Quand j'étais shootée
///Nan, mais le titre ne veux rien dire, hein... C'est juste que j'avais pris quelque chose d'étrange ce jour là pour avoir écrit le texte qui précédera celui-ci...hum.hum (Soyez indulgent, j'étais en classe de cinquième...🐯 ):///
Son nom sonne et résonne
Comme un écho
Il nous donne
Cette impression de trop.
Celle qui se rajoute,
Qui s'incruste
Et qui détruit sans doute
Le pillier de toute une nation si ruste.
Il est fière
Nous, on ne l'est pas
Il est comme une maladie d'hier
Plus grave aujourd'hui encore à- chaque pas.
Les coeurs tombent,
Et ne se relèvent jamais.
Semblable à une bombe,
Dans les cours jonchent des tombes.
Qui reste debout?
Celle qui veille
Sur ceux salient jusqu'au cou?
Ou les enfants de la boue?
Cette boue ideuse
Rempli d'arogance, de haine
Et de rage. Si haineuse
On croule sous les peines.
Qui viendra pour les aider?
Qui viendra pour les aimer?
Les enfants du péché
Sont si paniqué par les faits.
Les méchants aux masques
De gentille et les gentilles aux marques
De grands méchants?
Tout ce cirque devient si lassant.
À partir du moment où ça a commencé
C'était bientôt la fin.
Comme ça à débuté
Le terminus y est enfin.
Sur eux et sur leur cœur,
Sur leurs mains et sur leur tête,
Sans rancœur
Elle arrache ce que vous êtes.
Plus de pitié,
S'en est terminé.
Elle s'en va quand elle a finit
Rejoignant les étoiles dans l'infini.
Massacré puis abandonné,
Il n'en reste plus aucun.
Il ne fallait pas trop rêver,
Parce qu'on meurt seul chacun.
C'est ainsi que la mort nous guette du bas de son trou béant...
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