Chapitre 6 ~ London (part 1)
Info: la vidéo youtube en lien est un merveilleux chanteur, peu connu que j'ai eu l'ocassion de voir à Cambridge, je trouvais ca plutôt bien adapter dans cette partie :) N'hésitez pas à aller écouter :)
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CHAPITRE XI
Dans quoi m'étais-je embarquer ? J'allais droit en direction de l'Angleterre avec cet homme que je ne connaissais que peu. C'était peut-être un sérial-killer ? Oh mon dieu ! Clara haute toi cette horrible pensée de la tête ! Léo étais une personne vraiment bien j'en étais sûr, et ce voyage ne pourrais me faire que du bien après tout ce qui c'étais passer dans ma vie ses derniers temps.
Nous venions d'embarquer dans le ferry, très vite je fus dépayser. Je remarquais des tableaux, poster écrit en anglais, des convertisseurs d'argents et beaucoup mais alors beaucoup de conversation en anglais. « Tu vas faire un malheur, avec ton niveau collège d'anglais Clara ». Pensais-je, en m'adressant à moi-même.
Les voix, qui fusait de l'interphone pour nous avertir n'étais que peut compréhensible, nous décidions alors d'aller dehors enfin dehors façon de parler. Après avoir remué ciel et terre pour trouver le pont nous y arrivions. J'y vu des dizaines d'étudiants, fumants alors qu'un panneau l'interdisait. L'odeur me retournait l'estomac. Les gens s'entassait ce qui avait la capacité d'enlevé tout le charme que pouvait apporter cette endroit. Et je dois avouer que j'y trouvais les gens « étrange », oui étrange étais bien le mot.
Avec Léo et moi, il y avait deux de ses amis : Marie, et Clément. Je ne les connaissais que depuis peu mais leurs caractères enjoués me plaisaient beaucoup. Ils étaient du genre à rire pour un oui ou pour un non ce qui étais fort agréable : voir des gens sourire, heureux de vivre. Apparemment il n'était pas un couple mais j'étais sûr d'une chose il allait bientôt le devenir : il était fait pour être ensemble, le couple parfait, idéaliste. Ce fut Clément, le grand blond au physique de rêve qui démarra une conversation :
— Ce n'est pas génial tout ça ? Londres les amis !
— Qu'elle est la première chose que nous allons faire là-bas. Demandait Léo d'un air interrogateur et d'une voix douce.
— Du shopping ! Répondit Marie en haussant clairement le son de sa voix pour se faire comprendre. Elle voulait faire du shopping, et elle allait se faire entendre.
— Et toi ? Que veux-tu faire ? M'interrogeait Léo, en me donnant un grand sourire plein de compassion.
— Je ne sais pas, il faut voir ... Murmurais-je, légèrement angoisser, de passer ses prochain jours avec deux personnes que je ne connaisais pas.
— Hey ! On ne va pas te manger tu sais, je ne suis pas cannibale ne t'en fait pas. Intervenu Marie, tout sourire.
Un sourire se dessinait sur mes lèvres. Décidément j'avais vraiment eu de bonne impression sur ses gens, c'était vraiment des gens bien. Je lui retournais son sourire, plein de compassion et lui répondit instinctivement.
— Shopping bien sûr ! Vous savez quoi les garçons ? On ne contredit jamais des filles c'est inscrit dans le manuel d'or ! Rajoutais-je, détendu.
Les deux garçons me regardaient d'un air interrogateur se demandant probablement de quoi je parlais, qu'elle manuel d'or ? Il n'avait pas compris que c'était seulement un moyen pour nous de leur faire comprendre qu'ils n'auraient pas le dernier mot. Je rajoutais alors :
— On fait shopping, et c'est tout pas moyen de négocier.
— Je sens que l'on va bien se faire avoir durant ce voyage. Dit Léo a Clément à voix basse.
