✑ Chapitre 23 : Les senteurs de l'amour
J'ai une blague !!!
Elle est génial vous allez voir... Combien faut-il d'elfes de maison pour servir le dîner d'un dragon ?
Autant que son appétit !!🤣😂
(Ne jamais faire cette blague à Hermione 😅)
(Oui j'avais pas d'inspi d'intro désolé ❤️)
Le mode sombre de Wattpad a refais ma vie... 😍 Enfin bref voilà un petit chapitre -de près de six mille mots hum hum- où il se passera... Nom spoilers 😂
D'ailleurs j'ai trouvé une erreur que je faisais souvent -enfin c'est plus une incohérence- c'est que j'écris soit Pettigrew (version anglaise) soit Pettigrow (français). Alors ne cherchez pas, j'écris hyper vite, et pour les noms je ne me prends pas la tête. (Je parie que la moitié d'entre vous ne l'avez même pas remarqué 😂)
Bon bah bisous 😘
Alexia Johns 🌻
-oui je savais pas quoi dire-
Chapitre 23 : Les senteurs de l'amour
00 : 32
Elle se retourna de l'autre côté de son lit, cherchant désespérément le sommeil. Elle avait l'impression qu'on lui avait assené le crane d'un coup de massue. La vue brouillée, elle roula sur elle-même, en quête d'une position agréable. Le réveil posé sur sa table de chevet indiquait maintenant 00 : 33. Elle soupira et étendit la respiration étouffée d'Alice. Cette dernière c'était violemment disputé avec Frank la veille, car il n'avait pas donné la raison de son "escapade nocturne". La jeune brune avait passé la soirée à pleurer sur l'épaule de la rousse en sanglotant qu'elle ne comprenait pas pourquoi il ne lui faisait pas confiance, tandis qu'elle lui tendait des mouchoirs.
00 : 34
Elle se leva et s'approcha d'une fenêtre pour observer l'extérieur. Dans le ciel étoilé, la lune brillait de mille éclats. Elle souffla avant d'attraper un pull qui trainait par terre, d'enfiler son jean et prendre sa baguette. Silencieusement, elle sortit de la tour des Gryffondors pour sortir dans le parc. Lorsqu'elle se retrouva à l'extérieur, le froid vint la frapper violemment. Respirant à grande bouffée l'aire glacé, elle avança dans le parc en quête d'un endroit précis. Ses pieds foulaient l'herbe humide, le vent frais caressant son visage pâle. Les rayons lunaires éclairaient ses pas, rendant l'obscurité lumineuse, à moi que la lumière créait des ombres ? Son mal de tête persistait et des sueurs froides lui dévalait l'échine.
Elle sentit un frisson dévalait son dos et se rattrapa dans une veine tentative à un arbuste. Mauvaise idée... Sa main passa à travers les feuilles et elle tomba sur le sol, la respiration allaitante. Les brins de verdures chatouillaient sa frimousse et elle ferma les yeux, guettant les bruits de la nature. Tout était calme, silencieux. Parfois, le bruit d'un hibou se faisait entendre, un rythme calme mais constant... Un quoi ? Elle rouvrit précipitamment les yeux et chercha autour d'elle. Rien. Personne. Pourtant le battement restait continuel. Et elle comprit. Une douleur lui déchira les entrailles et elle ferma ses paupières, essayant de garder son calme.
Ses os lui donnèrent l'impression de craquer, de se déformer. Puis ça s'arrêta, comme s'était venu. Elle rouvrit les yeux et vit sa baguette sur le sol. Elle essaya de l'attraper avec sa main mais c'est une patte qui entra dans son champ de vision... Une patte ?!? Elle tourna sur elle-même, apercevant du coin de l'il une queue blanche comme la neige. Elle regarda ses "pattes" et en distingua quatre. Je suis devenue un chien ? se dit-elle mentalement. Mais Alastor avait dit que... Oui enfin visiblement Alastor c'était tromper. Elle se fit une image net d'elle-même -en humain- dans l'esprit et sentit une douce chaleur s'emparait d'elle. Après deux trois minutes, elle ouvrit timidement un il, puis le deuxième. Soulagé de voir sa main, elle s'assit en tailleur, la baguette dans les mains. Comment ? Pourquoi ? Maintenant ???
