Un corps de pierre pour protéger un corps de peur
La vallée est totalement différente d'une saison a une autre.
La neige recouvre tout de la cime des arbres au sol durcit par le froid.
Tout est envelopper dans ce coton d'une blancheur inégalable.
Ce lieu est vraiment splendide...
Il ni a pas tout ce luxe, ces dorures, ces babioles grotesque qui ne sont présente que pour montrer un statut social plus haut et plus avantageux que celui des autre.
Ici, pas de cérémonie pompeuse, pas de meubles au prix excessif, pas de serviteur a foison...
Pas d'hypocrisie et de prière égoïste de richesse et de succès...
Juste la beauté des plus simple..
Mais aussi les plus douce et les plus délicate des prière....
Je les entend en moi....
Elle résonne de sa petite voix si fluette...
J'espère que le printemps se ferra doux pour ne pas abimée les pauvre mort qui sont enterrer....
Jamais pour lui...
Faite qu'il n'y aille pas d'intempérie pour ne pas que les tombe s'affaisse....
Toute dédier a eux...
Veille bien sur leur sommeille et protège les du mal qui rode....
Juste pour les mort...
Il ne prie jamais pour lui. Il ne souhaite jamais quoique ce soit....
Cela donne tant de puissance a ses prière....
Et tant de pureté aussi....
Chaque prière est comme si toute la bonté de l'univers vous effleurais du doigt.
La nuit est tombé sur la vallée et je veille au repos des morts qui dorment...
Je vois non loin la douce lueur d'un foyer allumée dans la cabane du mendiant...
Il est venu, il y a quelque instant, tremblotant de froid et la peau pâlit par le manque de soleil...
Il avait déposer devant mon idole une écuelle simple, un peu ébrécher, contenant une petite portion de purée de légume qu'il avait stocker dans ses pots ainsi qu'une lamelle de poisson sécher.
L'offrande était légère mais je ressentait toute la douceur du mélange astucieux des légumes et le gouteux du poisson, fumée au bois des érables avoisinant...
Je ne pouvait pas le manger mais c'était tout comme, me nourrissant plus du geste qu'est l'offrande que de l'offrande elle même....
Et la prière avait commencer...
Comme a son habitude, il me salua et me présentât mon offrande.. Comme a son habitude, il s'excusa de sa prière qualité...
Et comme chaque prière, il me demanda de veillée sur les mort pendant leur repos....
De veiller a ce que rien ne les réveillent....
Et que le froid ne détruise pas leur stèles....
Puis il m'avait remercier encore et encore....
Il était ensuite partit dans sa misérable cabane des bois.
Je vois la lumière du feu de l'âtre diminuant par un des troue du bois des murs de l'abri...
Le petit gardien a du s'endormir...
Je déambule autour de quelque tombe, m'assurant du bon repos des âmes de ce lieux.
Tous se passait bien jusqu'à ce que les âmes soit perturber dans leur sommeille par.... des jeunes... ivre.
Ils marchaient, tanguant de droite a gauche, d'un pas hésitant.
Et la ce fut une abomination dans mon esprit...
Des éclats de partout...
Des pierres briser...
Et les stèles.....
Ne détruise pas les stèles....
La lourde masse tombait et fracassait toute les roches, hommage au mort, qui se dressait dans la vallée....
Je voyait les âmes sortirent de leur sommeille hivernal et observer avec horreur leur lieux de repos se faire vandaliser...
Dans ma tête, la voix du petit maudis priant pour un bon repos a l'intention des âmes de la vallée, sonnait comme un chant...
Je ne savais que faire lorsque du coin de l'œil, je vit les âme se diriger en toute hâte vers... la maison d'Izuku.
Pourquoi partaient elles dans cette direction?
En temps normal et en toute logique, en perdant leur demeure de repos ainsi, ils auraient du venir vers moi pour monter en très haut cieux...
Mais la, ils s'agglutinent et se colmatent a la moindre faille, la moindre interstice de la cabane de leur veilleur....
Comme pour... étouffé les actes extérieur.
Comme pour faire obstacle au bruit ignoble des rires et des choc au son glacial de la pierre se dispersant...
Comme pour que jamais leur gardien ne sache ce qui se passe....
Malheureusement, cela fut inutile.
Comme prit d'un présentement, il était sorti.
Il était venu dans le cimetière.
Et avait pâli.
Le visage blanc comme la neige qui était au sol.
Il avait poussé un cri désemparer a la vue des nombreux morceaux de pierre disperser.
Il avait tourné sa tête vers les trois ivrognes qui semblait heureux de leurs méfaits.
Sur son visage, je pouvait lire tant de peine, d'incompréhension. Ses yeux était vide de joie. Sa main devant sa bouche comme pour retenir ses sanglot.
Et au moment ou les intrus brisèrent une des rare pierre encore debout, je vit son âme....