Je souris à Léo, une manière un peu particulière afin de le remercier de m'avoir amené ici. De m'avoir permis de vivre ça. Cependant je me sentais coupable, coupable de ne pas être avec Josh, coupable de me sentir un temps sois eu heureuse, coupable de vivre. Dans ma tête, je ne pouvais pas me sentir heureuse, sachant qu'il était mort maintenant. En quelque sorte, je m'interdisais de vivre.
Arriver à Londres, nous avions une première visite de prévu était le « Royal Albert Hall » une scène majestueuse ou les plus grands noms de la musique étaient venu jouer, j'avais toujours été admirative de toute ce monde plein de paillettes et d’étoiles. Le monde des artistes était un monde qui m’intriguait au plus haut point. J'avais toujours rêvé d'y entrer malheureusement mes rêves dépassait la réalité. Malgré les grandes paroles de toute ces célébrités, qui t'encourageais à croire en un monde impossible sous prétexte qu'elle, elle y était arrivé. J’avais toujours sus que ce monde n’était pas pour moi.
Nous entrions dans cet endroit, puis arrivions à la hauteur de tout un groupe de personne, et d'un guide qui commença évidemment à nous parler en fait anglais. J'avais un niveau dans cette langue comment dire ... faible ? La dernière fois que j'étais allé en Angleterre je discutais avec une charmante dame, grand-mère, et j'avais comme même réussi en voulant lui demander l'âge de ses petits-enfants à avoir un topo complet sur toute sa famille ! Bref, une catastrophe !
Ce guide commença alors à parler, je dois avouer que je m’attendais à une voix rapide qui mâche ses mots mais étrangement je n’éprouvais que peu de difficultés à le suivre lorsqu’il parlait ! Je pensais alors, « oh, toi je vais t’aimer j’crois ! ». Nous commencions alors la visite en traversant un couloir emplit de photo diverses et variées de chanteur qui était venu sur cette scène, avec des noms, plus prestigieux les uns que les autres. C’est à ce moment-là que marie me chuchota, probablement pour essayer de faire connaissance :
— Hey ça va ?
— Super ! Et toi ?
— Très bien ! Nous sommes à Londres ma cher, ça ne peut que aller ! S’exclama-t-elle en affichant un beau sourire.
— Oh, oui je te l’accorde !
— Dit je peux te poser une question qui me taraude l’esprit ? Me demandât-elle avec un regard interrogateur que je devinais très facilement. Ce regard me fit alors légèrement peur, qu’allait-elle bien pouvoir me demander ? J’allais très vite être fixez puisque je lui déclarai :
— Oui bien sûr.
— Qui a t’il entre toi et Léo ?
— Rien je t'assure !
— Tu plaisante j'espère ?
Mon visage s’assombrie, à l’évocation de cette pensée. Même si je voulais être avec Léo, je ne pourrais simplement pas. Mon cœur tout entier appartenait à Josh, et je n’étais pas prête, quand bien même je le serais un jour, à offrir mon cœur à quelqu’un d’autre. Léo était pour moi un très bon ami à qui je devais tout, ne voulant pas lui parler de Josh, et sur quoi tout cela renvoyait, je décidais alors de lui répondre, avec une voix douce, la pire phrase cliché qui puisse exister :
— C’est seulement un ami, rien d’autre. Je complétai ma phrase en acclamant. Et toi et Clément ? Ce n’est que de l’amitié aussi je suppose ?
— Oh mais ce n’est pas pareil, je le connais depuis toujours !
— Oh bienvenue dans la « zone friend » ma cher ! M’exclamais-je d’une voix mielleuse, toute en sarcasme.
Heureusement, j’avais réussie à détourner ce sujet de conversation sur elle, et qui sais j’allais peut-être réussir à la faire réagir, et lui faire comprendre ce que j’avais compris en les voyant que deux minutes ensemble. Elle me regardait, gêner, ne savant pas trop ou se mettre ni trop quoi me répondre, j’ajoutais alors pour la troisième fois :
— Ton silence veut tout dire.
— Ah non ! Ne te fais pas de fausse idées, je réfléchissais juste à …
Je ne lui laissais pas le temps de finir et compléta simplement sa phrase.
