Chapitre 11

« Le plus grand cadeau d'un homme à une femme. »
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- alors, tu veux insinué quoi Dan? Que mon père te tuerais si tu continue à m'aimer? Tu m'avais pourtant promis que rien ne pouvait mettre un barrière entre nous, Qu'as-tu fais avec ses paroles ? Hum! Dit moi s'il te plaît.

Danylan se sentit indigné par ces paroles,quand il eu réfléchi, il voyait bien que sa fiancée secrète avait raison d'en parler, parce qu'il l'avait bien promis.

- je suis désolée mon amour, je suis navré. Pour réparé cette erreur, je vais voir comment on pourrait poursuivre les démarches nécessaires pour notre mariage, tu veux ? Répondit-il sous les triste regards de Salimaha.

- si je le veux ? Tu me le demande ? Le plus grand cadeau d'un homme à une femme, c'est de la mettre en valeur, c'est de la faire savoir qu'après tout, il peut l'aimer jusqu'à la fin de sa vie. Plaignait-elle en secouant un peu les jambes sous la couverture.

- tu peux marcher ? Lui demande t-il.

- un peu, oui. Le docteur à dit qu'il allait me donner une paire de béquilles, mais je peux quand bien même essayer.

- ce n'est pas grave. Je te prendrai avec moi. Répondit Danylan.

- je suis désolée mon amour, mes parents savent que je suis ici, et si tu fais cela ce sera pire pour notre amour. Par contre, si je retourne chez moi, tu pourras venir me chercher. Contesta Salimaha, attachée à la câble d'une sérums perché à la tête de son lit.

- je comprends ce que tu veux Insinuée, mais laisse moi seulement trois jours pour régler cette affaire, je trouverai un prêtre catholique pas trop loin de chez moi, après avoir sortir d'ici, je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour lui parler et tout planifier.

Danylan parlait d'une forte arrogance, il n'avait plus de faiblesse à se laisser faire mortifié par Hérold encore une fois ; volontairement et précis, il voulut conclu une fois pour toutes avec cette histoire. Dans un esprit motivé, il prépare et se montre prêt à tout pour pouvoir faire son devoir, le visage de sa fiancée avait donné l'air d'une femme qui croyait vivement en son mari, et par delà, elle était soulagée.

- tu ne sais pas combien je me sens bien quand tu me remonte le moral, je suis certaine qu'on finira par faire croire aux autres que ce qui existe entre nous est bien fort que tout, et tout au monde. Répondit Salimaha, elle fixa le ciel et parlait calmement.

- je dois m'en aller, je ne suis pas le seul à pouvoir venir te voir, ta sœur est dehors, encore plus ma mère, je vais faire tout ce que j'ai à faire pour améliorer la situation. Il embrassa la jeune fille attachée à son lit et lui donna un baiser d'amour comme s'il ne l'avais jamais fait auparavant ; après cela il sortit, dans le couloir, de manière inattendu, il croisa cette fille qui défendait à Salimaha de continuer sa relation avec lui, et pour cela, il n'était pas vraiment au courant, et elle, c'était comme les vagues qui s'en vont revenaient. Elle avait une jupe plicano qui contenait des fleurs bleus et avait la couleur blanche comme la peinture qui du plafond et de toute l'intérieur de l'hôpital, par contre, on y ajoutait du vert au pied du mur dans toutes les chambres où les malades logeaient et soignaient.

Tuliphie: ça alors ! C'est de vous que me parlait mon amie? Je... Je suis Tuliphie, une amie de Salim! Cria t-elle, en prévoyant qu'elle ne savait rien que des choses que lui avait raconté Salimaha à propos de lui.

- salut Mademoiselle, je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez.

- si! Mon amie me parle souvent de vous et j'ai bien peur que vous n'ayez rien appris à propos. Bredouilla t-elle.

- à propos de quoi? J'ai pas le temps d'en parler, j'ai beaucoup de choses à faire, excuse moi ! Danylan s'empara et fuit comme un rat.

Elle éleva les mains, secoua la tête ; quel imbécile ! Avait-elle ajoutée.

- ça y est! Comment ça se passe mon fils ? Est-ce que tout s'arrange maintenant avec elle ? Lui interrogea Hélène.

- on y va maman. Je vais organiser mon mariage avec Salimaha.

- mais...mon fils ! Tu veux avoir beaucoup plus de problèmes ? Tu viens juste d'avoir l'espoir de trouver quelque chose pour te battre à la vie, tu n'as même pas encore commencé. Plaignait Hélène d'une forte inquiétude.

