Chapitre 4

           Cliché d'amour

           Les fiançailles de Danylan

Les habitudes sont tellement évident ! Je me sens très satisfaite de mon copain ; Racontait Salimaha à son amie Tuliphie, qui n'avait l'air pas trop contente de savoir que son amie n'avais pas voulue baisser les bras dans cette relation, qui avait déjà une lignée d'habitudes dont elle ne pouvait guère s'emparer.

Le choix de devenir fiancé n'est pas une charge à capoter, mais une décision d'amour qui approuve notre vive sérénité. Ce qu'il avait voulu faire depuis quelques temps de cela, mais, C'est le destin qui crée les moments favorables a notre gré.

Deux jours passaient, et la cadence de l'histoire d'amour entre ces deux jeunes là, faisait un peu de bruits dans le quartier, Et pourquoi ? Mais quel était le vrai problème des gens ? En quoi leur intéressent-ils ?

La réalité était simple, mais le sens de leur imagination très compliqué ; certaines personnes voyait leur relation comme un jeu d'enfant, cependant, pour certains autre un simple exemple à expérimenté dans leur vie.

Sans oublier, le père de Danylan était raciste et ne faisait que ce qui lui venait à l'esprit, et s'il était revenu à la maison ? Bien sûr, on disait souvent qu'il n'était pas trop loin, mais il fallait payer sa rançon en négociation avec les kidnapper.

Ps : Salimaha

L'aube faisait son doux éclat, et la ville était calme comme un lac dormant qui ne s'agite pas sous le vent froid qui sortait de la région nord du pays.

Salimaha préparait son aller pour l'hôpital, dont elle avait reçu un appel à un grave cas d'accident qui était arrivé dans les moins de 24 heures.

- ma fille ! Cria son père qui s'approcha de sa chambre.

Salimaha était un peu troublée, à ce moment-là, elle ajoutait du maquillage et s'installait par devant son grand miroir ; elle connaissait bien la voix de son père, mais, résiste et reste très silencieuse.

Salim c'est ton père ! Ouvre moi s'il te plaît. Reprit-il. Il avait en réalité la faiblesse d'être un père, ils avaient leur première enfants à 17 ans et connut pas mal de moments dans leur vie ; mais Hérold avait déjà de quoi nourrir sa famille, son père était mort et lui laissa la trace d'un vrai entrepreneur, il avait un entreprise où ils gagnait pour le reste de sa vie ; de ce fait, il était malgré cela, un père qui éprouvait de grandes jalousies pour ses enfants, il gère, il contrôle, mais parfois ça manque et lui désoriente de ce qui se passe dans la maison.

- oh non ! Pas maintenant ! Cria la jeune fille qui lâcha son crayon de sourcils comme s'être obligée.

Je suis là papa ! Je me prépare juste pour sortir, donne moi une seconde.

Elle avait l'air inquiète, car depuis qu'ils avaient acheté cette maison, ce fut une deuxième fois que Hérold frappait à la porte de la chambre de sa fille.

- je voudrais simplement te dire quelque chose ma fille, je n'ai pas l'intention de te causé plus de retard. Reprisait Compère qui parlait souvent à belle dents, mais cette fois, ce n'était pas le même comportement.

- ça y est ! Me voici. Lança Salimaha qui ouvrit la porte brusquement.

- je voudrais te parler ma fille, mais il fallait que je t'avertis d'abords, après ton travail j'aimerais que tu me retrouve au salon pour une petite discussion.

- d'accord père, mais là il faut qui j'y aille ! Répondit La jeune fille qui s'empressa de sortir.

- bien ! Je te souhaite une superbe journée.

- merci papa ! Disant cela, il ne voyait que le dos de sa fille et il se retourna dans le salon pour son match de football.

                                  ✴

Ps : Danylan

- Maman ! Aujourd'hui je vais au commissariat pour m'assurer que le travail se poursuit, je veux savoir si le dossier est entre de bonnes mains ou pas. Lança Danylan qui s'empressa de partir.

- d'accord fiston, mais ne t'en fait pas trop de soucis si toute fois.... Bling ! bling ! Bzz ! Bzz ! Téléphone qui sonnait sous mode de sonnerie et de vibration.

Ah ! Mon téléphone ; marmonna Hélène qui tira le téléphone sur la table qui était très proche d'eux du salle à manger.

Appel inconnu.

- c'est quoi ça ? Je ne comprends pas pourquoi cette personne n'a pas identifier son numéro.

- laisse voir maman ! Il prit le téléphone et décrocha de sang froid.

Allô ! C'est qui à l'appareil ? Allô !

