XXIV

Avant toute chose merci de lire cette NDA, dans ce chapitre je vais abordé un Thème qui ne va pas plaire a beaucoup de monde. Je voulais juste vous rappeler que ceci est une fiction, que rien de ce qui est écrit ici ne représente mon idéologie, ce ne sont que des mots mis bout à bout afin de former une histoire. Ni plus ni moins, maintenant si cela ne plait pas , ce que je peux comprendre, cessez de me lire tout simplement, je ne suis pas ici pour recevoir des messages privés ou commentaires à me traitant de tout les noms, surtout qu'il y a un retour pas dés plus aimable, certain en on déja fait les frais. Bef, faites comme vous les sentez je vous aurais au moins prévenus.  

- Ce que je vais vous dire va fortement vous déplaire. Commence Julien en posant ses mains bien a plat sur son bureau, je me contente de le regarder fixement, je ne sais pas trop a quel sauce je vais être mangé alors je préfère préserver un peu de mon calme. Caym était un chevalier blanc du Ku Klux Klan, quand il était avec eux il faisait partit de l'élite si je puis dire.

L'homme en face de moi avale difficilement sa salive, il n'est pas très a l'aise, remarque moi non plus.

Ce que je sais de ce ... cette .... Secte idéologique n'est que scolaire et déjà, cela me fait froid dans le dos. Certains discours de mes professeurs d'histoire me reviennent en tête et je dois bien avouer que cela ne rend pas honneur à Caym.

Sans que je ne m'en rende vraiment compte, des tas de questions germent dans mon esprit, pourquoi ? Comment? Combien de temps? Qu'a t'il fait ? Qu'es ce qu'un chevalier blanc ? Mais surtout, je me demande si on parle bien de la même personne, de Caym le détenue que je vois en second chaque jours de la semaine. Cette même personne que j'ai eu du mal à comprendre, et que je ne comprends pas encore vraiment, mais cet homme qui, maintenant, rit avec moi, se soucie de mon futur, fond devant ma sœur qui danse, et qui sers la main de Mathias. Il me semble qu'il y a un gros mal entendu.

- Vous êtes sur que vous parlez bien de Caym ? J'ose lui demander alors qu'il m'avait demandé de l'écouter jusqu'au bout.
- Parfaitement. Sa réponse parvient rapidement a mes oreilles, même si sa voix emplit toujours la pièce son ton n'est plus dés plus sûr.
- J'ai des questions. Je termine ma phrase en fronçant les sourcils, la bête sauvage tapis au fond de moi sort un calepin pour prendre des notes et lui trouver une défense. Aujourd'hui je m'autoproclame avocate du diable, n'en déplaise à quiconque.
- Le contraire m'aurait étonné. Il commence en se grattant la nuque, puis il se redresse et me regarde intensément. Commencez. Il m'enjoint de le faire avec un petit signe de la main.
- D'abord, promettez-moi que vous me direz tout. Je veux savoir la vérité sur ce qu'il était et a pu faire ou voir. J'insiste sans déverrouiller mon regard du siens.
Il pousse un petit soupire avant de me répondre, pas un soupire d'agacement je dirais plus un soupire " et merde".

- Je vous le promets. Autour de nous l'atmosphère s'alourdit et la température chute dangereusement.
- En fait je veux tout savoir. Je place mon indexe droit sur mon pouce gauche et commence à énumérer mes questions. Qu'es-ce qu'un chevalier blanc ? Depuis combien de temps et combien de temps a t'il fait partit du Ku Klux Klan ? Pourquoi? Qu'a t'il fait ? Son arrestation, a t'il encore un quelconque contact avec eux, son comportement. Sur la fin mes mots son précipités et mon discours décousue, il reflète parfaitement mon état d'esprit.

