Chapitre 12
( Le jour fait enfin son éclat.)
Danylan travaillait ses idées, il était hostile, mais, il avait du courage à continuer ses démarches pour pouvoir atteindre son objectif.
Enfin ! Le jour était arrivé pour célébrer le plus grand moment de sa vie ; Un moment inattendu qui allait secoué toutes le deux familles.
Tout le monde y était obligé à accepter ce jour qui ne pouvait pas être renvoyer, sauf Hérold son beau-père.
Toute la ville était chauffée par les motards qui transportaient certaines personnes qui étaient déjà prêt pour arriver à l'église. Durant ce temps là, Danylan se préparait à attendre l'arrivée de la voiture qui allait porter la mariée et leur convivialité.
Dans son costume crème, ses cheveux bouclés, il était attentif au son du klaxon de la voiture qui était déjà arrivé par devant la cour de la maison.
- Attend mon fils, laisse moi te fixer ceci. Disait Hélène qui marchait follement sur les talons.
Son père avait déjà terminé ses formalités, il savait en tant que père, après les moment de souffrance qu'il avait eu, il savait donner une chance à son fils, même si pour lui, c'est une charge qui demande beaucoup de soutien de sa part; premièrement, il parlait à sa femme de tout ce qu'ils ont eu eux-mêmes au cours de leurs années, après cela, il eu une petite conversation à son fils pour lui encourager et lui fait comprendre que le mariage est tout une vie, et qu'il fallait avoir beaucoup de couilles pour s'en tirer au sort dans des situations complexes. Mais lui, il disait toujours : peut importe ce qui pourrait y'arriver, j'affronterai, je me battrai comme un soldat qui part à la guerre, car, l'amour est tout une évidence, il faut se battre pour la garder prêt de soi. Disait-il à son père.
Pinpinp ! Le marier sortit de sa maison, accompagné de sa mère et de son père, eux qui n'allaient pas monter, mais qui accompagnaient leur fils jusqu'à la portière de la voiture.
De ses cheveux roux, au crème de tomates, elle souriait quand s'approcha son conjoint, et tenir fermement son bouquet de rose à la main, puis elle se souvint de ce jour-là, le soir où elle allait recevoir son premier cadeau d'amour en bouquet de roses que son copain lui avait procurer dans un magasin de fleuristes qui situait presqu'au cœur de la ville. Entre autre, elle avait été sûr que ce moment allait venu, même si toute fois, elle aurait pu choisi de plaire à son père, mais non ! Chacun sa vie et son propre destin.
Ils avaient prit leur bonne décision, gagna la cours de l'église et célébra leur noce comme au bon premier pas de leur famille, dans son costume, Il dansa avec son épouse comme si tout venait juste de commencé. Les parents s'assemblaient pour célébrer ce grand moment, oublié tout ce qui pourrait en porter préjudice au mariage de leurs enfants. Par delà, le père de Salimaha était obligé d'être présent, mais ne dit jamais rien comme quoique ce soit. Quand sa femme allait ouvrir la bouche pour lui dire quelque chose, il tourna sa face vers une autre direction.
Le décor de l'église avait donné une forte conception à Danylan ; pendant qu'il dansait avec sa femme, la tête sur les épaules, il songea ce désir qu'il avait pour s'en fuir, partir loin de tout et vivre son calme dans un autre endroit, et cet après-midi là, il se rendit compte sous la couleur de crème et de rose qui décorait le temple, qu'il devait partir avec sa femme loin de tout les familles et construire sa nouvelle vie.
Les Yeux de Salimaha exprimaient une grande fierté, elle ne cessait pas de sourire et garder ses regards pencher sur son mari chaque fois qu'il leva son visage pour la regarder d'un douceur très particulier.
- ohé ! Cria Ganaël qui accompagnait de son petit ami Rolex. Il avait cette même passion, mais pour lui, ce n'était pas encore une option à prendre, peut-être dans les jours à venir, avait-il réfléchit.
- je suis heureux pour toi mon ami, il y avait tellement de grabuge la semaine dernière, je n'ai pas pu traverser pour venir t'aider dans les préparations, je suis désolé. Ajouta t-il.
Danylan leva la tête, vu son ami accompagné, pour lui, cela paraissait très étonnant, mais après tout, il s'en passe.
- oh ! Pour ça ne t'inquiète pas ! Danylan avait vécu les jours de ses préparatifs sous des coups de feu qui partait dans quelques coins de la ville, mais cela ne pouvait rien changé pour lui. De l'autre coté, Salimaha avait elle aussi connue des petits instants de guerre avec certaines marchandes, celles à qui elle achetait des vaisselles, des draps et autres choses qui pouvaient leur servir dans leur future demeure.
Ils avaient déjà visité un endroit pour se loger, sûrement, ils étaient très patient pour trouver un logement assez spacieux pour leurs avoirs, même si pour le jeune marier, ils n'avaient que quelques jours à passer au milieu de leurs parents. Toujours le même programme sans y passer par autres chemins, à la Navas, c'est là qu'il voulait allait passer ses séjours et y demeurer jusqu'à ce que leurs enfant soit né et corrigé tout les erreurs du passé.
- je vous souhaite du bonheur, je souhaite que vous aurez bientôt votre premier enfant, je serai très heureuse de pouvoir la secouer et de lui donner de beaux petits bisous sur le front. Ganaël riait après avoir prononcer ces paroles au jeune couple qui assemblait les souhaits pour pouvoir espéré bien plus grand dans leur foyer.
- moi aussi, je souhaite tout ce qui a de bon pour faire grandir votre petite famille et bonne vie à deux ! Ajouta Rolex. Il était habillé d'un gilet gris et chemise blanche, d'un pantalon gris comme la couleur grise des nuages qui s'assemblait ce jour-là pour bénir leur cérémonie par quelques gouttes de pluies ; Dieu avait-il été d'accord pour ce jour qui allait bientôt donné une nouvelle beauté à ces deux jeunes amoureux, adolescents qu'ils soient ? Tout les gens qui étaient présent, on vu et compris qu'il s'agissait de quelque bien spécial à ce qu'il paressait durant ce moment de pleine célébrations.
Par conséquent, Danylan avait retenu les souhaits comme des faits réel qui allait se produire entre eux, il était heureux pour une fois, mais, il pensait à pouvoir essayer une dernière fois une technique pour convaincre le père de son épouse.
La sœur de la mariée et son ami qui l'accompagnait étant partit, ils étaient aller dansé dans la foule qui se réjouissait d'une forte adoration après les cérémonies. Il fixa sa femme comme s'il ne l'avait regardé que pour la première fois, il sourit et ajouta : tu es aujourd'hui mon épouse, tes cheveux roux sont comme des aromates, de toutes les plus belles femmes de la terre, tu es donc l'unique et la plus précieuse de mes regards, je t'aime et je t'aimerai toute ma vie.
Salimaha était heureuse, à ces mots, elle se pliait doucement sur les épaules de son mari et sourit fortement.
De temps en temps, certains de leurs parents passèrent pour leur souhaité bonne vie, mais Hérold s'approcha d'eux les regardaient, présomptueux, il rentra chez lui et rien ajouté.
Quelques minutes après, l'amie de Salimaha venait leur prononcer des souhaits, cependant, elle était plein de jalousies et leur faisait des regards à travers.
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