Des milliers de questions embuaient sa conscience. Elle se releva avec un peu de mal et ses yeux mirent quelques minutes à s'habituer à la lumière de l'astre d'argent. Elle recommença à marcher, pour faire passer sa nausée. Longeant la forêt interdite, elle hésita un quart de secondes avant d'hausser les épaules et de s'y engouffrait. Les ronces s'accrochaient à son pantalon, griffant sa peau. Elle lança un sortilège qui écarta les petits buissons de son chemin et continua sa découverte du bois. Alors qu'elle crut apercevoir un botruc et commençait à s'approcher vers la créature, un hurlement retentit. La jeune fille se figea et leva doucement la tête vers le ciel. Oh merde ! pensa-t-elle. Fallait que tu sortes le jour de la pleine lune espèce de noueux sans cervelle ! pesta-t-elle. Deux choix s'imposait à elle : courir sans s'arrêter ou se retransformer en prenant le risque que le loup devine qu'elle était une sorcière. Ni une ni deux, elle pensa très fort à un chien blanc. Au pir, elle pourrait toujours courir sous sa forme animale. Vite ! Merlin s'il te plaît ! implora-t-elle.
Elle vit rapidement sa baguette au sol, la prit dans sa "gueule" et marcha en essayant de faire le moins de bruit possible. Alors qu'elle contournait une clairière, un bruit de sabot se fit entendre. Pitié pas des centaures, ça me ferait une belle "patte" ! Elle se gifla mentalement, ce n'était pas le moment de faire des jeux de mots à deux crocs -ok je l'avoue elle était nul mais bon. Elle s'enfonça dans un arbuste, restant à l'aguet. Dans la petite clairière venait de surgir un majestueux cerf aux yeux doré, vite suivit d'un grand chien noir aux yeux gris et d'un loup-garou. Elle resta immobile, bien qu'elle fût un peu terrifiait. Non, enfaite elle était littéralement pétrifier par la peur.
Elle les observa "jouait" -si c'est ce qu'on peut appeler un jeu- et gambadait dans le pré. Elle se pencha un peu plus pour mieux voire mais une branche craqua sous sa patte. Les trois animaux se retournèrent dans sa direction. Un chien blanc comme la neige avec un bout de bois dans la gueule au milieu de feuilles vertes sombres n'était certes pas très difficile à repérer. Elle s'aperçut qu'un rat était "assis" sur le dos du cervidé. Un rat assis sur un cerf ? Un cerf un chien et un loup en train de jouer ??? Ils restèrent plusieurs minutes à se regarder, puis elle commença à reculer, se demandant si le loup pouvait deviner qu'elle était une sorcière. Elle se retourna et sans un regard en arrière, se dirigea vers le parc du château. Une fois devant la grande porte, elle se retransforma et jeta un rapide coup d'il à la forêt.
Avant de dormir, elle se fit une promesse : ne plus jamais sortir le soir de la pleine lune. Oh non jamais, elle avait bien cru voir sa vie défilée sous ses yeux. Finalement, elle s'endormit comme une masse.
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Sirius sauta sur son lit, épuisé. Le soleil commençait à se lever à l'horizon. James, l'aire songeur, déclara :
- Je suis inquiet... Pourquoi le loup à réagit violemment quand on la sortit dans le parc ? Il a direct voulu se précipiter dans la forêt, comme sil y avait un humain... Et puis il y a cet animal qui c'est approché quand on était dans la clairière... C'est bizarre !
- Je crois que c'était un chien blanc. Mais pourquoi il n'a pas fui ? La dernière fois qu'on a croisé un autre chien ou une autre bête, elles fuyaient directement. En plus, il avait un bout de bois dans la bouche.... répondit Peter.
- Où est la potion pour ne pas être fatigué ? demanda le brun ténébreu le visage enfoui dans son cousin.
- Tiens Patou, dit James en lui tendant un gobelet remplis d'une potion bleue d'eau.
Il l'avala d'une traite.
- En revenant à la pleine lune, es-ce quil faut en parler à Remus ?
- Je pense pas... Les deux scénarios possibles : c'est un dangereux criminel en fuite, animagus non-déclarer qui veut notre peau donc on le dit à Lunard ou c'est juste un chien errant et il va croire qu'on est parano, récapitula Sirius en rigolant.
- De toute façon, il veut toujours qu'on lui raconte l'intégral de la nuit, donc on pourra pas lui mentir, dit Peter, avant d'entrer dans la salle de bain que James venait de quitter.
- Je sais pas... C'est bizarre...
- Cornedrunounet, laisse tomber, ça se trouve on ne le croisera plus jamais, alors faut mieux oublier.
- Ouais... répondit vaguement le brun alors que son meilleur ami partait dans la salle de bain, à la suite de Peter.
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- Marlène !!!
- Alice, tu m'étouffes, rigola la blonde.
Elles étaient toute dans la Grande Salle pour le petit déjeuner.
- J'ai paniqué en ne te voyant pas ce matin !
Marlène vit Dorcas levait les yeux au ciel.
- Ça va Ali', je suis pas en danger, tout va bien, rigola-t-elle.
- Même !
Elles commencèrent à manger en rigolant et en discutant le tout dans la joie et la bonne humeur. Quand Frank passa devant elles avec ses amis, il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais Alice tourna la tête et l'ignora. Il suivit donc ses amis, tout penaud.
