Le paria de la vallée mortuaire


La journée s'éteignait doucement sur la vallée, au milieu de la foret d'érables. La rivière qui serpentait en son milieux dégageais une légère brume. Le ciel au couleur pale teinté de rose, de rouge, et de sombre offrait une vue des plus belle, mélangeants ses couleurs au mordoré des feuilles qui semblait prendre vie a chaque brises. La couleur des feuilles d'érables mêlée à la fine brume qui prenait lentement possession du lieux, du au nombreux points d'eau et lits des rivières qui étaient disperser en nombres dans le bois proche, donnait un coté presque enchantée a cette vallée.

Une personne qui tomberais sur ce lieux magique sentirait son âme s'alléger au vue des petites libellules qui voletaient ici et là.

Cependant personne ne se donnerait la peine de venir dans la vallée.

Ni même dans les bois avoisinant la ville.

Personne ne se donnait cette peine ou plutôt.... personne n'oserait si rendre...

Car malgré la beauté des ces lieux, quelque chose brisait la somptueuse image de ce décors plein de charmes.

Au milieu de la fine brume qui recouvrait le sol couvert de feuilles colorées et de fleurs au multiples parfums, des pierres s'élevaient surmonté de quelque formes faite de branches tresser.

Des pierres taillé de façon inégale et un peu grossière au couronne de lierre et de liserons.

Des pierres pour rendre hommage.

Des tombes.

Des tombes de fortunes pour les morts qui selon la loi ne méritent pas l'au delà.

Le centre de la vallée était un cimetière.

Et c'est pour cela que personne n'osait s'approcher de ce bois.

Ce bois ou l'on enterrais les malpropres.

Ce bois ou l'on enterais les traitre et les prisonnier exécuter.

Ce bois ou était enterrer les cadavres que les garde du palais de la plus haute noblesse jetais sans respect dans les fossé au abords du bois.

Ce bois ou disparaissait ceux qui si aventurais.

Ce bois que tous disait maudit.

Pour tous, ce bois était synonyme de malheurs et de morts.

Tous pensait que se risquer hors des sentiers de convoi marchand qui traversait le bois sans passer par la vallée, était se risqué a maudire son âme et sa famille sur plusieurs génération.

C'est pour cela que personne ne se risquait en se bois.

Que personne ne si risquait.

Pourtant, les tombes et leur couronnes n'apparaissaient point seuls.

Pourtant, les cadavres ne disparaissaient pas des fosses seuls.

Tous savaient qu'une personne vivait dans ces bois.

Cette même personne qui s'occupait de ramasser les mort et leur offrait, malgré leurs statuts, le repos méritée d'une tombe, certes de fortunes, mais au moins le repos qui leur était offert était mieux que ce que des traites au seigneur et vagabonds n'aurait pus espérer.

Cette personne qui offrait a ces mort un repos en un lieu de toute beauté était un paria.

Un rebus du peuple.

Vivant a l'écart des habitations, quelles soit des quartiers pauvre de la cité ou de la noblesses.

Cette personne vivait a la lisère de la vallée.

Dans une demeure minuscule, faite de ce que la nature peut offrir.

Plus cabane que demeure.

Mais peu importait a cette personne car elle avait un toit et cela lui suffisait.

De plus, cette personne vivait proche du cimetière et cela était tous ce qu'il voulait.

Peut importe la richesse.

Peu importe la pauvreté.

Peu importe que sa demeure ne soit que planche branlante.

Peu importe que les gens le voit comme maudit ou paria.

Peut importe les pierres ou fruit trop mures que l'on pouvait lui jetez lors de ses rares sorties à la cité.

Il était, même si personne ne lui disait et que personne ne lui dirait surement jamais, important auprès des mort dont il s'occupait.

Il vivait dans un lieu maudit, étant surement maudit lui même.

Mais il vivait sa vie en honorant les morts.

 Les deux seul problème qu'il rencontraient en vivant ainsi était le groupe de bandit qui avait pris quartier dans une partit du bois et qui saccageaient parfois les tombe à la recherche d'un quelconque objet qu'ils pourraient revendre, même si pour l'instant, cela n'avait été que de léger saccages et que personne ne l'avait encore attaquer.

Le statut d'être maudit a parfois quelques avantages.

Et son second problème le tourmentait.

Il n'avait pas de protecteur a offrir au mort.

Les cimetières ont tous une idole protectrice.

Une icône d'un dieux facilitant le passage des défunts vers un monde meilleurs voir même une réincarnation.

Un divin qui, par les prières des moines s'occupant des sépultures, guidait les âmes et les protégeais de la corruptions des ombres.

Tous les lieux mortuaire en avait....

Tous sauf le cimetière de la vallée.

Il aurait tant aimer offrir la protection d'une entier divine au pauvre âme de son cimetière.

Mais ses morts était... des maudits... des paria... tout comme lui.

Jamais il ne pourrais leur offrir le salut des divins.

Et cela le peinait plus que tout

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