Chapitre 5. Le Cas « Don »
On lança le rassemblement, remerciant les organisateurs avant de rentrer à la demeure, Pavel décidant de rester encore un peu pour parler avec le gamin. On prit l'apéro avant de manger un morceau, certains couples disparaissant sans grand étonnement. Après avoir profité un peu des enfants et les avoir envoyés au lit, j'allais prendre mon café dans un des salons, prenant place alors que Peter m'amenait un dossier. Je le remerciais, le parcourant en m'allumant une cigarette.
— L'avion est prêt au décollage. Me prévins Peter.
Je hochais la tête, finissant de lire le dossier puis je sortis le plan, l'attrapant pour aller l'étaler sur la table de la salle à manger, prenant le temps de le mémoriser, gardant un visage neutre alors que je me sentais bouillonner.
— Réveilles les démons, et dis à Pavel de se ramener. On a des porcs à égorger. Ordonnais-je d'une voix neutre.
Il hocha la tête et j'allais me doucher, redescendant en tenue de combat, mon débardeur dans la main alors que je me dirigeais vers la salle de Suri, prenant le temps de ranger mes lames avant d'enfiler mon haut. Je passais ensuite mettre mes deux bébés à mes cuisses, revenant dans la salle à manger tout en m'allumant un mélange, m'appuyant sur la table en fixant les plans.
— C'est quoi le souci ? Demanda Micky en arrivant avec Pavel et les autres.
Je tournais le regard vers eux, reposant le regard sur les plans.
— On va devoir y aller sans se faire repérer. Ils ont une otage.
— Tu sais qui c'est ? Demanda Pavel en fronçant les sourcils.
— Ouais. Une gamine de quatorze ans. Allez vous équiper.
Ils hochèrent la tête, repartant aussi vite et je soupirais en serrant les poings.
— Je veux ces sales chiens en vie. Tous. Je vais leurs montrer ce que c'est l'enfer. Tu as tout ce qu'il te faut Vincent ?
— Nous nous attaquerons alors aux ventilations. Il nous faut juste bloquer les issus de la maison et on leur envoie de quoi dormir. Ça te semble faisable ? Proposa sérieusement Vincent.
— Oui, on doit juste prendre les armes et les munitions adaptés. Confirmais-je tout en fumant.
Vincent tourna la tête pour voir arriver John.
— Va prendre ton fusil. Ce soir, tu seras sniper.
John hocha la tête et parti aussi vite chercher sa mallette. Il revint rapidement dans la salle et posa sa mallette au sol, s'approchant directement ensuite de la table pour observer les plans.
— On fait quoi des hommes qui gardent le périmètre ? Non létal ? demanda John en levant la tête vers moi.
— Non létal. Je verrais ce que j'en ferais sur place.
Ali m'apporta ma mallette, la posant à côté de moi avant de repartir et je le remerciais, m'étirant en sortant de la salle à manger, observant arriver Aaron en tenue.
— Genre t'as cru sortir sans moi. T'as raison ouais.
— J'adore les sorties nocturnes. Il vous reste de la place ? Sourit Carlos en posant sa mallette à ses pieds.
Je soupirais, haussant les épaules alors que je voyais les démons revenir, équipé, avec du matériel.
— De quoi les faire dormir en deux secondes. M'expliqua Micky.
J'attrapais un sac en vol, laissant Peter continuer de distribuer le matériel pour la liaison sur place et Aaron s'étira en attrapant ma mallette.
— Parfait. Carlos, les démons, on va chercher les voitures et charger tout ça. Expliqua Aaron en partant vers le garage.
Je me rallumais un mélange, attrapant l'une de mes lames pour jouer avec, attendant que tout soit bon. Le départ fut donné peu de temps après et l'on rejoignit l'avion, prenant le temps de charger les voitures avant que l'on ne décolle. Les heures de vols servirent à quadriller la zone entourant la maison que l'on ciblait, positionnant chaque personne afin de resserrer les mailles au fur et à mesures.
— Les snipers, une fois que vous aurez vos positions vous ne bougerez plus jusqu'à la fin de l'opération. On ne sait jamais. Des questions ?
— Aucune question. Souffla Vincent en fumant sa cigarette.
Tous acquiescèrent de la tête puis regardèrent une dernière fois le plan et les positions qu'ils allaient prendre.
J'allais m'asseoir, ouvrant la mallette que m'avait apporté Ali, souriant en voyant deux longues lames et je pris le temps de les nettoyer avant de les ranger dans mon dos, préparant ensuite mes mélanges en chargeant mes seringues sous le regard attentif de Micky. Je terminais ma vodka tout en terminant mes mélanges, rangeant les seringues dans un étuis que je tendis à Aaron. On arriva à l'aérodrome municipal de Sheridan peu de temps après, et je descendis de l'avion, m'étirant minutieusement alors que Aaron et les démons descendaient les voitures. Je m'équipais de l'oreillette, inspirant profondément en observant les alentours avant de m'approcher de John, caressant doucement sa joue en posant mon front contre le sien.