- Alice, tu ne te trouves pas un peu trop dur avec lui ? remarqua Alexia
- Je déteste que l'on me mente ! Tant qu'il ne m'aura pas dit pourquoi, il peut encore essayer, je me fléchirais pas, répliqua autoritairement la brunette.
Lily et Alexia soupirèrent de concerts.
- Coucou les filles ! s'exclama un brun aux cheveux en bataille.
James s'installa à côté de Lily. Sirius vint s'asseoir à côté dAlexia, Remus près de Claire et Peter à côté de James. Alors quAlexia et Lily étaient dans une grande discussion sur leur cours de potion, un Serdaigle de leur année s'approcha d'elles et dit avec assurance :
- Salut, je m'appelle Thiméo Rodrigez. Es-ce que tu voudrais sortir avec moi ? demanda-t-il à Alexia.
Elle le regarda, la bouche entrouverte et déclara :
- Non. Je ne te connais même pas. Désolé.
Le jeune homme rejoignis sa table, tête baissée.
- Le râteau que tu lui as mis était violent ! s'indigna Alice.
- Bah quoi ? Pourquoi il est venu me voir ? Je ne le connaissais même pas !
- À ce qui paraît, tu aurais aidé un deuxième année de Poustoufle et il l'aurait répété à sa sur qui la dit à son copain, qui la dit à ses potes et tous les garçons de Poudlard ont donc su que tu étais gentille. Et depuis le match de Quidditch, ils auraient aussi remarquer que tu es particulièrement jolie ! s'exclama joyeusement Alice.
- Euh... mais c'est pas une raison...
- Tu n'as pas compris. Enfaite Alice voulait te dire que tu commences à être une des filles les plus populaires de l'école, expliqua Marlène.
- Mais je ne cherche pas un copain ! Je ne veux pas que les gens me mettent sur le devant de la scène ! Moi je veux juste être dans les coulisses, où alors à l'autre bout de la planète, ça me dérange pas ! Comment on fait pour que ça s'arrête ?
- Il n'y a que trois solutions : tu t'habitues à vivre comme ça, tu ignores ou tu passes ta vie à la bibliothèque, comme Lily.
- Je ne passe pas ma vie là-bas ! s'exclama la rousse
- Oui oui... J'ai oublié que tu y passais trois ans de plus parce que maintenant il y a Enzo ! répondit vaguement Dorcas.
La préfète rougis instantanément et marmonna qu'elle devait aller rendre un livre à -oh sans grande surprise- la bibliothèque.
- Quesque je disais... Bref, tu vas vraiment recaler tous les gars qui te demande de sortir avec toi comme ça ? Parce que moi je traine tout le temps avec toi alors, juste pour voir leurs têtes, continua Dorcas alors que Claire lui lançait son coude dans les côtes.
- Dorcas ! s'indigna la blonde.
- Bah je ne savais pas quoi répondre... J'ai été pris de court.
- Tu n'as jamais été avec un garçon avant ? s'écria Alice horrifiée.
- Non, ça m'a jamais intéressé....
- De quoi !?!
- Alice calme-toi, c'est pas un crime, la rassura Marlène.
- Mais même Dorcas a avoué avoir craqué sur mec une fois !
Cette dernière s'étouffa avec son jus de citrouille :
- ALICE !
- JE n'y crois pas ! Tu as au moins déjà une fois craquer sur un gars ! Tu n'es pas humaine alors !
La Gryffondor rougis et marmonna :
- Non, jamais, enfin je pense...
- Même pas sur un gars que tu croises dans la rue ???
- Non...
Alice ouvrit la bouche de stupeur et annonça :
- Ce soir réunion de crise dans le dortoir ! Essaye pas de te défiler !
Et elle se leva en disant qu'elle devait aller immédiatement voir Lily.
- Elle est pas un peu psychopathe Alice ? demanda Sirius amusé.
- Je vais me jetait de la tour d'Astronomie je crois, murmurra Alexia en se prenant la tête dans les mains.
- Ah ça non, j'ai pas envie de devoir retrouver un attrapeur ! cria James scandalisé.
- T'inquiètes pas, on va juste faire une soirée pyjama, la rassura Claire.
- Je te parie deux galions que ça va se finir très mal avec des situations extrêmement gênantes, retorqua Dorcas.
- Vous êtes bizarre vous les filles, commenta James
- Pas plus que vous ! répliqua Marlène.
- Bah si, vous prenez trois ans pour vous préparez....
- Dit celui qui passe des heures sous la douche, coupa Sirius
- Ce n'est pas de ma faute si mon corps d'athlète doit être entretenue, se défendit l'intéresser sous les rires des autres tandis qu'ils se levaient pour aller en cours.
- On va en quoi ?
- Métamorphose, on y retrouvera Lily et Alice.
Et c'est ainsi que les huit amis prirent la direction de la salle de métamorphose en riant aux blagues idiotes de James et Sirius.
