Je suis enfin près je peux y aller. Je ne vais pas la faire attendre plus longtemps. Je sorti de mes appartements pour la rejoindre. Arrivé là bas je la vis assise sagement à regarder tous se qui l'entoure. Je descend des escaliers.

Le comte : Désolé de mon retard mademoiselle.

Elena : Ne vous affaite pas je ne suis là que depuis quelque secondes.

Le comte : Bien bien vous avez déjà manger ?

Elena : Bien non je vous attender avant de commencer.

Je fus surpris elle a attendu, on dirait qu'elle a était plutôt bien élever cette fille.

Le comte : Où avais vous appris à être aussi polie jeune fille ?

Elena : Bien avec mes parents et plus particulièrement avec ma mère.

Le comte : D'où venais votre mère ?

Elena : Elle était d'une famille assez noble au Sud de la France.

Le comte : Je vois. Manger votre plat va refroidir.

Quand elle commence a manger, moi je fini de descendre les escaliers et je vais m'assoir à ma place face à elle dans l'ombre.

PDV d'Elena

Elena : Puis je savoir pourquoi vous continuer a vous cacher de moi alors que je vous est déjà vue a la lumière ?

Le comte : Bien par habitude je suppose. Le plat vous plais t'il ?

Elena : Oui c'est vraiment délicieux. Puis je vous poser une question ?

Le comte : Aller si je vous écoute poser votre question.

Elena : Qu'es que c'était ces cris l'autre soir. On aurait dis des cris de plusieurs femmes qui cries en meme temps.

Le comte : Vous avez surement rêvé vous vous étés peut être endormie en attendent le dînée.

Elena : Mais pourtant j'aurais juré entendre ces cris et qu'ils était réelle.

Le comte : Vous risquez d'entendre beaucoup de chose jeune fille. Murmure

Elena : Vous ne manger pas ?

Le comte : Non il me semble avoir déjà répondue a cette question l'autre soire.

Elena : Désolé je ne m'en souvenais plus.

Le comte avais l'aire bizarre, et ça commencer a m'énerve qu'il m'appelle jeune fille ou mademoiselle.

Elena : Et pour votre gouverne je m'appelle Elena.

Le comte : Bien Elena, je me demandé si vous accepterais que je vous fasse le reste de la visite demain ?

Je rêve ou il vient de me dire quelque chose de gentil ? Il a pas l'aire si terrifient que ce que je pansé. Mais j'ai déjà tous visité avec Marie.

Le comte : Alors Elena sa vous dis ?

Elena : Bien oui pourquoi pas il me semble que je n'est pas vue les jardins.

Je vie le comte ce levé et venir verre moi en sortent de l'ombre.

Le comte : Bien alors je vous ferais voire mes magnifiques jardins demain matin.

Elena : J'ai hat.

Quand je fini de manger, je le salue et je remonte jusqu'à ma chambre. Je m'endormie très vite je devais encore être bien fatigué.

PDV dans les rêve de Elena

Elena courue encore et encore elle était pieds nus, elle santé le froid sous ses pieds. D'un coup elle s'arrêta nette devant un gigantesque miroir elle voyais sont reflet mais elle avais l'impression que son reflet bougé. Elle a donc avec son index touché le miroir, d'un coup la brume dévoila un miroir mais Elena ne voyais plus sont reflet mais celui d'une autre femme très belle, ces cheveux étais très longs ils lui arrivé près que aux hanches. Elle avait les yeux pure et marron noisette. Son visage on aurait dis le visage d'une poupée.

Elle se recoiffa devant Elena, ce qui fis peur à notre héroïne.

Nous passons de l'autre côté de notre miroir.

Amie de la femme : J'espère que seigneur Takashi et amoure de moi. En se regardent dans le miroir

La femme : Et si il ne vous aimez pas ? En se regardent dans le miroir

Amie de la femme : Alors je lui ferais vivre un enfer. Toujours en se regardent dans le miroir et fis un rire amusé

La femme rie avec une sublime sourire. Des aboiement de chient ce font entendre et résonne dans le hole du château.

La femme : Les voilà. Elle se retourna très vite et marcha vite en descendant les escaliers avec son amie

Plein de chient entra dans le hole du château et courus demandé des papouilles à leur maîtresse. Les chasseurs et leur comte rentra avec le gibier. Le comte avais un sanglier sur les épaules qui avais trois flèches enfoncé en lui. Puis le comte lâcha le sanglier en le faisant basculé en arrière et tombé au saule. Le comte avance verre sa femme et commence a parlé au chient alphas qu'elle a dans les bras.

Le comte : J'ai toujours sus que tu m'étais infidèle.

On entendis le chient pleuré, le comte pris la mâchoire inférieur de la pauvre bette.

Le comte : maintenant je vais te manger. OUF OUF OUF OUF OUF OUF.

Le chient pour ce défendre grogna et essaya de mordre son maître. Le comte recula sont visage et sa femme laissa partir le chient. Quand elle se redressa elle se retourna verre sont époux qui l'embrassa tendrement. Mais leurs plaisir fus bref quand les chasseurs vois que le comte embrasse sa bien aimé, Ils éloigna le comte des bras de sa femme.

Bertrand un des chasseurs : Enlève tes sales mains de là...

Josèphe autre chasseur : Et oui mon ami pas de renard pas de récompense.

La femme : Tu na toujours pas renoncé ?