— Ce soir la gosse sera en sécurité. Souffla John en glissant sa main dans mes cheveux.
— Oui. Murmurais-je. Tu fais attention à toi.
— Je ne bougerais pas de ma position tant que la patronne n'en donnera pas l'ordre. Murmura John, ses lèvres caressants les miennes. Mais fais attention aussi. D'accord.
— Promis. Soufflais-je avant de l'embrasser.
On monta dans les voitures quelques minutes plus tard et j'en profitais pour m'attacher les cheveux, revêtant mes gants. Il fallut très peu de route ensuite pour qu'on arrive à destination et je m'échauffais en descendant de voiture, laissant aux autres le temps de se déployer alors qu'Aaron attendait avec moi. J'attrapais les deux bombes soporifiques, les callant dans mon pantalon, écoutant les rapports de positions.
— C'est parti messieurs. Soufflais-je dans l'oreillette.
J'attendis quelques minutes avec Aaron, m'élançant finalement dans la forêt, analysant les environs tout en courant, esquivant les corps qui tombaient devant moi avant de m'élancer sur un arbre, grimpant à toute vitesses alors que Aaron me suivait, passant d'arbres en arbres en m'approchant de la demeure ciblée. Je fis signe à Aaron de rester sur place, sautant sur le toit quand je fus certaine de ne pas me faire repérer, m'approchant de la cheminée à pas feutré. J'attrapais les deux bombes soporifique, me mettant en position alors que j'observais les alentours, dégoupillant finalement chacune avant de les lancer dans le conduit. Je lançais le chrono sur ma montre, attrapant une troisième que me lançait Aaron, l'activant avant de la relancer quelques secondes plus tard, Peter me confirmant que le système d'aération avait été activé à plein régime.
Je rejoignis l'arbre dont je venais, observant le chrono s'écouler en attendant patiemment. Quand le chrono se termina, je descendis de l'arbre, rejoignant l'entrée de la demeure, prenant une profonde inspiration avant de forcer la serrure, attrapant deux lames alors qu'Aaron me faisait signe qu'il était prêt. On entra dans la maison, et je m'avançais doucement, clairement sur mes gardes, venant couper les tendons des personnes dont je croisais la route, nettoyant rapidement le rez de chaussée et je descendis dans le sous sol avec Aaron, sortant mes armes alors que Aaron s'occupait d'immobiliser tous le monde et l'on remonta ensuite, allant visiter le premier étage. Après quelques pièces, on trouva Don profondément endormi avec une femme et je pris le temps d'inspecter la femme, prenant une bouffée d'oxygène alors que je mettais mon masque. J'attachais la femme au cas où, Aaron se chargeant de Don et l'on reprit notre visite, continuant de nous assurer que ces chers hommes ne puissent pas nous attaquer, finissant par entrer dans une grande pièce sans fenêtre, remplis de tenture rouge et je sentis mon corps se tendre aussi vite alors que je m'élançais, venant attraper sauvagement l'un des hommes présent, l'amenant devant une fenêtre avant de le projeter à travers, revenant dans la pièce pour dégager tous ces sales porcs, finissant par la trouver elle, mes gestes se suspendant avant je ne secoue la tête, prenant sur moi.
— Occupes toi d'elle. Je m'assure de nettoyer le reste. Pavel, rejoins nous s'il te plait. Demanda Aaron
— J'arrive.
J'attrapais la pauvre gosse, la portant afin de l'amener dans l'une des salles de bain, prenant le temps de la nettoyer avant de mettre mon haut, attrapant le pantalon de la gonzesse de don, lui enfilant avant de la porter, rejoignant l'extérieur et je m'arrêtais avec elle dans les bras devant la demeure, prenant de profonde inspiration en ôtant mon masque.
— Je vais tout cramer. Je vais tous les cramer vivant. Les violer. Les torturer et les cramer. Murmurais-je. Pauvre bébé. Ezio, amènes toi.
Il arriva quelques secondes plus tard, et je me redressais, lui mettant la gamine dans les bras.
— Gardes moi ça. Ordonnais-je en passant mes mains dans mon dos.
J'en ressortis mes deux lames, repartant vers la maison avant de me stopper sur l'homme que j'avais fait voler par la fenêtre, jouant avec mes lames tout en le fixant, nue. Je resserrais ma prise sur mes lames, rentrant de nouveau dans la maison, rangeant mes lames dans mon dos, remontant à l'étage pour attraper les hommes restant dans la pièce en question, les attrapant un par un afin de les faire passer par la fenêtre, m'attaquant ensuite aux autres pièces, faisant passer les hommes par chaque fenêtre, observant Aaron et Pavel descendre en trainant quatre hommes. Je leurs ordonnais d'amener ça dehors, reprenant mon nettoyage de plus belles. Je finis par me stopper quand toutes les cibles furent dehors, laissant les démons les charger et je me frottais le visage, ressortant de la demeure alors qu'Ezio n'avait pas bougé.
J'attrapais mon téléphone sans lâcher la gosse des yeux, jouant de l'autre main avec ma lame.
