Chapitre 11
Quelques mois plus tard, Lucas à bien grandi, le mari d’Aurélie est arrivé attend et pleura de joie , Elise réfléchit à s’installer ici avec Hugo et monté sa boîte de designer et Carmen et Thomas se retrouve tous les deux et vive leur vie .
Un après midi , Carmen reçue un appel du fameux antiquaire qui avait retrouvé la planche de surf de sa Nonna et lui dit si elle pouvait le retrouvé aujourd'hui car il avait quelque chose à lui montrer.
Carmen appela Thomas qui cuisinait : L’antiquaire à trouver la planche de Nonna et à quelques choses à me donner ! Tu m’accompagne !
Bien sûr que je t’accompagne ma belle, tes désirs sont des ordres ! Dit Thomas
Thomas pris sa moto et accompagna Carmen chez l’antiquaire.
Bonjour, Carmen ! Je suis ravie que tu es pue venir, j’ai retrouvé ses lettres quand je me suis renseigné sur le parcours et le passé de ta mère et une de mes collègues historienne qui m’a dit qu'il y avait des lettres qui datte depuis 37 ans ! Et d’après mes analyses d'ADN ses lettres sont les lettres de ta mère et je trouve que tu devrais les lire … dit l’antiquaire
Merci énormément ! Tu ne peux pas savoir à quel point je suis si heureuse merci pour tout ce que tu as fais !
Aucun problème, quand j’ai vue ton annonce sur Instagram qui cherchait une certaine planche de surf j’ai tout de suite fait le lien avec la planche que j’avais trouvé !
Merci beaucoup, on est très reconnaissant, vous ne pouvez pas savoir comment on sommes si heureux ! Dit Thomas en caressant la main de Carmen
Avec plaisir !
Carmen pris les lettres et les lus :
Juillet 1998
Chère Sœur,
Je me demande souvent ce que tu penses de moi maintenant, après tout ce que j’ai fait. Peut-être que tu ne me reconnaîtrais même plus. Après avoir laissé mon bébé, tout est devenu flou. Je n’arrivais plus à respirer, à rester dans cette maison remplie de souvenirs et de regrets.
Alors, j’ai pris une décision impulsive. J’ai attrapé la planche de surf de ma mère – cette planche sur laquelle elle m’avait appris à affronter les vagues, à ressentir la liberté que l’océan offre. Je ne savais pas vraiment où j’allais, mais j'avais besoin de m'échapper, de m'éloigner de tout ce qui me rappelait ce que j'avais perdu.
Je me suis retrouvée sur les côtes d’Athènes, ce lieu si lointain et pourtant si proche de ce que j’étais devenue. J’ai laissé la planche là, sur le sable chaud, comme un symbole de tout ce que je devais laisser derrière moi. J'ai rencontré un groupe de hippies, des âmes errantes comme moi, qui semblaient vivre sans attaches, sans regrets. Leur monde m'a semblé si simple, si tentant. Ils allaient à Milan, et sans vraiment réfléchir, je suis partie avec eux.
La route était longue, pleine de rencontres, de rires et de moments où j’essayais d’oublier. Milan était tout ce que je n’étais pas. La ville brillait de vie, d’énergie, mais moi, je restais plongée dans l'ombre de mes erreurs. J'ai cherché à me perdre dans ce monde, mais même entourée de ces nouvelles âmes, je me sentais terriblement seule.
Avec tendresse,
Lucia ( baptisé chez les hippies : Sabrina )
Carmen pleura et Thomas la pris sur les épaules et embrassa sa tempe : tu peux y arriver…
Carmen continua sa lecture :
Décembre 1998,
Ma soeurette d’amour,
Ceci sera probablement ma dernière lettre, et je ne sais pas comment trouver les mots pour te dire adieu. Je suis épuisée, tellement fatiguée de courir, de fuir mes peurs et mes démons. Il n’y a plus de place pour moi ici, ni à Milan, ni ailleurs. J’ai cherché à me perdre, à oublier, mais la vérité me poursuit. J’ai fait trop de mal, et je me suis perdue moi-même en chemin.
Je ne peux plus continuer tout ça. Chaque jour est une bataille, et je n’ai plus la force de me battre. Je pensais que fuir me sauverait, que voyager avec ces inconnus m’aiderait à échapper à mon passé, mais le poids est toujours là, plus lourd que jamais.
Je pars loin, très loin, et cette fois, je ne reviendrai pas. Mais avant de partir, il y a quelque chose que je dois dire, quelque chose que j’espère, tu transmettras à ma fille un jour. Dis-lui que je l’aime. Dis-lui que même si j’ai pris la pire des décisions, c’était par amour pour elle, pour qu’elle puisse avoir une vie meilleure, sans moi pour la troubler.
Je suis désolée. Pour tout. Pour t’avoir entraînée dans cette spirale de douleur et de confusion. Je t’aimais comme une sœur, et je t’envoie tout mon amour pour la dernière fois.
Adieu,
Sabrina
Carmen : Elle … elle m’aimais elle l’a fait par amour , elle souffrait… dit Carmen des larmes qui coulait sur ses joues.
Il y a encore 1 lettre si tu veux continuer… elle raconte tout de A à Z dit L’antiquaire
Je pense que c’est assez difficile pour elle mais merci . Dit Thomas
Non … je dois le faire pour Nonna et pour maman. Dit Carmen
Tu es sure, tu n’es pas obligé ma chérie… dit Thomas
Ne t'inquiètes pas mon cœur… dit Carmen
Carmen lue la dernière lettre avec émotion :
Mars 1999
Ma soeurette d'amour,
J’ai longtemps hésité avant de t’écrire cette lettre, mais les mots se bousculent dans ma tête, et je sens que je dois les poser sur le papier. L'été dernier, je croyais vivre la plus belle histoire de ma vie. J'étais emportée par la passion, aveuglée par l'intensité de mes sentiments pour Luca. Nous vivions dans une bulle, comme si le monde extérieur n'existait pas.