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Lily discutait avec ses amies en attendant leur professeur de potion. C'était le cours qu'elle préférait et était impatiente de savoir quel sujet allait être abordé aujourd'hui. Quand le professeur arriva -enfin- et ouvrit la porte, le brouhaha d'élèves entra dans la salle de classe. Le professeur Slughorn demanda le silence et commença :
- Bonjour tout le monde ! Aujourd'hui nous allons étudier...
La porte de la salle s'ouvrit à la volée et trois garçons entrèrent en trombe dans la pièce :
- Désolé du retard messieurs, s'excusa Peter d'une petite voix.
- Je ne m'étonne même plus M. Pettigrow... Veuillez rejoindre vos places, et rapidement. Donc, comme je le disais avant d'avoir était interrompit, aujourd'hui nous allons travailler sur plusieurs potions compliquées que vous devriez savoir reconnaitre et au moins connaître la théorie de préparation pour vos A.S.P.I.Cs... Comme vous pouvez le voir, derrière moi se trouve plusieurs chaudrons contenant les différents sujets d'études. Quelqu'un veut venir les identifier ?
La main de Lily se leva automatiquement.
- Miss Evans, bien entendu.
La rousse se leva et s'approcha du premier chaudron et expliqua :
- C'est du Polynectar, une potion qui permet à un sorcier de prendre temporairement l'apparence d'un autre être humain. Elle a un aspect de vase épaisse ou de boue avant l'ajout du dernier ingrédient, qui est une mèche de cheveux de la personne de qui on veut prendre l'apparence.
Elle se dirigea vers le deuxième récipient :
- Celle-ci, c'est du Veritaserum, un puissant sérum de vérité, une potion qui provoque chez celui qui l'absorbe une incapacité à mentir. La potion est incolore et inodore. Il suffirait seulement trois gouttes de cette potion pour qu'elle puisse agir. Le buveur se retrouve dans l'incapacité de mentir et parle d'une voix monocorde.
Et enfin, la préfète s'orienta vers la dernière préparation sans pour autant s'en approcher :
- Et... C'est l'Amortentia, le plus puissant philtre d'amour au monde. L'Amortentia peut être identifiée grâce à sa couleur nacrée, sa vapeur qui s'élève en spirales et l'odeur attirante qu'elle dégage, différente pour chacun. Elle ne crée pas vraiment un sentiment d'amour. Il est impossible de fabriquer ou d'imiter l'amour. Non, elle produit simplement une forte attirance ou une obsession.
- C'est parfait Miss Evans ! Quinze points pour Gryffondor. Notez les définitions de chacune des préparations présentes dans la salle puis approcher vous de l'Amortentia et inscrivez ce que vous aurez senti.
Tandis que les autres élèves s'activaient, James envoyait des mots à Sirius qui était à l'autre bout de la classe. Sirius lut le message et lui fit un clin d'il. Alors que les premiers élèves commençaient à se lever pour aller sentir le philtre d'amour, Lily attendit Alexia assise à côté d'elle. Les deux jeunes filles se levèrent et s'installèrent à l'arrière de la file :
- Alors ?
- Alors quoi ? lui répondit la brune en fronçant les sourcils
- Bah Alice est un vrai moulin à parole...
- Tu veux parler de ce matin... grogna la jeune joueuse de Quidditch
- Je ne te juge pas, mais je veux juste te prévenir que ce soir, faudra que tu sois préparé mentalement...
- Elle va me faire quoi ?
- Oh, va demander à Dorcas. Elle lui a arraché des trucs que personne n'aurait eu l'audace d'imaginé, répondit la préfète avec un regard désolé.
- Mais... Ce n'est pas de ma faute si je ne me suis jamais penché plus que ça sur mes relations amoureuses...
- Je sais bien, mais soit juste prête pour toutes les questions inimaginables qu'elle va te poser.
- Tu crois qu'elle serrait capable d'essayer de me caser ?
- Je ne crois pas Alex', je suis certaine.
- Oh par Merlin, il ne faut absolument pas...
Lily lui tapota l'épaule d'un geste se voulant réconfortent. James et Sirius vinrent interrompent leur discussion :
- Alors les filles ? Ça va bien ?
- Oh non, je vais me suicider avant ce soir Sirius...
- Ne dis pas ça sœurette ! s'indigna James. Lily ! Tu ne vas pas la laisser faire hein ?
- Je ne peux rien, car ce qui l'attends va vraiment, vraiment être horrible...
- Bah tu n'as qu'a demandé l'asile politique princesa, on vira Remus pour qu'il aille chez sa petite Claire faire des trucs un peu louche et tu viens dans notre dortoir ! proposa Sirius
- T'es malade ou quoi ? Elle me poursuivra jusqu'en enfer cette folle ! De plus, elle débarquera dans le dortoir et je devrais m'expliquer devant vous, donc non merci !