— C'est moi. Prépares tes équipes. Je te ramènes une victime de kidnapping. Torturée et violée. Partenaires multiples... Elle est dans un sale état. Elle aura besoin de soin et...
— Je réveille tout le monde. Me répondit Franck Tourmoura.
— Ok. Merci franck.
Je raccrochais, jouant avec mon téléphone, regardant finalement Ezio.
— Aaron, accompagne Ezio pour apporter la gosse à Micky.
Aaron partit avec Ezio et je repassais un appel, m'allumant un mélange en fixant les démons qui chargeaient les corps.
— Chérie ?
— Hakane. Prépare moi tes hommes et la maison. J'amènes de quoi jouer d'ici... Cinq heures.
— Ok ok. Je les préviens. À tout à l'heure.
Je raccrochais, posant ma main sur la joue de John.
— Tu iras avec Aaron et Micky pour la gamine jusqu'à HOPE. Que personne ne l'approche.
— Personne n'approchera cette gosse... répondit John en desserrant légèrement sa mâchoire. Et pour la mère ? Qu'est ce qui est prévue ?
— Je verrais. Elle sera obligée de venir pour récupérer sa gosse, la police de L.A la contactera. Et je l'attendrais de pieds fermes. En attendant, je vais m'occuper de ces cas.
— D'accord.
Il posa sa main sous mon menton, relevant mon visage pour plonger mes yeux dans les siens.
— Comment tu vas ?
— Folle de rage et débordante d'envie de tuer tout ce qui se trouve autour de moi. Ça ira mieux quand je les entendrais hurler.
— Qu'ils ne meurent pas trop vite surtout. Souffla John avant de poser ses lèvres sur mon front, me serrant doucement contre lui.
— Oh ne t'en fait pas. Les hommes d'Hakane sont très soigneux avec leurs jouets. Ça tombe bien, ils venaient de finir les mexicains.
On prit le départ dix minutes plus tard, rejoignant l'avion dans la foulée et je m'allumais un mélange que je fumais le temps de charger les voitures, allant ensuite m'asseoir dans un coin tout en fumant alors que Micky allait veiller sur la gosse avec Aaron. Quand on arriva à Los Angeles je descendis rejoindre Hakane qui nous attendait avec des hommes à lui, les laissant transférer les jouets alors que je me rallumais un mélange, laissant les démons accompagner Micky, Aaron et John à HOPE.
— Tout est prêt là bas ?
— Oui, le restant nous attend là-bas. C'est quoi la femme ? Me demanda Hakane.
— Je sais pas. Je dois l'interroger. En fonction de ce qu'elle est, je leurs filerais ou pas. Répondis-je en observant le chargement.
Je m'étirais quand le chargement fut terminé, me dirigeant vers ma voiture afin de me mettre au volant, me rallumant une cigarette alors que les voitures d'Hakane démarraient. Vincent vint s'installer à côté de moi et s'alluma une nouvelle cigarette après avoir ouvert légèrement la vitre. J'ouvris la fenêtre, observant Carlos.
— Carlos. Ça va aller pour toi ?
— Je verrais bien. J'vais rentrer et tenter de ne tuer personnes sur le chemin. Répondit Carlos en forçant un sourire.
— Hm. Monte. Je trouverais bien de quoi te défouler. J'ai justement la gonzesse à interroger.
Carlos leva aussi vite un sourcil et se précipita dans la voiture, s'allumant à son tour une cigarette après avoir fait craquer sa nuque. Je pris la route aussi vite, continuant de fumer ma cigarette tout en conduisant, arrivant après trente minutes de route à la ruche d'Hakane, m'insérant dans une entrée de garage où je descendis bons nombres de niveaux de parking avant de m'engager dans un parking où je me garais finalement.
— Patronne. Me salua le garde.
— Teddy. Le saluais-je. Ils sont où ?
— Le boss les stationne au -1, ils vous attendent.
— Parfait. Merci.
J'entrais dans l'ascenseur avec Vincent, Carlos et le garde, sélectionnant l'étage et l'on remonta, rejoignant Hakane qui était en plein dispatch justement.
— Carlos, voici... Machine. J'ai pas demandé son prénom. Je dois juste savoir si c'est une victime ou pas. Si ça l'es pas.. Bah fais en ce que t'en veux. Teddy, amènes Carlos dans une salle d'interrogatoire.
Carlos hocha la tête puis suivit le garde vers la salle et je reportais mon regard sur les hommes.
— Premier groupe, les déjà prêt à servir. Mettez les autres en salles d'attentes. Chérie ?
— Je te suis.
Il hocha la tête, me ramenant à l'ascenseur avec Vincent, appuyant sur l'étage -3 et je haussais un sourcil
— Oh le -3... Ça me rendrait presque nostalgique dis donc. Soufflais-je en m'allumant un mélange.
— Presque. Ricana Hakane.
On arriva à l'étage et Hakane nous conduisit dans une pièce, proposant un siège à Vincent alors que j'allais ôter mes lames et mes armes, les posant sur le bar.