Son âme qui devint tortueuse, pleine de tristesse, brisée comme la pierre au sol, se remplissant d'angoisse et de peur....
Beaucoup de peur...
Et ce qui me choqua était que sa peur n'était pas le fruit du danger que pouvais représenter ces voyous...
Mais son âme tremblait de peur pour...les mort... et moi.
Je voyait son âme tressauter en ma direction...
Peur que c'est ivrogne voient mon idole et ne lui réserve le même sort que les stèles.
Puis d'un coup tout c'était accélérer...
Les esprit du cimetière, maintenant tous réveiller, c'étaient mis autour d'Izuku, le frôlant de leur corps sans substance comme pour l'inciter a se retirer rapidement...
Mais il resta comme paralyser, avachi au sol, a fixer d'un air vide les éclats de pierre au sol comme l'on pourrait fixer un cadavre au crane exploser. La seul chose qui faisait vibrer l'air de la vallée a part les fracas était les rire gras des trois individus ivres.
Voyant leur gardien au sol, les âmes se mirent autours des voyous, forçant sur leur énergie pour offrir un sentiments angoissant et apeurant, voulant mettre en fuite les intrus.
Mais ils virent Izuku au sol, les fixant et prirent leurs sensation de malaise pour la présence du maudit.
Personne ne touche directement un maudit sans se maudire a son tour... Mais rien ne dit que le lyncher transmette le malheur... Alors les ivrognes ramassèrent quelque pierre briser au sol... Et les lancèrent avec force sur le jeune au sol.
La première pierre atteignit Izuku au bras ,puis les suivante allèrent frapper contre son visage a plusieurs reprise puis ses mains qui s'y était mis en protection.
Les âmes des mort devenait noir comme prit d'une corruption leur étant propre... Leur visage et aura blanche devinrent sombres et néfaste, sombrant un peu plus a chaque petits pleurs de leur gardien, qui était amplifier par la neige et les rire des intrus.
Et moi...
Une colère me prenait de voir ces minables humains, si souiller par imbécillité, par intolérance, par le statut, attaquée pour apporté la mort, le seul être qui mérite de vivre.
Les âmes des morts se tournèrent a l'unisson vers moi, vers mon idole, comme un seul corps.
C'est comme si j'entendais leurs supplications... qui devinrent bientôt des ordres et leurs âmes se mirent a me collé... a se fondrent en me mêlant leurs haines et ... leurs corruptions....
Ma colère mal contenue devint alors rage folle...
Moi, un divin, je laissa la noirceur des ténèbres prendre possession de mon âmes.. de mon corps sans consistance et m'imprégna dans mon idole....
La pierre se fendit sous la noirceur de mon cœur...
Se fendit encore et encore, s'entourant de volute fumant d'un couleur nuit.
Le rouge semblable a de l'argile de ma statut se teinta d'une teinte plus.... sanglante.
La tablette vernie au auréole de lumière se fendit sous le changement qui s'opéra sur les patte d'où se formait des éclats de pierre tranchant tel les griffes d'un monstre...
La pierre lisse des yeux éclatât de l'intérieur laissant apparaître deux orbes rubis plein de rage...
La petit face du la statuette se détruisit et se modela des morceaux briser en devenant une gueule béante dégoulinant de matière noir comme la nuit, tachant la blanche pureté de la neige....
La fourrure tailler finement devint épines acérer de grande taille....
Et du silence vint le grondement...
Résonnant et vibrant dans le sol, dans l'air, dans les pierres des stèles briser éparpiller dans la plaine....
Lorsque le grondement fracassant ressemblent a une montagne s'effondrant parvint au oreille des trois jeunes homme qui, de leur cruauté lynchait le pauvre Izuku au sol, ce qu'il virent en se retournant les fit pâlir comme la présence de la mort elle même...
Face a eux, a quelque mètres, ce trouvait un monstre... une créature impossible....
Un amas de pierre se mouvent lentement vers eux, de la taille d'un grand cheval, se déplaçant a quatre patte, suintant par les faille des stèles mortuaire qui composait ses flancs....
Une gueule grande ouverte sur des dent de roche et des yeux luisant d'une telle rage que même les mort en aurai frissonner si il n'était pas uni dans ce même monstre....
Un monstre qui faisait vibrer le sol a chaque pas pénétrant la neige et s'enfonçant dans le sol glacé.
Ils avait devant eux... Un dieu en colère emprunt de la haine et du désir de vengeance des nombreux mort qui errait en ce lieux...
Et j'étais ce dieu....
J'étais cette colère divine....
J'étais le vengeur des mort....
Et je suis le protecteur de ce lieux...
Tremblez d'avoir osez souillez ce paradis....
Tremblez d'avoir réveillez les mort et leur doux gardien...
Et mourez de mes crocs pour avoir blessez, ici et maintenant, le seul humain qui ma fait réellement vivre....
Oui..
Mourez sous ma rage ...
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