- Bah, j'ai pas d'autres idées...
- Oh moi j'en ai une ! Une pierre en deux coups ! s'exclama Claire qui venait d'arriver dans la queue, Remus et Peter derrière elle.
- Dis-moi Claire !!! Je veux savoir ! la supplia Alexia.
La blonde afficha un sourire machiavélique et leur expliqua son plan. Quand elle eut finis, ils affichaient tous le même sourire qu'elle. Remus passa ses bras autour de la taille de sa petite amie et souffla à son oreille :
- Tu es machiavélique...
- Je sais, et c'est pour ça que tu m'aimes.
Il lui plaqua un bisou sur la joue avant que Sirius n'intervienne :
- Bon, Lily, Alex'... Vous avancez ?
Effectivement, tous les élèves étaient passés et c'était au tour des deux jeunes femmes. Elles s'approchèrent en même temps et humèrent la potion. Lily distingua une odeur enivrante d'épines de sapin, de cire à balais et de... tarte à la citron !?!
Elle nota sur sa fiche les odeurs qu'elle avait senti... Qui cela pouvait bien être ? Elle ne put s'empêchait de rougir. Et si elle le connaissait et qu'il était dans cette pièce ou dans son année ? Elle chassa cette idée de son esprit. Et puis quoi encore ? Songeuse, elle écouta d'une oreille distraite la fin du cours, où le professeur expliquait comment préparer le philtre de la Mort Vivante, qu'ils devront confectionnait pendant le prochain cours. Quand la cloche sonna la fin des cours pour l'après-midi de Lily, elle se leva et commença à parler avec Alexia :
- Tu as sentis quoi Alexou ?
Pour la première fois depuis qu'elle l'avait rencontré, la brune rougie :
- L'odeur des cendres se consumant dans le feu, le chien mouillé et -elle hésita quelques instants- rien d'autre.
Lily lui adressa un regard plein de sous-entendu, mais ne poussa pas plus loin. Si son amie ne voulait pas en parler, elle n'allait pas lui forcer la main, car elle savait bien que la jeune Johns allait se confier à elle si c'était réellement important.
- Ça te dirais d'aller faire un tour à la bibliothèque ?
- Euh... J'ai encore cours, j'ai pris Soin aux créatures magiques... On se voit tout à l'heure ! répondit la brune en se dirigeant vers l'extérieur du château.
Lily la regarda s'éloigner, puis quand Alexia fur hors de vue, elle se dirigea vers la salle commune. Dès qu'elle entra, elle fut frappé par le presque silence et la tristesse qu'il y régnait.
Elle s'approcha dAlice qui était dans un fauteuil, la tête dans les mains.
- Quesqu'il c'est passé ?
- Joan Brown, quatrième année, disparue. Il était à Gryffondor, ajouta-t-elle
Lily se pinça les lèvres et murmura :
- C'est horrible...
- Cette guerre est horrible... renrichit Marlène.
Lily regarda vers l'extérieure. Les élèves pour le cours de Soins aux créatures magiques étaient à la lisière de la forêt, Alexia était facilement reconnaissable avec ses longs cheveux ondulés bruns lui arrivant dans le bas du dos. La rousse soupira et s'installa à côté de Marlène et Claire qui finissaient un devoir de potion. Au bout d'une vingtaine de minutes, cette dernière roula son parchemin et se leva.
- Tu vas où ? demanda Alice
- Voir Remus, il faut que je lui dise quelque chose...
- Oui c'est ça, amuse-toi bien, lança Dorcas qui venait d'entamer une partie d'échecs avec Alice, ce qui fit montait les yeux au ciel de la blonde.
Elle grimpa les marches menant au dortoir des garçons, toqua avant d'ouvrir la porte à la volée :
- James ! C'est bon ! Lily s'occupe d'Alice, toi de Frank, bouge-toi !
- Oui oui, c'est bon... grogna ce dernier en se levant du lit de Remus avec qui il faisait une partie de bataille explosive.
Le brun sortit de la pièce, un sourire niait collé au visage depuis qu'il avait compris que c'était Lily Evans qui s'occupait de la deuxième partie du plan.
Sirius, qui mangeait des chocogrenouilles, comme Peter, bondit sur ses pieds en entraînant avec lui le petit blond :
- Bon, nous on a du travail -un mot que jamais elle n'aurait cru pouvoir sortir de la bouche du Maraudeur- donc on vous laisse ! Profitez bien les tourtereaux !
Et sur ce, il quitta le dortoir, vite suivit de Peter. Lavant les yeux au ciel, elle vint s'asseoir à côté de son petit ami, rouge. Il la prit dans ses bras et elle s'y blottit.
- On fait quoi ?
- Je sais pas... On mange du chocolat ? proposa-t-elle.
