Chapitre 20
« On achète pas l'amour car son sens est unique. »
Trois mois plus tard, Danylan avait trouvé un autre visage, son corps d'homme de main Dieu est devenu encore plus robuste qu'il en était avant.
Son visage devient souple exemple d'une tortue qui rajeunit malgré tout les voyages innofensif qu'elle a vécue dans les profondeurs marin.
Une matinée d'automne, le jeune monsieur devrait aller passer un moment avec sa famille, compris sa femme, sa petite fille et lui - il faisait un beau temps très particulier par rapport aux jours écoulés, le soleil brillait sous les vents aisés qui traversait l'origon. Le calme était partout dans la ville et les activités se déroulaient pratiquement bien dans tout les secteurs.
Comme tout les matinées à l'accoutumée, la jeune épouse s'est levé de très tôt afin de pouvoir préparer la table familiale pour un déjeuner très savoureuse. Elle avait préparée du café, d'œufs frites et du pain et du fromage pour sa petite fille qui adorait ce contenu qu'elle avait placée au menus matinales.
Comme tout le monde étaient à table, Danylan regardait sa fille d'un œil soucieux et sa femme qu'il la dérobait des yeux après avoir ressentis une forte émotion qui lui avait donné le sentiment d'être à une place que beaucoup d'autres ont essayé de lui faire passer au coin du mur, par les regards profond de sa femme, il ne pouvait se sentir mieux qu'avec sa petite famille pour laquelle il avait pris la décision de travailler durement afin de pouvoir comblé tout les espaces qui pourraient peut-être lui servir de reproche un jour quelconque.
Salimaha, toujours d'un sourire qui ne s'éloigne en aucun instant dans sa vie depuis qu'elle avait choisi de portée cette bague et ce cadeau qu'elle avait donné à son plus adorable amant qu'elle n'a jamais su ni espérée éloigné un jour dans sa vie, c'était bien la même chose pour Danylan, mais les obstacles, ont ne peut pas les empêcher de nous atteindre et pourtant une seule chose est sûre, on peut tout fuir ou combattre quand on est destiné à tout donné.
- pourquoi ce regard? Intorroge la jeune amante qui s'assure de bien broyé son morceau de pain au beurre qu'elle dépose après une bouchée, elle embrassait sa tasse de café au lait qui parfume la pièce bien aérée.
Comme il allait prendre une gorgée de sa tasse, il la dépose soudainement et lança un sourire généreux et rose. Il avait un maillot blanc qui contenait une spirale bleuâtre et il portais u' jeans bleu qui venait tout juste de prendre de ses habits neufs du tiroir.
il avait le visage neuf comme un élément de verre qui venait d'être reconstruite, sa femme ne pouvait pas se montrer combien elle était contente de voir cette nouvelle version de son mari et son posture qui devenait de plus en plus séduisant à son égard, il avait la cadence d'un athlète qu'il n'était pas en réalité, mais il avait cette expression qui le faisait ressembler à ce mode de coureur ou d'un sportif quelconque. Elle se rappelle la dernière fois qu'ils avaient eu leur dernier contact physique, c'était comme une source qui venait d'échapper d'un versant intrépide, avec ce physique que développait son mari par rapport à son travail, elle se disait sans doute qu'il fallait que son mari change de poste et qu'il s'adapte à une activité de sport, ce qui serait mieux que de travailler dur toute la journée. C'était précisément ce qui allait se passer, au contraire, Danylan avait préféré un jour d'avoir son nouveau poste au bureau de son beau-père, parce qu'il travaillait au soir à l'hôpital même si que ce n'est pas tout le temps et à l'entreprise la journée.
- tu sais bien que ni les orages, ni les tempêtes qui ont menacées notre relation ne peuvent changer ce que je ressens pour toi mon amour. Tu es une rose que ne souhaite fanée un jour, une lampe pour me guider et toi mon secour, je veux chaque jour fait de toi un poème, je te veux chaque instant à mes côtés juste pour fuir les désirs de bohème. J'ai l'impression que si tu n'existait pas, je ne serai qu'un moins que rien de ce monde; notre petite fille, elle qui nous a donné cette flamboyante flammes d'amour, qui ne cesse comme l'encens fait monté ses désirs velour ; je parce que je t'aime et tes yeux me rends fou pour toi ma chère bien-aimée.