— Tu veux te laver ?
Je tournais la tête vers Hakane, hochant doucement la tête et je ressortis pour aller me doucher dans sa salle de bain privée, le laissant servir un verre à Vincent. Je pris le temps de me laver, laissant mon esprit tourner comme bon lui semblait avant que je ne stoppe mes gestes, ressortant de la douche pour me sécher avant de me diriger vers l'armoire d'Hakane, un petit rire s'échappant de mes lèvres alors que j'avisais les tenues.
Ouais, ça rappelait des souvenirs dis donc...
J'attrapais les sous-vêtements, les enfilant avant de mettre un des pantalons en cuir se trouvant là, essayant de choisir le haut le moins provoquant se trouvant dans l'armoire. Chose assez compliquée en ces lieux. Je trouvais finalement un débardeur en cuir que j'enfilais, prenant ensuite le temps de tresser mes cheveux, un soupir s'échappant de mes lèvres alors que je reprenais un mélange, me le rallumant en rejoignant Hakane et Vincent, observant entrer ses hommes avec leurs jouets.
— Ils sont nettoyés ? Demandais-je d'un ton neutre
— Oui. Et on le stock là bas.
— Parfait. Je vous laisse les attacher alors. Je vais les réveiller.
Je me dirigeais vers les armoires, ouvrant les portes à la recherche de quelque chose que je trouvais finalement au bout de quelques minutes. Je sifflais après un des hommes, lui lançant un des harnais et il l'attrapa en ricanant.
— Toi tu sais vraiment comment nous parler. Ricana l'un des hommes en attrapant le harnais.
Je haussais les épaules, attrapant l'un des harnais avant de m'approcher de l'un des jouet attaché, laissant le mec qui l'attachait m'ouvrir sa bouche pour y placer le dispositif et je l'attachais derrière son crâne, vérifiant l'attache avant d'attraper le menton du jouet, inspectant le dispositif en plongeant mes doigts dans sa bouche.
— Parfait, tu feras une bonne suceuse. Il est prêt ?
— Oui m'dame. Prêt à l'emploi.
Je hochais la tête, remerciant Hakane pour la seringue et je la plantais dans le cou du jouet, lui injectant le produit avant d'aller équiper les autres du même harnais, les réveillant tour à tour. J'allais ensuite me servir un verre d'une des bouteilles d'Hakane, observant les hommes d'Hakane se préparer et je penchais la tête sur le côté en me rallumant une cigarette.
— Me dit pas qu'on va devoir vous fournir les p'tites pilules bleu les mecs ?
— Commence pas à nous insulter. Ricana l'un des mecs.
Je haussais les épaules, buvant mon verre avant de le pointer du doigt tout en tenant mon verre.
— Je t'aiderais pas à bander, je te vois venir.
— Si tu me brise mon p'tit cœur, comment je fais pour bander moi ?
— Bah tu ferme les yeux et t'utilise ta main. Rétorquais-je.
— Nan mais sinon on se fout un film. Répondis un autre.
— Oh bah vous faites comme vous voulez. Le comment vous faites pour baiser ça, j'men tape.
— Même pas un p'tit peu d'aide patronne ?
Je soupirais, finissant mon verre alors que tous les jouets s'étaient maintenant réveillé. M'étirant avant de finir ma cigarette.
— Faut tout faire. Soupirais-je
Je me dirigeais vers l'une des armoires, prenant le temps de choisir plusieurs sortes de cravaches avant d'en choisir une qui me satisfaisait sur les dégâts qu'elle pouvait faire. Je jouais avec en me dirigeant vers les jouets, prenant le temps de les observer avant de me diriger vers l'un d'eux. Laissant mes doigts se crisper sur la cravache et je levais le bras, commençant à le frapper avec force, venant frapper les différentes parties de son corps les plus sensibles, l'écoutant hurler de douleur avec plaisir. Je finis par passer à un autre jouet, laissant les hommes s'occuper du cas du premier, m'occupant ainsi de chaque jouet avant d'aller me reverser un verre, posant ma cravache sur le bar alors que tous les hommes d'Hakane avaient de quoi jouer, visiblement bien plus motivé.
J'attrapais ma cravache, reversant un verre que je tendis à Vincent avant de sortir de la pièce, partant voir Carlos que je trouvais dans une salle d'interrogatoire.
— Alors ça dit quoi ?
— Ça dit qu'elle était apparemment contente que la gamine prenne le relais, mais clairement consentante. Lâcha Carlos en retirant son haut, une cigarette à la bouche.
— Ok. T'as ce qu'il te faut pour jouer ? Au pire tu fouilles hein. Tu trouveras bien de quoi t'amuser.
— Oui. On va faire longuement connaissance. Répondit Carlos en lançant sa musique.
— D'accord. À plus tard alors, je retournes voir le spectacle. Je t'attends pour Don ?
— Oui, s'il vous plaît. Répondit Carlos en retirant son pantalon. Je veux être là quand ce sera son tour.