Le comte : Des années qu'il m'échappe. Mais je vais l'avoir je le sens ce sera mon plus beau trophée Il fait deux pads verre elle et lui murmure Après toi.

Un chasseur : Prend une flèche dans le carquois du comte et la montre à la femme Regarde ce qu'on lui a offert, toute doré comme le pelage de ce renard.

Le comte sourie légèrement puis Bertrand enroule le comte avec ses bras et le dire verre les autres.

Bertrand : Aller j'ai soif. Il faut qu'on boive !!!!

Les hommes partes de leurs cotés. De son coté la femme tourne la tête avec une expression triste et des pansées plein la tête, en voient tous ces animaux morts trainer au sol. La femme retourna dans sa chambre, son amie qui était aussi sa domestique lui coiffer ses longs et beaux cheveux. Mais la femme en avais assez que sont époux ne la rejoigne pas toujours. Le comte rentra enfin. La domestique de son épouse finis de coiffée les longs cheveux de sa maîtresse puis elle s'en alla en saluent le comte. Le comte lança son manteau sur le lit et il s'approcha de son épouse pour l'enlacer tendrement et lui faire des baisers dans le coup. Mais la femme n'était pas de cette avis et le repoussa un peux.

La femme : Tu sens le fauve.

Elle essaye de se débattre mais le comte la rattrape, il la porte et la dépose sur le lit. Ils commencent à embrasse tendrement avent que la femme demande quelque chose.

La femme : Mon amour je veux te demandé quelque chose.

Le comte regarda sa ci belle épouse et dis avec un grand sourire.

Le comte : Quelque chose ?

Puis il se remet à embrassé le cou de sa femme.

La femme : Je veux que tu renonce à ce renard.

Le comte s'arrêta direct après cette phrase. Son visage était remplis de question. Pourquoi veux t'elle absolument que j'arrête de chasser ce renard ? Puis il se redressa pour ce mètre à califourchon. Puis avec une vois d'incompréhension il pauses la question.

Le comte : Mais pourquoi ???

La femme : J'en est assez que tu parts des jours entier pour le chasser. Je me sens terriblement seule ici sans toi. avec une voie du désespoir

Le comte regarda sa tendre et bien aimé, et lui caresse juste le bore du visage et lui dis.

Le comte : D'accord mais à une seule condition, donne moi un fils.

PDV de Elena :

Je me réveilla tout doucement et quand j'ouvris les yeux le comte était juste là très très près de mon visage. Beaucoup trop près d'après moi, j'eu tellement peur que je cacha mes yeux de peur qu'il me fasse du mal. Mais d'est que j'ai fais ça il partis sans un mots ni rien. Je me redressa vite pour voir si il était vraiment partie et quand je jeta des coups d'yeux partout arrivé verre la fenêtre je vis une robe je suppose qu'il était venue me déposé la robe qu'il voulait que je porte aujourd'hui.

Je me leva et sorta de mon lit, pour regarder de plus prés la robe. D'un coup j'eu la peur de ma vie j'entend du bruit la porte de ma chambre qui s'ouvre. Je reste pétrifier à l'idée que ce sois encore le comte. J'entend les pats ce rapprocher de moi et quand celles ci me toucha l'épaule, je fis obliger de regarder et je ne pris pas tous de suite conscience de qui c'était du coup je crie.

Marie : Madame ça va ? Vous êtes toute pale.

Je compris alors que c'était pas le comte mais Marie. Je me calma immédiatement donc jarreta de crié.

Elena : Oh je suis désolé Marie. Je ne vais pas aller me balader aujourd'hui Marie.

Marie n'avais pas l'aire de comprendre pourquoi je refusé d'aller me balader aujourd'hui.

Marie : Mais madame vous avez la visite des jardins avec Monsieur le comte.

Elena : Pas grave ci il ce met en colère il n'aura qu'à sens prendre qu'à lui seul.

Marie : Pourquoi madame vous a t'il dit quelque chose qui vous a énerver ?

Elena : Non.

Marie : Désolé madame mais je ne suis pas sur de vous comprendre ?

Elena : Le comte est venue ce matin dans ma chambre et ma regarder dormir.

Marie fis un soupire tout t'en besant la tête, elle n'avait pas l'aire très surprise que le comte rentre comme ça dans ma chambre.

Elena : Marie dis moi pourquoi je sens que tu sais pourquoi il fait ça ?

Marie : Bien oui madame je sais pourquoi il fait ça, mais vous la connaissais déjà cette réponse madame. Je me trompe ?

Je tourne le regard vair la robe.

Elena : Alors il est venue juste pour posé la robe ?

Marie fis oui de la tête.

Je panse qu'elle a raison mais alors pourquoi quand j'ai ouvert les yeux il était juste devant moi en train de me regardé dormir ?

C'est vraiment bizarre tous ça ?

Elena: Mais alors pourquoi il était près de moi quand j'ai ouvert les yeux ?

Marie: Bien peut être que le comte voulait vous réveillez. Il faisait ça souvent avec l'ancienne dame. Il lui faisait sentir une odeur plutôt forte et qui titille le nez.

Elena: Heu comme quoi ?

Marine: Bien il a plein de chose. De la lavande, du poivre, de l'huile pour m'être sur vos lèvres et pleins d'autres choses.

Et bien on dirait qu'il ne s'attende pas a que je me réveille d'un coup.