Chapitre 15
« Responsabilité »
Comme les jours passaient, la partie devenait plus élevé dans la petite maison. Danylan avait sérieusement tenue le résultat comme une marque déposée auprès de son cœur, il compris qu'il fallait que tout ça arrive pour être enfin un homme responsable. Ils avaient passé leur premier semaine sans aucune signe de leurs parents, leurs téléphones mobiles restèrent silencieuses, comme s'ils venaient de se détacher du monde extérieur sans laisser aucune trace pour les retrouver. Pourtant, Salisca se faisait du soucis pour l'absence de sa fille, plus encore, son mari que se déchaînait à cause de tout ça. Leur maison avait connue une manque, mais, cette vide restera jusqu'à la fin de leur vie, déjà, leurs enfants ne sont plus que des adultes, ce qu'ils ne pouvaient pas suggéré après tout, sauf ceux de Danylan qui réfléchissaient d'une autre manière dont, leur fils qui n'est plus qu'un enfant.
Loin de leurs parents, ils avaient tous les deux fait un accord qui leur à permis de vivre librement leur statut maritale et conjugale.
Puisqu'elle était devenue enceinte, elle évitait de concevoir certaines efforts pour mettre sa grossesse à l'abri de tout danger et pour laisser profiter son bébé. Elle avait de la passion pour les enfants, c'est la raison pour laquelle elle avait décidé d'étudier les sciences infirmières afin de pouvoir aider les enfants, mais cela ne signifiait pas que cela, vu sa carrière, elle était devenue plus importante qu'elle ne l'avais pensé.
Dans sa chambre, Danylan se préparait à partir de chez lui pour se rendre chez sa mère, il savait que laisser sa femme seule dans la maison serait une manque de responsabilité et de respect. Il prenait seulement un sachet qui contenait du pain, de jus qu'il avait acheté dans un supermarché et quelques autres petits détails qui ne concerne que sa mère.
- alors mon amour, tu veux que je cherche et prépare tes habits? Interrogé par son épouse qui venait juste de rentrer dans leur petite chambre.
- tu sauras quelle couleur qui me plaira j'espère. Répondit-il. Il abandonna le paquet qu'il déposa sur leur lit, s'approchant de son épouse à qui il élance de sourire qui montre sa fierté en vue de sa bien-aimée.
- bien volontiers ! Je sais comment gérer ça mon bébé, tu sais que les couleurs, moi, je sais bien les marier. Avait répondue la jeune amante aux yeux clair éblouis par la clarté.
- humm mm ! Bien ! Alors prouve moi que tu peux faire tout ce que tu peux pour plaire à ton mari, hum?
- Est-ce un défi? Tu sais, ce que je ressens pour toi me dépasse tellement, que même si je pouvais donné la moitié de ma vie pour te plaire rien ne pourra m'en empêcher. Chuchota t-elle tendrement à l'oreille de son époux. Danylan croyait en tout ça, pour lui, c'était une ombre de ce qu'il avait en son cœur et qu'il avait tout simplement gardé se secret.
- ma seule et unique amour, je sais et je ressens ce que tu as pour moi en ton cœur, et moi aussi, je voudrais t'aimer plus que jamais. À cet égard, les expressions frappaient fortement aux cœurs liés d'un amour vrai et irréprochable. Après avoir été serrée forte dans les bras de son amant, sous la petite robe courte de tuiles qu'elle portait, sa culotte rose apparaissait comme si rien ne l'avait fait aucune couverture, elle alla déclarée à son époux qu'elle avait envie de lui, mais Danylan se retira vite pour aller prendre ses souliers sous la dernière petite étage de leur penderie.
- écoute mon petit loulou, tu vas déposer tout ça et tu vas me donner seulement une dizaines de minutes et ça ira ! Murmure la jeune amoureuse.
- mais.. Mon ange! Cria t-il, déconcentré.
- viens! Après cela nous irons, comme deux petits pigeons qui s'envole. Tout ce que je veux, c'est le bonheur ! Répondit Salimaha qui débordait d'une joie et ne cesse de sourire.
Après avoir passé un moment ensemble, ils étaient plus près de partir qu'abandonner, ils avaient tous les deux porté les mêmes couleurs, leurs habits n'était pas moins différents de couleur.
En chemin, la jeune amante aux yeux marrons avait consentie qu'il fallait trouver un moyen de ne plus payer les taxis, elle avait tout de suite trouver une idée, mais cela restait encore un projet qui méritait une très bonne réflexion par rapport à celui de son époux.
- tu sais mon chéri, j'ai réfléchi à certaines questions très importantes et je pense qu'il faut les partager avec toi. Grommela Salimaha qui marchait pas à pas et le bras lié à celui de son amant.
Je vais te faire une proposition, mais avant tout, je dois te dire que, même si maintenant nous formons une nouvelle famille, je sais ce qui est plus important pour toi, tes rêves, ton objectif, j'ai tout capté dans ma mémoire, pour cela, si tu abandonne notre voyage, je te trouverai un boulot à l'hôpital, et moi, comme j'irai moi aussi travailler on pourra se voir de temps en temps. Non seulement ça, je t'en achèterai une motocyclette comme ça on cessera de partager nos pourboires! Alors, qu'est ce que tu penses mon amour ? Il faut que tu penses à tes futurs responsabilités, il faut qu'on gère ce qu'on a pour mieux préparer l'arrivée de notre premier bébé, tu comprends Dan ? Danylan soupira et se lança dans une très profonde réflexion.
- écoute ma chère petite ange d'amour, j'ai bien compris ce que tu viens de dire, mais je dois t'avouer que partir loin d'ici c'est simplement pour nous protéger des colères de nos parents, surtout, tu sais que ton père n'est pas de mise. Je ne peux pas faire semblant de te plaire parce-que je te l'avais promis, ni parce-que tu pourras me donner un véhicule pour me mettre à niveau aux yeux de tous les autres, même si tu n'as pas déclaré ça, mais je sais que c'est ça ce que tu as vraiment en tête. Je vais réfléchir un peu plus, parce que là nous sommes dans une pleine rue et nous devons arrivé aussitôt que possible, plus tard tu auras ma dernière réponse. Elle ne cessait pas de fixé son époux qui semblait d'être un peu indigné, mais, elle s'en accrochait à lui et ne cesse de lui serrer les bras.
- je sais que je pourrais être un peu exagérée mais, on peut vivre bien ici chez nous. Pour nos parents, il faut cesser de pensé ainsi, d'ailleurs, nous ne sommes plus qu'un et rien ne peut nous séparer. Comme tu viens de le dire, me mettre à l'abri n'est qu'un début, tu dois accepté de faire comme si mon père n'était pas là et comme ça on pourra vivre simplement pour nous deux ! Je suis navrée mais... Je devrais te le dire mon amour. Ajouta Salimaha qui commençait à transpirer sous le soleil brillant et brûlant.
- ça ! Je pense qu'il faut que je repense un peu les choses, je dois te protéger, je dois assuré la protection notre famille, pour cela, je voudrais juste éviter à tout contraintes tu sais ! Je dois assumer mes responsabilités envers toi et notre destin qui s'approche plus près de nous chaque jours, et pour le travail, je pourrais bien sûr, être d'accord avec toi. Aller ! On va prendre un taxi. Ajouta t-il.
Ils cessaient de marcher sur la trottoir, puis, une camionnette s'appuyant juste à côté, le jeune marié fait signe d'arrêt au chauffeur, ensuite, ils montèrent et s'asseyant l'une à côté de l'autre jusqu'à qu'ils soient arrivés à leur destination.
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