- Je vais commencer par le début, mais sachez que c'est vous qui me l'avez demandé si cela ne tiendrait qu'a moi je vous cacherais certaines choses.
- Je vous interdis de me cacher quoi que ce soit
. J'interviens rapidement en lui coupant la parole. Je plaide la folie douce.
Il souffle, pince ses lèvres et accepte en hochant mollement la tête. Je souffle mon tour en ouvrant la bouche et supplie mon pauvre cœur de se calmer, je ne suis pas loin de l'explosion cardiaque.

- Caym à trente-neuf ans, il a été arrêté il y a douze ans pour viol, acte de barbarie et meurtre sur une huitaine de femmes de couleur. Il a donc été condamné a mort dans cet état et celui du MidWest, celui de son arrestation. Il est retenu prisonnier ici, car là-bas il continuait ses ... activités au sein de la prison.
- A combien de meurtre en est il ?
Je demande en essayant de cacher mes mains tremblante sous son bureau, mon cœur accélère la cadence a un point que cela en devient douloureux.
- Vingt et un.

Je plaque une main sur mon cœur pour lui ordonner de continuer de battre le plus normalement possible, j'ai tout d'un coup très chaud malgré le frisson glacial qui traverse ma colonne vertébrale.

- Quand vous dites acte de barbarie, vous voulez dire quoi exactement ? Il ne parait pas prendre garde de ma voix tremblante. Je l'en remercie intérieurement.
- Le Ku Klux Klan se livre à différentes formes de ... tortures et autres horreurs. Toujours en face de lui, j'essaie de lui renvoyer une image sur et forte, je ne suis pas sur d'y parvenir mais il reprend son souffle et continue son discours d'une façon détachée. Ils ont pour habitudes d'éventrer des femmes enceintes, de viol collectif en dès lieux publics et avec toutes sorte d'objets, d'écorcher a vif leurs victimes, de leur arracher des dents, de leurs briser les os, de les noyer avec un linge mouiller sur le visage, de ... Vous allez bien ? Il me demande d'un coup en se levant prêt à faire le tour de son bureau.
- Continuez, je vous pris. Je lui demande en essuyant mon front, une fine pellicule de sueur le recouvre, je souffle doucement par la bouche et reprend une inspiration par le nez.

Il baisse les yeux une courte seconde et ferme les ferment avant de me regarder de nouveau. Dans son regard j'y vois de la désolation et de l'inquiétude, face à mon silence il reprend son récit.

- Ils faisaient aussi de la torture psychologique, comme la roulette russe, harcèlement en tout lieu et de toutes sortes, ils les poussaient au suicide, les violentaient pour le plaisir.
- A t'il fait certaines de ses choses ?
Je lui demande d'une petite voix, notre entrevue ne fait que de commencer mais je suis déjà en piteux état.
- Oui.
Je prends de plein fouet cette réponse, un coup de poing dans l'estomac ne m'aurait pas fait plus mal.
- Autre que ce pourquoi il est condamné ?
- Oui.
Il souffle la mort dans l'âme. Êtes-vous sûr de vouloir tout savoir ?
Je ne préfère pas lui répondre oralement, je crains trop de le supplier de se taire telle une enfant capricieuse et peureuse alors je fais un signe positif sec de la tête et attend qu'il continue. Je me concentre sur mon souffle, cela é devient une obsession.

- Il a été suspecté d'avoir ... pratiqué certaine chose.
- S'il vous plait
. Je le supplie voyant qu'il tourne autour du pot, et je commence à perdre patiente.
- Il a participé à des rituels purificatoire, il a. Je vois bien que les mots lui coutent, qu'il se fait violence pour tout m'avouer, je devrais peut être le prendre en pitié et cesser cet interrogatoire mais je ne le veux pas, alors j'attends une nouvelle fois que le son de sa voix se fasse entendre. Il a coupé les parties génitales d'un couple encore vivant, arraché des dents, violé des gens privé des enfants de leurs parents, éventrer des femmes enceinte et noyer de multiple façon deux personnes. Il l'a fait au nom de sa croyance, Jeanne. Je suis désolé.

