CHAPTER XV

Il fallait que je m'occupe l'esprit, il fallait que je trouve quelque chose pour m'occuper. J'optais donc pour le rangement, cela peut paraitre ridicule, mais ça me calmais. Léo n'était pas rentré depuis hier dans ses moment-là je le savais il fallait que je le laisse seul, jusqu'à ce qu'il décide de revenir. Et puis je ne voulais éviter de penser à lui, pour ne pas me torturer l'esprit du moins je voulais essayer de ne pas penser à lui. J'allais donc en direction de mon ordinateur, et mis ma playlist de musiques préférer du moment, augmentant le son du mieux que je le pouvais, sans pour autant déranger mes voisins.

Je commençais donc à dépoussiéré ses meubles qui en avaient bien besoin, et à ranger quelques placards que je n'avais pas du toucher depuis des siècles. Après avoir nettoyé le salon et la cuisine de fond en comble, j'allais en direction de notre chambre. Ou se trouvait simplement une armoire, un lit ainsi que deux tables de nuit, toute assortie. Après avoir rangé les vêtements je remarquais que le tiroir de la table de nuit de Léo était curieusement ouvert. Je m'y approchais, et pour je ne sais qu'elle raison l'ouvrait complètement. J'y découvrais un écrin noir, dans le même genre de tout ce que l'on voit au moment de la demande en mariage dans les films. Ma tête se hochait machinalement pour signifier un « non ». Ce n'était pas possible cela ne pouvait pas être vraie.

Je saisis l'écrin, l'ouvrit et y découvrit une bague, orner d'un magnifique diamant. Il n'avait pas fait ça. Sous le choc de la nouvelle, j'en tombais littéralement à la renverse. Il comptait me demander en mariage alors ? Pour en savoir plus, je farfouillais plus longuement dans son tiroir et y trouvais un papier sur le qu'elle était noté à la main :

« Clara, je sais qu'entre nous tous n'a jamais été facile. C'était loin de l'être, mais avec toi je suis l'homme le plus heureux du monde, je ne serais te décrire à qu'elle point je t'aime tant mon amour pour toi est fort en vers toi.

J'ai enfin trouvé le courage de te tendre cette écrin, et te demander en mariage, si tu savais combien de fois j'ai reculé, à l'idée de te poser cette question de peur que tu me repousse je sais que pour toi ça ne doit pas être facile, mais je t'aime trop pour ne pas te poser cette question : Clara, veut tu m'épouser ? »

J'étais complètement bouleverser par ses mots, oui bouleversé. L'intensité de ses paroles, tout était magique dans cette lettre. Il voulait être sûr que je sois prête probablement avant de me faire cette demande. Et moi je n'avais fait que le repousser. Qu'elle idiote je faisais. J'aurais dû lui dire. J'aurais dû.

Je sortis rapidement mon téléphone de ma poche et tentais de l'appeler, j'avais besoin de lui parler mais je n'eus en réponse qu'un répondeur. Je réfléchis alors quelques secondes, il devait probablement être allé chez Clément, son meilleur ami. Je ne réfléchis pas une seconde de plus et courrait en direction de ma voiture. Pour le matin de noël il ne pouvait pas me faire un plus beau cadeau. J'étais enfin prête à lui dire ses mots que je redoutais tant de lui dire, cette bague, m'avais fait comprendre que je le voulais tout lui dire ce que j'avais écrit la veille.

Je courais en direction de la porte d'entrer, pris quelques affaires et je jetais brutalement la bague ainsi que le papier sur la table du salon. Je courais en direction de ma voiture, pris le volant de ma voiture, et partis en direction de l'appartement de Clément. Alors même que je conduisais, je fis une chose stupide, je tentais de l'appeler. Une sonnerie, deux sonnerie, trois sonnerie toujours rien, je ne cessais de laisser des messages vocal comme « rappelle-moi » « il faut absolument que je te parle ». J'essayais de raccrocher pour la énième fois mon portable mais c'était trop tard, ma voiture avait déjà heurté le mur le plus proche. Inconsciente, je ne pouvais qu'entendre l'agitement qu'avais causé mon accident. Tout le monde autour de moi paniquait, à l'idée que je puisse mourir mais moi je le savais, au fond de moi j'étais déjà morte. Je ne faisais qu'assister au spectacle de ma propre mort, avec comme dernières pensées: Léo.

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Bim ! Vous ne vous y attendiez pas hein ? (très court et j'en suis désolé, mais il n'y a aucun dialogue, dans ce chapitre donc ce n'est pas facile ....)

Je vous rassure ce n'est pas la fin une SUITE à ce chapitre est prévue pour mercredi !

Bisous, à mercredi !