Chapitre 3 : Louis XVI et la révolution
Le roi de France est élue de Dieu. Il est roi de droit divin plus exactement. C'est à ce titre qu'il se doit de faire preuve d'une certaine rigueur... mais qu'il peut aussi prendre une ou plusieurs maitresse. Louis XV a déshonoré cela en prenant des femmes de basse origine. Le Bien aimé n'était plus.
Louis XVI dû donc succédé à cela...
Tout semblait bien commencer malgré tout. Le jeune héritier au trône, petit fils du roi, fut promis à la sublime archiduchesse d'Autriche, Maria Antonia, fille de la puissante Maria Theresia Walburga Amalia Christina von Habsburg archiduchesse d'Autriche, reine d'Hongrie et de Boheme.
Le reversement des alliances. L'Angleterre et la France ne tiennent plus ensemble, comme la Prusse et l'Autriche. Un mariage qui scelle la fin d'une haine héréditaire datant de François Ier et Charles Quint.
Mais la fête fut marqué par un drame, comme un présage de l'avenir. Le feu d'artifice prévue tourna au massacre. Une simple ingérence des artilleurs provoqua la mort de quatre-cent personnes. Le dauphin et sa jeune épouse payèrent alors une pensions à fonds propres, favorisant leurs popularité.
Celle qui deviendra « L'Autrichienne » était alors la belle reine. Cela faisait plus de dix ans qu'il n'y avait plus eut de reine de France, quelle joie d'en avoir une aussi belle ! Aussi jeune ! apportant en plus une formidable alliance...
Personne ne voyait la jeune fille de quinze ans qui dû abandonner tout ce qu'elle avait, vêtements, famille et même ses chiens adorés, pour partir dans une cour remplit d'inconnues très différents d'elle.
La première chose que fit l'adolescente spontanée et joyeuse fut de se jeter au coup de son fiancé qu'elle ne connaissait que par un portrait. Un geste déplacé au vue du protocole, pour le roi, cela ne fut pas déplacé. En effet, Louis XV ne retenue que le fait que la jeune Marie Antoinette était encore plus fraiche et séduisante que son portrait ne le laissait penser. En plus, comme convenue, elle parlait parfaitement français.
D'ailleurs, l'on disait qu'elle refusait qu'on s'adresse à elle dans une autre langue que le français.
La belle culture française, le bon peuple français, la magnifique cour française... ce pays séduit la dauphine.
Sauf qu'elle n'était pas adapté à la cour de Versaille, toujours en représentation, toujours à ce plier au protocole qu'avait imposé Louis XIV...
La première erreur fut quand, a peine arrivé, elle demanda qui était cette femme toujours collé au roi.
« -Cette... jeune femme et Madame Du Barry. Elle est ici pour distraire sa majesté.
-Oh ! Et bien, elle peut s'en aller, je suis la maintenant pour cela. » parole innocente d'une enfant pleine de bonne volonté.
Elle n'avait pas comprit le rôle d'une favorite royale. Cela n'existait pas dans la cour de sa mère.
C'est comme cela qu'une reine essaya de rivaliser en extravagance avec une favorite.
« Dépensière ! »
« Madame déficits ! »
Mais, cette jeune femme, une fois mère, voulait être libre de ce protocole. C'est pour cela que fut battit le « hameau », une charmante petite ferme, comme sorti d'un conte de fée, dans laquelle elle avait fait planter des roses et autres fleurs aux douces arômes parfaites pour le parfum. Aussi des fruits, des légumes. Poussés dans une bonne terres saines, un bon air doux, loin de la puanteur de Versaille. Pour cette reine qui se lavait presque tout les jours, qui faisait attention à son hygiène, tout l'inverse des gens de l'époque...
L'eau était si mal vue, on pensait qu'elle pouvait transmettre des maladie en s'infiltrant par la peau, permettant à la peste d'infecter plus facilement l'être humain. Aussi et surtout, a cette époque, on voyait cela comme un besoin de se purifier...
Si pour Antoinette, c'était surtout dû à son éducation à l'autrichienne, bien plus propre qu'à la française. Pour le peuple, c'était littéralement un aveu d'adultère, une expression claire de son besoin urgent de se purifier.
L'infertilité du couple s'étalant sur plus de dix ans, la reine que tous trouvait si belle n'était plus qu'une catin dépensière. Comment faire autrement quand la rivale est la flamboyante Du Barry ?
Peu importe ce qu'elle faisait.
Soit elle était trop luxueuse soit elle était trop simple pour une reine. Le peuple l'a détestait, elle était une étrangère, comme beaucoup de reine, mais elle... elle était à la mauvaise période.
Un vent de révolte se levait... et deviendra une tempête qui emportera le couple royale et leurs enfants.
La révolution gronde déjà dans le monde.