Je ne sais pas comment prendre la dernière partie de sa confession, après tout les gens de ma communauté font aussi des choses au nom de leur croyance. Peut être pas des choses aussi barbares et violente mais de mauvaises choses quand même.

- Combien de temps a t'il fait partit de ce mouvement? Je lui demande de façon froide, cela me surprend moi-même, je crois que je cherche à me protéger. Je m'efforce de montrer le contraire de ce que je ressens, j'ai la gorge sèche, le cœur au bord de l'explosion et mon sang quitte peu à peu mon corps.
- Je ne peux pas vraiment vous répondre, je ne sais pas s'il est né dans ce milieu ou s'il l'a intégrer pour une quelconque raison, mais il a œuvré en leur nom pendant plus de quinze ans connues. Jeanne. Ses mains se rapprochent des miennes, je n'y vois pas une mauvaise intention juste du soutiens. Je ne connais pas son passé, je ne sais pas comment a été son enfance ni qui sont ses parents, mais ce que je sais c'est que malgré son mauvais comportement et ses très nombreux séjour en isolation, Caym n'a jamais tenté quoi que ce soit sur un garde. Jamais sur eux, toujours sur un autre détenu, pour une raison qui lui est propre et que je ne sais pas toujours.
- Merci. Je lui souffle, je manque de force et de volonté pour prononcer autre chose, de toute façon je ne sais que dire d'autre, ou alors il ne vaut mieux pas que je l'énonce de vive voix. C'est quoi un chevalier blanc ? Je demande toute de même.
- C'est un genre de super héros qui défend leurs droit et qui fait le sale travail.
Il me répond simplement. Lors de son arrestation il n'a pas protesté, il a été calme.
Je ne sais pas pourquoi il rajoute cela, peut être pour plaider sa cause.
- Il a encore un quelconque lien avec eux ?
- Pas depuis plusieurs années. Neuf.
Il précise en regardant mon regard insistant.
- Merci. Je finis par lui dire d'une voix étonnamment calme.

En mon fort intérieur je ne sais plus quoi penser, Caym ne s'est jamais montrer aussi violent que le tableau qu'il vient de me faire de lui, certes ce n'étais pas un tendre avec moi mais pas a ce point la. Peut être es ce du au fait que je suis blanche ? Je fronce les sourcils fasse a mes propres pensés. C'est surement stupide, non c'est carrément incroyable mais je n'ai pas envie de croire que si ma peau était plus foncée il aurait tenté de m'agresser. Je suis folle à lier.

- J'imagine que vous avez peur de lui. Enfin, un peu plus que d'habitude. Il semble contrarié, en proie a une guerre intérieure.
- Julien, aussi stupide soit il, ce n'est pas de la peur que je ressens. Je me demande si son comportement aurait été différent si ma peau était noire, je me demande si on aurait eu le même feeling, si nous aurions partagé les mêmes moments.
- Tout aurait été différent si vous aviez été noir. Il vous aurait maudis sans vous connaitre, en fait non je ne vous aurais même pas présenté a lui si tel était le cas.
- Pourquoi eux alors ?
- J'ai eu la folie de croire qu'ils vous feraient fuir.
- Ce fut une folie en effet.
Je me Contente de lui répondre sans avoir honte de la pointe de fierté que je ressens.

Pour la première fois depuis longtemps je baisse les bras, je ne pose plus de question et laisse agir nos derniers mots. Il a raison sur certain points, c'est un fait et cela ne me plait pas du tout.

- Il est temps que j'aille voir Mathias, je vous remercie de votre franchise Monsieur Snowwic'le. Je termine de façon très protocolaire, c'est une façon pour moi de prendre de la distance et de me protéger.
- Il vous attend Mademoiselle Castille.

*

Arrivé devant sa porte je me sens un peu coupable, hier je l'ai quitté d'une bien mauvaise façon, je m'en veux terriblement. Il n'est pas mon de fouloir.


- Gamine, un peu plus et je croyais que tu m'avais lâché ! Il scande avec son éternel sourire.
- Mathias je suis vraiment ...
- Tais toi un peu gamine ! Dis-moi plutôt pourquoi tu as mis tant de temps.

