Chapitre 18
« une histoire s'achève et l'amour, jamais. »
Quelques années plus tard, il faudrait que la vie puisse faire voir de nouveau moments à ce couple qui s'aimait et qui se montrait si bien courageux face à tout ce qui survenaient à leurs égards.
- Danaliha! Dana ma fille ! Cria Salimaha, debout par devant le four d'où elle faisait cuire de la crêpe salée pour sa petite fille qu'elle enfanta après des mois de silence. Son époux allait travailler et elle comptait l'heure de son arrivée, afin de pouvoir lui préparer après avoir terminé pour sa fille.
La petite jouait dans le salon, quand soudainement, elle rejoignait sa mère qui lui appelait de sa voix fine et inquiétée.
- ma.. Man! Répondit l'enfant qui courait vers se mère.
- écoute moi ma fille, je n'aime pas quand tu t'éloigne trop de moi, il y a beaucoup de danger, tu vas rester auprès de ta mère d'accord ? Tu vas t'asseoir sur ce fauteuil en attendant que ta mère te sert ton petit repas. Tu dois rester sage et obéissante d'accord ?
- maman je veux voir papa! Cria la petite, son visage enfantin penché sur son épaule, ses deux joues rondes étaient comme des ballons par quoi elle exprimait sa tristesse.
- mais ! Je t'ai dit que papa va bientôt être à la maison, il ne faut pas t'inquiéter ma puce, viens, fait moi un câlin ! Viens ! La petite était triste parce que son père lui avait gâté en jouant presque toute la journée avec elle avant qu'il avait été engagé par le travail, entre autres, ce n'était pas sa faute, mais l'amour d'un père pour un enfant ça comptait beaucoup pour elle.
La petite gagna le fauteuil et resta calme quelques secondes avant que quelqu'un puisse frapper à la porte.
Toc! Toc! Toc! Papa! Cria l'enfant qui s'émerveilla sans avoir eu la moindre hésitation.
- c'est ouvert mon amour. Répondit la jeune maman, responsable et soucieuse.
Tout de suite s'ouvrit la porte, un visage autre que l'époux apparaissait.
- grand-père! Cria la petite qui cours subitement vers lui.
- papa ! Mais ! C'est une surprise ! Qu'est-ce qui t'a amener ici? Salimaha se sentit rempli de panique, elle ne savait pas que son père lui rendrait visite un jour, à cause de cela, elle avait peur que ce soit pour un scandale ou juste pour provoqué son mari, qu'il avait humilié devant elle et sa mère.
- haha ! Tu n'es pas contente ? Ne me dit pas que tu sois toujours fâchée contre ton père ! Ajoutait l'homme au barbe blanchit.
- pas du tout ! Je suis... Très surprise ! Allez! Assieds-toi. Comment as-tu pu retrouver la maison ? Avait-il été interrogé par sa fille. Hérold, après avoir fait des déclarations contre le mariage de sa fille, avait pris conscience qu'il avait fait un mauvais traitement à sa première fille, il avait réfléchi et maintenant, il décide donc de venir vers elle pour lui demander des excuses.
- et bien... Comme tu pourrais le voir! Répondit-il à sa fille, qui essayait et faisait quelques arrangements avant de se remettre au four. Quand vous étiez venus à la maison, je savais que même pour l'enfant, je pourrais vous demander l'adresse exacte de chez vous, mais je n'avais pas assez de courage pour le faire en face de ton époux. Puis, je me suis dit qu'il fallait trouver un moyen de venir voir le bébé et parlé avec vous au sujet de ce qui était passé, et j'ai parlé à ta mère, convaincue, elle m'a donné l'adresse et je suis venu sur ma voiture.
- c'est.... Fabuleux ! Parlant d'excuses, pour moi c'est du passé, il n'y a que le présent qui compte maintenant, et si tu me demande si je t'ai pardonné, ne t'inquiète pas je l'ai déjà fait, et mon mari aussi si je ne m'abuse pas.
Pendant la conversation, la porte ouvrit une seconde fois.
- Coucou ma fille ! Où es-tu mon amour ? Cria Danylan en rentrant dans la pièce.
- papa! Papa! L'enfant était appuyé sur son grand-père, courut pour aller rencontrer son papa.
- Ah! Bonsoir la maison. Lança Danylan surpris de voir le père de sa femme chez lui. Il n'avait pas rancune pour lui, mais la surprise à eu son effet.
- Salut mon amour ! Répondit Salimaha qui courrait se jeter dans les bras de son époux.
- bonsoir fiston. Voyant son beau-fils, il éprouvait de la crainte et il n'avait pas l'air trop confortable non plus. Ils se sont touchés par la main, puis, le jeune marié se rendit tout de suite dans sa chambre. Mais, sa femme lui suivait et lui avoue que son père était juste pour se faire des excuses.
- des excuses ! Mais pourquoi ?! Je croyais que c'était du passé !
- écoute mon amour, tu vas te rhabiller et nous retrouver dans la salle à manger, d'accord ! Lui suggère la dame aux cheveux longs, elle portait ce jour-là, une robe rouge et elle était très ravissante avec ses sandales blanc.
Danylan retourna dans la salle comme l'avait suggérée sa femme, portant sa petite sur ses bras et la secouant doucement.
- écoute mon fils, je suis...
- non monsieur Hérold, c'est pas la peine. Je comprends ton inquiétude, mais moi et ma femme nous avons tous fait passé dans le chaudron! Alors, s'il y a quelque chose d'autre, je suis prêt à l'entendre; mais après tout, vous voulez du jus ? ou d'eau fraîche ? La nourriture n'est pas encore prêt comme tu pourras le constaté alors.... Du bière ? Lui proposa Danylan, debout avec sa petite assise sur ses bras.
- humm... Du bière ! Cela me consolera.
- parfait ! Alors, on va prendre quelques verre pour la première fois, c'est... Rassurant. Il prit deux bières, sert son beau-père et ensuite, il posa sa fille et s'assit à la table.
- comme j'ai manqué à votre mariage, alors j'ai décidé de vous faire un grand cadeau, étant donné que vous avez fait preuve de très bons enfants, après que vous ayez terminé, nous partirons quelque part. Marmonna Hérold qui semblait être débarrasser de sa charge.
- Ah oui papa ! Tu vas nous emmener où ? Ne me dit pas que c'est chez toi?!
- mais non ma fille! Dans un magasin de fournitures ! Leur avait-il répondu.
- vous êtes sérieux, monsieur Hérold ? Lui demande Danylan surpris par ses phrases que prononça son beau-père.
- je suis un adulte, et pourquoi je vous mentirais ? Je vous droit ce geste et surtout, ma fille que j'aime beaucoup.
Salimaha regardait son père, calme, elle tourne le regard vers son époux, lui fit un geste avec l'épaule droit puis, sourit comme d'habitude.
- où est la motocyclette mon chéri ? Ne me dit pas que tu la garé près de la rue ! Lança Salimaha après un moment de soupçon.
- bien sûr que non ma chérie ! Elle est au garage, juste à côté. Lui avait-il répondu.
- d'accord, je voulais juste m'assurer que tu ne fait pas négligence tu sais.
- oui mon amour, je sais.
Ils continuait de tapoter ensemble comme s'ils étaient réuni pour la première fois depuis la cérémonie, quelques instants après avoir terminé le repas, ils se préparaient à partir pour aller découvrir ce cadeau inattendu.
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