Dans les colonies anglaise nord américaine plus précisément. Si, au début, Louis XVI refusait de se jeter dans ce gouffre économique qui aboutira surement à une guerre contre les anglais. Mais la pression se faisant, les avantages plus grands que les inconvénient, le royaume de France apportera son soutiens à ceux qui deviendront les Etats-Unis d'Amérique. Pas encore tout à fait les actuel, l'immense majorité du pays connue aujourd'hui était français. C'était même l'une des raisons pour laquelle il fallait maintenir une bonne entente. Il valait mieux un voisin républicain mais allié et redevable qu'un bout de royaume ennemi.
Pourtant les sommes engagé dans ce combat voulue par le peuple seront reprochées... et mit sur le dos de « L'Autrichienne ».
La révolution éclate.
Les femmes vont à Versaille ramener le roi à Paris.
La famille royale ne verra plus jamais le palais du soleil.
Sur les quatre enfant du couple, il n'en reste que deux. La fille ainé, surnommé et connue sous le nom de Madame Royal et le second fils du couple, le futur et « court », Louis XVII. Le premier dauphin est mort d'une longue maladie, dévoré, paralysé, incapable de tenir debout sans aide, de marcher, de se déplacer autrement que dans un fauteuil roulant. Quand au quatrième enfant, la petite dernière, morte au berceau. C'était le premier enfant que le couple perdit.
Pourtant, sur le portrait de la reine et de ses enfants, il resta le berceau vide... symbole de l'amour d'une mère qui refusait de nier l'existence de son enfant, trop tôt partit.
Le jeu de paume est déjà passé, l'assemblé constitutionnel est déjà au travail.
Le roi n'est plus roi absolue.
Il est roi non plus de France, mais des français. C'est par eux qu'il tient son pouvoir, il n'est trop que part la constitution, plus de droit divin.
Si la pensé était à la séparation des pouvoirs, le roi devenant l'incarnation de l'exécutif et le parlement du législatif, Louis XVI obtenue le droit de véto illimité.
Ainsi devint « Monsieur Veto », celui sans volonté, manipulé par l'ignoble reine.
La décapitation.
Avec une formidable invention la « guillotine ». D'abord inventé pour, dans le cas où il fallait tuer quelqu'un, que ce soit le plus rapide, le moins barbare possible et, surtout, le moins douloureux. Une mort rapide qui, au début, n'était que pour les nobles. Grace au docteur Joseph Ignace Guillotin, la guillotine fut inventé par Antoine Louis. Si l'invention porte le nom de celui qui l'a proposée non pas de l'inventeur, au vue de ce qui suivit, le bon docteur se désintéressa de la politique pour se concentrer sur la vaccination et uniquement cette dernière.
Le roi s'y présenta en carrosse.
La reine suivit un peu plus tard suite à un horrible procès. Sa seule réaction fut à la pire des accusations... celle d'inceste, de viol sur son fils...
Comment peut-on accuser une femme, une mère de pareil horreur ? Une vrai mère ? Une mère qui, aimante, ne voulait que le bien de ses enfants, s'en occupait bien... ne leurs à jamais fait le moindre mal...
Comment ?
Comment une femme à qui le destin à déjà prit deux enfants, que la garde à séparé de sa fille et de son fils, puisse continuer à souffrir ?
La tuer ?
Ca allait arrivé. Elle perdait déjà du sang. La mort, qu'elle soit déclaré par Robespierre ou par son corps, n'allait pas tarder.
La seule peur, qu'allait-il advenir de ses enfants ?
C'est sans peur, comme loin de tout, que Marie-Antoinette descendit du chariot à purin sur lequel on l'avait transporté, qu'elle s'avança vers l'engin de mort.
Louis XVI eut droit au carrosse, elle fut encore une fois humilier.
Son enfant, dans les derniers moment de liberté qu'il lui restait au temple, sans savoir que sa mère était morte, continua de déposer, tout les jours, des fleurs devant sa porte...
Pensant qu'elle était toujours la pour les ramasser.
Puis vint l'horreur pour l'enfant.
Confier à un homme horrible, dans un premier temps, pour l'éduquer en bon petit républicain, il finit enfermer dans une tour au moment de la terreur.
Ce n'est que quand l'homme, le républicain parfait, gouta à sa propre arme que l'enfant, sale, affamé, malade, blessé, traumatisé ,eut une dernière fois un peu d'affection...
Avant de s'éteindre.
Marie-Thérèse de France, Madame Royale, put partir. Dernière enfant de Louis XVI, roi de France, et de Marie-Antoinette, reine de France.
Elle ne partit pas en Angleterre retrouver sa famille paternelle. Elle alla en Autriche, dans la famille de sa mère. Chez son oncle...
Ayant tout perdu...
Mais ne les oubliant jamais.
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