Chapitre 7 ~ London (part 2)
CHAPITRE XII
« Je crois que j’ai perdu fois en l’humanité aujourd’hui, je ne crois plus en rien, plus en personne. Chaque jour, j’ai peur qu’en me levant j’assiste à mon dernier jour. Si ta mort ma bien fait comprendre une chose à part le fait que tu étais l’homme de ma vie, c’est que chaque jour peut être le dernier, et si je mourrais aujourd’hui sans avoir fait ce qu’il faut ? Et si je mourrais, sans comprendre ce que j’ai à comprendre ?
Aujourd’hui, une nouvelle amie m’a dit « que ce passe-t-il entre Léo et toi », j’étais incapable de répondre le réel fond de mes pensées, je ne savais simplement pas quoi répondre, pas quoi lui dire car je n’en savais simplement rien, et puis j’ai réfléchis, et j’ai compris que je ne pouvais pas l’aimer. Mais si un jour la réponse serait positive, si un jour j’arrivais à aimer un autre homme que toi, que ferais-je ? Je n’en ai aucune idée, arriverais-je à vivre avec cette potentiel personne comme je le faisais avec toi ? Je n’en ai toujours aucune idée.
Oui mon avenir est incertain, et je n’ai aucune idée de comment je pourrais le gérez. Mais je crois que de tout la haut, au fin fond des étoiles, tu es là et tu brilles, pour veillez sur moi. De toute manière, j’ai besoin de le croire pour avancer. Quand je suis perdu dans ses temps sombre comme celui-là, j’ai besoin d’espoir. Non je ne crois pas en la magie, je crois simplement en la vie, rectification, maintenant j’y crois»
Tandis que je me débâtais contre les mots, je réussie à entendre des toquements à la porte de ma chambre d’hôtel, je me dirigeai vers celle-ci et une fois ouverte, j’y découvris mon beau blond derrière cette porte, je l’interrogeai alors :
— Que fait tu là ? Il est minuit passée !
— Apparemment toi non plus tu n’arrives pas à dormir. Jacassait-il.
— Non tu crois ? C’est vrai que j’ai l’air en plein sommeil là ! Répondis-je sarcastiquement, et oui je savais qu’il avait horreur qu’on se moque de lui de cette manière, alors j’en profitais !
— Oh toi ça va !
Je lui souris fièrement, en rigolant presque de son imbécilité. Puis, observant son air déconcerté, je finis par lui dire d’entré ce qu’il accepta avec joie. Nous décidions de regarder un film pour passer la soirée. Nous nous installions alors, sur ce lit très classique des chambres d’hôtel, et commencions à regarder un film. Alors que nous regardions une de ses scènes, il intervenu, très distinctement pour que je le remarque comme il se doit.
— Ah non ! Mais c’est quoi ce film ! La scène n’est qu’a peine plausible !
Je le regardais, l’air de dire si tu n’es pas content la porte t’est grande ouverte, il me regardait aussi nos yeux étais plonger l’un dans l’autre, jusqu’à ce que je me racle la gorge, et que je détourne le regard, l’air de rien. Pendant quelques secondes, son visage fut plongé dans l’incompréhension totale, puis il me mima et fit « l’air de rien ». Nous reprenions alors le film que l’on regardait.
***
Mes yeux commençaient délicatement à se réhabituer à la lumière du jour, je les ouvrais avec difficulté en entendant les frappements de porte qui devenaient de plus en plus imposant. La nuit avait été courte, hier nous avions du nous endormir vers quatre heures je dirais, et je voyais que mon réveil en affichais neuf. Effectivement ça ne faisais pas beaucoup d’heure de sommeil. Je trainais les pieds avec difficulté, jusqu’à la porte de la chambre et l’ouvris encore à peine réveiller, les yeux à peine ouverts et les cheveux en bataille.
Derrière cette porte se trouvait Clément et Marie qui commencèrent à s’énerver :
— Tu n’es pas prête ? On devrait déjà être en train de partir, on a une longue journée ! Criait Marie avec ses yeux vert colérique
J’encaissais sans répondre, ne souhaitant pas les énervés plus qu’ils ne l’étaient. C’est alors que Clément lâchais :
— Et Léo, tu ne sais pas où il est ? Il ne répond pas à sa chambre !