Il rigola, se détacha d'elle, alla fouiller dans sa valise au pied de son lit et en ressortit deux tablettes de chocolats -noire bien évidemment- pour lui en tendre une.
Ils commencèrent à discuter de tout et de rien en dévorant la délicieuse confiserie. Au bout d'un moment, ils s'allongèrent, sa tête reposant sur le torse de son amant qui lui caressait les cheveux.
- Remus ?
- Oui ?
- Es-ce que tu avais déjà aimé d'autres filles ?
Le lycanthrope réfléchis. Aimer était un grand mot, certes il avait déjà trouvé plusieurs filles belles ou mignonnes, mais cela faisait déjà un petit moment qu'il avait remarqué Claire. Elle ne jugeait personne avant de connaître les gens, était gentille, joyeuse, belle, mignonne et souriante. Il s'était toujours interdit d'aimer, mais avec elle, il n'avait pas pu s'en empêcher. Il n'avait jamais ressenti ce sentiment avant.
- Non, je pouvais les trouvait jolies, mais ça s'arrêtait là. Je... je n'ai jamais aimé quelqu'un comme je t'aime... Et toi ?
- Possible... Mais j'ai moi non plus jamais ressentit quelque chose d'aussi fort... répondit-elle en rougissant.
Remus souria et l'embrassa tendrement. Elle se rapprocha de lui et accentua le baiser. Il passa ses mains dans son dos et lui mordit gentiment la lèvre inférieure. Elle souria contre ses lèvres et passa une de ses mains dans ses cheveux. Leurs corps collé l'un à l'autre, ils détachèrent leurs lèvres à bout de souffle. Elle pouvait sentir son souffle dans son cou, son cur battre à l'unisson avec le sien. Elle sentit son odeur fruitée, et ses mains se baladant dans le dos du jeune homme. Il l'embrassa doucement dans le cou, et elle adora ça. Elle enfouit sa tête dans ses cheveux châtains. Il descendit jusqu'à sa clavicule. Elle le serra un peu plus contre lui. Il s'écarta un peu, et elle plongea ses yeux dans ceux mielleux du jeune homme. Elle l'embrassa fiévreusement, et sentit la main du jeune homme passait sous son t-shirt.
Rien n'aurait pu briser ce moment... sauf un hibou furieux qui toquait comme un fou à la fenêtre pour qu'on vienne lui ouvrir. Ils s'écartèrent, et il lui adressa un regard d'excuse alors qu'il se levait pour aller prendre la lettre. Le petit volatil marron chocolat s'engouffra par l'ouverture et s'installa sur le perchoir vide de celui de James.
Remus revint à côté d'elle, qui jouait nerveusement avec son oreiller, et lui souffla dans le cou :
- Ça va ?
Elle rougit et blottit sa tête dans le cou de son petit ami :
- Oui. C'est juste que...
- Je sais. Moi aussi, dit-il en la serrant un peu plus contre lui.
- C'est quoi cette lettre ?
- Sûrement une des admiratrices de James ou Sirius.
- Je peux voir ?
Il attrapa la lettre qu'il avait posé sur sa table de chevet et la lui tendit. Elle l'inspecta et le regarda :
- Tu crois qu'ils nous en voudront si on l'ouvre.
- Je pense pas, ils en reçoivent des dizaines.
Elle déchira l'enveloppe vierge et déplia le morceau de parchemin qui se trouvait dedans. Remus appuya sa tête sur son épaule pour lui aussi lire :
Phénix,
L'opération Etrange sera lancé comme vous l'avez souhaité, en avance. J'ai demandé à Salamandre de prendre les choses en main. En ce qui concerne les mioches, si tu veux leur présenter un ou deux de ses abrutis, je pense qu'Ecureuil et Ours pourront faire l'affaire s'ils ne se disputent pas. En ce qui concerne Cerise, je ne pense pas que cela soit une bonne idée, mais que puis-je dire d'autre. Envoys la si tu veux, après tout elle sera dans une fureur noire quand elle apprendra ce qui va se passer. D'ailleurs, pour Poudlard, on a eu vent que des AMPAL vont se dérouler. J'enverrais bien Antilope et Bélier, mais si NOUS ne sommes pas en sous effectif pour une mission. J'espère que tes recrus vont bien vouloir venir, ça serait pas de trop.
Au diable vos noms de codes compliqué, j'ai du réécrire cette maudite lettre trois fois car je me trompais. Si Écureuil se fout de ma gueule encore une fois depuis le salon, ne t'étonne pas qu'il y ait un meurtre !
Alligator
Elle releva son regard vers Remus qui était plongé dans une intense réflexion :
- Tu crois que le hiboux c'est trompé de destinataire ?
- Je pense... Mais c'est bizarre comme lettre... On dirait un message codé...