Je finis donc par lui avouer ma petite visite au directeur.

- Par contre je ne lui dirais pas que tu sais ce qu'il a fait, ce n'est pas a moi de le faire et tu sais, tu n'es pas obligés de lui dire.
- Si je le fais ça va tout gâcher
. Je murmure réalisant ce qu'il pourrait arriver si je le lui avoue. Pourtant avec toi ça n'a rien changé. Je lui dis en me rappelant son dossier et notre première entrevue.
- Tu ne sais que la théorie gamine.
- Pas faux et cela me convient
. Il ricane en levant les yeux ciel en écoutant ma réponse, je lui rends un piteux sourire.
- Même pas foutu d'analyser ça ! Tu es sur que tu es psy ? Il me demande avec un sourire dans la voix.
- Quelle professionnelle je fais ! Je scande faussement outrée.
- Gamine, il n'y a que toi pour te qualifié tel quelle !
- Mathias !
Je rétorque plus amusé que scandalisé. Il part dans un rire gras qui rebondit sur chaque murs, je finis par le rejoindre de bon cœur.


*


Sur le chemin pour aller voir le second détenu, je ne cesse de me demander comment je dois me comporter. C'est une question idiote, je sais que si je change quoi que ce soit il va se douter de quelque chose et ce sera le début de la fin.

Mais il va être exécuté et malgré le fait que cela me tord le cœur je ne peux m'empêcher de penser qu'il le mérite. Je ne suis pas quelqu'un de bien.

Une fois devant lui, une bonne partie de mes doutes s'envolent, ici et maintenant j'ai à faire a Caym, juste Caym ni plus ni moins.

- J'imagine que tu as attendus. Je lui dis de façon désinvolte.
- Bonjour petit cygne et oui je t'ai attendu. Mais ce n'est pas comme-ci j'étais attendue quelque pars.
Il termine de façon très snob.
- Et bien si cela avait été le cas, je me serais empressé de vous présenter toutes mes excuses. Je réplique de la même façon. Mais puisque ce n'est pas le cas je vais me contenter de m'assoir et peut être de retirer mes chaussures.
- Pitié mon nez !
Il fait une mine dégouté en tournant la tête sur le côté.
- Goujat ! On ne dit pas ce genre de chose à une dame! J'essaie de prendre un air sévère, je dis bien j'essaie.
- Une dame dis-tu ? Je dois te présenter toutes mes excuses je n'avais pas remarqué ce petit détail. Il fait mine de me regarder de haut en bas pour appuyer ses propos.

Je prends ma ballerine et la lui jette en plein visage, qui le réceptionne parfaitement bien.

- Gardien!! Gardien au secoure !!! Je suis attaqué par une boule puante !! Gardien!!!! Il rit entre chaque bout de phrase, je me lève et pars récupérer l'objet du délit, et non je ne sens pas des pieds. Pour m'en assurer j'y plonge rapidement mon nez.

Une poignée de seconde après la porte s'ouvre avec fracas et le visage inquiet d'Arthur et un de ses collègues s'y découpent.

- Oui ? Demande avec insolence et calme Caym.
- On a entendu crier. Se justifie l'inconnu pendant que le joli gardien me scrute sans vergogne. Je sens le rouge me monter mais je ne bouge pas d'un iota.
- Moi je ne vois qu'une dame qui rit aux éclats avec moi. Je me tourne vivement vers Caym, lui, bien sur, affiche un air de petit saint.

Après je ne sais qu'elle babillage ils s'en retournent.

- Oui ? Ose me demander le détenu en face de moi.

J'ai donc du passe un bon quart d'heure a lui expliquer ma façon de penser, il n'a cesser de se moquer de moi. Plus il riait, plus je m'acharnais. En fait cela m'amusais beaucoup aussi. Avant de nous quitter il m'a souhaité un bon essayage. J'ai eu une terrible envie de meurtre.

