Chapitre 17
« Tout à fait à toi, toujours irrésistible. »
- que dirais-tu d'un repas familiale ? J'avais pensé toute la nuit, et je me suis dit qu'il fallait te le dire afin de pouvoir me donner ton avis ! Marmotte Salimaha debout par devant la lave-vaisselle. Il était assis sur le gazon vert de la maison, là où, lui et sa femme passaient juste un petit moment avant de rentrer dans le salon, et quand il passa à côté de son épouse, elle lui faisait signe de s'approcher, puis il s'arrêtait pour la caresser auprès de la petite table du cuisine, d'où elle faisait un peu de ménage à côté du four.
- j'ai bien compris ce que tu viens de me partager, disons que, cela pourrait être possible si toute fois j'ai trouvé un boulot d'abord et ensuite, je prendrai la moitié de mon premier salaire afin de pouvoir t'aider à organiser un grand repas pour invité nos parents, disons aussi, ceux qui n'en veulent pas à notre mariage. Répondit le monsieur qui écoutait sa femme d'une grande attention. Il ne voulait pas être opposé à la demande de son épouse, mais, il ne voulait pas aussi qu'elle vide tout ce qu'elle avait comme revenu.
- tu sais comme toujours, tout ce je j'ai est à toi, même si cela demandait beaucoup de dépenses, ça ne fera aucun risque ! Tu comprends ?! Et pour le boulot, je parlerai au docteur et sur ce, je crois que nous aurons une réponse très rapide. Disant cela, elle avait l'air très inquiétée par rapport à cela, mais, était sûr que tout seront bien à leur place.
- dans combien de temps penses-tu que tu pourras me conduire chez le docteur ? Même si j'irai au cours, cela n'empêchera pas que je me concentre sur le boulot, c'est très important pour moi et notre maison, d'ailleurs, je pourrais même organiser un petit festin pour ton anniversaire ! Pas sans argent ! Avait ajouté Danylan qui sourit, et rit légèrement.
- ne te fais pas de soucis, comme je te l'ai déjà dit, j'arrangerai tout! Et pour le véhicule, demain nous irons dans un magasin mais avant, nous passerons à la Banque pour pouvoir faire un petit retrait et ensuite, nous irons ! Répondit-elle à son époux, ils étaient tous les deux comme deux enfants orphelins, ils avaient des étapes de la vie, celles qu'ils ont vécu durant leur premiers instants amoureux, ils avaient oubliés la guerre du passé, celle qui a faillit mettre leur foyer en divergence. Non de Dieu! Il ne fallait pas quand même oublié ça ! Salimaha se rendait compte qu'ils avaient mis quelque chose dans le panier de l'oublie, et oui! Le bébé ! Elle avait ressentis un petit geste qui faisait aller et retour, monte et redescend, comme des vagues du printemps foulé par le vent qui ne cesse de siffler.
- ça y est chérie, j'ai l'impression que notre bébé grandit. Je ressens de petits mouvements et ça fait du vas et viens. Ennuyant les verres qu'elle avait terminé de secouer dans un peu d'eau propre et clair, elle était toujours sous l'emprise de son amant, lui qui, la serre corps à corps et les mains traversant la ceinture du jeune dame au cheveux roux écarlate.
- c'est bien mon amour ! C'est notre premier bébé et ça fait du bien de savoir qu'il se montre très présent. Oh! Je compte faire quelques achats pour l'arrivée de notre bébé, je ne connais pas tout les petits détails mais... Je pense que tu pourras les noter afin que je ne puis rien oublier.
- c'est déjà trop tôt mon chéri ! C'est pas encore le moment pour penser à ça mon cœur, tu comprends ? Il faut d'abord qu'on trouve une solution au problèmes que confrontent nos parents, Surtout les siennes.