— Là. Criait-il du fond du lit, reconnaissable, par son mot étouffer par un coussin. Clément et Marie, me regardèrent alors l’air improbateur. Se questionnais probablement quant à sa présence dans ma chambre. Je leurs souris l’air de rien, puis déblatéra, juste avant de fermer la porte de la chambre.
— On sera près dans trente minutes ne vous en fait pas.
Puis je leur claquai la porte me dirigeant droit vers Léo qui étais enfouis sous les couvertures, je lui retirai, et lui criais :
— Deeebout !
Après avoir entendis un petit gémissement de non vouloir il finit par se lever, du moins s’asseoir sur le lit : ses cheveux blond était tout ébouriffer ce qui lui donnais un air « bad boy » assez mignon je dois l’avouer. Néanmoins il avait son sourire dès le matin, il a bien de la chance moi le matin faut pas me parlez ! Il me regardait quelques secondes, me fit un bisou sur la joue, manière à lui de me dire bonjour, puis allais droit dans la salle de bain sans dire un mot. Sur le coup je ne comprenais pas, et c’est lorsqu’il ferma à clef que je compris qu’il avait pris l’avantage sur la salle de bain ! Je m’écriais alors :
— Non, non ! Ce n’est pas du jeu !
— Et si ma cher !
Après avoir fait attendre plus d’une heure Clément et Marie nous finissions par être près. Nous pouvions donc nous rendre au « Royal Air Force Museum » et oui Clément était fan de l’avionnerie, et nous avais presque forcés à y aller. Arrivés là-bas, nous nous séparèrent rapidement en deux groupes, moi avec Marie et Clément avec Léo. Très vites nous remarquions, qu’il n’y avait vraiment rien à faire à part quelques quizz, et voir beaucoup d’avions, plus ou moins ancien, dès lors Marie engagea rapidement la conversation :
— Rien, il y a rien à faire ! Pourquoi à ton laisser Clément nous emmener ici ?
— Bonne question ! Répondis-je en étouffant un léger rire.
— Oh mais tiens, j’avais complétement oublier, mais que faisais Léo avec toi dans ta chambre ?
— On a juste regarde un film, et puis on s’est endormie c’est tout.
Un peu agacé de toutes ses réflexions sur Léo et moi je finis par lâcher difficilement, d’une voix faiblarde :
— Et même s’y il y avait plus comme tu le prétends, je ne pourrais pas je ne suis pas prête.
— Pas prête ? Répétât-elle machinalement, avec un regard interrogateur.
Je soupirai ardument, ne sachant pas quoi lui répondre pendant quelques minutes. Je me sentais mal à l’idée de lui raconter cette période de ma vie, mais je finis par réussir à articuler ses quelques mots tout en essayant de paraitre alaise dans mes propos:
— Il y a quelques mois j’ai perdu mon fiancer, Josh et …
Elle s’approchait de moi, et me pris dans ses bras, tout en me murmurant « je suis désolé », je me sentis mieux pendant quelques secondes. Puis elle rompu cette étreinte, je tentais alors de me reprendre, en affichant un sourire totalement faux et dis en tentant de détendre l’atmosphère :
— Et toi, et Clément ?
— Et bien … nous sommes ensemble depuis hier …
Ma surprise fus grande je dois avouer que je m’attendais pas à ça du moins, pas tout de suite ! Je m’excitais alors, toute enjouée :
— J’en étais sûr !
— Oui, c’est bon tu avais raison ! Me répondit-elle contrainte. Nous arrivions alors vers un stand de nourriture ou en voyant toute cette nourriture, je finis par dire :
— Oh tu n’as pas faim ?
— Oh que si, me répondit-elle en dévisageant le stand de nourriture.
Nous firent le tour et finissions par acheter un sandwich à partager et une bouteille d’eau. Arriver vers le vendeur, pour payer nous déposions alors les articles et là le jeune vendeur nous dit
— Do you want other thing ? (voulez-vous autre chose)
Phrase, que nous ne comprenions pas mais alors pas du tout tant elle était dite avec rapidité autant Marie que moi, oui il se trouvait que Marie avait un niveau tout autant nul que moi. Elle finit donc pas répondre, juste pour répondre quelques chose, en affichant un grand sourire :
— Yes.
