Chapitre 4 : le réveil.

Je suis au Paradis. Mes yeux me font un peu mal, c'est lumineux. Je voie flou…

Après que ma vue se stabilise. Je voie clair, net et bien. Je me met à pleuré et remarque que ce blanc que j'espérais être le paradis n'est qu'une chambre d'hôpital. Je suis encore vivante, c'est pas vrais. Et mon mari, mes enfants, sont ils toujours en vie eux aussi.

Une infirmière arriva dans ma chambre avec un plateau en fer et une seringue rempli d'une substance liquide bleue transparente. Lorsqu'elle me vis les yeux grand ouverts elle me dit :

- Vous êtes réveiller ?

J'ouvrir ma bouche difficilement pour émettre un tout petit son, un tout petit et faible oui.

L'infirmière reparti avec sont plateau et sa seringue. Cette seringue m'etait-elle destiné. Elle devais sûrement m'éteindre a jamais. Mais pourquoi je suis toujours en vie ?

Mon corps et lourd, tellement lourd que cela et douloureux. J'essaie de bouger ne serait-ce le petit doigt, mais rien ni fait, rien ne bouge. Depuis combien de temps suis-je endormie ? Cette question j'allais bientôt avoir la réponse lorsqu'un médecin arriva avec l'infirmière de tout a l'heure.

Le médecin se présenta, docteur Marois, il alluma une petite lampe et regarda mes yeux. C'est horrible comme cette lumière brûle les yeux. Marois arrêta vite, je pense que mon visage exprimé de la souffrance se qui l'arrêta. Puis celui-ci vient a me dire :

- Vous sortais d'un coma de 2 ans madame. Cela va prendre du temps à vous remettre. Vous allez devoir réapprendre à marché. Mais ne vous inquiété pas nous allons vous aider. Katerina allez chercher de Lébouster et administré en lui 50 milligrammes pour commencer.

L'infirmière et le médecin s'apprêtaient a partir. Mais il fallait que je sache. Je devais absolument savoir si mes filles et mon mari étaient toujours en vie. Avant que la porte ne se ferme je réussi à dire en larmes avec force

- Mes enfants !

Le docteur Marois me répondit que pour le moment le plus important et que je me consacre à mon rétablissement. Après je pourrais savoir. La porte se ferme. Je pleurais sans m'arrêter… Comment peut on dire cela… Je veut voir mes enfants. Je veut voir mon mari. Il sont mort je ne vois pas d'autre explication sinon, il m'aurait dit qu'ils allaient bien. J'ai tout perdu… Tout sauf la vie qui n'as plus aucun sens. Pourquoi ? Pourquoi suis-je toujours en vie. Fatiguée de pleuré, je fini par m'endormir.

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