— D'accord. Ils jouent avec leurs jouets... Hm... Je dirais dans la soirée. Oh. Faudra que tu pense à manger. Hm. Je viendrais te chercher. Bon jeu
— D'accord. A... Tout à l'heure. Répondit Carlos en plantant sa lame dans le sexe de la femme.
— Si tu plante trop, elle va se vider de son sang. Enlève la lame, y doit y avoir des jouets pour faire durer le plaisir et qu'elle hurle plus longtemps.
Carlos se recula un peu de son jouet, penchant la tête pour l'observer tout en fumant puis alla vers l'armoire en bougeant la tête au rythme de la musique. Je le suivis, m'allumant une cigarette en ouvrant les portes d'armoires, lui montrant les nombreux jouets et leurs utilisations.
— Regarde genre celui-là. Il lâche des décharges. Tu choisis le voltage et la fréquence avec ça. Lui indiquais-je en lui montrant la télécommande. Doit y avoir un harnais pour que ça reste dedans.... Là.
— Oh ! Sourit Carlos. Et y a même des pinces croco pour les seins ! On va avoir un vrai coup de foudre je le sens.
Il récupéra le matériel aussi vite et alla l'installer sur son jouet, un large sourire sur les lèvres.
— Oui. Prends le temps de regarder, tu as de quoi jouer un moment avec. Ce serait con de la finir trop vite.
— Attendez ! Mais si elle jouit cette conne, c'est tromper ? s'inquiéta Carlos.
Je haussais un sourcil en le fixant, me grattant la tempe.
— Bah non. Tu la baise pas, tu la torture. Mais ma notion de tromper est pas trop au point. Je dirais que non mais tu pourras demander ça à Aaron directement si ça te perturbe. Tromper c'est jouer avec les sentiments de l'autre... Je dirais que tu le tromperais si tu lui jurais fidélité mais que t'allais fourrer au Secret en pleine conscience des choses... Tu vois ? Fin je crois. Faudrait que j'appelles John. On va dire que non.
— Hm. Oui. Vu comme ça c'est plus clair. Je la torture c'est tout. Répondit Carlos en hochant la tête, terminant d'installer les accessoires. Voilà... On va être prêt pour commencer.
Je hochais la tête, le laissant jouer en sortant de la pièce et je repartis vers la grande salle, me servant un verre avant de stopper mes gestes.
— Chérie ? S'inquiéta Hakane
— J'ai oublié ma cravache. Tiltais-je. Tant pis. Je la reprendrais tout à l'heure.
Je posais mon regard sur les hommes jouant avec nos prises tout en buvant mon verre, m'accoudant sur le bar alors que certains étaient à plusieurs dans le même mec et Hakane se contenta de rire discrètement avant de faire passer ça pour une toux. Je me contentais de le regarder en coin, buvant mon verre sans faire de commentaire, effaçant mon sourire en coin l'air de rien.
Je me redressais finalement, allant dans une des armoires pour attraper les anneaux pelvien, revenant vers les hommes. Je souriais à ces messieurs qui s'arrêtèrent et je glissais ma main pour attraper le sexe de leurs jouets, y glissant l'anneau que je bloquais avant de passer aux autres jouets, repartant ensuite vers l'une des tables pour chopper la télécommande, activant le système. Je reposais la télécommande, m'appuyant contre la table en m'allumant une cigarette, croisant le regard d'un homme besognant son jouet et je m'approchais, venant modifier la position de son jouet, resserrant les sangles en changeant les angles.
— Mieux ? Demandais-je
— Grave. Merci. Sourit-il.
Je lui fis un clin d'œil, repartant l'air de rien vers le bar, attrapant la bouteille pour ensuite me diriger vers Vincent, lui reversant un verre. Prenant finalement place sur une banquette à côté, m'installant tout en fumant, ne lâchant pas la scène des yeux. Je bus une gorgée à la bouteille, me redressant au bout d'un moment en m'étirant.
— Filez moi la blonde. Je vais aller jouer avec en salle des machines. Décrétais-je.
— On peut venir ?
— Ouais on adaptera ça pour que vous puissiez jouer. Je trouves qu'il savoure pas encore assez. Répondis-je.
Je posais la bouteille à côté de Vincent, sortant de la pièce une fois que les trois mecs me suivaient avec le jouet, le trainant et j'entrais dans la salle des machines, les laissant l'installer sur le dispositif alors que j'avisais les différents embouts et leurs tailles.
— Hm. Direct le gros calibre ? Allez... C'est la taille de quoi ça ? Cheval ? Demandais-je en attrapant un embout.
— Sûrement. Répondis l'un des mecs en haussant les épaules. De l'aide pour le mettre sur la machine.
— Ouais. Ricanais-je
Je montais l'embout sur la machine avec l'aide du mec, testant ensuite la machine et les différentes vitesses, et je finis par hocher la tête.
— C'est bon. Tu verras mon chou, tu vas adorer.