En sortant du pénitencier ce qu'il me saute aux yeux est le fait que je parle le plus naturellement du monde à deux monstres et que j'attends chaque soirs le lendemain avec impatience. Soit je suis folle à lier, soit .... Non en fait je ne vois aucune autre possibilité je suis folle à lier. Le pire dans tout ça, c'est que je me sens mille fois plus en sécurité avec eux que chez moi.


*


Je me rends directement au magasin, non pas que j'en ai vraiment envie mais plus vite je commence plus vite j'aurais finis, du moins je l'espère.

Quoi que je ne suis pas dans les petits papiers du grand patron, alors mon après-midi va s'éterniser.

*

J'en suis à ma cinquième robe, toute plus laide les unes que les autres. Je n'en peu plus d'entendre les exclamations de joie de Madame Wallas. Cette fois ci qu'elle soit moche ou non je fais mine d'être réjouie. De toute façon je ne me marierais pas alors je m'en contre fiche.

Le miroir me renvoi le reflet d'une jeune fille brune dans une robe blanche prés du corps, avec elle sur le dos j'ai l'impression d'être une nymphe. Une petite fée des bois avec des fleurs dans les cheveux et en accord parfait avec elle même. Je souffle en secouant la tête résigné. Elle est jolie et elle me rend belle. Dans d'autres circonstances j'aurais été ravie de me pavaner dans une telle tenue et que l'on ne parle que de moi tout en me dévorant des yeux, oui, pas ici, pas avec eux.

Je sors de la cabine encore plus écœuré qu'il y a quelques minutes.

- Ciel ! Que vous êtes belle! S'exclame ma futur ex belle mère les yeux pétillant de joie.
- Celle-ci est votre robe! Décrète Brigide en portant une main sur son cœur aussi sombre que ses yeux.

Ce qu'il me contrarie le plus c'est que moi aussi je la trouve magnifique.

- Pouvez-vous me prendre en photo ? Je demande aux deux femmes en face de moi.
- Qu'elle bonne idée comme cela nous pourrons garder un souvenir de cette sublime journée entre fille! S'égosille La première pendant que l'autre me jette un regard suspicieux.

En effet, je vais l'envoyer à mon frère et la montrer demain a Mathias et Caym. Elle peut être suspicieuse cette garce.

Dieu, du ciel ! J'ai juré en parlant de la femme qui ma mise au monde ! Ma foie je ne suis plus à ça près.


*


Vu que ses deux chères dames se sont fait déposer un peu plus tôt je dois les ramener dans ma voiture. La bête sauvage tapis au fond de moi grogne et me supplie de griller un ou deux feu rouge et de faire une queue de poisson à la limace devant nous. Je dois bien avouer que cela me tente grandement.

- Je ne tiens plus chère enfant! Me dit Madame wallas en se tournant vers moi, son excitation me fait craindre le pire. Je sais que je devrais me taire, mais je trouve cela tellement romantique ! Andy vous emmène diner ce soir! Elle sautille sur son siège et tape dans ses mains.

Je me suis retenue, de justesse, de lui demander qui était Andy, mais oui c'est son fils. Ce très chère Monsieur Rachitique.

Gé-ni-al. Vraiment .... Je regarde rapidement le ciel et jure intérieurement que si le croise le seigneur je lui arracherais sa barbe poil après poil, avec une pince à épilé' rouillé, je le grifferais avec en souhaitant que ses vaccins ne soient pas à jours.

N'étant pas sur de que je pourrais dire je me contente de lui répondre d'un sourire, que j'espère aimable et enjoué. Au fond de moi un plan dés plus sanglant prend forme dans l'esprit de la bête sauvage. Il me faut un couteau, de la chaux, une pelle. Il faut que j'envoie un message à Christophe.

- Regardez Brigide! Votre fille est toute émue. Elle se tourne rapidement vers la principale concernée, dans le rétroviseur intérieur je la vois sourire de la manière la plus perfide qu'il soit.



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