Chapitre 28 : un nouveau hôpital mais même médecin

Je me réveil a l'hôpital. Combien de temps ai-je dormi ? En tout cas mon plan a fonctionné, du moins une partie sur,  Grégory a appelé les secours. Maintenant j'ai juste a demandé des nouvelles de mes soit disant amis, pour confirmer la réussite de mon plan.

J'attends que quelqu'un arrive. Je me lève facilement, déjà cela veut dire que j'ai pas dormi trop longtemps. J'ai assez de force, je ne suis sûrement pas tombé de le coma. C'est une bonne chose, je vais pouvoir vite retrouver ce Sébastien Groyer.

Enfin la porte de ma chambre s'ouvre, une infirmière entra. Elle me fis un sourire, elle me demanda comment je me sentais avant de partir chercher un médecin. L'infirmière revenu au bout de quelques minutes avec un médecin. Un médecin que je connaissais déjà d'ailleurs, il me souria.

- On c'est déjà vue quelques part ? Me demanda le médecin Marois.

- Oui j'ai déjà était l'une de vos patientes. Mais pas dans le même hôpital. Lui répondit-je.

- Je me disais votre visage ne m'était pas inconnu. 

Il m'osculta tout en me posant des questions pour essayer de se souvenir de moi. Quel hôpital ? Nom, prénom ? Âge ? Et pour finir pour quel raison je l'ai vue la première fois. Je n'ai pas osé lui mentir, après tout avec les dossiers médical, il peut vérifier mes dire.

- Empoisonnement. Vous n'avez vraiment pas de chance. Dit le médecin Marois.

- Je ne dirai pas la même chose. Au contraire elle a beaucoup de chance de s'en sortir a chaque fois. Dit l'infirmière.

- Oui enfaite comment ma t'on empoisonné ? Demandai-je.

- La nouriture comme l'autre fois. Répondit Marois.

- La nouriture… Mais Cécile et Grégory ?

- Vous voulez parler de la vieille dame qui était dans la même maison que vous. Désolé elle est morte.

Je décidé de me taire et faire semblant d'être choquer. Faire semblant d'être triste aussi, bien qu'en réalité je suis un peut triste, je l'aimais bien Cécile, pourquoi a t'il fallu qu'elle soit une manipulatrice. Pourquoi ? Cela n'est pas difficile de laisser ses larmes coulé. J'ai encore tué quelqu'un que j'aimais. Je fini par demander si Grégory était toujours en vie, en sachant bien qu'il l'est.

- Grégory, il a même était arrêté. Vous savez qu'il était recherché par la police. C'est lui l'empoisonneur. Et c'est sûrement lui qui vous a empoisonné. D'ailleurs des policiers attendent mon accord pour venir vous voir et vous questionner. J'espère que vous êtes prête. Me dit le médecin.

- Je n'ai pas trop le choix. Fini-je par dire.

Le médecin Marois et l'infirmière partirent. Je vis les policiers qui attendaient dans le couloir.

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