Avec le cœur explosé, Salimaha avait l'impression de devenir une reine, quelqu'un qui n'avait qu'à apprendre à connaître une nouvelle manière d'apprécier son mari. Ses deux bras appuyés sur ta table, elle ne savait pas comment s'exprimer afin de faire valoir cette flammes qui poussait avec volupté menaçant sa conscience vive à cet instant-là.
- que c'est magnifique mon amour ! Clame t-elle, souriante comme toujours.
Des larmes coulèrent sur ses joues roses, ses sentiments lui avait mise dans le train de la réalité, elle se rencontre que jour après jour la confiance qu'elle a toujours vouée à son mari ne peut guère être changer avec le temps.
Des ses cheveux rouge écarlate, elle devait se sentir de plus en plus forte, et ces mots étaient si réels qu'elle ne pouvait pas se retenir. Elle tire la main vers son mari, carressait sa paume et exprimait ses sentiments.
- mon amour, je sais que tu es un homme de courage ; combien de guerre grâce à toi j'ai réussi à surpassée, comment te remercier pour le bonheur que tu m'as retracer ? Mes parents ont certainement essayés, mais au bout du chemin je suis devenue insatisfaite, et quand tu m'as donné cette anneau, je suis devenue la femme au monde la plus complète. Que jamais rien ne nous donne du dégout simplement parce qu'on a pris la décision de nous unir pour toujours, que le reste demeure un éternel amour.
La petite souriait sans avoir la vraie idée de ce qui se discutait, mais ce n'était pas ça le plus important, par contre, c'est de voir de père et une mère qui s'unissent en dépit de tous les malgrés du temps.
- aujourd'hui nous allons passer une superbe journée ! Qu'en dis-tu Danalia? Lança Danylan, regardant sa petite qui se lèche les mains pleines de fromage.
- Papa! Maman dit qu'on va aller à la plage ! Cria la petite fille dans sa robe rose, ses yeux ronds comme des bulle plastiques, les rétines marrons comme ceux de sa mère, son visage arrondis plein comme une balle et ses cheveux roux ressemble à du fer rouillé par l'eau salé de l'océan.
- c'est tout à fait ça m'a chérie, ton père va nous emmener au bord de la mer pour une superbe journée de Picnic ! Wouah ! T'es contente ? Demande Salimaha à la petite qui donne le visage rouge d'une sourire enfantine très sublime.
- oui! C'est exactement ça ! Nous n'allons pas en moto bien sûr ! Mais j'ai emprunté une jolie voiture pour notre belle journée ! Alors la famille est avec moi? Il a demandé. La petite Danaliha et sa mère avait repondue qu'elles étaient prête pour cette journée si spéciale, et d'un coup, elles étaient allées à la recherche de leurs habits de bain afin de se mettre à bord.
Quand la jeune épouse se préparait à sortir, son ami Tuliphie lui a appelé pour savoir s'ils étaient tous à la maison, comme ils allaient partir, elle se tenais à la prévenir qu'il n'y aura personne dans dix minutes après. Cette femme drôlement perturbatrice à également demander de participer avec eux et qu'elle s'y attendait un moment ainsi, comme il s'agissait d'une amie proche de Salimaha, elle avait été mise d'accord et elle l'avait dit qu'elle les retrouvera sur la plage parce que la distance entre chez elle et la petite famille était un peu trop longue pour arriver dans dix minutes, de ce fait, ils prirent le chemin jusqu'à la destination finale.
Quelques minutes, dont 20 minutes environ, la famille était déjà sur le sable, le soleil gardait sa forte chaleur et le rivage était un peu moins dense à ce moment-là. Danylan s'avère qu'il avait vu le jour le plus parfait de sa vie, sa petite fille au milieu et sa femme, ils marchaient au calme malgré les bruitages des autres qui se penchent sur leurs affaires. La famille était heureuse, loin d'être paniquée par quoique ce soit ; après un demi-heure de promenade, Tuliphie était au pas en se dirigeant vers eux, elle portait un sourire jaune et méfiant sur son visage. Comme presque tout les gens, elle avait un bikini rouge qui contenait des fleurs blanches et bleuets, contrairement à Salimaha, qui portait la couleur verte nordique comme celle de la nature qui donne l'envie de vivre au brave passant qui se donne pour mission de vivre sous les arbres verte de la forêt.
- je vous trouve enfin ! Cria t-elle d'une sourire traître et méfiant. Elle embrassa son amie qui était très contente de la voir, ensuite la petite et enfin celui à qui elle s'en veut tellement comme un trésor qu'elle souhaiterais voler un jour.
