Chapitre1
Réconciliation
Au début, il avait l'air d'un jeune homme que tout le monde pouvait des choses drôle ou même bizarre de lui, les yeux des gens se moquaient souvent de lui à cause du maigre moyen de sa famille ; mais il en avait confiance en lui, il avait toujours voulu se montrer fort et brave en toutes circonstances, même si ses parents ne pouvaient guère lui donner le visage qu'il voulait avoir dans la société, mais il croyait que la vie lui avait réservé sa place, sa présomption de devenir l'homme qu'il faut. D'ailleurs, personne ne pouvait savoir ce qu'il avait vraiment en son cœur ; jusqu'à ce qu'un jour, il fût saisi par la vêtu d'une femme mince aux cheveux noirs , où il fut connu sa meilleure histoire d'amour.
Le temps passe sûrement, mais ce n'est que le destin qui cours à ses vertus. Durant ce temps-là, il réfléchissait de sa nature, sans savoir que quelqu'un était sur sa route et marchait à sa rencontre.
Danylan, avait toujours un rêve qu'il n'a jamais présenté à personne d'autre que lui ; mais.. Qui va finalement conquérir sa meilleure façon de dire ou de faire les choses ? N'est-ce pas celle à qui il a voulu faire sa toute dernière expérience ? Il en avait déjà eu, mais sa mère n'avais jamais été au courant ; il s'agissait d'un amour fane et secret, qui s'est terminé par des mensonges et des coups ridicules.
Aimer n'est qu'un verbe à conjuguer, disait-il chaque fois qu'on avait questionné sa bonne conscience, mais, qui pourra fuir sa destiné ?
Il avait toujours un sens de responsabilité malgré son jeune âge, 23 ans, c'est déjà bien plus signifiant pour lui ; mais à cet instant, il ne voulait que trouvé la femme de sa vie, ce qui n'était plus difficile que facile après de mauvaises histoires qu'il avait déjà connu dans sa vie.
Il connu une seule et unique histoire depuis le jour où ses yeux commençaient à regarder les filles et les nourrit certaines fois.
— Mais... qu'est-ce que tu fais ici Dan ? Je ne suis plus une amie pour toi, tu me dégoûte ok ! avait questionné sa copine qui ne voulait plus lui parler après une simple petite discussion et qui n'espère plus voir son visage.
— Que t'ai-je fait pour que tu me traite ainsi Salimaha ? Ne t'avais-je pas donné tout ce que tu voulais ? Et même si maintenant on s'en sort plus mais un peu de respect quand même ! Ce n'est pas parce que tu ne m'aimes pour que tu me traite comme les autres !
— qu'est-ce-que tu viens faire ici ? Dis-moi. Répondit-elle en s'appuyant sur la porte d'entrée de la maison de son père. Tu sais bien que je n'accepterai pas que tu viennes me parler ici chez moi, je te déteste Dan ! Tu entends ? Je te déteste. Prolongea t-elle, la jeune fille était remplis de colère et ne pouvait se contrôlée.
— tu ne veux plus que je rentre maintenant ! Et même que je viens chez toi ! Alors que je suis venu pour récupérer mes dernières affaires ! Avait-il répondu sous son visage pâle et de ses yeux grandement ouvert. Il avait même oublier qu'il portait son chandail rouge et noir comme celui qu'il préfère toujours garder dessus.
La jeune fille rougit, fait la mine d'une personne lui en voulait tellement qu'elle préférait de lui déclaré la guerre.
— j'ai compris que j'ai mal agi, mais sache qu'on s'est beaucoup souffert toi et moi pour pouvoir construire cette relation qu'aujourd'hui tu as voulue brisé à cause d'une simple réflexion. Salimaha avait les yeux de pardon et couvert d'une flamme qu'elle se consent à l'intérieur de son cœur, mais résiste afin de ne pas se montrer faible devant celui à qui elle avait toujours voulue partager son amour. Alors si tu ne veux pas que je récupère mes affaires je m'en fiche ! Mais sache que c'est toi que j'avais vraiment eu l'intention de récupérer, car cela fait déjà une journée que je meurt de sentir l'odeur de la femme que j'ai tellement aimé que même les émotions ne sont pas assez suffisant pour apaiser mes sentiments pour elle, c'est la simple et bonne raison que je suis devenu jaloux comme celui qui avait connu son premier amour jusqu'à aujourd'hui. Alors, je part et ne plus jamais venir dans ce pays si tu le veux ; car j'ai peur de ne plus pouvoir embrasser celle que j'ai toujours aimé quand un jour je le verré sur mon chemin.
Au fils des moments, elle était touchée par ses propres mots, elle savait que ce n'était pas vraiment ce qu'elle voulait et qu'elle avait l'impression de devenir malheureuse sans lui.
Elle le fixa avec tendresse, oublié ses premiers moment de guerre qu'ils avaient connu tout les deux, et un goutte de larme se détacha de ses yeux et glissa sous son corsage blanche et épaisse.