- Je suis celui qui retient ce que vous voulez, c'est maintenant ou jamais.

- je ne comprends pas, à qui voudriez vous parler ? Lança Danylan étonnant de ce genre de voix gras qui lui parlait avec tant d'arrogance.

- écoute mon ami, toi et moi nous n'avons qu'à négocier, je n'ai pas à en dire plus mon ami. Surtout, si tu veux avoir ce que toi et ta mère cherche, il ne faut avoir le moindre contact avec la police, est-ce que c'est clair ?

Hélène serra les bras et resta attentive pour s'assurer que ce n'est pas un drôle de message de l'inspecteur, elle rougit et fixa son fils d'un air pâle et indignée.

- vous voulez quoi exactement ? Demanda t-il en fuyant les regard de sa mère.

Mais... Où est-ce que tu vas ? C'est qui celui qui a appelé ? Dit moi. Hélène était impatiente de savoir qui s'était, surtout, elle s'en doutais fortement qu'il s'agissait de menace ou d'agacements quelconque ; avait-elle réfléchit.

- on va faire un marché mon ami, si ça marche, tu auras ton père en moins de 24 heures et si ça tourne mal on peut dire au revoir à papa. Chuchota le kidnapper de sa voix grasse et agaçante

Fils ! Est-ce que c'est... Est-ce que c'est toi ?! Arrg ! Lâchez moi bande de nuls ! Cria son père qui s'empressa de parler.

- la ferme ! Ferme ta grande gueule si tu veux revoir ton fils ! Répondit l'homme.

- que voulez-vous ? De l'argent ? Combien vous en voudrez ? Lança Danylan qui se pliait calmement sous les menaces de l'inconnu.

- mon fils ! Passe moi le téléphone ! Cria sa mère qui s'approcha de lui avec plein d'inquiétude.

Attends maman ! Laisse moi faire....

- ouvre bien ton oreille, j'ai besoin d'une somme de 15 000 dollars pour relâché ton père et ceci en moins de 24 heures est-ce que c'est clair ?

- en moins de.... Relâcha Danylan en bégayant les paroles.

Je... Je ne... Dit-il.

- c'est bon ! la négociation est terminée, une fois prêt, j'enverrai un homme pour faire le reste du travail, mais je t'appellerai durant la journée. Cloup ! Bip ! Bip ! Bip !

*Appel terminé.

- tu vas me dire qui venait de me provoquer avec ce numéro inconnu ? Reprit Hélène, elle était soucieuse et surtout tourmentée par cette situation.

Elle portait une de ses plus belles robes qu'elle en faisait ses plus grandes préférences, elle avait des manches comme celles des soutien-gorge qu'elle portait toujours sous ses habits, rouge et portant des caricatures de pommes du couleur rouge vive écarlate, comme la fraîcheur de sa belle fille qui adorait aussi cette couleur pour couvrir le teint de sa peau.

- ce sont... C'est... Marmonna Danylan qui fut saisi par une grande frustration.

C'est juste un ami, voilà !

- pourquoi te moques-tu de moi ? Tu ment maintenant à ta mère? Interrogea Hélène qui était très indignée par le comportement de son fils.

- je suis désolée maman, je dois partir.

- mais... Fiston ! Ne me dit pas que tu vas me cache ce qui ce passe ! Reprit Hélène, au visage pâle sous un air froid de vagues suspicions.

- les kidnapper, c'est tout. Lança Danylan qui s'en alla après ces mots.

Il marchait calmement, sous le vent frais du printemps qui siffla doucement sur les lauriers de la prairie ; grand comme il l'avait toujours pensé, il fallait se montrer homme pour être un jour respecté. Il portait un jeans bleu de bonne marque et son T-shirt avait presque la même couleur, il avait un bracelet de sa mère, qui lui servait comme une force chaque fois qu'il le regardait dans ses bras.

Ayant quitté la maison, il concevait deux choses par quoi il devait lancé sa journée ; il marchait comme si rien ne lui avait choqué ou même blessé. << aujourd'hui j'ai une chose spécial à réglé et maintenant... Mon père ! Que faire ? >> Danylan marchait tout en grommelant les mots, et soudainement, voici arrivé son ami Rolex, c'était pour lui un ami à qui il pensait toujours en faire confiance, mais certaines fois, les meilleurs amis peuvent tout faire foiré en un seul instant, par contre, Rolex lui, il était très compréhensif, d'ailleurs, il connais certaines histoires dont lui il raconte toujours à son ami. Ses yeux cours au marron, comme celui d'un serpent de la prairie qui ne fait que peur au passants ; il s'habillait comme toujours, d'un chemise jaune à carreaux blanches qui était pour lui la plus belle des chemises que ses parents ne lui avait jamais donné en cadeau.

