Chapitre 8
“ Tout commence par une phrase”
Après deux semaines de jours intensifiés, Danylan avait le cœur gris, comme la brume qui résiste à la pluie.
Il devait se rendre à Prolestern d'où son non communément appelé “ La Navas ’’ c'est une des Îles sous classées de la cartographie mondiale, d'où il a voulu aller faire quelques séjours pour pouvoir fuit la honte et la relation, malgré l'amour qu'il avait pour sa fiancée lui dépassait.
Son père, étant revenu à la maison, lui encourageait à pouvoir se rendre dans une école professionnelle pour apprendre L’électricité bâtiment afin d'avoir une profession pour se bât contre cette vie dure qui frappe tout le coin du pays, mais ce n'était pas son rêve. Il réfléchi, mais soudainement, il allait décrocher l'espoir par sa grande sœur qu'il n'avait jamais connu depuis son enfance.
Dans sa chambre, il préparait ses valises, faire ses bagages même si ses parents n'avaient donné aucun signal pour son départ. Son père Dany Colas, était assis sur une petite chaise faite des paillettes de bambous ; il pensait à tous ce qu'il avait eu dans le petit coin de ghetto où il avait passé quelques jours et quelques nuit sans la présence de sa famille. Danylan se calme un peu, approche par devant le miroir de sa chambre ; son visage était moins triste, mais son cœur avait du mal à suggéré une autre rencontre avec le père de sa fiancée, c'était, en revanche, un secret toujours cacher dans l'ombre. Hélène se faisait du soucis, car depuis, le visage de son fils avait une autre couleur.
Il était accablé de ce misère, peur de retourner là-bas comme s'il ne faisait plus partie de la vie de sa fiancée, pourtant, perplexe, il ne pouvait pas agir contre le père de sa vie, même si le temps écoulait comme le vent au passage ; il se disait qu'il y avait un jour pour repartir à l'aventure, mais toutefois, pas sans Salimaha. Laissant derrière tous ses jours d'attente, il se souvenait que sa belle-mère lui avait promis de lui donner une nouvelle et très bonne réponse, mais, personne ne lui avait raconter ou même lui dire quoi que ce soit, d'ailleurs, durant tous ses jours-là, il n'avait plus le contrôle de sa fiancée, même dans les coins de la rue, elle était toujours absente.
Comment vivre cette vie sans savoir si on va gagner ou pas ? Peut-être qu'il demande de se replier et de ne jamais osé aventurer une troisième fois ! Danylan respirait profondément l'odeur fade qui surgissait depuis sa fenêtre à vitre demi ouvert.
- Dany!! Cria Hélène. Elle avait ressentis ce froideur de son fils, elle connaît bien que son fils n'avait pas ce comportement quand il est de bon gré, mais là, il y avait du tourment, avait-elle réfléchit.
- Oui maman. Rétorqua Danylan, debout devant le miroir de sa coiffeuse.
- Ouvre-moi s'il te plaît, je voudrais te parler un instant.
- si c'est pour me parler du projet de cours, je réfléchis alors, ne te fait pas de soucis pour ça.
- non mon fils, ça n'a aucun rapport avec l'école, d'ailleurs j'ai déjà parler avec ta sœur et elle m'a dit qu'elle arrangerait tout.
- bien ! D'accord, j'arrive.
Il ouvrit la porte, et Hélène faufila en allant asseoir sur son lit habillé en mauves, couvert d'un drap qu'elle avait procurer de ses anciennes marchandises. Elle fixa un regard attentive vers un encadrement qui contenait une photo de la famille, elle, son mari et son petit fils quand il avait 3 ans; Danylan remarquait cette attitude touché par les yeux de sa mère s'approcha par devant la photo qui était installé sur son petit buffet en garnisons et de couleur marron pâle.
- j'ai bien peur que cet enfant ne puisse pas être un homme qui éprouve autant de courage aujourd'hui. Cet enfant dont personne ne peut plus voir de leurs yeux, Parce-que ces parents n'ont pas pu lui donner la force pour surmonté les épreuves d'aujourd'hui.
Hélène avait un courant d'air frémissant qui traversa tout son corps, elle rit et pleura.
- je suis désolée mon fils. Répondit-elle. Elle passa les mains pour essuyer ses larmes, mais en vain.
- j'espère que toi et papa vous n'allez pas vous en faire trop pour moi.
- pourquoi tu dis ça fiston ? Qu'est-ce que tu compte faire ? Tu devrais être heureux en sachant que tu seras bientôt un homme que tout le monde pourra donner tout les valeurs que nous nous avions perdu. Même si nous ne sommes pas riche, mais nous avons fait tout ce que nous pouvons pour te rendre heureux.
- je sais maman, je sais. Mais, par devant le père de cette fille, je sais pas si j'aurais la force de trouver ce bonheur, celui que j'attendais de ma fiancée et qui s'est fait foiré aujourd'hui.
- du calme mon fils. C'est pour ça que je suis venu vers toi, pour savoir comment trouver une issue positive à ce point, d'ailleurs, j'apprécie une partie d'elle, mais tu sais, il te faut quelque chose d'autres à présent, un très bon métier. Peut-être que s'il serait possible tu pourras retrouver cette fille, mais il y a autant de filles qui puissent être une bonne femme pour toi. Tout ce que je veux, c'est de te voir sourire et vivre dans le calme.
- non maman. Parlant de métier je suis d'accord avec toi, mais tu ne connais pas cette fille, je peux pas pensé à d'autres filles même pour une fraction de seconde, parce que je l'aime et je préférais vivre seul dans un autre monde, tu m'entend ! Réplique Danylan qui s'approcha vers sa mère, la fixant tout droit dans les yeux.
- du calme fiston. Je comprends ce que tu ressens mais...
- tu te rappelles quand tu avais de la fièvre, je te disait que quelqu'un m'avais donné des pilules pour te donner, donc, c'était de cette fille maman, elle est une infirmière, je ne pense pas que tu penses réagir autrement ? Elle fait du soucis pour les gens, elle n'est pas comme les autres maman, tu te rends compte ! Ajoute-t-il avec un ton plus ou moins compréhensible. Tu vois maman ! Tout commence par une phrase, mais, la fin se paie par les actes. Hélène regarde son fils d'un air paniqué, elle baissa la tête, réfléchit et soupira.
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