Personne n'a pu imaginées rien de faut ou de contraire, car à ce moment, tous le monde était heureux et se mettait à baigner comme des tortues qui se mette pour la première fois après leur naissance, dans l'eau vive et si fraîche que la rosée.
Quand tout le monde baignait, Danylan avait pris sa fille et la mette sur son cou, cependant, sa femme était entrain de baigner à quelques distance d'eux. De temps en temps, la fille au cheveux noirs et son visage ovale de son nez retroussé, lui fait des petits regard afin de pouvoir lui faire passer un message, ce qu'elle a voulu lui dire depuis le jour où son amie était accidentée et qu'il avait refusé d'entendre. Danylan, un peu paniqué, avait compris ce complot, mais préférais ne rien dire tout en faisant semblant de n'avoir rien compris. Après un dizaines de minutes, il était sortit avec sa fille, il avait besoin de se dégager dans les coins, se faire un petit besoin physiologique - de part et d'autre, Tuliphie avait constaté son départ, elle avait décidée de laisser Salimaha qui se baignait au froid et le suivi sans se faire remarquer.
Quand Danylan sortit et allait rejoindre se'a femme et sa petite fille qu'il avait laisser sur le sable en fabriquant de petites tours et des dessins, il sursaut au croisement innatendu à cette fille pervers qui lui avait mis des doutes à l'esprit et qui, malgré tout avait accepté qu'il ne s'agissait qu'une amie de sa femme et qu'il en devait respecter le droit de sa femme.
- surpris ! Lui dit-elle en souriant. Elle avait bloqué l'entrée à la petite porte qui avait donné accés à cette partie de la plage qui était au service de tout le monde, mais, était divisé en plusieurs parties, chacun pouvaient utiliser une partie pour ses besoins.
- je ne comprends pas ! C'est pour homme ! Et que fais-tu ici? Je pense que ta place est juste à côté ! Lui indique Danylan, serré dans sa peau et douteux par cette surprise.
- écoute mon beau, je n'ai nullement besoin d'y aller dans les toilettes pour femmes, j'ai simplement besoin de te voir à deux, te parler d'un petit secret que j'ai longtemps essayé de tenir dans mon cœur. Elle a répondue, Tuliphie.
- tu es sérieuse ! Mais... Ne me dit pas que tu es venue juste pour me mettre dans tes filets ! Franchement tu es malade. A répondu Danylan, qui secoua la tête. Visiblement il était nerveux, mais il avait préféré de parler à voix basse afin de pouvoir éviter le scandale.
- je veux que tu sois à mes côtés, je voudrais être ton amour et toi... À m'aimer plus que cette idiote ! Balança t-elle nerveusement. Le doute était entrain de devenir un fait réel, Danylan se rendit compte qu'il ne fallait pas accepter de donner feux vert à sa femme pour qu'elle puisse invitée son amie avenir avec eux.
- ce n'est pas une très bonne chose ce que tu es entrain de faire et tu le sais. Réplique t-il en lui tirant un petit droit au visage. Alors tu va arrêter avec tes trucs et va!
Mais la jeune fille n'avait aucun problème de rester et de faire éclater sa discussion, elle ne voulait qu'un mot pour qu'elle puisse se sentir satisfaite.
- mon p'tit chou, je ne n'irai nulle part tant que tu ne m'aurait pas avouer que tu va être mon petit ami, même si que... Tu es marié avec cette folle..
- ne traite pas ma femme de folle ou d'idiote est-ce que tu as compris ! Arrête tes foutus plaisanteries et laisse moi passer! Danylan était si nerveux qu'il avait donné un visage très menaçant, il avait changé comme un loup qui s'est mis se déchirer lui-même.
- tout doux mon bébé ! Je te donnerai autant d'argent que tu voudras, seulement pour m'aimer et venir vivre sou ma couverture. Le jeune époux avait très étonné de cette folie et le jeux que jouait Tuliphie lui avait drôlement excité - il avait le courage de se tenir devant elle " désolée ! Mais on achète pas l'amour et si tu en l'intention, trouve toi un marchand ailleurs. " il avait répondu avec beaucoup de brutalités, et à la fin, il poussa fortement la jeune fille qui comblait la rentrée, la bousculant sans la frapper pour laisser un dommage et s'en alla auprès de sa fille et ensuite rejoint sa femme dans la mer qui mugissait par des flots que le vent de l'Orient était certainement à l'origine. Sans dire un mot à sa femme, il faisait semblant de se sentir à l'aise, mais il était remplis de panique et était très blessé par ce mauvais comportement.
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