- holà mon ami ! Cria-il de sa voix grisée.

- salut mon pote ! Est-ce que tout va bien ? Répondit Danylan qui monta ses sourcils pour chasser la triste surprise sur son visage, mais, blanchi par sa circonstance.

- c'est plutôt moi qui doit te demander si tout va bien ! Hé ! Il paraît que ce n'est pas le vieux ami que je connais, quelque chose ne va pas avec ta mère ? Demanda le vieux copain qui lisait sa triste émotion dont voulu t-il caché à son ami. Il était plutôt réserver comme sa mère, mais certaines fois, un conseil peut être utile ; avait-il cru en dépit de tout.

- ah ! Tu vois que je suis triste mon ami ! Ah non tu rigoles ! Une goutte de larme échappait de ses paupières, quand il s'était vite rappelé des menaces du fou furieux inconnu qui avait appelé dans les minutes précédentes.

- et voilà ! Tu ne peux pas me cacher mon ami et tu le sais. Avait reprit Rolex inquiété pour son ami. Raconte moi ! Peut-être que je pourrais vite te donner un conseil mon frangin.

- Bon d'accord ! Comme tu insiste, alors voilà se qui se passe, je planifiait mes fiançailles avec Salim aujourd'hui, mais... J'ignorais que quelque chose d'autre allait arrivé et....

- elle n'est pas d'accord ? Répondit son ami qui se sentait indigné.

- non ! Des... Des ravisseurs ont appelé aujourd'hui et ont demandé une grande somme pour relâché mon père, et ceci en moins de 24 heures.... Bégayait Danylan à son ami. Il avait un peu la cadence de son père mais, il était toujours différent par simple sagesse et de comportement.

- quoi ? Tu n'es pas aller au commissariat? Demanda Rolex qui fut rempli d'une grande frustration.

- non vieil ami, il m'ont mis en garde.

- euh.. Si je comprends bien c'est que tu es le leu à pouvoir résoudre ce problème ! Bon voilà ! Je vais te dire...

Rolex lui raconta une petite histoire qui s'était arrivé il y a 5 ans de cela, mais ce qui le plus important dans l'histoire c'est savoir faire le choix idéal afin de ne pas être vaincu par la moindre erreur.

- alors là tu vas choisir entre ton père et ta copine qui d'entre peux-tu envoyer à demain, ou s'il est possible d'arranger les deux cas. Moi, je vais t'aider à trouver des emprunts tout dépend de la somme et toi tu pourra faire comme Jack l'acteur du film : Titanic , sois tu te mets à nager dans l'eau pour ne pas retarder sois tu t'en fiche d'elle et t'appuyer sur le cas de ton père.

Danylan réfléchit un instant et ses yeux s'ouvrirent comme le soleil du midi qui s'éclate dans le ciel.

- j'ai trouvé ! Merci mon ami. Aide moi à trouver des emprunts comme tu viens de le dire et moi, je verrai ma copine avant la tombée de la nuit et je lui en offrirait une bague, puis, je lui raconterai ce qui était arrivé et comme ça elle pourra bien me donner un coup de main.

- bien ! Je souhaite que tout se passera comme prévu, et surtout, ne t'inquiète pas, je n'avertirai pas la police. Reprit Rolex qui sourit froidement.

Mais.. Que se passerait il si Salimaha apprenait ce nouvelle après leur fiançailles ? Est-ce quelque chose de secret ? Et son avec son père, que va t-il se passer ? Il s'en doutait fort de cela, mais, pour lui, offrir une bague à sa copine, c'était comme lui donner un cadeau d'anniversaire ; et il voulait le faire par simple surprise.. Mais.. Pourrait-il faire tout ça sans se présenté au parents de sa bien-aimée ? Une courte réflexion, et ça devient une lourde situation.

Ils étaient amis depuis leur enfance, la mère de Rolex morte il y a quelques années de cela, était une amie pour sa mère, c'est pourquoi qu'il voulait lui accorder son soutien et Danylan ne pouvait pas le refuser. Ils passèrent leurs vacances ensemble, promenait comme deux frère jumeaux ; certaines fois, des gens du quartier leur demande s'ils étaient frère, mais ils leur racontait comment leur amitié avait commencé, surtout par la relation des deux parents qui maintenant sont séparés.

Pour les gosses, ils étaient comme un pont malgré les éloignements des deux familles, de ce fait, les jeunes gens apparaissaient comme des maillons de ses deux là.

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