Le vendeur nous dévisagea je crois que je n’oublierais jamais cette tête tant elle était exceptionnel. Il était genre « quoi ?! ». Marie me regarda en rigolant et me dit, aux éclats :
— Ce n’est pas ça qu’il fallait répondre !
Il finit par articuler une phrase que nous avions réussi à comprendre, nous payons, prenions nos produit et nous installions à une des tables juste à côté pour manger.
Alors que nous étions assises en train de finir de manger tout en discutant, les deux garçons arrivèrent à notre hauteur, Clément embrassa alors Marie tendrement. « Qu'ils sont mignons » pensais-je. Léo probablement pour que je me sente moi seul, s’approcha de moi et m'embrassa sur la joue puis me dit le sourire aux lèvres :
— Ça va ?
— Oui super, il n'y a juste rien à voir ici ! A part ça … super.
Clément intervenu, sans ménagement et s'écriait haut et fort pour défendre sa passion, avec ardeur :
— Tu plaisante j'espère ?
Je n’eus pas le temps de répondre, que Léo ajoutais:
— Nous avons vu un simulateur de vol là-bas, vous voulez essayer ?
— C'est probablement le seule truc un tant soit peu cool à faire ici, et tu nous demande si on veut le faire ?
Marie, comme d’un accord avec moi rajoutait :
— Ou là tu vu ?!
Léo étouffait un léger rire, puis nous partions en direction de ce simulateur: une espèce de boîte de conserve géante voilà à quoi cela ressemblait. Après avoir payé nos places nous entrions dedans, et nous asseyons. La seule chose que l'on distinguait, une fois cette « boite » fermer était un écran qui diffusait une horrible image de piste de vol que peu réaliste. Cela commence bien, pensais-je.
« Le vol » si je puis dire était assez sympathique. Les commentaires des garçons étaient à mourir de rire derrière. C’était finalement assez drôle tout ça. On se serait presque crue en plein vol. Après quelques minutes, nous ne finissions pas sortir de là, dès lors Léo dit, avec une pointe d’humour :
— On est d’accord les filles, ce qui c’est passer dans ce simulateur reste dans le simulateur !
Nous acquiescions de la tête puis rigolions quelques minutes de cette « expérience ». Nous décidions alors de partir, un peu lasser de cet endroit, à part Clément évidement. Nous avions presque du le forcer à sortir d’ici d’ailleurs. Nous dirigeons alors or du bâtiment, pour commencer à partir. Quand, sans prévenir, Léo s'approchait de moi, d'un peu trop près et m'embrassait. Je mis quelques secondes à réaliser ce qui se passait puis rompu ce baiser en m'éloignant sous le choc, tout en disant encore sous le coup de la surprise, le souffle cour :
— Qu'a tu fais ?
Je dois dire que j’aurais pu imaginer beaucoup de chose venant de lui, mais je n’aurais pas imaginée qu’il se passe ça. Pas après tout ce qu’il savait de moi.
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Bime ! Fin du 7ème chapitre :) Avez-vous aimez ce chapitre ?
Je tiens à préciser, que ce qui c'est passer avec le vendeur, mais arriver réélement, pour ma défence ce vendeur parlais vraiment très très vite ! Je ne suis même pas sur que c'est ce qu'il as vraimment dis, je l'ai simplement déduis :)
INFO: Maintenant que je vais être en vacances, demain pour ne rien vous cacher (j'ai le bac de français mais j'essayerais de faire de mon mieux) je compte vous publier, un chapitre tout les MERCREDI et DIMANCHE, en plus de "conseil wattpad" tout les samedi ! Sachez qu'il est possible que je ne "tienne pas ma parole" chaque semaine, mais le mercredi sera toujours pris en priorité pour publier les chapitres.
Bonne vacances à tous (sous cette chaleur écrasante !) ! (ou bonne fin d'année pour les collégiens)
Vous êtes les meilleurs, kiss Anaïs
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