Chapitre 33 : hôtel

La nuit tombe et nous sommes toujours sur la route. Sébastien parle tout d'un coup et demande a la voiture de s'arrêter à l'hôtel le plus proche. Après quelques minutes la voiture s'arrêt devant un hôtel restaurant. Nous sortons et entrons dans cet hôtel. Arrivé devant la réceptionniste, Sébastien nous présente et demande deux chambres, une pour lui et une autre pour moi et si possible l'une a côté de l'autre. La réceptionniste nous donne a chacun une clé de chambre. Sébastien et moi allons donc avec nos sac remplie d'affaires a nos chambre respective. 

Enfin seule dans ma chambre. Je repense a cette journée très désagréable au côté de Sébastien Groyer. Lorsque celui-ci frappé a ma porte me rappelant que la journée a ses côté n'est pas encore totalement terminé car nous avons pas encore dîner. Je lui dit que j'arrive, mais celui-ci entre sans ma permission dans ma chambre.

- J'ai dit que j'arrivais. Lui dis-je.

- Désolé je croyais que tu m'avais dit d'entrée. Répondit Sébastien avec le sourire.

Un sourire que je supporte de moins en moins. Je sort de ma chambre et Sébastien fit de même en me suivant. Je ferme ma porte et tout deux partirent dans la salle a manger du restaurant de l'hôtel. Nous nous installons à une table et une femme prit nôtre commande.

Pendant tout le repas Sébastien me parla de sont enfance difficile. Sa famille était très pauvres, sa mère est morte d'un cancer alors qu'il n'avait que 7 ans. Il a eu 2 frères et 4 sœurs,  certain sont mort d'un accident voiture, d'autre souz les coups de leurs père qui était devenu alcoolique. Leurs père a fini par se suicider et il resta que lui et un de ses frères encore en vie qui ont étaient adopté, mais pas dans la même famille. Il a vraiment eu une vie difficile, mais cela n'excuse en rien sa manipulation. Il a pas le droit de jouer avec les autres. Sa famille adoptive était bonne, grâce à eux il a passer le reste de sont enfance dans le bonheur, même si il n'était pas avec sont frère.

- Lorsque j'ai retrouvé mon frère il était trop tard. Celui-ci est mort dans une petite bagarre stupide, juste pour une fille. Dit Sébastien.

- Tu n'as plus aucune famille.

- J'ai toujours ma mère adoptif. Je viens la voir de temps en temps. Et toi ?

- Moi, ma famille. J'en ai plus depuis longtemps.

- Un mari qui faisait semblant d'être malade et sortez pour aller voir sa maîtresse. Deux filles qui n'avait jamais ce qu'elle voulait et qui maudissait leur mère pour cela car elle ne travaillais pas assez pour gagner plus d'argent.

Étrangement ces paroles me blessa beaucoup. J'étais paralysé par ses paroles et des larmes coulèrent sur mes joues. Puis une colère m'envahit, je me lève d'un coup sec et cri sur Sébastien.

- Ne dit pas de mensonge pareille ! Mon mari et mes enfants étaient bon ! C'est moi et ma faiblesse et vos mensonges qui ont fait de moi le monstre que je suis !

- Il y a que la vérité qui blesse. Dit Sébastien.

Je part folle de rage dehors. Je cherche dans le noir une herbes, une fleur, une plante, des baies, même bourgeons ou racine qui pourrait tué Sébastien Groyer au plus vite. Il doit mourir rapides, je ne le supporte plus, lui est ses fausses visions, ses mensonges cruelle et insupportable.

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