??? : Tu as plus de courage que ton père

Il se penchât vers mon oreille que je pouvais sentir son souffle sur mon cou et mes cheveux.

??? : Chaque soir a cette heure précise tu devras être là. Ne pense même pas à t'échapper la foret se refermerait sur toi.

Alors que je l'écoutais en aillant de plus en plus peur, je regardai dans le verre et je le vis enfin, j'ai eu tellement peur que je pris le couteau près de moi et je me retourna vite que je fis tombe la chaise sur le coté. Mais l'inconnu avait déjà disparu. Je ne fini même pas ce qu'il y avait dans mon assiette. Et je regagna ma chambre sans rien dire, j'avais tellement peur que j'en tremblais. Quand je me retourna vers le lit je vis quelque chose sur le lit

Quand je m'approche du lit je vis une belle robe assez long et fine sans rembourrage, chouette j'enleva très vite cette robe très belle mais lourde à la longue. Je me mis dans les drap, je regarda mes mains qui tremble encore. Mon dieu je veux partir de cette enfer.

PDV le Comte :

Elle me donne tellement envie, son sang me donne tellement envie

de la vider jusqu'à la dernière goutte. J'entendais Marcel toquer et entrer dans mes appartements.

Marcel : le repas c'est bien passé comte ?

Le Comte : Non pas vraiment, je me suis retenue de la vider de son sang, mais j'ai repensé à se que Rosie a eu comme vision, comme quoi une jeune femme tomberait sur la demeure et nous sauverais tous.

Marcel : J'y est pensé aussi maître, c'est pour ça que j'allais vous demander si vous vouliez que je demande aux Demoiselles si elles peuvent s'occuper d'elle ou la surveiller pendant que je préparais une fête pour notre invitée et vous mètre.

Le comte : Intéressant c'est une très bonne idée que tu a eu là Marcel. Je suis d'accord mais je ne veux pas que les femmes s'en occupe. J'ai peur que Katrine ou Katrina sen prenne a elle.

Marcel : Je vois cher comte, et en ce qui concerne Rosie ?

Le comte : Je pense qu'on peut laisser Rosie avec elle. Rosie sait bien se contrôler. Et je pense qu'elle pourrait lui faire une visite de la demeure

Marcel : Bien cher comte je vais voir avec Rosie.

Le comte : Bien tu peux y aller Marcel, vas te reposer un peu.