- je sais maman. Puisqu'il le faut, je ferai les deux à la fois. Je parlerai au prête Molton, je pense qu'il me soutiendra pour réaliser ce projet. Allons nous en.

- hé! Cria Ganaël qui s'approcha d'un visage détendu.

Comment ça va ? Elle est détendue ? Est-ce que vous avez...?

- ne t'inquiète pas Ganaël, ta sœur est la seule trésor que j'ai pu trouver sur la terre, on s'est un peu discuter et... Approche ! Nous allons nous marier. Lui chuchota t-il à l'oreille.

- wow! C'est une très bonne nouvelle ! Mais, et pour nos parents ? J'ai bien peur que mon père n'empêche cela ; grommela Ganaël qui rougit après ces paroles. Je crois que mon père n'a nul raison d'opposer, d'ailleurs c'est la vie de ma sœur, elle a droit au bonheur.

- parle avec ta mère à ce sujet, je sais qu'elle ne m'en voudra pas elle aussi, et pour votre père, ça ira. Avoue Danylan en massant l'épaule de sa belle-sœur.

Ganaël souriait doucement et pour elle, sa sœur avait toujours méritée d'être heureuse une fois dans sa vie, elle n'avait aucune trace d'hypocrisie, ni de jalousie, déjà, elle avait trouvé Rolex parfait pour elle comme petit ami. Pendant ce temps là, la mère des jeunes filles arrivait tout juste, elle avait le cœur joueuse malgré la situation de sa fille qui lui à fait autant de peine, voyant Danylan, elle songea que sa fille lui avait expliqué qu'après leur petit rencontre, elle se sentit indigné et mal à l'aise, et qu'elle avait but un peu d'alcool pour pouvoir chasser le stress avant avoir emprunté la voiture de son père. Avant de partir, elle lui avait dit qu'elle allait chez une amie pour ne pas avoir trop d'embarras, puis, hélas !

Les parents surdouées par leurs capacités de gérer leurs enfants, se saluent et se présentèrent comme deux grandes mères en pleine négociations.

Hélène parla de son fils et la relation qu'il y a avec la fille de Salisca, et elle, du fond de l'âme à travers son amour maternelle, compris que sa fils avait le droit de tomber pour celui qu'elle désire, elle défendait toujours ses enfants et connaissait la raison bien plus que leur père.

- je suis vraiment navrée pour ta fille, elle m'a rendu un grand service, je n'oublierai jamais ce qu'elle avait fait pour moi. Surtout, mon fils ne parle jamais de quoi que ce soit sans qu'il est cité son nom, je ne peux pas opposé à cela, vous comprenez?

- sans doute, ma fille est tout comme moi, alors, je pense qu'il est nécessaire pour assurer l'avenir de nos jeunes, je ne peux pas rester trop longtemps, je pense qu'on parlera beaucoup plus une prochaine fois !

- oui, je l'espère moi aussi.

Après cela, Danylan et sa mère quittèrent l'hôpital et rentrèrent à la maison, il avait le cœur chaud, comme le teint roux des cheveux de sa concubine qui gardait une vive lueur que elle marchait sous le soleil du printemps.

- ras le bol, je crois qu'il me faut ton aide maman, je parlerai ce soir avec mon père à ce sujet et j'irai demain matin à la chapelle pour retrouver le prête, afin de pouvoir tout arranger.

- mon fils, tu n'as aucune raison de te charger d'empressement, tu dois te calmer, réfléchi un peu ! Je ne peux pas dire autrement, mais là, il te faut un petit moment pour pouvoir arriver à te contrôler, d'accord ?

- maman, je ne suis pas fou, je ne peux plus me laisser courir après le temps, ne t'en fais pas, je sais tout ce que je fais.

- si tu le dis ! Tout ce que je fais étant que parent c'est éviter le pire. Danylan se serre les dents et dévisagea comme un rebond d'un coup de poing dans son estomac ; malgré cela, il essayait de tenir beaucoup plus et sur c'eût, il alla et gagnait sa chambre. En partant, son père était tout juste rentré à la maison, il entendit les coups de baisers et les coups de salutations de son père, mais, il rentra dans sa chambre et ferma la porte sans se retourner.

Le lendemain, comme il avait planifié son sortie, il se leva de très tôt, après avoir fait le lit, il quitta sa chambre sans penser à regarder son visage, ce qu'il faisait par habitude quand il se levait de son lit, et cette fois, il n'y avait même pas pensé car il s'empressa de se rendre à la chapelle. Hélène avait déjà fait la cuisson, et entre autre, elle avait décidé d'accompagner son fils après avoir lancé le message son mari qui était très surpris, mais, ne pouvait rien ajouter à ce point.

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