Elle se redressa en position assise, prit un morceau de chocolat et réfléchis :
- AMPAL... Quesque ça peut être et le lien avec Poudlard ?
Remus se releva à son tour et renrichit :
- Et ces recrus, ces noms de code...
- On devrait en parler aux autres ?
- Oui. Mais il faut redonner la lettre eu hiboux pour qu'il ne l'amène au vrai destinataire.
- Mais il nous faut une preuve !
Il lui souria, sortit sa baguette et murmura :
- Gemino.
Un deuxième parchemin apparu à côté de la véritable lettre, exactement le même. Claire embrassa son petit ami et dit :
- Je t'aime.
Il pressa un peu plus les lèvres de la Gryffondor contre les siennes pour toute réponse. Elle répara l'enveloppe d'un mouvement de baguette, y glissa le vrai courrier, et non la doublure, referma la lettre, l'attacha à la patte du hibou qui voulu la mordre, et ouvrit la fenêtre. Le volatil la regarda bizarrement, elle soupira et marmonna :
- Je ne sais pas parler le hibou donc enfaite-tu t'es trompé de destinataire !
Remus, qui c'était approché par derrière, rigola :
- Tu sais qu'il ne peut pas comprendre ?
Comme pour lui donner tord, l'oiseau s'envola en le narguant d'un regard.
- Bien sûr que si ! Il s'est envolé, tu as vu !
Il lui déposa un baiser sur la tempe et souffla :
- Tu vas me faire devenir fou...
- Fou amoureux ? Évidemment, mais tu n'as pas besoin de moi pour ça mon petit loup, rit-elle.
Elle l'attrapa par la main et ils sortirent de la pièce...
❅───────❅•°•°•❅───────❅
Lily tenait fermement Alice par la main.
- Mais euh ! Lilou je ne veux pas aller à la bibliothèque !!!
- Oh si, Alice s'il te plaît ! la supplia la rousse en lui adressant un regard à faire fondre.
- Grrrrrr.... Quesqu'on fait pas pour ses amis...
- Merciiiii Alisounette !
Alors qu'elles passaient devant un placard, la préfète fit tomber son sac.
- Oh zut, par la barbe de Merlin, marmonna-t-elle tandis qu'Alice l'aider à remettre tous ses livres dans son sac.
- Mais comment autant de livres peuvent passer dans un si petit sac !
- Euh... Sortilège d'Extention...
- Lily !
- Oui je sais... Bref, je crois que ma plume est passée sous la porte de ce placard.
- Attends, je m'en occupe, lui répondit la brune en ouvrant la dite porte.
Lily saisit sa chance et poussa son amie dedans, en lui chipant sa baguette au passage.
- LILY HELÈNE EVANS ! FAIT MOI SORTIR TOUT DE SUITE ! s'époumona la Gryffondor.
- Désolé, mais c'est le seul moyen. Je vais à la bibliothèque, à tout-à-l'heure Alice.
- LILY !!! C'est pas drôle !!! cria la piégée tandis que son amie s'éloignait, un sourire machiavélique éclairant son visage.
❅───────❅•°•°•❅───────❅
James et Frank discutaient dans les couloirs du château.
- Donc c'est ça ta nouvelle stratégie ? Mais pourquoi tu voulais en parler à moi et pas à Sirius ?
- Euh... Parcequ'il est pas capable de se concentrer plus de dix secondes sur un sujet.
- Et toi tu y arrives ? se moqua Frank
- Bien sûr !
Ils continuèrent leur chemin en silence, quand Frank demanda :
- Euh... James... Tu pourrais m'aider pour un truc s'il te plaît ?
- Moi ? Ah euh bah oui mon vieux... Quesqu'il y a ?
- Alice... Je sais pas comment me faire pardonner... Elle m'ignore tout le temps, m'évites et ne me laisse même pas la chance de m'expliquer... Donc, toi qui s'en sort bien avec les filles, tu pourrais pas me donner quelques tuyaux ?
Si Sirius avait été là, il aurait éclaté de rire. James Potter s'en sortir avec les groupies, d'accord, mais avec les filles du style d'Alice et Lily, de vraie lionne de nature ?!? Même pas en rêve, il y a juste à compter le nombre de claques qu'il s'était pris l'année dernière -386 pour être exacte- et le nombre de fois où la rousse l'avait ignoré ou recalait. Mais Frank était son ami, et ils arrivaient bientôt au point d'action. Passant sa main dans ses cheveux, il répondit :
- Euh... Je m'en sors bien avec les filles, certes, mais Alice mec, c'est une Lily 2.0... Et regarde comment ça se finit avec moi, donc je peux pas vraiment t'aider... Enfin, je pense que tu devrais lui dire la vérité, mais si tu as des raisons importantes -et je pense que c'est le cas- explique lui pourquoi tu ne peux pas lui dire.
- Merci James.