— … à l’hypothèse d’être avec lui ?
Elle me regardait, l’air torturer. J’arrêtais de la taquiner avec ça, et lui dit, tout simplement :
— Bon, on devrait peut-être suivre les explications du guide.
— Bonne idée. Assurait-elle, mais je ne pouvais m’empêcher de voir ce regard fuyant qu’elle avait adopté dans ses yeux depuis quelques minutes, apparemment j’avais touché une corde sensible, qui c’est j’avais peut-être formé un couple !
Je me concentrais alors sur le guide qui enchainais sa représentation, jusqu’à nous emmener sur une sorte de petit balcon, qui donnais vue sur une immense scène. La première chose qui attira mon attention, étais cette couleur rouge qui colorais la salle en grande partie. Puis, j’attirais mon attention sur cette magnifique scène sur laquelle quelques personnes s’affolaient probablement en prévision d’une future représentation. J’admirais la vue, et c’est à ce moment que Léo s’approchais de moi et s’exclama :
— Ce n’est pas magnifique tout ça ?
— J’adore !
— Et puis, je vois que tu à l’air de bien t’entendre bien avec Marie ! Je me trompe ? Questionnait-il plein d’assurance.
— Non, tu ne te trompe pas, c’est une fille vraiment sympa. Expliquais-je en affichant un sourire.
— Et de quoi parliez-vous ? De shopping je suppose ?
Une gêne se lit sur mon regard, je souris péniblement, tentant de la cacher et de m’afficher heureuse, tout en ajoutant :
— De shopping, oui.
Cependant ma voix me trahissait, ma bouche le disait, mais mon corps me trompait. Je ne savais décidément pas mentir. M’observant de la tête au pied, et voyant bien que quelque chose n’allais pas, il finit par lâcher un peu anxieux, une question rhétorique :
— Ca ne va pas ?
— Si, si. Répondis-je sans aucune conviction de mes propres propos.
— Clara, je sais que ça ne va pas, parle-moi ! Qu’est ce qui ne va pas ?
La vérité, c’est que les propos qu’a tenus Marie sur Léo et moi, m’ont également fait réfléchir tout comme elle. Non je ne pouvais pas l’aimer ce n’étais pas possible, Léo n’était qu’un ami j’en étais sûr ! C’est à ce même moment, que le guide commençais à sortir de ce petit balcon, je compris qu’il venait de me sauver la mise, en m’offrant un moyen de changer de sujet de conversation, je clamai alors à Léo, en me défilant.
— Il faut qu’on y aille ! Tu viens ?
— Clara ?! Me blâmait-il, d’une voix légèrement agacée et incomprise.
— Oui ?
Avec cette réponse, je lui fis comprendre qu’il ne devait pas en rajouter, qu’il devait simplement se taire. Dans ses yeux se lisais, du mépris, il eut également un soupire de mécontentement au vue de ma réaction, mais ne rajoutais rien, ne voulant probablement pas me rendre mal à l’aise. Je préférais esquiver, ce que décidément, j’avais tendance à beaucoup trop faire en ce moment. Mais c’est le seule moyen que je trouvais, pour ne pas me faire de mal. Nous continuons donc la visite, qui laissait, paraitre de légère tension, que je n’aimais guère. Mais, j’avais l’impression de ne pas avoir d’autre choix que crée cette tension on de réagir de cette manière ses derniers temps, pourtant oui je sais et j’en suis bien consciente, on a toujours le choix.
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Vous, le savez peut-être je suis partie en Angleterre il y a quelques temps, et je vous ai amené un peu de mon voyage dans ce chapitre, beaucoup de chose écrite, (dans le cadre visite, et par rapport à l'anglais) je les ai vécu, non pour me venter d'être allé à Londres, mais je trouvais que sa rajoutais du réalisme et du vécu dans mes écrit non ?
Avez-vous aimez ce chapitre ?
J’essaie de vous écrire le prochain chapitre pour mercredi, mais je ne vous promets rien, bisous Anaïs
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