Ils placèrent l'embout face à l'anus du jouet attaché, qui semblait essayer de hurler et j'enclenchais la machine dès que ça fut bon, les laissant bien le tenir pour que ça s'enfonce correctement. J'augmentais la vitesse de pénétration et la force de pénétration, observant la scène attentivement sans la lâcher du regard, penchant la tête avant d'augmenter un peu plus la force et la vitesse, mon sourire s'étirant.
Je restais un moment à les observer jouer, me décidant finalement à repasser dans la grande salle, me penchant à l'oreille de Vincent.
— Je te trouves bien trop passif Monsieur Amaro. Une suggestion peut-être ? Soufflais-je
— Ce genre de merde ne fait pas ressortir le meilleur d'Amaro et... Je ne pense pas qu'il soit judicieux de le faire sortir. Et puis tu es experte en matière de torture. Souffla Vincent avant de finir son verre cul sec.
J'attrapais son menton, le forçant à me regarder alors que je haussais un sourcil.
— Tu crois me flatter là ? Je croyais que tu étais bien moins sage que ça. Je suis déçue.
— Es-tu d'accord avec le fait que chacun de nos actes ont des répercussions sur nos proches ? Souffla Vincent en approchant son visage du mien, le regard perçant.
— Pas tous non. Mais je présume que nous ne parlons ici que des jouets ici présents, pour leurs cas je peux t'amener leurs familles si c'est ce que tu veux. Répondis-je sans bouger d'un pouce.
— Violer une gamine ou une femme qu'il soit seul ou plusieurs est un jeu pour eux. Si tu m'amènes leurs familles, tu dois te douter du spectacle que je leurs réserve. Je te parle de leur faire regarder leurs familles se faire violer. Et tu sûr de vouloir me laisser faire ce genre de chose ?
— Pourquoi je ne serais pas sûre ? Répondis-je en haussant un sourcil. Tu me prends vraiment pour une petite fille là ou... ? Je suis la femme au dragon Amaro. Tu crois vraiment que tu puisses me choquer ? T'es mignon. Ricanais-je en ôtant mes doigts. Je vais chercher ça.
— Très bien. souffla Vincent en se redressant. J'espère que tes hommes seront encore suffisamment en forme. Ils mettent déjà pas mal de cœur à l'ouvrage. Sourit-il en se rallumant une cigarette.
— Oh oui. Ils sont performants et endurant pas de souci là dessus. Hakane ! On sort faire du shopping !
— Parfait. Sourit Vincent en sortant une lame de son dos.
Il se rapprocha des jouets, s'excusant auprès des hommes qui continuaient de jouer et découpa minutieusement chacune de leurs paupières.
— Ce serait dommage que vous loupiez le spectacle. Vous êtes du genre à aimer regarder avant de jouer. Souffla Vincent tout en rangeant sa lame dans son dos.
Je haussais les épaules, rangeant mes lames avant de remettre mes armes à mes cuisses, ressortant de la pièce avec Hakane pour passer voir Carlos.
— Hé Carlos, on sort faire du shopping. Les familles à récupérer. Tu viens ou tu restes là ? Demandais-je
— Il a un beau cul. Souffla Hakane avant de secouer la tête et de repartir sous mon ricanement.
— Familles à recup ? Bien sûr que j'viens. Sourit Carlos avant de couper la musique. J'vous suis.
— Carlos. Pantalon. Haut. Soupirais-je avant de ressortir de la pièce en m'allumant une cigarette.
— Euh.. Oui. Pardon. Grimaça Carlos en allant attrapant ses affaires.
Il enfila rapidement son pantalon et sortir de la pièce en finissant d'enfiler son haut, sautillant tout en marchant pour mettre ses chaussures.
— j'suis prêt.
Hakane tenta de contenir son rire en s'excusant et je poussais un nouveau soupir, secouant la tête alors qu'on entrait dans l'ascenseur. Rejoignant le rez de chaussée et j'allumais mon portable, appelant Peter.
— Peter, ça dit quoi pour leurs familles ?
— Ils sont en routes vers ton emplacement si c'est ta question. Deux camions remplis. Certains n'avaient plus de familles dans le pays mais c'est chargé dans des avions. On recevra le reste demain soir je dirais.
— Ok. Parfait merci.
Je raccrochais avant de tourner le visage vers Carlos, haussant les épaules.
— Bon c'est le shopping qui vient à nous en fait. Deux camions remplis. Je vais avoir besoin des démons.
J'envoyais un message à Pavel, laissant Ashkara avec Micky à HOPE avec Aaron et John, et je tournais la tête vers Hakane.
— Ameute tes sauvages, il va être l'heure de jouer vraiment.
— Ok chérie, je vais réveiller ça.
— Bon. Bah je retourne jouer alors. Souffla Carlos en haussant les épaules. Je crois que je lui ai cramé sa Fanny. Ricana Carlos.
— Bah elle a une sœur non ? Répondis-je en haussant les épaules.
— Une sœur ? s'étonna Carlos en levant un sourcil.
— Bah elle a pas qu'un trou quoi. Avantage d'être une gonzesse.
— J'suis pas sûr qu'elle voit ça comme un avantage, mais oui. Ricana Carlos. J'vais faire avec.