Ils arrivèrent dans un couloir et entendirent les cris d'une personne :
- FAITE MOI SORTIR !!!
Les deux Gryffondors accourèrent jusqu'au placard à balais. James déverrouilla la porte et Frank se précipita à l'intérieur et il tomba nez à nez avec... Alice !
Avant que la jeune femme ai pu ouvrir la bouche, la porte claqua dans leurs dos. Le jeune homme essayait de l'ouvrir, mais elle était verrouillé à double tour. Il chercha sa baguette, mais elle n'était plus dans sa poche. James... Il allait le tuer.
- James c'est pas drôle ta blague ! Ouvre-nous et rends-moi ma baguette !
- Désolé Frankounet, mais c'est le seul moyen qu'on a trouvé pour que vous vous parliez.
- Potter ! T'en a pris du temps ! s'exclama une voix féminine. J'étais à deux doigts de la rouvrir car ça fait vingt minutes qu'elle était enfermé !
- Ah Lily-Jolie... Toujours plus pressé que la normale...
- Tais-toi imbécile, et arrete de m'appeler comme ça ou tu vas finir dans le lac noir !
Les deux adolescents continuèrent de se chamailler dans le couloir tandis que Frank et Alice étaient exaspérés. La jeune fille s'adossa à un mur et soupira. Il fit de même, sur le mur opposé, mais l'espace était tellement restreins que leurs pieds se touchaient.
Prenant son courage à deux mains, il se lança :
- Alice, je suis....
- Un parfait menteur égoïste ? Oui, c'est ce que j'allais te dire, coupa-t-elle sèchement.
Il resta muet trois secondes, mais recommença :
- J'aurais pas du te mentir, je le sais, mais je ne pouvais pas...
- Pas me faire confiance ?!? Non, je ne veux pas de tes excuses, ni de tes explications. C'est finit Frank.
Elle avait les larmes aux yeux et détourna le regard vers la porte. Il sentit son cur se briser, mais aussi qu'il perdait son sang-froid. Énervé, il s'écria :
- Alors c'était ça ?!? Tu ne veux plus de moi, sans même me laisser une chance de m'expliquer !?! Tu ne peux pas arrêter d'être borné pendant deux minutes ?!? Alice bon-sang, je t'aime ! Je t'aime et je ne veux pas te perdre mais je peux rien te dire ! Même si je veux, je ne pourrais pas ! Je ne PEUX pas ! Tu n'as pas pensé quelques instants que c'est que je ne pouvais pas t'en parler !!! Je t'aime ! Laisse-moi une dernière chance, je t'en prie !
Des larmes coulaient sur les joues de la Gryffondor. Il l'a prise dans ses bras, dans un geste protecteur. Elle cala sa tête dans son cou et murmura :
- Je... je suis désolée... J'ai été bête et... et méchante...
- Non Alice... C'est moi qui suis désolé... J'aurais du t'en parler avant. Tu n'es pas bête ni méchante, tu es juste un poil excessive...
- Eh ! s'indigna la brune en le tapant gentiment sur le torse.
Il l'embrassa amoureusement. Elle répondit à son baiser avec fougue et ils s'enlacèrent.
- Je t'aime Alice Madeline McMiller.
- Je t'aime Frank Trevors Londubat.
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- Tu crois qu'on peut les ouvrir ? chuchota Lily à son oreille.
Le brun sentit son cur s'emballer. Comment elle pouvait avoir autant d'effet sur lui ? Pourquoi n'était-il pas insensible avec elle comme avec les autres ? Ça le frustrait. Elle commença à s'impatienter qu'il ne lui réponde pas et renchérit :
- Donc je disais, es-ce quon peut leur ouvrir Potter ?
Elle accentua sur le Potter pour le faire revenir à la réalité. Il se retourna vers elle et souria :
- J'ai une idée...
- Je sens que ça va mal se passer...
- Mais Lily ! Tu ne sais même pas ce que c'est !
- Et alors, le peu que je connaisse de toi suffit à construire cette affirmation, répliqua-t-elle.
- Dommage, parce que si on leur ouvre et qu'ils ne sont pas réconcilier, on peut déjà creuser nos tombes.
Elle leva les yeux au ciel et murmura :
- Ok. Alors c'est quoi ton plan ?
- On leur ouvre la porte discrètement et on voit sils s'en rendent compte.
- C'est nul, de ta part j'attendais un peu mieux car pour les bêtises vous ne manquer pas d'imagination, mais bon, je veux pas attendre une heure de plus.
Les deux adolescents se dirigèrent vers la porte, la rousse tira sa baguette et tenta de déverrouiller la porte avec un sortilège informulé. Elle dut si reprendre une bonne dizaine de fois avant d'y arriver. Content d'eux, les deux Gryffondors rejoignirent leur salle commune, en se lançant des piques, comme quoi rien ne pourra changer les vieilles habitudes...
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