Mais cette bulle a éclaté. Quand j'ai réalisé que j'étais enceinte, tout mon univers s'est effondré. Comment pouvais-je continuer à vivre cette vie insouciante avec un enfant à élever ? Je me suis battue contre moi-même, contre ce sentiment de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter d'être mère. Je me sentais piégée, incapable de retrouver l'insouciance de cet été passé. Les premiers mois après sa naissance ont été les plus durs. Chaque cri, chaque pleur me rappelait ma propre impuissance, mon incapacité à être la mère dont elle avait besoin. Je me suis perdue, au point de me faire du mal. Je ne pouvais plus supporter cette douleur, ce sentiment d'être une mauvaise mère.
Alors, j'ai pris la décision la plus difficile de ma vie. Je l'ai laissé à une famille qui pourrait l'aimer et s'occuper de lui comme je n'en étais pas capable. Je l'ai fait par amour pour lui, pour qu'il puisse avoir une chance de grandir heureux, loin de la tempête qui faisait rage en moi.
Aujourd'hui, je vis avec ce choix, et chaque jour est une lutte pour ne pas sombrer. Peut-être qu'un jour, je trouverai la paix. Mais pour l'instant, je suis perdue dans les souvenirs d'un été qui a changé ma vie à jamais.
Avec tout mon cœur,
Carmen pleura , encore plus se disant que la femme qui l’a porté à beaucoup souffert et n’avait personne pour confié ses secrets et démons .
Ça va aller mon ange… dit Thomas les larmes au yeux, il ne supportait pas voir Carmen dans cet état .
Carmen l’embrassa et lui dit : Merci , merci énormément pour tout ton soutien, l’amour inconditionnel que tu m’apportes chaque jour, tu mon pilier mon roq et bien plus encore. Je t’aime fort !
Moi aussi je t’aime fort, dès que je t’ai vue j’ai toute suite sue que tu étais la personne qui allait me faire vibrer et me sentir vivant, tu as cette passion en toi que j’adore . Ton charisme, ta beauté, ta joie de vivre . On partage les mêmes pensées et rêve et valeurs. Tu m’as appris à faire confiance et aimé doucement. Je t’aime tellement !
Je t’aime encore plus !!! Je … je n’ai plus les mots !!! Dit Carmen émue .
Ne dit rien , et suis moi , tu verras 😉. Dit Thomas
Euh ok je te suis. Dit carmen intrigué
Thomas la ramena dans une colline où on pouvait voir la Egée, Carmen surprise demanda : Qu’est-ce qu’on fait ici ? Tu as quelques choses à me dire mon cœur ?
Soudain il l’emmena un peu loin pour admirer le couché du soleil, là se trouvé une magnifique pergola décoré d’hibiscus et des lanternes, des bougies et la musique qui témoignait de leur amour “ Perfect “ de Ed Sheeran et il se mit à genoux.
Carmen , tu sais que t’aime à la folie et que je ferai absolument tout pour toi et tu es là femme de ma vie , quand je t’ai vue dans les toilettes pour la première fois et quand je te vois maintenant je suis tellement heureux et fière de t’avoir à mes côté alors laisse moi enfin réaliser mon rêve le plus précieux depuis que je t’ai vue : veux tu m’épouser chaussettes ?
Carmen pleura de joie et rigola : Ouiii je veux t’épouser Thomas slip !
Hé ! Je t’avais dit que c’était pas de ma faute si j’avais confondue la culotte de ma sœur avec mon caleçon ! Dit Thomas en rigolant
Je t’aime.. continua t’il
Moi aussi et je suis heureuse d’être ta fiancée !
Thomas l’embrassa aux paroles de Perfect quand Carmen pris la main de Thomas pendant le baisé et la mis sur son ventre, elle chuchota : je voulais attendre pour te dire la nouvelle mais je sens que c’est le bon moment, je suis enceinte !
Thomas l’a regarda heureux et émue : Je … je vais être papa !!! Je suis l’homme le plus heureux du monde cria t'il en courant partout.
Haha ! Et tu seras un père merveilleux ! Dit Carmen
Thomas s’approcha d’elle et toucha son ventre : je suis content ! Je protégerai et aimerait ce petit être et je le protégerai de tout mon cœur ! Et il l’embrassa.
Et là tout Elise dit : ohhh putain vous êtes trop mignons !!! Je vais être là meilleure tata de tout les temps !
Hugo : j’ai … plus de mots à part vous serez d’incroyables parents et de super marié et je vais être Tonton une deuxième fois !!!
Aurélia qui portait son enfant : ohhh je savais que vous feriez un beau couple et de super parents !
Alex ( le mari d’Aurelia ) : Je ne vous ai pas beaucoup connue mais j’ai vue en seulement 4 mois que vous avez une alchimie magique ! Félicitations vous serez la preuve que l’amour véritable existe et Lucas aura un cousin !!
Merci à tous , je ne sais pas ce qu’on aurait fait sans vous et si je ne vous aurez pas rencontré ! Dit Carmen
Attend il y a une dernière surprise regarde à l’intérieur de la bague : Carmen regarda et vue des gravures sur la bague : Déploie tes ailes et avance en aillant dans ton cœur tes étoiles et dans le noir né la lumière et dans le combat de l’espoir.
Tu … je t’aime Thomas
Je t’aime encore plus et j'aime notre bébé…
Fin !!
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top