- je vois où tu veux en venir, mais laisse moi te dire une chose, nos parents ont déjà eu leur vie, même si il y a quelques d'entre eux qui sont toujours envieux contre nous, je crois que l'essentiel c'est d'arriver à leur montrer que notre amour n'est pas faux, les faire savoir que nous avons nos droits de vivre et d'aimer ; tu sais, nous devons agir de façon à pouvoir faire apparaître une image en quoi tout le monde peut tirer leur propre leçon, d'ailleurs, le plus important dans tout ça c'est notre foyer.
Salimaha tourna la face vers son mari avec une grande sourire aux lèvres, toucha ses joues, puis l'embrassa tout à coup.
- il faut que j'aille prendre une douche, après cela nous partirons toi et moi.
- tu veux m'emmener où mon ange ? Je ne pensais pas que tu voudrais sortir aujourd'hui, c'est quelque chose de spécial ? Lui demanda t-elle en lui caressant la barbe, yeux dans les yeux, calme sous le toit du fauve attirance qui dégageait de la maison qu'ils réside.
- spécial ! Mais écoute, s'il y a quelque chose de plus spéciale dans ma vie c'est toi et ce ne sera rien et personne d'autre. Répondit le jeune marié qui parlait d'une voix basse et tendre.
- bon, d'accord ! Si tu le souhaite, ce serait avec plaisir. Lui avait-il répliqué.
Après un long moment, il était aller se reposer dans la chambre en attendant que son épouse vienne après la cuisson.
Plus tard, il était un peu relou mais, il savait que sortir avec sa femme demandait juste un petit détail, un peu d'argent et ça ira pour une très bonne promenade, soucieux, il avait fait du réserve de ce que le prête de l'église lui avait compenser pour la cérémonie qu'il lui avait demandé à l'aide, il était le seul à savoir cela. Pour lui, il savait qu'après toutes ces instants, n'importe quel problème pourrais y faire face, de ce fait, il pensait étant que homme, même s'il n'y avait pas beaucoup, mais, après tout, il pourrait agir et faire les premiers actions avant de demander de l'aide à quelqu'un d'autre. Il prend juste un peu d'argent avec lui et partit, lui et son épouse.
Arrivant au sur la place, sa femme était prête pour lui donner de l'argent pour pouvoir se faire plaisir et pour ne pas se sentir mal à l'aise, mais il refusait, et lui avouer qu'il en avait un peu et lui expliqua tout ce qui concerne cette argent. Son épouse était très contente et lui avait promis que bientôt il n'aura plus à penser qu'il aurait besoin de l'aide de personne, d'ailleurs, ce n'était que le début de l'histoire. Avoue t-elle avec simplicité.
Elle avait l'esprit ferme pour comprendre son époux et lui demande de ne pas s'en faire et désormais, il n'avait pas à lui faire des secrets, par ailleurs, elle sait que les autres sont là pour regarder et critiqué les couples quand la situation tourne mal et dégénère, elle avait aussi compris qu'il était bien plus soucieux de ce qu'elle pouvait en croire. Delà étant, ils avaient besoin d'un appui technique aux fins de ce qui concerne la mortalité maternelle et paternel ; mais, ce n'était pas un trop grand problème pour les amoureux.
- Mon amour ! Je suis très heureuse que tu aies autant d'énergie pour penser à ce qui pourrait arrivé en des moments inattendus, tu sais, je veux rester franche, tenace et irrésistible; peut importe ce qui pourrait arrivé sur notre chemin, je sais que j'ai un mari qui connaît les besoins de sa famille et qui pourrait même donner sa vie pour la sauver de tout les dangers de la vie. Avait racontée la belle épouse qui se plaît de pouvoir contempler le comportement de son mari aimé.
- cela me rend tellement fort mon ange que je ne sais même pas quoi te répondre, mais, écoute moi, je suis très fier d'avoir une telle femme dans ma vie, tu es mon bonheur parfait et je t'aimerai toujours ma chérie. Répondit-il en marchant calmement attaché à sa femme doigts pliés dans les doigts.
Salimaha tourna vers lui, arrêta de marché et lui fixa tendrement, elle sourit et son cœur battait à l'échappe.
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