— Au pire, on la laisse un peu souffler et on voit si t'as vraiment cramé sa chatte ?
— Ouais. J'ai pas vérifié en même temps. Juste un doute avec l'odeur. Ok. J'vais attendre.
— Ça doit venir de l'expression avoir la chatte en feu ? Demandais-je d'un ton neutre en m'allumant une cigarette.
Je saluais de la tête le groupe d'homme qui passait d'Hakane, les observant passer avant de regarder mon portable. Je fis signe à Carlos de me suivre, me dirigeant vers le lieu de reception pour les camions, saluant les démons qui arrivaient en même temps alors que les hommes d'Hakane attachaient les arrivants. J'observais les arrivants, les faisant conduire à l'étage -3, m'y dirigeant avec les démons en prenant l'ascenseur.
— Consigne ? Demanda Pavel.
— Soyez vous-même.
Pavel posa son regard sur moi, haussant un sourcil avant de hocher la tête. On sortit de l'ascenseur dès qu'on arriva, rejoignant la grande salle et les hommes entrèrent avec les personnes qu'on avait reçu.
— Monsieur Amaro. Les familles. Et les renforts pour jouer. Informais-je en allant me verser un verre. Carlos, whisky ?
— C'est pas de refus. Sourit Carlos en suivant Naëlle.
Vincent se leva alors de sa chaise puis retira sa veste avant de glisser son paquet de cigarettes dans la poche de son pantalon. Il en profita pour s'en allumer une puis reprit sa lame dans son dos tout en se dirigeant vers les familles, attrapant l'une des femmes par les cheveux et la plaça aussi vite face au jouet qui venait de réagir.
— Ça n'a pas l'air de t'amuser... Pourtant elle est plus âgée que la gosse avec laquelle tu jouais. Lâcha Vincent froidement.
De quelques coups de lames rapide, il fit alors tomber les vêtements de la femme, la tenant toujours par les cheveux puis la força à se mettre à genoux face au jouet avant de faire signe à deux hommes de s'approcher.
— Si tu tentes de mordre, je t'arrache les dents. Souffla Vincent froidement à la femme tout en lui approchant le visage du sexe de l'un des hommes. Bon appétit.
Il continua son jeu, jusqu'à ce que chaque famille soit identifiée puis alla vers l'armoire. Je gardais la bouteille de whisky sortit pour Carlos et je me rappelais que j'avais un jouet ailleurs.
— Merde faut que j'ailles chercher le cheval.
Je sortis de la salle aussi vite, allant dans la salle des machines avant de pencher la tête.
— Y'a des femmes qui sont arrivés. On va faire une pause.
— Oh ? Ok.
J'allais arrêter la machine, sifflant en voyant l'état du mec avant de le détacher, attrapant une laisse pour lui mettre autour du cou avant de le trainer avec moi suivi par les trois autres mecs. Je revins dans la grande salle, continuant de traîner mon jouet avant de me stopper. J'attrapais une de mes lames, venant couper ses paupières avant de relever le visage, trainant le jouet plus loin pour l'accrocher.
— On reprendra notre petit jeu après, t'es prêt pour plus gros. Souriais-je en tapotant la joue de mon jouet.
— Naëlle. Appela Vincent, toujours devant l'armoire.
— Allez, serre les fesses si tu peux. Souriais-je avant de rejoindre Vincent. Oui ?
— Tu parlais de pilules bleues tout à l'heure. Y en a ici ? Ça serait utile pour la suite.
Je changeais d'armoire, ricanant alors que les mecs d'Hakane s'offusquaient, ouvrant une petite malle pour en tendre une boite à Vincent.
— Je te mets une boite de côté ? Pour les... Laisses tomber.
— Non merci. Je ne pense pas en avoir besoin. Peut-on en donner au jouet. Ils vont en avoir besoin pour s'occuper de leur propre mère.
— Je laisse l'anneau ? Question con déso. Demandais-je en m'approchant d'un jouet pour lui fourrer les cachets au fond de la gorge. Tiens, viens occuper sa bouche toi, ça le fera avaler.
J'allais faire le même avec les autres, m'approchant de mon jouet en lui souriant avant de lui fourrer les cachets dans la gorge, laissant un autre homme venir jouer avec.
— Vincent, télécommande sur la table, bouton off s'il te plait. Sinon je peux pas leurs ôter et ils pourront pas jouer comme tu veux.
— Ce serait dommage. Répondit Vincent en allant appuyer sur le bouton de la télécommande.
— Merci.
J'ôtais l'anneau de mon jouet, laissant les mecs ôter ceux sur les autres et je me redressais, allant jeter ça. Je me tournais vers les Démons et je claquais des doigts en les regardant.
— J'ai un jouet spécial pour vous. Hakane, tu peux me faire amener Don ?
— En l'état ?
— Ouais t'inquiète. On va s'en occuper. Sourit Pavel.
J'allais prendre la bouteille de vodka et un verre, me versant un verre en prenant place sur la banquette, m'allumant un mélange en m'installant. Vincent regarda sa montre puis alla déshabiller les mères des jouets avant de les amener face à leur fils.