— qu'est-ce-que tu attendais enfin ! Tu sais qu'on ne peut s'éloigner toi et moi, pourquoi c'est maintenant ? Pourquoi ? Cria t-elle sous la rivière de larmes qui coula après ces mots.
— Salima, je ne peux pas faire semblent d'être heureux sans toi, d'ailleurs, connais-tu mon plus grand rêve ? Le plus grand projet que j'ai pour toi dans mon cœur ? Sache qu'on n'est pas jaloux pour ceux qu'on a jamais su aimé, on frappe celui qu'on aime et les autre sont niés ; je t'aime toujours, comme si on venait juste de tomber amoureux.
— je suis vraiment désolée Dany, je ne sais vraiment pas ce qui m'a pris... Je... Je m'excuse du fond du cœur...
— je comprends ne t'inquiètes pas, je sais que je t'ai rendu furieuse... Mais, viens et calme toi. Elle était appuyée contre la poitrine de son copain, et il songea qu'il ne devait pas parler aller chez Estrella qui est une ancienne condisciple de Salimaha et qui ne se contentait jamais avec ses copains.
Le temps était calme mais les circonstances étaient agitées, sous un regard froid comme le courant d'air qui d'un coup, atteignit l'espace du discussion qui allait s'arrêter par un grand baiser de réconciliation.
Du même instant, Ganaël, la petite sœur de Salimaha, venait de sortir d'école, apercevant les deux personnes qui se regardaient l'une, l'autre après avoir eu ce grand baiser aux douce passion qui coulait dans les veines de Salimaha qui attendait vivement ce moment, malgré tout ce qui était arrivé, elle ne pouvait que haïr sa propre conscience si elle devait tout laisser tomber. Oh ! Voici qui est là ! Cria t-elle toute souriante.
— oh là ! Alors c'est enfin réglé. Lança la petite sous son uniforme aux deux couleurs.
— bon ! Il faut que j'y aille. Il avait le visage soulagé et avait une fois trouvé l'âme-sœur de sa vie comme s'il venait juste à peine de la reconnaître.
— déjà ? Répondit la jeune fille sur son visage crispé. Elle avait le comportement gris comme le ciel qui annonce la pluie à venir ; Elle avait déjà tout oublié comme s'il ne c'était rien passé entre les deux, au point qu'elle se réalise que le voulait bien plus que ma façon dont elle a voulue le chasser de sa vue.
La réconciliation à été faites par un simple plan d'excuse et celui-ci avait marqué la première étape de leur petit compte amoureux, malgré les insultes, mais certaines fois, il faut laisser du temps à celui qu'on aime, pour repensé et évaluer ses actions afin de pouvoir retrouver sa vrai place de la vie.
La sœur de Salimaha se faufila vite à l'intérieur et se dirigea vers le salon, les écouteurs branchés de son portable, faisant comme si ses choses n'avaient aucune importance pour elle.
— je dois retrouvé ma mère, elle a une fièvre qui lui a mise au brancard, je sais que tu es infirmière et je voulais te le dire mais tu sais...
Il s'était vite rappelé de la dernière fois que sa mère avait soufferte d'un douleur atroce au milieu de les genoux, il était là accompagné de son père pour pouvoir trouvé des solutions, mais là, il se réalise qu'il était le seul à pouvoir relevé ce défi.
— non ! C'est ma belle-mère après tout ! Répondit-elle surprise par cette nouvelle. Mais depuis quand ? Est-ce qu'elle est vraiment souffrante ? Demanda t-elle étonnamment. Elle avait sûr de ce qu'elle allait trouvé quelque chose pour l'aider, d'ailleurs, elle devait toujours se montrer prête à aider les gens et a se montrer capable étant qu'infirmière professionnelle.
— elle souffre beaucoup et ne mange même pas, depuis hier elle est restée au lit, je suis vraiment mal de la voir malade Salima. Il avait le visage presque effacer de la joie qui avait couvert ses joues à demie arrondis, et ses sourcils tomba au regard vers le sol.
— allez ! Ne sois pas si triste enfin ! comme je vais travailler aujourd'hui, je ne pourrais pas aller la voir maintenant, mais viens, je vais te chercher quelques médicaments pour soulager la fièvre. J'ai du café aussi, comme ça tu pourra prendre une tasse avec moi avant de partir !
— Mercie beaucoup ma chérie, tu ne sais pas à quel point que je t’apprécie, je ne pourrais y avoir personne d'autre que toi dans ma vie.
Ils s'embrassèrent fortement et se sont serré par un câlin, Danylan avait une qualité sincère et ne voudrais que reconquérir sa copine après ce qui était arrivé entre les deux, les mauvaises discussions et les mauvaises prétentions dont cette fois il a voulu éviter pour garder leur relation.
Le vent d'automne sifflait froidement, mais tout se passait si vite, le jeune Danylan devrait se préparer pour les grands moments à venir.
— je dois me marier. Reprit-il discrètement.
— quoi ? Et avec qui ?
— avec toi mon amour. Chuchota t-il à l'oreille....
Il caressait son rêve en dépit de tout ce qu'il pensait rencontré sur son chemin, confiant, pour lui c'était une garantie.
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