Voila plusieurs mois passée depuis l'installation de la statuette dans le cimetière de la vallée maudite.

L'été s'est retiré au profil d'un doux automne au senteur boisée.

Le sol se couvre des feuilles tombantes et les oiseaux prépare leur départ en un ciel plus chaud.

Le parfum des légumes de saison flottait autour de la cabane du mendiant.

Le petit homme au cheveux vert s'activait autour de sa marmite cabossé.

Plusieurs caisses à ses pieds étaient remplie de tout ce que la nature avait eu la bonté de lui offrir. Et la nature, cette année, avait été des plus généreuse avec lui. Champignons à foison, herbes aromatiques et médicinale, quelques légumes sauvage et grosse racine comestible.

Son petit potager avait aussi, qui avait rarement laissé pousser plus de quelque légumes, eu un élan de fertilité. Courges et chou se battaient la place au poireaux. Un arbuste couvert de physalis avait poussé près de la rivière.

Rivière qui lui avait offerts poissons divers et de taille plus qu'acceptable.

La routine de l'automne se répétait inlassablement pour le jeune garçon.

Le matin, se levant avant le soleil il allumais l'âtre et préparais ses réserves pour l'hiver. Il faisait cuire, bouillir et sécher. Il avait obtenue de nouveau pot en terre cuite grâce a la vente de ses petites statuettes décorative en bois, qu'il créait le soir, avant de sombré dans le sommeille.

Il remplissait et fermait ses petits pots puis les faisait chauffer dans sa marmite d'eau chaude pour que la nourriture ce conserve et les entreposait dans la réserve ou était son nécessaire pour le cimetière.

Lorsque le soleil réchauffais le ciel a l'heure du repas, il grignotait quelques baies ou ce qui n'avait pas été mis en pot le matin.

Puis après un court moment de repos ou il observait le ciel et tout ce qui l'entourais, profitant du paysage d'automne éphémère, il allait et venais entre les tombes.

Frottant les tombes et retirant les fleurs mortes, il prenais le temps de parlé a chaque pierre, comme l'on discuterais avec un vieil ami.

Puis, lorsque le soleil descendait au loin, il se préparait quelque fagot de bois qu'il stockai le long de sa cabane en prévention de l'hiver, la ou le toit permettait au bois de rester sec en cas de pluie.

Et, alors que les premières étoiles venaient contempler la disparition du soleil, il priais.....

Il priais en mettant toute son âme...

Il priais en mettant tout ses espoirs....

Il priais chaque soir...

Que le temps soit doux ou quand le vent se déchainait, le fouettant de pluie glacial, il priais.

Il priais et remercier car, même s'il n'en était pas sûr, il voulait croire que le calme et les changements récents venait de ce dieux.

Ce dieux qui semblait avoir accepter de prendre, d'une oreille attentive, ses demandes...

Alors que les fleurs planté sur les tombes semblait ne jamais vouloir éclore, ni même un temps soit peu pousser...

Alors que son cœur était lourd de chagrin en voyant les stèles de ces pauvres personnes mortes....

Alors que la peur de se faire dépouillé du peut de biens qu'il possédait par des bandits....

Alors que le bois, malgré tout ses magnifique arbres semblait abrité peu de vie....

Alors que la fin de l'année s'annonçait pire que le précédent.....

Cela changeas...

Les fleurs qui ne voulait pas pousser se mirent a grandir et s'ouvrir en une myriade de couleur....

Son cœur s'allégea à chaque prière qu'il adressait au divin, comme pour le rassurer de son soutien après des morts....

La peur ne le rongeais plus, se sentant comme entourer de quelque chose qui le veillait.....

Le bois si calme semblait accueillir plus de lapin et autres animaux qu'il n'en avait jamais croisé....

La nature lui offrait tant en quelque mois....

Depuis son arrivé....

Depuis que le destin l'avais mis sur sa route.....

Depuis qu'il était réunie....

Le dieu délaissé et le maudit abandonné....

Deux personnes seul....

Réunie.