— Si vous vous posez encore la question. Vos fils... Ou plutôt les monstres que vous avez engendrés ont violés en groupe une enfant et j'imagine que ce n'était pas la première. Alors de mon point de vue, vous êtes toutes aussi responsables de leurs actes.
Il regarda à nouveau sa montre avant de regarder les jouets.
— Oh... Regardez. Je crois qu'ils sont prêts. Bien. Nous allons pouvoir commencer. Naëlle ? Une idée de la position ? Ça me semble un détail important. Demanda très sérieusement Vincent.
— Perso je les aimes toutes alors on peut varier. C'est plus amusant non ?
— Elle est pas adorable ? Sourit Vincent en regardant les mères. Bien. Mettons vos monstres sur le dos, maintenant qu'ils ont l'air... Prêt, on va pouvoir tester les postions. Et s'il vous plaît ne vous retenez pas. Ils jouiront plus d'une fois avant qu'on ne décide de la bonne position.
— Bah on des stimulateurs pour les aider si tu veux.
— C'est parfait. Sourit Vincent en forçant l'un des mères à s'agenouiller en l'agrippant par les cheveux. Commençons par une mise en bouche... Finit-il en forçant la femme à prendre le sexe de son fils dans la bouche.
Tout en continuant de l'agripper fermement par les cheveux, il lui fit alors descendre et remonter sa tête tranquillement, faisant signe aux hommes de choisir les autres positions pour les autres jouets.
— Allez messieurs. Le premier qui réussit à faire jouir son jouet a gagné.
— On gagne quoi ?
— Non tu joue pas, tu vas tricher. Ricana Hakane.
— Au pire.. Commençais-je en me relevant. Ça nous permettra de voir le meilleur de nous deux. Entre deux niveaux d'expérience différent. Hm ?
Je m'étirais en me dirigeant vers un des jouets, lui souriant en lui tapotant la joue, sanglant la mère avant d'enfiler des gants, penchant la tête vers les deux hommes tenant la mère. Je fis rentrer le jouet dans sa mère, activant le système de balancier tout en plongeant ma main entre les fesses du jouet, cherchant à tâtons avant de trouver sa prostate, commençant à la stimuler et à jouer avec tout en lui murmurant des phrases à l'oreille, m'activant à le faire venir.
— Je refuse que mon expérience repose sur les performances de ce genre de monstres. Je suis presque blessé que tu puisses le penser. Répondit Vincent en faisant semblant d'être offusqué.
Je penchais la tête vers lui, haussant un sourcil alors qu'Hakane semblait ne pas pouvoir contenir son rire.
— As-tu peur de manquer de doigté ?
— Tu triches déjà en le stimulant. Ricana Vincent.
Il déplaça alors la mère, la mettant en position « 69 » et demanda à l'un des hommes de s'occuper du jouet en lui soulevant les jambes, faisant signe à un autre de soulever la tête, le forçant à jouer avec sa langue.
— Si tu t'appliques pas, je te promet de la filer à un de tes potes qui je suis sûr ne prendra pas de gants avec elle.
— Faut pas l'aider ? Oh attend. Hakane, va chercher le spray magique.
Le jouet de Vincent s'exécuta aussi vite, pleurant comme un bébé sous les cris de sa mère.
— Oh oh. Nous avons une femme fontaine. Ricana Vincent. Apparemment papa n'était pas au courant.
Hakane fit la grimace avant de sortir de la pièce et j'ôtais mes doigts alors que mon jouet venait dans sa mère. J'attrapais l'un des sauvages d'Hakane, l'amenant derrière mon jouet.
— Je suis une grande fan de cette position, je te laisse la savourer. Soufflais-je au jouet. Tu verras, c'est un pied d'enfer.
J'ôtais mes gants avant de m'allumer une cigarette, attrapant le spray avec l'inhalateur que me donnait Hakane, en faisant inspirer une grande bouffée à la femme avant de passer aux autres, venant en faire respirer une bouffée à celle dont s'occupait Vincent avant de passer aux autres jouets.
— Bien. Je crois que je vais aller me servir un verre et profiter du spectacle. Ricana Vincent en laissant les deux hommes continuer.
Je hochais la tête, allant reposer le spray avant de me diriger dans le coin où se trouvait les démons avec Don et un sourire s'étira sur mes lèvres alors qu'il me voyait.
— Mon petit Dondon. Ça faisait longtemps non ? On se voit jamais assez. C'était quand la dernière fois ? Ohhh. Ta femme et son bébé. T'as aimé le recevoir ? Il était pas fini déso. Je me suis appliqué pour ton fils t'as vu. Même pour elle. J'avais soigné mon paquet cadeau. Souriais-je en sortant mes lames. Je vois que t'as toujours une grande passion sur le glauque. Ça tombe bien, moi aussi. Je te présente tes copains de jeux.
Je tirais le rideau, nous isolant du reste de la pièce, tapant dans mes mains en souriant.
— Bien, commençons.
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