poison ? Une drogue ? Un paralysant ? Est ce que ce serait lié à mon manque d'aura ? Trop de questions tourbillonnait dans ma tête, je n'étais pas prêt  pour ce qu'il allait ce passer. Mon corps devenait chaud, et toutes les parties de mon corps devenaient très sensible, le moindre contact m'aurait fait perdre la tête. J'atteignit ce stade après 30 min ( laps de temps qu'a mit le liquide à agir ). D'ailleurs de nouveau mon esprit était ailleurs et je ne remarquait presque pas que la femme avait arrêter de lire. Je l'ai remarquait parce qu'elle me regardait avec instance depuis bien 5 bonnes minutes. Dans ces yeux on pouvaient voir de la Luxure. J'allais passer un mauvais moment. 

PDV ??? ( pdv de la mystérieuse nouvelle femme )

Il s'était enfin réveiller, cela faisait deux jours entiers qu'il dormait. Il doit peut-être avoir mal à ces chevilles et ces poignets, le pauvre je pourrai presque le plaindre hahahahaha ( rire sadique intérieure ). Je pose mon livre et m'approche de lui. Il est si beau, j'ai envie de le taquine, de me délecter de son corps, mais aussi de le brisé aussi bien mentalement que physiquement je vais y aller en douceur cette fois-ci. Je me lève alors du canapé ou j'étais pour le rejoindre pour être plus précise je m'assoie sur lui dans le sens inverse ( les pieds derrière le dossier, poitrine contre poitrine ). Je le sentais, il était excité ce que je lui ai donner à bien fonctionner. Il était chaud, c'est une sensation tellement agréable je l'ai ressentie encore plus lorsque je passais mes mains avec lenteur derrière sa tête pour desserrer son bandeau et pouvoir entendre sa voix mélodieuse, tout du moins il n'engagea pas la discussion il se contentait de regarder l'intérieur de la pièce ou il était retenu captif. Cela m'a agacé qu'il m'ignore malgré notre proximité, je vais lui faire regretter : 

- Il semblerai que tu es chaud et si on baissait un peu se manteau il ne doit pas arranger le problème  n'est ce pas mon chaton, lui murmurai je à l'oreille de la voix la plus sensuelle et tyrannique possible. Je n'entendit qu'un petit grognement de sa part avant de commencer à le mettre littéralement torse nu ( il ne portait qu'un manteau noir ). Je pris largement mon temps en caressant chaque parcelle de son haut du corps ( le cou, les épaules, les bras, etc. ). Je me suis arrêter un instant et repris la parole : 

- Alors mon chaton tu te sent mieux ?

( aucun réponse il a simplement tourné la tête sur le côté, il était vraiment sensible, la moindre caresse l'exite je sent que je vais bien m'amuser )

- Bien tu ne vois pas d'inconvénients à ne pas l'avoir sur toi alors tant mieux car tu es bien plus beau sans. Je lâchais donc son manteau qui tomba par terre ( mais vu qu'il avait les poignets attachés il n'était pas tomber complètement les manches recouvrait ses mains mes le reste de son bras était découverts ). Tu es absolument magnifique comme ça mon chaton, lui dit- je sensuellement. Laisse moi entendre ta voix magnifique sinon je vais devoir t'y forçait, lui murmurai-je à l'oreille pour lui lécher lascivement le lobe juste après, se qui lui fit sortir un léger gémissement. Il ne se contrôlait pas, c'est moi qu'y le contrôlait désormais.

- Tu es trop mignon comme ça... 

( PASSAGE MATURE SANS LEMON  !!!! )

PDV ??? ( Homme ):

- Tu es trop mignon comme ça... 

Elle se rapprocha alors de mon coup qui était désormais entièrement à découvert et commença à le lécher, mordiller et le sucer lascivement me faisant gémir. Je ne me contrôlait pas tout mon corps était brûlant, comme un loup en chaleur. Le désir montait en moi contre mon grès. Elle arrêta son léger supplice et prit mon visage entre ses deux mains. On se regardait droit dans les yeux elle et moi étions assez proche pour nous sentir mutuellement. Elle avait un parfum de rose qui était assez doux, son visage était fins, elle était vraiment belle... Je divague totalement qu'est qu'elle m'a injecter Bordel ?! 

- Qu'est ce...( souffle ) que tu... ( souffle ) M'as injecter... (souffle )dans mon corps... (souffle ) ?

- Ton souffle chaud est si mignon est agréable ! ( inspire mon odeur en dessous de mon menton ). 

- Tais toi... ( souffle ) et réponds moi !!

- Si tu veux mon chaton, elle décida enfin à descendre de dessus moi et de s'éloigner de moi ( enfin elle avait quand même réussi à m'exciter quand même quelle garce !! je lui ferai la peau. Elle, elle va mourir ) Elle s'assit de nouveau sur le sofa en face de moi et repris la parole tout en me regardant droit dans les yeux : 

- Le liquide que je t'ai injectait est un aphrodisiaque. Elle me regarda en affichant un sourire malicieux sur le visage. Son regard quant à lui était rempli de vices elle n'allait pas me laisser tranquille. 

- Qu'est ce que sait ? 

- Tu arrives à contrôler ton souffle désormais je ne t'ai peut-être pas assez excités me répondit-elle en se léchant les lèvres.

- Réponds !

- Tu es toujours comme ça ou c'est le produit qui te rend si susceptible mon chaton ?

PDV ??? femme :

Cette fois il ne me répondit pas il avait retrouvait son sang froid enfin pas pour très longtemps hahahahaha ( rire sadique intérieur #leretour )

- Très bien je vais te répondre. Je me relevais et me dirigeais vers lui une nouvelle fois. Je m'assis sur lui de la même manière mais avec un peu plus d'écarts entre son torse nu magnifique et ma poitrine ( plus mon ventre ). Une fois bien installée je lui soulevait le menton avec ma main droite et posai ma main gauche derrière sa tête sur sa nuque.J'étais au dessus de lui maintenant.  L'aphrodisiaque est une drogue pour être plus précise, il s'agit d'une drogue sexuelle. Il a à nouveau perdu son sang froid pour affichait une tête hébétée cette fois-ci. Son visage est si craquant, il est mon genre d'homme il n'y a aucun doute à avoir. Et si tu m'offrais ton corps sur un plateau d'argent qu'en pense tu mon chaton ? Je commençais à faire descendre ma main qui était sur son menton. Je lui caressait le coup, le torse en passant par sa poitrine dressée et chaude ( il était vraiment excitait cette fois-ci, il gémissait bruyamment car la drogue que je lui administrait poussé la personne au désir et à la luxure ). Après ma main passa sur ses abdominaux ( #tablettes de chocolats ). Ma main continua à se délecter de son corps à ma merci jusqu'à arriver à son bas-ventre... 

A suivre ...